COLLECTION PUTE. Mon épouse cette pute (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION PUTE. Mon épouse cette pute (2/2)
L’histoire que je vais vous raconter est celle de notre couple.
Je me présente Chris 38 ans, marié à Alexandra dix ans de moins sans enfants.
Quand mon histoire commence je suis un représentant en vêtements féminins.
Je suis joint sur mon portable par un notaire m’annonçant que la sœur de ma mère étant décédée, je devenais extrêmement riche.
Je rentre plus tôt que prévu pour trouver Alexandra faisant la pute dans notre propre chambre qui était celle de mes parents.
300 la passe simple, 500 la sodomie, elle semble faire recette, car un premier client est là, vite remplacé par un suivant quand je reviens de la ville ou je suis allé acheter les objets de ma vengeance.
Cette pute les a sur son corps quand je descends la tenant en laisse l’offrant à la populasse, gratuitement en donnant un numéro à appeler marquer sur ses seins.
• Allo, vous avez appelé pour vous faire gratuitement ma pute, voici l’adresse, vous êtes le premier que j’ai sélectionné.
Soyez là à 20 heures.
Je suis de retour avec Alexandra que j’ai enfermée dans la chambre en attendant un gars choisi au hasard dans les dizaines de numéros reçus.
Elle avait une boîte de capotes que je lui supprime, je veux qu’elle prenne des risques maximums.
Ça sonne, je vais ouvrir.
• Entrez.
• C’est vrai cette belle femme, je peux la baiser gratuitement !
• Belle, mais pute, voici la clef, si elle se refuse, appelez, j’ai une bonne cravache pour la ramener à ce qu’elle est une salope qui m’a trahi.
• On peut lui faire ce que l’on veut sans tabou.
Il entre, j’entends le chien aboyer, il doit défendre sa maîtresse puis les aboiements semblent plus lointains.
Elle a dû l’enfermer dans la salle de bains.
Une demi-heure et il ressort.
• Merci, elle est bonne.
• Circulez, un autre client va arriver.
J’ai appelé le numéro suivant qui sera là à 21 heures.
J’entre dans la chambre, elle est couchée en chien de fusil pleurant.
• Chris je t’en supplie, j’ai fait une bêtise, j’ai compris la leçon, je le ferai plus.
• Va te laver la chatte, le deuxième arrive dans cinq minutes et ainsi de suite.
Elle se lève, dans sa splendide nudité.
Sur son corps mes inscriptions sont toujours visibles.
Quand elle ouvre la porte, le chien vient essayer de me mordre les molets.
J’ai joué au foot, il fait un très bon ballon et part se sauver sous le lit.
Ça sonne.
• Alexandra, vient ici la fête continue.
C’est le cinquième client celui de minuit qui entre et qui ressort me tendant la clef.
Je regarde un polar à la télé.
• Ta pute, il faut la baiser sans capote, très peu pour moi, je laisse ma place.
• Salut.
Même la nuit jusqu’au lendemain je trouve des clients prêts à venir sauter ma salope.
Le dernier part à midi, pour ramasser, elle a ramassé.
Dans la matinée, j’ai téléphoné à l’avocat que mon père avait pris quand il avait eu un conflit avec son voisin et qu’il avait gagné.
De plus, je jouais dans la même équipe sans avoir gardé des liens, mais grâce à mon phone j’arrive à le joindre.
• Je serai chez toi à 14 heures.
Il est là, je lui donne les deux vidéos très explicites, car l’une complète l’autre.
• Je peux préparer une procédure de divorce, tu es sûr de gagner sans le moindre risque de perte.
Mais dit moi, où est ta femme.
• Quand elle a vu que je l’avais filmée, elle a abandonné le domicile conjugal.
Inutile de lui parler de la fortune que je vais toucher, il augmenterait ce qu’il me demande pour me défendre.
Une petite peur, Alexandra doit récupérer des coups de bites ramassés.
Il part sans qu’elle se soit manifestée.
