COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (5/5)
« Pute un jour, pute toujours. »
Ça aurait ou être le titre de mon histoire, mais Chris71 a choisi « Perverse jusqu’à me prostituer. »
De la perversité, il en faut pour vendre son cul puisque j’ai appris à me faire sodomiser par les clients que July me présente depuis quelques mois.
Vous savez comment tout cela a commencé au fil des quatre premiers chapitres qu’il a déjà écrits suite aux confidences que je lui ai faites.
Je pourrais vous en dire plus sur Chris71 à qui j’ai confié tous mes secrets après que je lui ai vidé les couilles, lui aussi adore me sodomiser.
Mais revenons à mon histoire, Chris71 c’est une histoire parallèle.

Deux choses à en dire.
Mon mari Romuald se fait régulièrement des putes à ce qu’il a dit à mon amie.
Ça pourrait passer, j’en suis une aussi.
La deuxième chose, c’est Bernard, le soi disant ami de Romuald.
Chaque fois que j’ouvre la porte, je regarde si le client m’est connu.
Se Bernard, j’ignorais qu’il était un client de July, 80 % sinon plus, je suis absente lorsqu’elle reçoit ses clients, voire plus et Bernard, j’en connais un.
C’est mon frère, mon petit frère chéri qui lui aussi va aux putes, mais lui il est célibataire, il a le droit de vivre sa vie, même avec des professionnelles.

Je profite de ce que July a entrainé Romuald, mon mari dans sa chambre pour se faire sodomiser pour rejoindre la chambre qu’elle me prête pour profiter des charmes de la prostitution.
Je me change rapidement redevenant une femme honorable aux yeux des autres propriétaires si par malheur j’en croise un.
Je sors de l’appartement quand je me retrouve nez à nez avec un grand garçon l’air un peu con.

• Je viens voir July, j’ai 50 € pour elle !

À la voix je reconnais Sylvain, le jeune puceau dont July se moque amicalement chaque fois qu’il vient se faire sucer.
Je vois là un moyen de me venger de ce que je viens d’entendre.
J’ai du mal à digérer qu’il fasse reposer sur moi le semi-fiasco de notre couple sur le plan sexuel.
Certes, j’ai trahi notre contrat lors de notre mariage en me prostituant, mais s’il me l’avait demandé gentiment je me serais certainement laissé sodomiser.
Il est vrai qu’une nuit alors qu’il venait de me prendre, sa bite a glissé et est venue taper mon anus.
J’ai eu un geste de surprise et ma main a tapé sa joue.
Il a passé sa main entre nous et a retrouvé le chemin classique.
Peut-être le lendemain, ai-je oublié de lui en reparler, mais Sandrine ma fille venait de se lever et il était difficile de parler cul devant elle.
En prononçant le mot « cul », je constate la distance que j’ai franchie après ma rencontre avec July.
Mon éducation a fait que ce genre de vocabulaire était banni aussi bien chez mes parents que chez mon mari.
Depuis que je vends mon corps, bite, chatte, verge, pieu est entré dans mon vocabulaire sans oublier la sodomie source de plaisir incommensurable depuis que Jacques m’y a fait goûter.

• July est dans l’impossibilité de s’occuper de toi, pourtant elle t’a dit d’appeler lorsque tu avais assez d’argent pour venir la voir.
• Oui, je sais, je voudrais lui donner les 200 € qu’elle veut pour que nous fassions l’amour, mais dès que j’ai de quoi me faire faire une fellation, je sens impérativement l’envie de venir la voir.

