COLLECTION PUTE. Je suis devenue la pute de mon beau-père (9/18) - histoire érotique

Une pute attend une autre pute, se demandant si je vais être à la hauteur des envies de Pierre ou pour être plus soft, une pute attend une escorte.
C’est le moins que l’on puisse dire de moi qui ai épousé le fils avant de devenir le bras droit et la pute du père.

• Oui, entrez mademoiselle, voilà pour vous !

Pierre a passé son caleçon et est allé à la porte de notre suite pour récupérer la jeune femme que nous avons commandée pour venir montré à Pierre de visu comment je me débrouille dans les rapports féminins.
Une fois le pourboire donné au chasseur qui l’a accompagné et la porte refermée, 700 € que Pierre lui donne dès que la petite bombe qui vient d’entrer tirant une petite valise sur roulettes, nous a rejoints.
700 €, combien je coute à mon amant, autre que ma situation de femme de son fils ?
Mais arrêtons d’avoir des pensées négatives.
Pierre en me grugeant m’a permis de vivre un début de vie bien loin de celui qui m’était réservé lorsque je me faisais dépuceler par celui que je rappelle s’appelait Olaf, le gardien de l’orphelinat où j’ai grandi.
Et que dire du travail dans un restauroute où j’aurais pu rester en gagnant et en vivant des choses insipides.
Une orpheline plantant le bâton sur les pistes de Courchevel avant de passer une partie de la nuit dans la chambre de mâles suisses pour aider Chantal à passer de simples gouines à femme bi-sexuelle.
Sur le fauteuil près de notre lit plus grand qu’une piste d’hélicoptère, le manteau de vison que Chantal m’a offerte pour me remercier d’avoir organisé cette soirée dans l’hôtel « Prestige » de Courchevel me fait voir le chemin parcouru.
Et que dire de la queue de Pierre bien différente de celle de Victor son fils.

• Comment voulez-vous que l’on procède, je commence par votre main droite ou votre main gauche ?
• Pardon, êtes-vous manucure ?

Je vois Pierre se tordre de rire.

• Votre mari est un coquin, non, je suis l’escorte que vous avez demandée.
J’ai entendu qu’il parlait au réceptionniste que j’étais la manucure pour son épouse, avec ma petite valise, j’ai joué le jeu.
• Qu’avez-vous à me proposer, vous êtes très jolie, mais vous êtes la première escorte avec qui je vais passer un moment ?
• Mini petite souri, le rat d’hôtel ça vous plairait !
J’ai ce qu’il faut dans ma valise, il vous suffit monsieur Pierre de fermer les rideaux pour créer l’ambiance et faire croire que vous êtes en train de dormir.
• Un rat d’hôtel, j’aimerais bien voir ça.
• Ou se trouve la salle de bain, j’aimerais me préparer, ce personnage demande un peu de préparation, j’en ai pour cinq minutes, j’ai ce qu’il faut dans ma valise.
Parfait l’éclairage, couchez-vous et faite ceux qui dorment, je me dépêche, le temps c’est de l’argent.

Un vrai rat, elle se déplace sans bruit, mais je l’entends dans la salle de bain se transformer en Mini la petite souris.
Nous nous couchons avec Pierre et légèrement éloigné l’un de l’autre, le lit le permettant, j’attends la suite.
Un bruissement et je sais qu’elle est entrée se dirigeant vers la commode proche et sans le moindre bruit ouvrir un à un les tiroirs.
Bien sûrs ils sont vides, j’ai laissé quelques affaires dans le sac que nous avons pris avec nous avec le nécessaire de nuit, idem pour Pierre, nous avions plus envie de baiser que de faire ou défaire nos valises.
Mon sac, il est justement sur le reposoir à valises au bout du lit.
Dans un bruit presque indescriptible, le Zip de la fermeture se fait entendre et je vois à travers mes cils, mes paupières étant presque fermées.
Clara, je me souviens de son nom sur le site où nous l’avons trouvé.
Clara, non, Mini c’est plus intime à revêtu une peau comme peut l’être un rat d’hôtel, certainement, en latex noir.
Sur la tête, là aussi elle a porté le détail à avoir une capuche avec deux petites oreilles pointues.
Elle foire fouille, en sort un de mes strings, qu’elle porte à son nez et qu’elle met sous sa combinaison à hauteur de sa poitrine.
Dommage, il est propre, si j’avais su j’aurais mis celui que je portais hier et qui devait embaumer des moments que j’ai passés avec Chantal et les couteaux suisses.
Il est dans la valise dans un sac plastique, elle-même restée dans le coffre de la voiture grand confort de Pierre.
Elle devrait être magicienne, car replongeant sa main, c’est un gode qu’elle en sort loin de ce qu’il m’appartienne.
Il a des lanières, je la vois qui l’essaye, je fais semblant de bouger, je suis nue et j’écarte mes cuisses.
Elle se baisse rapidement comme le ferait Mini le rat ou la souris ayant peur d’être surprise.
Si je comprends bien la situation et si j’accepte le jeu, Mini a décidé, si je suis d’accord et je le serais de me défoncer avec ce gode noir aussi noir que la tenue prévue en jouant son personnage.
Elle va et vient dans la pièce, regarde le sac de Pierre, mais semble s’en désintéresser.
Retour vers la salle de bain, ça commence à être long, mais je pense qu’en faisant durer le plaisir, elle exaspère mes envies de baise.
Comme l’on dit, à plus que c’est long, à plus que c’est bon.
Je voudrais bien voir ce que fait Pierre, mais pour cela, il faudrait que je bouge et comme tous rongeurs, il risque de courir se cacher dans son trou.
Enfin, elle vient vers moi et se penche sur moi, elle murmure à mon oreille.