16 heures, j’entre dans sa chambre.
Elle dort.
Même sa crevure sortant sa tête de dessous le lit en aboyant et en rentrant dès que je montre mon pied la laisse sans réaction.
J’ai récupéré mon sac de sport qui me sert quand je pars pour la semaine.
Je mets dedans des fringues le remplissant oubliant volontairement ses petites culottes.
On peut croire que je suis fétichiste, mais non une pute doit être prête à se faire mettre.
Une fois fait, je la secoue.
Je me suis approché et le clébard vient mordre mon bas du pantalon.
• Habille-toi, prend ton chien cette petite saloperie ainsi que tes clefs de bagnole et tire-toi.
Voici l’adresse de mon avocat, contacte-le, en vue de notre divorce.
J’ai préparé sur mon bureau une feuille, tu écris que tu m’as trompé et que tu refuses toute demande de pension ou autre sur mes biens.
Elle écrit, il faut dire que j’ai récupéré ma cravache et comme une menace, je la promène sur sa joue.
Quand elle est allée au bureau, j’ai vu son cul, j’y suis allé fort dans la rue, elles sont zébrées de marques bien rouges.
Une idée me vient, je prends mon portefeuille.
• Place tes seins sur la table, à oui, tu aimes le fric.
Lors de ma tournée, le patron d’une boutique m’a payé avec un billet de 500 sur une commande de 460.
Bien sûr, inutile de lui rendre la monnaie, je venais de blanchir cet argent.
Je lui mets dans la main.
• Tient pour ce prix, je vais pouvoir t’enculer, c’est le bon tarif.
Dire, que tu m’as toujours refusé ce plaisir.
Le billet dans sa main, je mouille mes doigts afin de préparer le terrain.
J’ai ma cravache en main et elle est appuyée sur sa nuque.
• Ma salope, tu me refusais ton cul, mais pas à tes clients, je suis entré comme dans un hall de gare, ils doivent souvent te payer pour te sodomiser.
Tiens, tiens, tiens.
De grands coups de bite, espérant la faire jouir, mais ce sont des larmes qui tombent sur la table de la salle à manger où nous nous trouvons.
Ça me gâche mon plaisir, mais je prends mon pied sans décharger voulant l’humilier autant que je l’ai été quand j’ai vu que j’avais épousé une pute.
Voilà, elle est partie après avoir signé.
Je suis allée sur la tombe de tantine, sans savoir pourquoi mes parents m’avaient caché son existence.
Je veux savoir, j’ai touché son pognon bien à moi.
Je rencontre un détective pour qu’il enquête.
Je reçois son rapport ayant fait suivre mon courrier, sur une île paradisiaque.
Je suis installé à l’ombre d’un parasol un cocktail au rhum et orange dans ma main.
Une petite black me suce la queue, un billet de 20 € dans sa main.
Elle en demandait 10, mais je suis généreux.
Je déchire l’enveloppe.
« Monsieur, j’ai enquêté et, j’ai pu apprendre par plusieurs sources concordantes que votre tante se prostituait dans la ville de Toulon.
Elle travaillait dans un bar du quartier de Chicago fréquenté par les marins.
Lorsqu’elle a quitté ce métier, elle est venue dans ce petit village où elle est enterrée et a fait fructifier son argent.
Vous trouverez ma feuille d’honoraires d’un montant de 2 500 € payable en liquide si vous le désirez.
Recevez... »
Formule de politesse, encore de l’argent que ce détective va blanchir.
Je m’en fiche, les impôts ont été payés légalement me permettant de me faire bronzer le temps que je le désire.
Quand une petite métisse s’approche de moi me proposant de me sucer, je prends conscience que ma vie aura été entourée d’un grand nombre de putes.
Je lui donne tout de même 10 €, même si je viens de me vider les couilles.
Avec ma fortune, je vais pouvoir m’en payer jusqu’à la fin de mon existence sans pour autant me remarier.
Quoiqu’un jour voulant une succession, j’en sortirai une du caniveau.