Je connais un peu Sylvain, il vient régulièrement voir July et elle s’amuse de son impatiente à se faire soulager, il est accro à se faire vider les couilles.
La dernière fois qu’il est venu, comme aujourd’hui, sans prévenir, elle m’a dit qu’elle lui ôterait son pucelage même pour 50 € lors de son prochain passage.
« Pute un jour, pute toujours... »
J’ai entendu dire que dépuceler un garçon porte bonheur, deux choix s’offrent à moi.
Soit faire monter Sylvain jusque chez moi et me faire baiser en attendant Romuald après qu’il est fait ses petites affaires.
Soit deuxième solution que j’emploie, me faire baiser dans la chambre à deux pas de celle où mon mari sodomise July.
La première solution fait éclater rapidement une histoire de simple cocufiage entre moi et Romuald.
La deuxième me permet le même cocufiage, mais avec la garantie de continuer à venir faire la pute, il me suffira de bien faire attention à regarder par l’œilleton avant de faire entrer un client.
Je prends Sylvain par la main, « pute un jour, pute toujours » et je le dirige vers la chambre que je viens de quitter.

• Toi aussi tu suces les garçons !

Drôle ce jeune garçon bâtit comme un athlète, mais semblant avoir un pois chiche dans le cerveau.

• Oui, je travaille avec Judy.
Déshabille-toi comme moi je le fais, remets ton argent dans ta poche, je vais t’enlever ton pucelage, si tu le veux, il va de soi.

J’ai rarement vu un homme se déshabiller aussi vite en laissant tomber ses affaires au sol.
July me parle souvent de Sylvain, la dernière fois, je l’ai dit, c’est pour me dire qu’elle allait baiser avec lui gratuitement, je comprends pourquoi.
Sylvain m’en montre un genre taureau, longue, longue, longue, immédiatement elle me fait envie.
C’est la plus belle que j’ai vu depuis que j’en vois fréquemment en ma prostituant.

• Elle est propre, maman me l’a lavée ce matin en me donnant mon bain.

Quel âge à Sylvain, dix-huit, dix-neuf ans, sûr il est majeur, July connaît les règles et les lois sur les mineurs.
De plus, au moment où simplement en la regardant elle commence à bander, je me vois mal lui demander sa carte d’identité.
Je m’approche, un instant je vois passer devant mes yeux une main plongée dans l’eau savonnant ce pieu.
Certes, je donne encore son bain à Sandrine, lui lavant ses parties intimes.
Je me vois mal continuer à le faire lorsqu’elle aura son âge.
July, lorsque nous prenons notre bain après nous êtres caressés ou frottés nos clitoris, il nous arrive soit elle soit moi de lui passer le savon sur nos chattes, mais c’est par jeux érotiques surtout si l’un de ses clients y est allé un peu fort.
Je chasse cette image, inutile que Sylvain m’en dise plus, ça risquerait de me perturber.
Pendant que Romuald doit être en train d’en prendre pour son argent à quelques mètres de nous, je veux profiter à fond du morceau qu’il m’est offert.

• Tu sais que tu as la plus belle queue qu’il m’ait été de connaitre et pourtant depuis quelque temps j’en ai vu un grand nombre.

Je m’agenouille, je finis de lui faire tendre sa verge avec ma bouche avant de me relever et de l’entraîner vers le lit qui m’a vu de nombreuses fois me faire baiser pour mon plus grand plaisir.
Je suis une pute et comme toute pute qui reçoit son client, j’écarte mes cuisses pour que Sylvain devienne un homme, mais surtout mon amant.
Le plaisir qu’il m’apporte en perdant son pucelage dépasse de loin tout ce que j’ai ressenti dans les bras d’autres hommes.

La suite de mon aventure va bouleverser ma vie, si de me prostituer, je l’avais déjà bien bouleversée.
J’ai énormément joui avec Sylvain jusqu’à ce qu’il décharge pour la première fois en moi et au fond de la chatte d’une femme me l’attachant à jamais.
Certes, j’ai eu quelque temps des clients qui ont continué à me payer pour me baiser.
Deux fois, j’ai vu par l’œilleton Romuald venir enculer July, j’en ai profité pour faire d’autres petits films pour avoir le plus de biscuits surtout après les nombreuses visites de Bernard, mon frère auprès de mon amie.

• J’ai vu ton frère, il est amoureux et il veut nous présenter sa fiancée.
Tu seras étonnée lorsque tu la rencontreras, ça sera une surprise pour toi.

