COLLECTION PUTE. Mon épouse cette pute (1/2)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Mon épouse cette pute (1/2) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Mon épouse cette pute (1/2)
L’histoire que je vais vous conter est celle de notre couple.
Je me présente Chris 38 ans, marié à Alexandra dix ans de moins, sans enfants.

Alexandra a toujours refusé d’avoir des enfants depuis que nous nous sommes mariés.
Alexandra est très jolie du haut de ses 28 ans.
Du haut car elle mesure 1 mètre 80 et a postulé pour les Blue Belle.
Refusée, car sur l’un de ses seins tenant fièrement sur son buste, une tache de vin venait l’altérer.
C’est dans une soirée de charité de notre petite ville dont je tairai le nom que je l’ai rencontrée.
Célibataire endurci, mais soyons franc, Apollon et moi ça fait deux, je l’ai vue et je suis tout de suite tombé amoureux.
C’est ainsi qu’il y a deux ans elle m’a dit « oui » et que dans mes trois semaines légales suivantes, je l’ai déposé dans notre lit de noces.
Les premiers temps notre vie était normale.
Représentant pour une marque de vêtements masculins, je sillonnais la France pour lui offrir une vie d’oisiveté.
Je rentrais le vendredi et repartais le lundi dans la matinée.
Au fil du temps, j’ai vu mon intérieur changer.
Télé haute définition jusqu’à une petite Fiat 500.
Elle m’a dit qu’elle l’avait payée d’occasion.
Cette voiture j’aurais dû voir le problème quand je l’ai vu le samedi où elle était allée chez son esthéticienne se faire faire le tablier.
Qualité, prix, c’était impossible que quelqu’un ait vendu cette voiture dans ce parfait état.
Du temps de mon célibat j’ai eu quelques aventures d’un soir et j’ai toujours aimé les femmes épilées.
J’en ai parlé à Alexandra qui m’a persuadé qu’une blonde se devait de garder un triangle qu’il fallait entretenir chaque semaine.
En mari aimant, j’ai cédé comme j’ai cédé pour tous ses caprices tel son Yorkshire mâle déféquant sur mes tapis.
Au début, je rigolais quand elle disait.

• Bébé c’est mal ce que tu as fait, papa est là et va ramasser.

Elle se foutait de moi, mais pour avoir les faveurs de sa chatte, je m’exécutais.
Au bout d’un mois étant comme chez lui, quand je regardais la télé ou quand je lisais mon journal, ce salopard s'est mis à se frotter sur ma jambe.
Il se frottait si vite, que par deux fois j’ai reçu son sperme sur la jambe.

• Bébé, pourquoi as-tu fait ça, papa va devoir aller reprendre sa douche avant de venir dans notre lit.

Dans notre lit, car revenant un vendredi, je me suis vu imposer le clébard dans notre lit.
Quand nous faisons l’amour, ce qu’elle fait très bien, il me regardait coucher au pied du lit à se lécher le sexe.
Ça me faisait débander malgré la trique que j’avais d’avoir attendu une semaine de sauter ma femme.

• Bébé ferme tes yeux, papa baisse pavillon quand tu le regardes.

Je débandais aussi, car la plupart au fil du temps, prétextant une migraine elle refusait de baiser.
Ses périodes d’ovulation étaient de plus en plus rapprochées quand je revenais de ma tournée hebdomadaire.
Au début jusqu’à ce que je découvre ses turpitudes, je la croyais.

Un jour j’ai reçu un coup de fil de mon patron qu’un notaire essayait de me joindre et qu’il fallait que je le rappelle sur son portable.
J’étais à des kilomètres de son étude.
Mais quand-il me dit que ma tante, la sœur de ma mère, dont j’ignorais l’existence, était décédée, me laissant une immense fortune.
Je remonte du Sud où je me trouvais pour signer les papiers qu’il m’a préparé.

On est jeudi.
J’appelle Alexandra mais son portable est coupé.
J’arrive chez moi, une voiture est garée le long du trottoir près de la Fiat 500.
J’ignore à qui elle appartient.
Certainement un voisin qui s'est garé là, la rue étant à tout le monde.
J’ai pour habitude quand je reviens de passer par l’arrière du pavillon au sous-sol dans la buanderie pour déposer ma valise d’échantillonJ’y dépose mon sac de linge sale avant de monter vers le rez-de-chaussée.
Ce pavillon je l’ai hérité de mes parents décédés tous les deux.
Avec en plus une petite assurance-vie qui m’a permis de payer notre mariage et notre voyage de noces en Norvège terre des ancêtres de celle que j’aime.

Dimanche dernier, j’ai enfin exaucé le voeu de ma femme de graisser la porte palière qui faisait des bruits intempestifs.
Quand je la pousse des voix proviennent de notre chambre, celle qui avant leur mort était la chambre de mes parents.