Pourquoi pas Alexandra, elle ou une autre peu importe ?
Je me présente Chris 38 ans, marié à Alexandra dix ans de moins sans enfants.
Quand mon histoire commence je suis un représentant en vêtements féminins.
Je suis joint sur mon portable par un notaire m’annonçant que la sœur de ma mère étant décédée, je devenais extrêmement riche.
Je rentre plus tôt que prévu pour trouver Alexandra faisant la pute dans notre propre chambre qui était celle de mes parents.
300 la passe simple, 500 la sodomie, elle semble faire recette, car un premier client est là, vite remplacé par un suivant quand je reviens de la ville ou je suis allé acheter les objets de ma vengeance.
Cette pute les a sur son corps quand je descends la tenant en laisse l’offrant à la populasse, gratuitement en donnant un numéro à appeler marquer sur ses seins.
• Allo, vous avez appelé pour vous faire gratuitement ma pute, voici l’adresse, vous êtes le premier que j’ai sélectionné.
Soyez là à 20 heures.
Je suis de retour avec Alexandra que j’ai enfermée dans la chambre en attendant un gars choisi au hasard dans les dizaines de numéros reçus.
Elle avait une boîte de capotes que je lui supprime, je veux qu’elle prenne des risques maximums.
Ça sonne, je vais ouvrir.
• Entrez.
• C’est vrai cette belle femme, je peux la baiser gratuitement !
• Belle, mais pute, voici la clef, si elle se refuse, appelez, j’ai une bonne cravache pour la ramener à ce qu’elle est une salope qui m’a trahi.
• On peut lui faire ce que l’on veut sans tabou.
Il entre, j’entends le chien aboyer, il doit défendre sa maîtresse puis les aboiements semblent plus lointains.
Elle a dû l’enfermer dans la salle de bains.
Une demi-heure et il ressort.
• Merci, elle est bonne.
• Circulez, un autre client va arriver.
J’ai appelé le numéro suivant qui sera là à 21 heures.
J’entre dans la chambre, elle est couchée en chien de fusil pleurant.
• Chris je t’en supplie, j’ai fait une bêtise, j’ai compris la leçon, je le ferai plus.
• Va te laver la chatte, le deuxième arrive dans cinq minutes et ainsi de suite.
Elle se lève, dans sa splendide nudité.
Sur son corps mes inscriptions sont toujours visibles.
Quand elle ouvre la porte, le chien vient essayer de me mordre les molets.
J’ai joué au foot, il fait un très bon ballon et part se sauver sous le lit.
Ça sonne.
• Alexandra, vient ici la fête continue.
C’est le cinquième client celui de minuit qui entre et qui ressort me tendant la clef.
Je regarde un polar à la télé.
• Ta pute, il faut la baiser sans capote, très peu pour moi, je laisse ma place.
• Salut.
Même la nuit jusqu’au lendemain je trouve des clients prêts à venir sauter ma salope.
Le dernier part à midi, pour ramasser, elle a ramassé.
Dans la matinée, j’ai téléphoné à l’avocat que mon père avait pris quand il avait eu un conflit avec son voisin et qu’il avait gagné.
De plus, je jouais dans la même équipe sans avoir gardé des liens, mais grâce à mon phone j’arrive à le joindre.
• Je serai chez toi à 14 heures.
Il est là, je lui donne les deux vidéos très explicites, car l’une complète l’autre.
• Je peux préparer une procédure de divorce, tu es sûr de gagner sans le moindre risque de perte.
Mais dit moi, où est ta femme.
• Quand elle a vu que je l’avais filmée, elle a abandonné le domicile conjugal.
Inutile de lui parler de la fortune que je vais toucher, il augmenterait ce qu’il me demande pour me défendre.
Une petite peur, Alexandra doit récupérer des coups de bites ramassés.
Il part sans qu’elle se soit manifestée.
16 heures, j’entre dans sa chambre.
Elle dort.
