COLLECTION PUTE. Magalie, ma patronne (1/3) - histoire érotique

Quand je suis venue proposer à Chris71 d’écrire la petite aventure qui m’était arrivée, il a refusé de la classer dès le début dans une de ses collections.
À la fin, c’était évident pour nous deux, c’est la « Collection pute » où il devait la placer.

Voici ce qu’il nous est arrivé.
Mercredi 31 juillet, à la fin de cette dernière journée de travail comme je le disais étant jeune, les cahiers aux feux et les profs au milieu.
Aujourd’hui, je dirais le bilan financier terminé, je mets tout au feu avec Magalie, notre patronne au milieu.

Il y en a assez.
Il est presque 20 heures et toutes mes copines sont déjà parties.
Une panne du réseau d’ordi en début d’après-midi m’oblige à faire des heures supplémentaires.
C’est le destin d’une cheffe comptable qui doit envoyer le bilan du mois de juillet chez l’expert-comptable.
Pour arranger les choses, ce soir, je suis en vacances et cette nuit, nous partons avec Franck sur la Côte atlantique où nous avons loué une villa.
Bien sûr, je l’appelle lui précise que j'ignore à quelle heure je rentrerai.
Il devra finir de préparer les valises avec ma fille Laura qui à 16 ans et devra pour une fois laisser son portable et ses jeux à la con.
J’ai un fils Paul, il a 5 ans.
Laura nous l’avons eu, j’avais 20 ans Christian 22.
Il faisait des études pour être architecte et moi pour devenir comptable.
C’est à la fac que nous nous sommes rencontrés lors d’un bizutage qui aurait plutôt mal tourné.
Je préfère l’oublier, sucer ma copine alors que les lesbiennes m'indiffèrent, c’était mal venu.

Christian était là et il a fait arrêter ce jeu.
Il était bien avancé dans ses études.
C’est comme ça ce soir-là que dans la chambre de bonne au 8e étage qu’il nous a fallu monter à pied, je me suis écroulée sur le seul endroit possible, son lit.
Il en a fait de même et est venu se coller à moi.
Sur ma jambe je sentais ce que j’avais toujours refusé à tous les hommes qui m’avaient séduite, mais sans plus.
Sa bite.
Il est venu sur moi et nos bouches se sont trouvées.
Je sentais que la position était loin de celle que je préférerais tout au long de notre vie sexuelle.
J’aime dominer, mais jamais jusqu’à mes 20 ans j’ai trouvé un homme acceptant que ce soit moi qui sois au-dessus.
En un mot, j’ai toujours eu horreur des machos qui veulent écraser les femmes de toute leur splendeur.
Nous avons roulé, le lit étant de 140 et je l’ai senti bander sur ma chatte à travers nos vêtements.
Ils sont restés peu de temps sur nous, j’étais pucelle, mais loin d’être une oie blanche.
Je savais que mes copines suçaient les garçons, elle s’en vantait assez.
C’est ma main qui la saisit la première.
La gauche, je suis gauchère contrariée seulement pour écrire.
Mais cette particularité est loin d’avoir de l'importance dans mon récit au début.
Je me suis reculée et ma bouche aidée de ma main lui a fait sa première fellation qui était aussi la mienne.
Je suis revenue sur lui quand il bandait un max et c’est ma main qui l’a introduit en moi.
J’ai crié, je venais de me dépuceler sur la bite de ce grand dadais.
Il devait m’avouer quand il a vu le sang couler le long de mes jambes sortant de ma fourche que pour lui aussi c’était la première fois.
Bilan, un amant devenant rapidement un mari car Laura tapait à la porte de sortie et un dessus de lit blanc à laver, car des gouttes de mon sang se trouvant dessus.
Mes parents et ses parents nous ont aidés jusqu’à ce qu’il ouvre son cabinet et qu’une fois mes études terminées j’entre dans un cabinet comptable.
Tout a basculé, mais c’est une similitude peu grave quand l’informatique se développant on m'a licencié de ce cabinet.
Chômage et temps libre, un jour Christian que je dominais la plupart du temps m’a pris en levrette position que je trouvais un peu avilissante pour la femme.
Conséquence ; neuf mois plus tard Paul était parmi nous.
Christian était aux anges quand nous avons su que la chambre devait être peinte en bleu.
Je sais Rose pour Laura, Bleu pour Paul.
Comme nous vivons dans deux chambres, si je vous conduis la voir, une moitié rose l’autre moitié bleue.
Bref, on parle de déménager, mais ça coûte les yeux de la tête aussi dès que Paul a eu trois ans et qu’il est entré à l’école maternelle, j’ai recherché du boulot.

