COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Rêve ou réalité (1/1)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION RÊVE ET RÉALITÉ. Rêve ou réalité (1/1)
• Chéri, ralenti sur cette route enneigée, à la vitesse où tu roules, j’ai très peur que nous ayons un accident.
• Catherine, j’ai fait des rallyes sur route verglacés, je métrise la voiture, ce n’est pas quelques flocons qui vont m’impressionner.
Nous sommes partis de Mâcon à 17 heures après le travail de Charles et nous nous rendons pour le réveillon de Noël chez mon frère au-dessus d’Annecy ou nous allons passer trois jours.
Ce 24 décembre, ce matin étant moi-même de repos, j’ai préparé les affaires, les trois enfants Claude, Claudine et Christian 8, 7 et 5 ans.
Nous avons réussi à faire une pause d’un an entre la deuxième et le troisième.
Certains dans la famille diront que ce dernier, non voulu à la base c’est le même soir de réveillon 6 ans plus tôt, que nous l’avons conçu.
Il est vrai que j’avais un peu, beaucoup bu de blanc de Savoie avec l’inévitable raclette, chaque année nous avons remplacé la dinde trop sèche par de la cochonaille de pays.
En entrée, petit four varié avec un pétillant des Bauges rosés, donc raclette, pas de fromage, la raclette faisant fonction et pétillant brut encore des Bauges.
Nicolas mon beau-frère était copain avec un vigneron du cru, la buche de Noël ma spécialité que je leur confectionne chaque année.
J’ai terminé celle pour ce soir avant que Charles passe nous chercher et que nous prenions l’autoroute aux mille viaducs surplombant Nantua, berceau de la sauce du même nom.
C’est après avoir passé Annecy en montant vers le massif du Semno que nous avons fini dans un arbre, à trois kilomètres du chalet de Nicolas et de Séverine son épouse.
Je venais de me détacher pour placer un sac à beurk sous la bouche de Claudine, c’est comme cela que dans la famille nous disons lorsque l’estomac de l’un d’eux est impossible de retenir ce qu’ils ont ingurgité.
Résultat, un sapin couché, une voiture avec l’avant hors d’usage et sac à beurk disséminé dans l’habitat.
De mon côté, ma tête a tapé le tableau de bord puis a été renvoyée sur le côté sur le chambranle de la porte avant que les air-bags se déclenchent et que je finisse dans un mur blanc.
Je serais un boxeur, on dirait Ko technique, pendant quelques secondes.
• Allo, Nicolas, j’ai fait une connerie, la buche sera immangeable ce soir, nous avons tapé un arbre et la voiture devra passer chez le carrossier.
Peux-tu venir nous chercher, nous sommes à la croix Sarazin.
Charles a-t-il réellement parlé de la buche, certes immangeable collée dans le coffre de notre voiture au milieu des valises et de certains cadeaux de Noël.
À cinq même dans une berline spacieuse, ils nous prendraient trop de place et c’est ma belle-soeur Séverine qui s’occupe d’acheter à Annecy sur mes directives le cadeau pour chacun d’entre nous.
Quatre adultes, on peut dire cinq, car Nicolas et Séverine ont eu mon filleul Luc qui au fil du temps vient de fêter ses dix-sept ans.
Trois autres enfants Laurent, 12 ans, Lionel 10 ans et Léon le petit dernier deux ans.
À la différence de nous, Léon était voulu.
Nicolas souhaitant impérativement une fille a réussi à convaincre Séverine qu’à quarante ans, il était toujours possible d’enfanter.
Luc est en école de ski, certains disent que c’est une jeune valeur sur de l’équipe de France de biathlon emmené par Simon Fourcade le frère de Martin.
Nous venons chez mon beau-frère, l’été pour le Martin Fourcade Nordic Festival.
Ce festival est une course de ski à roulettes autour du lac et l’hiver comme aujourd’hui pour Noël avant de repartir chacun dans des lieux différents pour le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre.
Pour notre part, Charles remet les clés de son garage à Roland son adjoint.
Maman, Corinne de son prénom, veuve depuis cinq ans vient chez nous garder les trois enfants.
Et nous allons prendre l’avion à Saint-Exupérie, pardon à Lyon pour des îles lointaines et une semaine les doigts de pieds en éventaille, moment où je peux souffler un peu.