Même sa crevure sortant sa tête de dessous le lit en aboyant et en rentrant dès que je montre mon pied la laisse sans réaction.
J’ai récupéré mon sac de sport qui me sert quand je pars pour la semaine.
Je mets dedans des fringues le remplissant oubliant volontairement ses petites culottes.
On peut croire que je suis fétichiste, mais non une pute doit être prête à se faire mettre.
Une fois fait, je la secoue.
Je me suis approché et le clébard vient mordre mon bas du pantalon.
• Habille-toi, prend ton chien cette petite saloperie ainsi que tes clefs de bagnole et tire-toi.
Voici l’adresse de mon avocat, contacte-le, en vue de notre divorce.
J’ai préparé sur mon bureau une feuille, tu écris que tu m’as trompé et que tu refuses toute demande de pension ou autre sur mes biens.
Elle écrit, il faut dire que j’ai récupéré ma cravache et comme une menace, je la promène sur sa joue.
Quand elle est allée au bureau, j’ai vu son cul, j’y suis allé fort dans la rue, elles sont zébrées de marques bien rouges.
Une idée me vient, je prends mon portefeuille.
• Place tes seins sur la table, à oui, tu aimes le fric.
Lors de ma tournée, le patron d’une boutique m’a payé avec un billet de 500 sur une commande de 460.
Bien sûr, inutile de lui rendre la monnaie, je venais de blanchir cet argent.
Je lui mets dans la main.
• Tient pour ce prix, je vais pouvoir t’enculer, c’est le bon tarif.
Dire, que tu m’as toujours refusé ce plaisir.
Le billet dans sa main, je mouille mes doigts afin de préparer le terrain.
J’ai ma cravache en main et elle est appuyée sur sa nuque.
• Ma salope, tu me refusais ton cul, mais pas à tes clients, je suis entré comme dans un hall de gare, ils doivent souvent te payer pour te sodomiser.
Tiens, tiens, tiens.
De grands coups de bite, espérant la faire jouir, mais ce sont des larmes qui tombent sur la table de la salle à manger où nous nous trouvons.
Ça me gâche mon plaisir, mais je prends mon pied sans décharger voulant l’humilier autant que je l’ai été quand j’ai vu que j’avais épousé une pute.
Voilà, elle est partie après avoir signé.
Je suis allée sur la tombe de tantine, sans savoir pourquoi mes parents m’avaient caché son existence.
Je veux savoir, j’ai touché son pognon bien à moi.
Je rencontre un détective pour qu’il enquête.
Je reçois son rapport ayant fait suivre mon courrier, sur une île paradisiaque.
Je suis installé à l’ombre d’un parasol un cocktail au rhum et orange dans ma main.
Une petite black me suce la queue, un billet de 20 € dans sa main.
Elle en demandait 10, mais je suis généreux.
Je déchire l’enveloppe.
« Monsieur, j’ai enquêté et, j’ai pu apprendre par plusieurs sources concordantes que votre tante se prostituait dans la ville de Toulon.
Elle travaillait dans un bar du quartier de Chicago fréquenté par les marins.
Lorsqu’elle a quitté ce métier, elle est venue dans ce petit village où elle est enterrée et a fait fructifier son argent.
Vous trouverez ma feuille d’honoraires d’un montant de 2 500 € payable en liquide si vous le désirez.
Recevez... »
Formule de politesse, encore de l’argent que ce détective va blanchir.
Je m’en fiche, les impôts ont été payés légalement me permettant de me faire bronzer le temps que je le désire.
Quand une petite métisse s’approche de moi me proposant de me sucer, je prends conscience que ma vie aura été entourée d’un grand nombre de putes.
Je lui donne tout de même 10 €, même si je viens de me vider les couilles.
Avec ma fortune, je vais pouvoir m’en payer jusqu’à la fin de mon existence sans pour autant me remarier.
Quoiqu’un jour voulant une succession, j’en sortirai une du caniveau.
Pourquoi pas Alexandra, elle ou une autre peu importe ?
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