• Allez, dépêche-toi, j’ai un autre client ce soir donne-moi mon pognon.
• 300 € madame, juste dans votre chatte.

Ma première réaction c’est de bondir et fiche dehors ce fumier qui veut se payer ma femme et mettre une torgnole à ma pute d’épouse.
Tout me revient en mémoire, la voiture, le chien, ses affaires toujours plus nombreuses.
Même son portable, toujours de la dernière génération, coûtant chaque fois 1 000 €.
Comment ai-je pu être aussi aveugle, certainement l’amour et la chance d’avoir une si belle femme ?
Alexandra pendant mes absences se prostitue et en plus dans notre lit conjugal, celui de mes parents.
À partir de là, je film avec mon propre portable.
J’assiste et je film la transaction financière quand 300 € sont dans sa main et qu’elle glisse dans ma propre table de nuit.
Elle enlève le peignoir que je lui ai offert se montrant dans sa blondeur naturelle.
Je comprends les frais d’entretien de sa chatte, c’était pour mieux aguicher ses clients plus que pour mon plaisir d’avoir une femme le vagin parfaitement entretenu.
Elle s’agenouille pour se mettre à sucer ce garçon d’une vingtaine d’années peut être vingt-cinq.
Devant mes yeux médusés, je vois la verge se tendre.
Elle se relève, s’allonge et d’une façon totalement impudique pour moi d’où je suis, elle se place sur le dos écartant ses cuisses me montrant son abricot blond.
C’est à ce moment que j’entends son putain de clébard se lever du bout du lit et regarder dans ma direction.
J’arrête de filmer, j’en ai assez pour protéger ma nouvelle fortune.
Au moment de la refermer, j’entends.

• Couché bébé, tu sais que maman se fâche quand je reçois un client, tu as dû entendre une souris dans la cave.

Je descends les marches et je sors, j’ai des achats à faire.
Dommage, tout de même j’aurais aimé avoir la preuve par l’image qu’elle se fait défoncer pour mon dossier de divorce car divorce il y aura.

En ville je sais où chercher ce dont j’ai besoin pour punir celle qui m’a pris pour un con se servant de la maison de mes parents pour vendre son cul à des fins mercantiles.

Je pars environ une heure, une autre voiture est garée devant chez moi quand je reviens.
Le client annoncé tout à l’heure par ma pute de femme est là.
J’entre de nouveau par l’arrière.
Je me souviens du roquet qui m’a découvert tout à l’heure et je prépare la dernière chose dont j’ai besoin pour me venger de cette salope.
Je monte mon phone en main ouvrant la porte.
Gagnée, elle est en pleine action et les mots qu’elle emploie vont me permettre de gagner mon divorce sans un sou pour elle.

• Aller, encule-moi, tu as payé 500 € que j’ai mis dans le tiroir de mon cocu de mari, enfonce-toi direct.

Je jubile, j’ai tout ce qu’il me faut.
Je vais pour m’élancer quand le chien se redressant alors qu’il assistait aux débauches de mon épouse se redresse.
J’entre et je suis dans ma chambre.

« Ciel mon mari. »
Elle le pense sans le dire à son regard.

• Pourri, tire-toi.

Le garçon d’une quarantaine d'années recule.
Pauvre homme au moment où il déchargeait des jets de sperme inonde le sexe de ma pute de femme.
Il saute du lit et prenant ses affaires sans attendre son reste, sort à poil.
J’ai un peu de compassion pour lui.
Je le vois mal revenir demander à la pute de lui rembourser ses 500 €, du sperme sortant de son anus.

• Debout, mets tes chaussures à talons hauts à semelles rouges.
On va aller se promener.
• Non.

La cravache que j’ai achetée dans un sex-shop de notre petite ville s’abat sur ses fesses avant qu’elle ait le temps de réagir.

• Debout, laisse-moi te mettre ce collier et t’attacher avec ta laisse.

Elle se lève se mettant à pleurer.
À ce collier, j’attache de chaque côté de son corps deux grandes pancartes en carton dégageant ses seins, sa chatte blonde et à l’arrière le cul qu’elle se faisait défoncer à mon arrivée.
Dessus au feutre noir, j’ai écrit :
« Je suis une pute, je suis à vous gratuitement appeler le 06. 00. 00 .. »
De plus, sur son front je trace ces quatre lettres "PUTE" et sur ses seins et son ventre les dix chiffres du portable que je suis allé acheter, avec la cravache que j’abats régulièrement sur son cul de pute, la faisant avancer et sortir dans la rue.
Nous remontons vers le centre-ville.
De nombreux badauds regardent notre attelage.

Pour recevoir ses clients elle se maquille, son Rimmel coule sur ses joues et sa poitrine.
Je vois des hommes sortir leur portable quand nous sommes passés encombrant la chaussée étant en plein milieu.
Les premiers coups de téléphone arrivent sur mon portable, il y a déjà des clients…

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