Un garage, trois enfants dont deux garçons intenables, bref des garçons et une maison individuelle non loin de la roche de Solutré cher à notre ancien président et on comprend que j’ai besoin d’un grand moment de décompression.
À oui, j’oubliais, Pâques, c’est Nicolas et Séverine qui débarque avec leurs quatre garçons pour une semaine dans les vignes mâconnaises jusqu’à la côte chalonnaise.
Alcoolique, non, amateur de bon vin, il y a quelques années dans notre jeunesse sans tous ces enfants, c’était le troisième jeudi de novembre le beaujolais nouveau.
C’est le départ de Charles et Séverine reprenant une concession à la sortie d’Annecy, qui nous a obligé de gouter le beaujolais nouveau à distance.
Tous ces voyages, toutes ces naissances ont fait qu’il fallait faire des choix et comme ce vin avait ses pour et ses contre, l’été, à Noël et à Pâques, nous sommes une famille très unis.
• T’as encore joué les Fangio, je suis sûr que Catherine devait te dire de ralentir, merde, il y a du beurk partout.
Monter dans ma voiture, vous allez-vous serrer, la tienne frangin, ne risque plus rien jusqu’à demain.
Hamed, mon chef mécanicien va venir la remorquer jusqu’à ma concession et après-demain, ils se mettront au travail.
Demain nous appelleront ton assurance, ça va te couter un beau malus, mais on va s’arranger, tu connais le boulot et nos combines.
Ta voiture, je te la ferais livrer et pour repartir je vais te confier une de mes voitures de complaisance.
J’ai un ancien transport d’enfants de neuf personnes que j’ai fait remettre en état, vous aurez toute la place voulue.
Ça va belle-sœur, veux-tu que je te conduise aux urgences ?
Si j’ai bien compris, ta tête a dû faire boomerang à deux endroits de la voiture.
• Un peu dans le coltar, mais ça va aller, j’ai peu d’envie d’attendre des heures aux urgences, pour qu’ils me disent de prendre du Dolipran.
J’en ai dans mon sac qui était à mes pieds lorsque mon couillon de mari, c’est cru revenu vingt ans plus tôt lorsqu’il courait le Monte-Carlo avec toi comme co-pilote.
Voilà comment nous arrivons à destination.
Il était prévu que nous nous douchions, même sans l’accident, mais là le beurk nous oblige à nous laver et faire disparaitre l’odeur très désagréable, Séverine récupérant nos affaires pour les mettre directement dans sa machine à laver.
Une fois prêts, nous pouvons passer à table, toutes ces péripéties nous ont mis en retard, surtout que dans l’accident nous avons perdu la buche de Noël.
• Luc, c’est incroyable en un an, tu es devenu un homme, nous ne t’avions pas vue depuis Noël dernier.
Regarde, tu me dépasses de près d’une tête.
• Et toi Catherine, les années ne semblant pas avoir de poids sur toi, tu es de plus en plus belle.
Minuit passé, nous rejoignons nos chambres, par tradition les cadeaux seront ouverts demain matin le père Noël descendant par la cheminée au petit matin.
Les garçons de Nicolas et Séverine sont en âge de savoir que le père Noël, ces bidons.
Mais la venue de Léon a relancé l’ouverture du matin, surtout qu’il dort sur le canapé devant la cheminée allumée.
Comme tous les enfants, il voulait voir le père Noël, mais ses yeux vont l’en empêché, comme ils empêchent tous les petits enfants à le voir.
Trop crevé et la tête encore sonnée, c’est du sommeil dit du juste que je pars dans les bras de Morphé, plutôt ceux de Charles.
• Catherine, viens avec moi, prenons le téléphérique pour monter au sommet.
Tu es la seule à pouvoir me suivre, les autres prendront les tires fesses.
Luc plein de dynamisme me montre l’homme qu’il est sachant prendre des décisions.
J’ignorais que j’étais si bonne en ski, dans le téléphérique qu’ils ont dû installer cet été, à ce jour j’ai toujours pris le télésiège, Luc se colle à moi.
Je devrais le repousser, mais c’est moi qui plaque mon fessier contre sa bite, qui sous la combinaison prend rapidement de l’ampleur.
Nous sommes seuls dans la télécabine, mais cela me permet de pouvoir me frotter à mon filleul, comme une vraie salope.
Au sommet nous récupérons nos skis et nous lançons dans une descente vertigineuse.
D’un coup sur un de mes plantés de bâton, ma cheville me fait mal.
