COLLECTION PUTE. Majeure à 21 ans et pute le même jour (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Majeure à 21 ans et pute le même jour (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Majeure à 21 ans et pute le même jour (1/1)
J’ai déjà expliqué pourquoi deux collections !
Escorte girl, milieu de la prostitution principalement par Internet ou des réseaux dans les années ressentent et putes qui travaillaient sous la coupe de Macs dans différents endroits de France, il y a plusieurs années.
C’est le cas de cette histoire.

- Bonjours mamy, excusez de vous déranger !
- Si vous m’aviez dérangée, ma porte serait restée close.
C’est pourquoi ?
Qu’avez-vous à vendre ?
Si c’est pour ça, passez votre chemin, j’ai de petits moyens.
- Non, nous venons vous parler de votre piscine !
- Ma piscine, ça fait plus de dix ans, quelle est dans cet état.
Elle fuyait de partout et Tony était devenu trop vieux pour pouvoir la remettre en l’état.
- Tony, tu te souviens, il nous entraînait en poussin quand nous avons commencé à jouer au football.
- Mon mari aimait les jeunes, surtout les jeunes filles dans ma jeunesse.
Mais asseyez-vous autour de cette table.
- Parlez-nous de cette époque, après guerre, vous avez connu les années 60 et plus particulièrement mai 68 !
- Si j’ai connu cette époque, je crains de garder une certaine distance avec ces moments de ma jeunesse.
Les ragots vont si vite à notre époque et ce serait difficile pour moi d’affronter le regard des gens à 72 ans.
- On vous promet de garder vos confidences pour nous.
Je m’appelle Henrique, papa est portugais et maman française, je fais une thèse sur ces années-là et votre expérience me serait très utile.
Vous avez fait grève dans cette période !

Mamy Odette part d’un grand éclat de rire.

- Grève, là où je travaillais, la grève s’était pour les autres, nous nous doublions notre chiffre d’affaires, les hommes ayant du temps.
Mais j’en dis trop, dans ces années-là, ma grande gueule m’a valu quelques déboires.
- Moi c’est Christophe.
- Je te reconnais, le fils du boucher !
Tu vas reprendre l’affaire de ton père.
- Non, je fais des études en vue de devenir vétérinaire, la viande, dans nos villages, se vend de moins en moins.
Entre les végétariens et les vieux sans dents, le métier de la viande est loin de nourrir son homme et encore moins une famille.
- Préjugé, regarde-moi, à mon âge, j’ai toutes mes dents et j’en suis fière.
- C’est certainement dû à la manière dont vous les avez entretenues.
- Si vous saviez, le principal dentifrice que nous les filles nous nous servions à Toulon quand j’ai débuté.
- Enlevez-moi d’un doute mamy, Toulon, le port, le quartier chaud et les putes qui baisaient avec les marins ?
- Je vais être franche, oui, une grande partie de ma vie, j’ai tapiné avec Tony mon mac dans la basse ville de Toulon.
- Le dentifrice, c’était le sperme des marins que vous sussiez !
- Tout à fait, mais pas que des marins, les ouvriers de l’arsenal.
Quand le stade de Mayol a été construit à quelques mètres de quartier de Chicago, nous doublions le nombre de nos clients.
C’est soir là avec Josette et Marie, nous finissions la nuit dans le resto du père Gaétan à quelques pas de l’endroit où nous avions chacune nos chambres ou nous recevions nos clients.
Vous me promettez de garder tout cela pour vous !
Avec Tony, quand les clients ont commencé à se faire rare, des filles plus jeunes venues de Marseille ratissaient tout, nous avons acheté cette maison dans le centre de la France.
- Et les deux autres filles ?
- Il les a vendus à un autre Mac, j’ai eu la chance, il avait le béguin pour moi.
- Vous touchez la retraite !

Mamy éclate de nouveau de rire.