Magalie, ma patronne m’a embauchée et depuis nous économisons.
Malgré ça, nous partons en août pendant un mois en vacances.
Ce sera le cas cette nuit à 2 heures, Christian préférant conduire sur l’autoroute de nuit et se reposer sur la plage l’après-midi, les enfants dormants.
J’avance, je suis à 90 % de mon travail, j’en vois le bout.

• Véronique vous êtes encore là, je viens de finir mon travail et je m’apprêtais à partir en vacances.
• J’ai encore un peu de chose à traiter avant moi aussi partir me faire bronzer jusqu’à la fin du mois.

Magalie est grande blonde, type suédois, elle vient le long de mon bureau côté main gauche s’appuyant ses fesses dessus.
Elle est en jupe moulante, string ou sans culotte, car lorsque je tourne ma tête, aucune marque disgracieuse.
Elle me dit qu’elle part en vacances en Pologne.
Elle aime visiter les anciens satellites de l’URSS.

• Vous partez pour Saint-Palais, je connais bien, il faudra que vous alliez manger les sucettes chaudes le soir.
• On nous en a parlé.
• J’allais sur la plage où je me mettais les seins à l’air.
La dernière année, toutes ces dames avaient des relents de pudeur, elle se cachait.
Et pour vous Véronique, aimez-vous avoir les seins nus sur la plage ?

Joignant le geste à la parole, elle porte sa main sur mon sein gauche qu’elle palpe sans aucune vergogne.

• Tu pourrais te permettre de les montrer, je sens qu’il le mérite.
Regarde les miens, je trouve qu’ils sont magnifiques.

Enlevant sa main, elle ouvre son chemisier me montant sa jolie poitrine, car je dois reconnaître leurs splendeurs.
Je constate dans le même temps qu’elle se met à me tutoyer, ça me flatte quelque part je suis la seule à qui elle dira « tu » après les vacances.

• Mets, ta main et caresse les, tu verras, ils sont très fermes.

Je me revois à la fac avant que Christian vienne me sortir de l’impasse où je me trouvais.
Refuser un bizutage aurait pu avoir de mauvaises conséquences pour moi.
Refuser de caresser Magalie, ma patronne, je me retrouve à peu près dans la même situation.
J’ai besoin de mon salaire pour que nous puissions réaliser notre envie de déménagement afin que chacun de nos enfants ait sa chambre.
Je la caresse lui donnant l’impression d’aimer ce que nous faisons.
Ça lui permet de croire que j’aime les rapports féminins et alors que ma main caresse sa poitrine, certes, ferme, elle en fait de même avec la mienne.
J’espère en rester là, mais elle se baisse pour que sa bouche vienne sur la mienne.
Encore un instant de gêne et je cède, nos langues se trouvent avant de se séparer.

• Je vois que tu aimes faire l’amour entre femmes.
Quand je t’ai embauché, j’ai flaché sur toi.
J’avais un autre candidat mieux pourvu en bagage, mais j’espérais arriver là où nous arrivons.

Elle replonge dans ma bouche.
Étant loin d'être de marbre, je sens que ma petite culotte s’humidifie.
Quand j’analyse le moment où Christian est intervenu à la fac, avais-je vraiment envie qu’il arrête ce bizutage.
Je crois que dans un coin de ma tête, j’ai toujours su qu’un jour cette situation se reproduirait ce qui est le cas à ce moment précis.
Je me redresse et je l’enlace.
Je sens sa main venir sur mes fesses alors j’en fais de même.
J’aime embrasser mon mari, mais le palot que nous échangeons est plus profond.
Sa main contourne ma hanche et soulève ma robe plus ample que sa jupe ajustée.
Ça lui permet de me faire céder complètement, je suis sûr que je mouille, je sens ma cyprine dégouliner le long de mes cuisses.
Je suis tétanisée.
Que cette main sur mon sexe me brûle.
Cette main a des doigts qui écartent ma culotte et caresse ma fente.
Je me suis relevée, mais j’ai du mal à tenir debout.
Je m’accroche à Magalie comme si c’était une bouée de secours.
C’est ainsi que buvant ses lèvres un premier orgasme apporté par une femme me submerge.
J’ignore, comment elle a fait, mais pour elle aussi sa jupe se tirebouchonne autour de ses reins.
La différence, c’est que ma main trouve un sexe glabre sans culotte…