Nous arrivons au refuge des « trois vallées, » c’est marqué sur la porte, il est vide, je défais ma combinaison et Luc la sienne.
Je suis simplement en sous-vêtements et Luc en boxer, ma montrant la belle bosse que sa bite forme.
Il me masse le pied, je n’y tiens plus, ma main part vers son boxer et je lui sors la bite.
Elle est belle, massive pour un garçon de son âge.
Sans le moindre scrupule, ma bouche le recueil et le fait entrer au plus loin que je le peux.
De son côté sa main continue le massage, pendant que l’autre écarte ma petite culotte que Charles m’a offerte pour mon anniversaire.
C’est sans le moindre scrupule n’y tenant plus, je me soulève, l’enfourche et le plonge en moi.
• Catherine, tu es la première, je rêvais depuis deux ans de partir faire du ski, seul avec toi et que tu fasses de moi un homme.
Cause toujours beau gosse, ta bite est bien en moi et je m’emmanche sur elle jusqu’à l’explosion finale.
Je suis épuisé, je voudrais attendre le père Noël, mais le sommeil me rattrape.
• Tantine, venez voir, le père Noël est passé, venez ouvrir les cadeaux.
• Ma chérie, tu vas bien, tu as eu un sommeil très agité, mais au matin tu t’es endormie jusqu’à ce que Jules nous réveille.
Un peu sonné, je me lève Léon ayant quitté notre chambre.
• Chérie, je n’avais pas vu lorsque nous nous sommes couchés que tu avais mis ta petite culotte de ton anniversaire, tu en attendais plus de moi !
Avec ma connerie d’hier, j’ai cru que tu étais fâché.
Le pied au sol, j’attrape mon peignoir et je m’en couvre afin de descendre vers le sapin.
• Aille !
• Que se passe-t-il mon cœur ?
• J’ai mal à ma cheville.
• Certainement un contrecoup de ma bêtise d’hier.
Claudicant j’arrive jusqu’au-dessus du sapin, Luc me regarde, du bas de la pièce où il se trouve.
Il est en boxer, la bosse est toujours là.
Un sourire malicieux, un regard qui en dit long.
Du côté de ma chatte, je mouille, je suis ruisselante, je me sens repu de bonheur d’avoir bien baisé.
Rêve ou réalité ou rêve et réalité ?
• Catherine, j’ai fait des rallyes sur route verglacés, je métrise la voiture, ce n’est pas quelques flocons qui vont m’impressionner.
Nous sommes partis de Mâcon à 17 heures après le travail de Charles et nous nous rendons pour le réveillon de Noël chez mon frère au-dessus d’Annecy ou nous allons passer trois jours.
Ce 24 décembre, ce matin étant moi-même de repos, j’ai préparé les affaires, les trois enfants Claude, Claudine et Christian 8, 7 et 5 ans.
Nous avons réussi à faire une pause d’un an entre la deuxième et le troisième.
Certains dans la famille diront que ce dernier, non voulu à la base c’est le même soir de réveillon 6 ans plus tôt, que nous l’avons conçu.
Il est vrai que j’avais un peu, beaucoup bu de blanc de Savoie avec l’inévitable raclette, chaque année nous avons remplacé la dinde trop sèche par de la cochonaille de pays.
En entrée, petit four varié avec un pétillant des Bauges rosés, donc raclette, pas de fromage, la raclette faisant fonction et pétillant brut encore des Bauges.
Nicolas mon beau-frère était copain avec un vigneron du cru, la buche de Noël ma spécialité que je leur confectionne chaque année.
J’ai terminé celle pour ce soir avant que Charles passe nous chercher et que nous prenions l’autoroute aux mille viaducs surplombant Nantua, berceau de la sauce du même nom.
C’est après avoir passé Annecy en montant vers le massif du Semno que nous avons fini dans un arbre, à trois kilomètres du chalet de Nicolas et de Séverine son épouse.
Je venais de me détacher pour placer un sac à beurk sous la bouche de Claudine, c’est comme cela que dans la famille nous disons lorsque l’estomac de l’un d’eux est impossible de retenir ce qu’ils ont ingurgité.
Résultat, un sapin couché, une voiture avec l’avant hors d’usage et sac à beurk disséminé dans l’habitat.
De mon côté, ma tête a tapé le tableau de bord puis a été renvoyée sur le côté sur le chambranle de la porte avant que les air-bags se déclenchent et que je finisse dans un mur blanc.