- Maintenant à notre époque, les escortes payent des impôts.
La prostitution est autorisée, c’est le racolage qui est punissable.
À Toulon, nous étions dans la rue au bas de nos chambres et nous montions les escaliers chaque fois qu’un marin était en mal d’amour.
- Mamy, comment as-tu débuté de te prostituer ?
- À cette époque, nous étions majeures à 21 ans.
Les Macs le savaient et craignaient de tomber pour prostitution de mineure.
J’étais majorette et je participais au carnaval d’une grande ville.
Tony était venu faire son marché parmi nous.
J’étais grande et blonde et ses yeux d’Italien m’ont fait craquer.
Sa voiture de sport aussi, moi qui étais originaire d’un petit village de l’Ardèche.
- Il vous a séduite et mise dans son lit !
- Tu es bien indiscret, dans son lit oui, mais si la police avait débarqué il m’a laissé vierge.
C’est le matin de mais 21 ans que, pour la première fois il m’a fait l’amour.
Divinement, c’était un maître dans l’art de satisfaire les femmes.
Nous étions dans sa villa surplombant Toulon d’où je voyais toute la rade naturelle, la plus belle d’Europe avec ses bateaux de guerre.
Ce midi-là en mangeant sur la terrasse, j’ignorais encore que parmi ces navires de guerre, des centaines de sexes allaient entrer en moi pour gagner le pognon dont Tony avait besoin pour satisfaire ses goûts de luxe.
- Un vrai mac, mais comment as-tu eu ton premier client.
- Le soir même à la villa, un copain est venu le voir.
Un complice.
Je les ai vus parler tous les deux, le ton est devenu menaçant.
Il m’a demandé de venir dans la chambre.
Il m’a dit qu’il devait beaucoup d’argent et que moi seule était capable de le calmer.
Une femme amoureuse, un proxo et le tour était joué.
C’est dans le salon que le garçon m’a déshabillé et ma prise un peu violemment.
J’avais encore mal du dépucelage et mon vagin a plus saigné que le matin.
Quand il est parti, Tony m’a pris dans ses bras et m’a dit que le lendemain après-midi il m’emmènerait à Toulon et que j’allais pouvoir l’aider à rembourser sa dette.
- Et vous l’avez cru !
- L’amour pour une jeune femme ayant tout quitté, surtout ses parents qui ont perdu ma trace.
Rappelle-toi que j’avais 21 ans et que j’avais attendu le prince charmant dans un village du genre de celui-ci.
Nous sommes descendus sur le port dans sa voiture.
Il m’avait acheté une robe vichy très à la mode dans ces années-là.
Il s’est arrêté devant deux bars.
Chaque fois, des hommes en sont sortis et s’appuyant sur la portière mataient allègrement ma poitrine qui était fort belle.
J’étais fière du regard de ses garçons, moi la petite fille de l’une des fermes de mon village.
L’un d’eux a demandé à Tony si j’étais sa nouvelle conquête !
Il a rigolé et a redémarré jusque dans la basse ville.
Quand il s’est garé, c’était à côté de deux filles un peu vulgaire.
- Josette et Marie !
- Exact.
La levée des filles, c’était le travail de Tony avec sa belle gueule, sa belle voiture et sa belle villa.
Comment pomper des sexes sans monter dans les chambres afin de gagner du temps et des clients s’était derrière la porte de ce petit immeuble où il y avait des chambres, nos chambres ?
Chaque soir il passait ramasser ce que nous avions gagné avec nos fesses et nos bouches.
- Vous avez accepté sans vous rebeller.
- Marie l’a fait, il l’a emmené huit jours à Marseille faire ce qu’ils appelaient de abattage.
Un matelas crade dans une vieille pièce dans les quartiers ou résidait des hommes venus du Maghreb, nous étions en pleine guerre d’Algérie.
Les hommes venaient reconstruire la France quelques années après la fin de la 2e guerre mondiale.
Abattage, car ils se relayaient dans nos chattes simplement en s’essuyant après qu’ils aient éjaculé alors que le suivant se présentaient.
- Mamy, vous en parlez comme si vous y étiez passé !
- Deux fois, chaque fois que Tony avait l’impression que nous nous relâchions à convaincre nos clients que nos chambres et nos chattes étaient accueillantes.
La première fois, c’était après avoir chopé la grippe et que j’étais restée au fond de mon lit.
La deuxième, c’est que Tony a su que j’avais refusé les dollars de marins américains.
Souvent des bateaux étrangers relâchaient à Toulon, mais les marins étaient violents, plusieurs filles ayant dérouillé, dont Josette.
Vous vous rendez compte de tout ce que vous m’avez fait raconter, dans tout ça et cette piscine, pourquoi vous intéresse-t-elle ?
- Dans notre village, les distractions sont rares et si nous la remettons en état, nous pourrions venir, nous baigner cet été.
- Vous vous y connaissez !
- Serge est carreleur, il va nous guider pour la réparer.
L’eau, le maire est prêt à la payer, mais est dans l’impossibilité de nous construire une piscine.
- Eh bien, j’accepte, je vous rappelle, pas un mot de ce que je vous ai révélée !
- Si nous pouvons nous baigner, ce serait idiot de tout mettre par terre.

Voilà, dans les jours, qui ont suivi, moi Luis, j’ai puceau au moment où nous sommes venues la voir.
Elle m’a fait perdre mon pucelage.
Mamy savait encore y faire avec les hommes après les années d'expérience glanées à Toulon ou Marseille.
Je suis persuadé que Christophe et Serge aussi, mais nous savons garder ces moments pour nous dans notre village.
À la fin de l’été, mamy Odette est partie rejoindre Tony dans le cimetière, emportant avec elle son secret que nous avions bien gardé comme nous l’avions promis.
Ce que nous ignorions c’est que mamy Odette avait un fils qui était médecin à Paris.
La piscine, c’est à lui et sa famille qu’elle a servis lorsqu’ils viennent en vacances l’été.
En ce moment, je me baigne avec Aline que je vais épouser sitôt mes études terminées et que je pourrais subvenir aux besoins de ma femme et de mes enfants.
Aline est la petite-fille de mamy Odette qui m’a appris comment satisfaire une femme.
Tony en avait fait une femme sachant satisfaire les hommes, et c’est en la faisant jouir de plaisir que je rentre dans la famille de celle qui a eu le courage de nous raconter sa vie.
Je suis écrivain, je pense que dans quelque temps, j’écrirais la vie d’une jeune majorette qui a cru trouver l’amour dans les bras d’un bel Italien tout en cachant que cette jeune femme, s’était Mamy Odette.

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