Je me doute de la surprise, quand July me parle de la demande de mon frère qui lui a demandé de vivre avec elle et qu’elle a accepté ou va se ficher l’amour.
Le repas arrive, bien sûr, nous faisons les étonnés que mon frère soit en couple avec une habitante de notre immeuble.
Pour ce repas un peu étrange, les enfants sont chez les grands-parents des uns et des autres.
C’est après leur départ que je fais mon petit effet en sortant mon portable.

• Romuald, je demande le divorce, regarde ce que j’ai filmé alors que j’étais venue chez mon amie boire le café.

Je lui fais défiler les images, lui avouant que je savais que July se prostituait sans savoir que mon propre mari allait aux putes.
Il faut être pute pour lui faire ce coup-là, mais je m’en fiche, en se mariant avec mon frère, July a libéré l’espace où je revivais avec mes propres clients.
Je veux retrouver la femme que j’étais, mais sans celui qui a trahi ma confiance alors qu’il aurait pu me faire connaitre ses fantasmes développant les miens.
« Pute un jour, pute toujours. »
Je sais, les mauvaises langues diront que c’est un coup de pute que je lui fais lorsqu’il cède son entreprise pour payer ce qu’il a perdu lors du divorce.
Une seule personne aurait pu l’aider, July en lui disant que moi aussi je vendais mon cul, mais c’est la femme de mon frère et toujours ma meilleure amie.

Afin d’éviter de traumatiser Sandrine, j’ai gardé notre appartement, je pourrais continuer à faire la pute, mais j’ai décroché de ce côté-là.
Un autre homme, oui et non un homme qui me satisfait intégralement et que j’ai façonné à ma façon remplit ma vie.
Il habite chez maman et il rapplique comme un toutou chaque fois que j’aboie dans le téléphone que je lui ai offert.
Je lui ai appris que sa queue lui appartenait et que sa maman avait interdiction de lui toucher en la lavant.
Il rapplique et il me fait l’amour comme j’aime qu’on me le fasse depuis que je suis ouverte au sexe.
Un homme donc, un peu simplet, certes, mais monté comme un taureau et sachant me faire jouir chaque fois qu’il me prend.
Une femme, oui, July avec qui je travaille dans notre boutique de chaussures que nous avons achetées ensemble avec l’argent que j’ai amassé en me prostituant.
Cet argent que je rangeais comble du hasard dans une boîte à chaussures au fond de mon armoire.
De beaux billets de 50, 100 et 200 € bien classés et rangés au fond de cette boîte.
Dans notre boutique, nous avons une salle pour boire le café, nous y avons installé une banquette ou lorsque nous fermons le midi au lieu de rentrer, nous restons sur place.
J’aime la bite de Sylvain, July aime la verge de Bernard, mais nous aimons aussi nos chattes.
July, au fil du temps, a un regret, je suis la seule à baiser avec mon taureau Sylvain.
J’attends encore un peu que le fruit soit bien mûr et je pense que nous allons le cueillir chez moi lorsque j’organiserais une rencontre en trio.
Sylvain a assez de ressource pour satisfaire deux salopes comme nous.
« Pute un jour, pute toujours. »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Merci Chris pour ces histoires toujours aussi bandantes....
C'est un vrai plaisir de te lire
Cyrille

Cher lecteurs, je crois que j'écris des textes rarement identiques...
J'ai écris des histoires ou les femmes perdes...

Histoire Erotique
Faudrait l’être aussi amoureux des belles stories car les vôtres tournent en rond avec tjrs les mêmes clichés! Dommage

C'est normal, je suis amoureux des femmes...

Histoire Erotique
La femme est trop nul comme ds toute les histoires les femmes gagnent si vous pouviez changer un peu???
Cela reste une belle histoire



Texte coquin : COLLECTION PUTE. Perverse jusqu’à me prostituer (5/5)
Histoire sexe : Une rose rouge
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