Je serais un boxeur, on dirait Ko technique, pendant quelques secondes.
• Allo, Nicolas, j’ai fait une connerie, la buche sera immangeable ce soir, nous avons tapé un arbre et la voiture devra passer chez le carrossier.
Peux-tu venir nous chercher, nous sommes à la croix Sarazin.
Charles a-t-il réellement parlé de la buche, certes immangeable collée dans le coffre de notre voiture au milieu des valises et de certains cadeaux de Noël.
À cinq même dans une berline spacieuse, ils nous prendraient trop de place et c’est ma belle-soeur Séverine qui s’occupe d’acheter à Annecy sur mes directives le cadeau pour chacun d’entre nous.
Quatre adultes, on peut dire cinq, car Nicolas et Séverine ont eu mon filleul Luc qui au fil du temps vient de fêter ses dix-sept ans.
Trois autres enfants Laurent, 12 ans, Lionel 10 ans et Léon le petit dernier deux ans.
À la différence de nous, Léon était voulu.
Nicolas souhaitant impérativement une fille a réussi à convaincre Séverine qu’à quarante ans, il était toujours possible d’enfanter.
Luc est en école de ski, certains disent que c’est une jeune valeur sur de l’équipe de France de biathlon emmené par Simon Fourcade le frère de Martin.
Nous venons chez mon beau-frère, l’été pour le Martin Fourcade Nordic Festival.
Ce festival est une course de ski à roulettes autour du lac et l’hiver comme aujourd’hui pour Noël avant de repartir chacun dans des lieux différents pour le soir du réveillon de la Saint-Sylvestre.
Pour notre part, Charles remet les clés de son garage à Roland son adjoint.
Maman, Corinne de son prénom, veuve depuis cinq ans vient chez nous garder les trois enfants.
Et nous allons prendre l’avion à Saint-Exupérie, pardon à Lyon pour des îles lointaines et une semaine les doigts de pieds en éventaille, moment où je peux souffler un peu.
Un garage, trois enfants dont deux garçons intenables, bref des garçons et une maison individuelle non loin de la roche de Solutré cher à notre ancien président et on comprend que j’ai besoin d’un grand moment de décompression.
À oui, j’oubliais, Pâques, c’est Nicolas et Séverine qui débarque avec leurs quatre garçons pour une semaine dans les vignes mâconnaises jusqu’à la côte chalonnaise.
Alcoolique, non, amateur de bon vin, il y a quelques années dans notre jeunesse sans tous ces enfants, c’était le troisième jeudi de novembre le beaujolais nouveau.
C’est le départ de Charles et Séverine reprenant une concession à la sortie d’Annecy, qui nous a obligé de gouter le beaujolais nouveau à distance.
Tous ces voyages, toutes ces naissances ont fait qu’il fallait faire des choix et comme ce vin avait ses pour et ses contre, l’été, à Noël et à Pâques, nous sommes une famille très unis.
• T’as encore joué les Fangio, je suis sûr que Catherine devait te dire de ralentir, merde, il y a du beurk partout.
Monter dans ma voiture, vous allez-vous serrer, la tienne frangin, ne risque plus rien jusqu’à demain.
Hamed, mon chef mécanicien va venir la remorquer jusqu’à ma concession et après-demain, ils se mettront au travail.
Demain nous appelleront ton assurance, ça va te couter un beau malus, mais on va s’arranger, tu connais le boulot et nos combines.
Ta voiture, je te la ferais livrer et pour repartir je vais te confier une de mes voitures de complaisance.
J’ai un ancien transport d’enfants de neuf personnes que j’ai fait remettre en état, vous aurez toute la place voulue.
Ça va belle-sœur, veux-tu que je te conduise aux urgences ?
Si j’ai bien compris, ta tête a dû faire boomerang à deux endroits de la voiture.
• Un peu dans le coltar, mais ça va aller, j’ai peu d’envie d’attendre des heures aux urgences, pour qu’ils me disent de prendre du Dolipran.
J’en ai dans mon sac qui était à mes pieds lorsque mon couillon de mari, c’est cru revenu vingt ans plus tôt lorsqu’il courait le Monte-Carlo avec toi comme co-pilote.
Voilà comment nous arrivons à destination.