• Arrête de faire semblant de dormir, je sais que tu es réveillée, j’étais près de toi au restaurant dans ce petit bouchon lorsque tu es venue avec ton mari.
Tes œufs en meurette, j’avais aidé à les préparer et j’ai nettement vu lorsque tu as versé cette petite fiole de somnifère dans le verre de ton mari.

Toujours entre mes cils, je m’aperçois que son personnage est très précis.
Sous son nez, de chaque côté de sa bouche, elle a tracé en noire, trois traits représentant les moustaches de l’animal à quatre pattes qu’elle est censée représenter.

• Je viens de la trouver dans ton sac de voyage, tu fais ça souvent afin de le droguer pour être tranquille et que ce vieux beau évite de t’emmerder pendant le reste de la journée et de la nuit.
Tends-moi tes mains, tu es une fille à aimer être dominée, je me trompe, allez avance tes mains.

Ours et François me reviennent comme un boomerang dans la figure, comment peut-elle savoir que j’ai attaché mes Suisses pour mieux piéger Chantal, les uns et les autres ayant lâché leur croute de pain dans la fondue au fromage.
Je sens Pierre respirer, suit-il toute la scène en rigolant du bon tour qu’il me joue.
Les œufs en meurette, les mains attachées, j’ai beau y réfléchir, depuis que nous l’avons retrouvé au matin et où nous avons déjeuner ensemble, à aucun moment il a été seul, je l’ai laissé seul.
La seule chose qui corrobore ses faits, c’est la vidéo, or j’étais avec lui dans la voiture sur le parking de l’autoroute lorsque je lui ai envoyé et dessus ce sont les mâles soient disants supérieurs qui sont à ma merci.
Je tends mes mains, encore un tour de magie, une paire de menottes recouvert de velours roses viennent m’immobiliser.
Avec la souplesse d’un animal, elle saute sur le lit, c’est là encore une surprise, le bas de sa combinaison dégage sa chatte un peu plus claire que la tenue qu’elle porte.
Je suis dans l’impossibilité de faire quoi que ce soi lorsqu’elle me redresse les mains et qu’elle colle sa chatte sur ma bouche.
Comme avec Chantal, mais sans pouvoir me défendre, une chatte se trouve sous ma langue, je la sors, j’écarte ses lèvres vaginales et je trouve son clito.
De son côté, Mini laisse traîner sa main, ses doigts viennent accrocher ma propre chatte et je sens ses doigts entrer en moi et eux aussi trouver mon clito.
Je sens que ça monte en elle comme ça monte en moi, elle se laisse glisser et d’un coup c’est sur mon clito qu’elle s’acharne.
Je vais pour poser mes mains sur sa tête, c’est la seule chose que je peux faire avec mes mains entravées.
Je comprends mieux pourquoi mes petits Suisses (il fallait bien que je les places une nouvelle fois…)
Mes petits Suisses voulaient que je les détache, moi aussi j’ai envie d’explorer tout du corps que Pierre m’offre, bien qu’à son souffle cour, il ne doit pas en perdre une miette.
C’est moi la poupée de chiffon lorsqu’elle se redresse, alors que j’ai les jambes en l’air et que récupérant le gode, elle me prend comme un homme le ferait.
C’est à ce moment que mon portable se met en marche.
Merde Victor, c’est certainement lui qui m’appelle, comme promis lorsque nous nous sommes arrêtés sur l’autoroute.

• C’est mon mari qui doit appeler, laisse sonner !

Ouf, il a arrêté, mais hélas non, ça rappelle.

• Petite souris, place le téléphone sur l’oreille de ma bru, je connais mon fils, il va insister jusqu’à ce qu’elle décroche, ça va finir par lui paraitre suspect.

Je sais gréer à Mini de garder pour elle l’incongruité de la situation.
En quelques secondes mon beau-père vient de tous lui balancer sur la situation qui est la nôtre.
Une escorte doit vivre des situations plutôt insolite, il faut reconnaitre que la nôtre est loin de piquer des hannetons.

• Victor, j’étais dans mon bain, le temps de sortir je suis arrivée en courant toute mouillé, tu verrais la chambre heureusement que la moquette est épaisse.
C’est pour cela que je suis essoufflée.
Oui, tu as raison et ce doit être aussi pour ça que je t’ai appelé par ton prénom et non chéri comme je le fais habituellement.

Les salopards, à croire, surtout Pierre, souhaite-t-il faire comprendre à son fils que je suis son amante, pendant que Mini continue à me bourrer.
Il vient vers moi et sa langue vient entourer mon mamelon gauche, celui à sa portée.
Mini me bourre tout en me détachant les menottes, il n’est pas nécessaire d’avoir une clef pour ouvrir ces menottes festives.

• Comment va ton père, c’est ce que tu veux savoir mon amour ?
Oui, attends, après le petit bouchon où nous avons déjeuner, il m’a laissé devant la porte de sa chambre et est rentré dans la sienne.
Pourquoi je dis d’attendre, je ne sais pas, ça m’est venu comme ça ?
Non, ce soir, je vais faire monter le roomservice, j’ai mangé des oeufs en meurette.
Pierre est dans sa chambre jusqu’à demain matin comme moi, il veut …
Pourquoi je m’arrête, un trou de mémoire du à la fatigue ?
Je te disais qu’il veut être en forme pour repartir demain matin.

Merde comment raccrocher, je sens qu’attaqué comme je le suis, je vais jouir…