Il était prévu que nous nous douchions, même sans l’accident, mais là le beurk nous oblige à nous laver et faire disparaitre l’odeur très désagréable, Séverine récupérant nos affaires pour les mettre directement dans sa machine à laver.
Une fois prêts, nous pouvons passer à table, toutes ces péripéties nous ont mis en retard, surtout que dans l’accident nous avons perdu la buche de Noël.
• Luc, c’est incroyable en un an, tu es devenu un homme, nous ne t’avions pas vue depuis Noël dernier.
Regarde, tu me dépasses de près d’une tête.
• Et toi Catherine, les années ne semblant pas avoir de poids sur toi, tu es de plus en plus belle.
Minuit passé, nous rejoignons nos chambres, par tradition les cadeaux seront ouverts demain matin le père Noël descendant par la cheminée au petit matin.
Les garçons de Nicolas et Séverine sont en âge de savoir que le père Noël, ces bidons.
Mais la venue de Léon a relancé l’ouverture du matin, surtout qu’il dort sur le canapé devant la cheminée allumée.
Comme tous les enfants, il voulait voir le père Noël, mais ses yeux vont l’en empêché, comme ils empêchent tous les petits enfants à le voir.
Trop crevé et la tête encore sonnée, c’est du sommeil dit du juste que je pars dans les bras de Morphé, plutôt ceux de Charles.
• Catherine, viens avec moi, prenons le téléphérique pour monter au sommet.
Tu es la seule à pouvoir me suivre, les autres prendront les tires fesses.
Luc plein de dynamisme me montre l’homme qu’il est sachant prendre des décisions.
J’ignorais que j’étais si bonne en ski, dans le téléphérique qu’ils ont dû installer cet été, à ce jour j’ai toujours pris le télésiège, Luc se colle à moi.
Je devrais le repousser, mais c’est moi qui plaque mon fessier contre sa bite, qui sous la combinaison prend rapidement de l’ampleur.
Nous sommes seuls dans la télécabine, mais cela me permet de pouvoir me frotter à mon filleul, comme une vraie salope.
Au sommet nous récupérons nos skis et nous lançons dans une descente vertigineuse.
D’un coup sur un de mes plantés de bâton, ma cheville me fait mal.
Nous arrivons au refuge des « trois vallées, » c’est marqué sur la porte, il est vide, je défais ma combinaison et Luc la sienne.
Je suis simplement en sous-vêtements et Luc en boxer, ma montrant la belle bosse que sa bite forme.
Il me masse le pied, je n’y tiens plus, ma main part vers son boxer et je lui sors la bite.
Elle est belle, massive pour un garçon de son âge.
Sans le moindre scrupule, ma bouche le recueil et le fait entrer au plus loin que je le peux.
De son côté sa main continue le massage, pendant que l’autre écarte ma petite culotte que Charles m’a offerte pour mon anniversaire.
C’est sans le moindre scrupule n’y tenant plus, je me soulève, l’enfourche et le plonge en moi.
• Catherine, tu es la première, je rêvais depuis deux ans de partir faire du ski, seul avec toi et que tu fasses de moi un homme.
Cause toujours beau gosse, ta bite est bien en moi et je m’emmanche sur elle jusqu’à l’explosion finale.
Je suis épuisé, je voudrais attendre le père Noël, mais le sommeil me rattrape.
• Tantine, venez voir, le père Noël est passé, venez ouvrir les cadeaux.
• Ma chérie, tu vas bien, tu as eu un sommeil très agité, mais au matin tu t’es endormie jusqu’à ce que Jules nous réveille.
Un peu sonné, je me lève Léon ayant quitté notre chambre.
• Chérie, je n’avais pas vu lorsque nous nous sommes couchés que tu avais mis ta petite culotte de ton anniversaire, tu en attendais plus de moi !
Avec ma connerie d’hier, j’ai cru que tu étais fâché.
Le pied au sol, j’attrape mon peignoir et je m’en couvre afin de descendre vers le sapin.
• Aille !
• Que se passe-t-il mon cœur ?
• J’ai mal à ma cheville.
• Certainement un contrecoup de ma bêtise d’hier.
Claudicant j’arrive jusqu’au-dessus du sapin, Luc me regarde, du bas de la pièce où il se trouve.
Il est en boxer, la bosse est toujours là.
Un sourire malicieux, un regard qui en dit long.
Du côté de ma chatte, je mouille, je suis ruisselante, je me sens repu de bonheur d’avoir bien baisé.
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