COLLECTION RÉVEILLON de LA SAINT SYLVESTRE. Panne inopinée (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION RÉVEILLON de LA SAINT SYLVESTRE. Panne inopinée (1/2)
• Charles, es-tu sûr que nous pouvons partir dans la montagne avec ce mauvais temps et ce voyant qui s’allume.
Je suis allée voir dans le guide du constructeur, « voyant moteur orange », ils disent que nous devons nous rapprocher de notre réparateur.
• C’est seulement un voyant « orange », ma chérie !
« Orange », attention, « rouge », arrêt immédiat et rejoignez au plus vite votre concessionnaire.
J’ai déjà eu ce voyant qui s’allumait sur notre ancienne voiture, j’ai fait 2 000 kilomètres avant que je fasse réparer.
Nous pouvons aller chez mes parents, il y a 80 kilomètres, il est trop tard ce 31 décembre à 20 heures pour la faire voir.
C’est ainsi que je monte au côté de Charles en robe de réveillon.
Lui est en costume, car nous nous rendons de Grenoble ou nous habitons et travaillons non loin d’Albertville où mes beaux-parents sont à la retraite.
Ça fait sept ans, que Charles a demandé ma main alors que je faisais mes études à la fac.
Six ans, que chaque année nous prenons l’autoroute pour rejoindre la montagne pour trois jours où nous retrouverons Georgette, sa sœur, vieille fille en devenir.
Solange, ma belle-mère et Lucien, mon beau-père, tous vieux jeux, ma belle-mère va encore à la messe chaque dimanche.
Nous les avons vus à Noël, depuis quatre ans, nous réveillonnons à Grenoble, car les curés se faisant rares, ils vont tous à la messe de minuit à la cathédrale.
Par chance mes parents étaient communistes, ils m’ont épargné le baptême et je prépare le repas pour leur retour pendant qu’il se caille dans ce grand monument.
Mes parents, je les ai perdus il y a deux ans lors de vacances, ils se sont noyés.
Pour le réveillon de la nouvelle année, c’est nous qui montons près d’Albertville où nous aimons surtout faire du ski.
Nous roulons depuis quelques kilomètres, il neige de plus en plus.
Tout d’un coup, la voiture de sécurité montre que devant nous, il y a un accident.
Par chance, nous sommes à 500 mètres d’une sortie de l’autoroute.
Toujours ce voyant du moteur qui est allumé, me rendant anxieuse.
Nous faisons une dizaine de kilomètres lorsque des gyrophares jaunes sont de nouveau devant nous.
Panneaux « déviation éboulement. »
• Je connais cette route sur la droite, je l’ai déjà prise.
Nous allons contourner l’éboulement et finir notre parcours.
Nous serons chez mes parents vers 22 heures, téléphonons leur !
• Je viens d’essayer, j’ignore si c’est la neige, mais le réseau semble coupé.
Regarde, il y a un parking, faisons demi-tour et rentrons chez nous, tes parents comprendront que c’est trop difficile de les rejoindre surtout par ce temps.
J’ai depuis quelque temps, un problème avec Charles, certains diront la crise dès sept ans de mariage dont bien des gens parlent.
L’harmonie entre nous qui a prévalu depuis notre mariage commence à se distendre.
Je dois reconnaître que très souvent les crises de migraine qui surgissent dans les couples dans ces moments-là, sont de plus en plus légion.
Il m’est même arrivé de lui faire croire que j’avais deux fois mes règles dans le même mois.
Comme tous les hommes, ce sont des affaires de femmes et il s’en fiche.
• Tu commences à me faire chier, je sais ce que je fais, ça va passer.
Ce qui me fait peur, outre le langage peut châtier de Charles, nous sommes seules sur la route.
La nuit noire et les virages se succèdent jusqu’à ce que la voiture refuse d’accélérer.
Je vois Charles verdir et par chance, dans le virage, il y a une place de parking pour en temps normal pouvoir doubler.
J’essaye une nouvelle fois mon portable, rien aucune barre de connexion.
J’ai bien un manteau de fourrure et je gèle lorsque Charles décroche le capot et qu’il descend voir ce qui se passe coté moteur.
Si mon mari était bricoleur, ça se saurait, même un clou il est incapable de le planter.
Avocat, c’est la seule chose pour laquelle il est doué.
Je finis par descendre, mais il semble tourner en rond.
• Je sais ce que tu vas dire, inutile d’en rajouter, il va falloir attendre demain matin, heureusement qu’il y a un plaid à l’arrière.
• Regarde, au-dessus de nous, il y a un chalet, on voit de la lumière, allons demander de l’aide.
Un chemin de neige, je glisse, j’ai mon manteau ainsi que des chaussures fourrées, alors que Charles à sa doudoune, mais il est en chaussures italiennes.
Mes talons hauts, je les ai sur le siège arrière avec la petite valise pour la nuit.
Là encore, ses chaussures ont été une source de conflit, lorsque je lui ai dit que pour partir en montagne, il aurait pu mettre des chaussures plus adaptées.
Il a rétorqué que pour conduire, il lui fallait de la souplesse et qu’avec des grosses chaussures nous risquions l’accident.
Nous arrivons devant une grosse porte de bois.
Nous entendons de la musique, Charles frappe, aucune réaction.
Il recommence tapant plus fort, on entend que ça bouge et qu’un rideau est tiré avant que la porte s’entrouvre.
Une jeune femme passe le bout de son nez, je vois qu’elle est blonde.
• Nous sommes en panne de voiture, dans le virage au bout du chemin qui mène jusqu’ici, pouvons-nous entrer, il fait si froid, et pouvons-nous téléphoner.
Vous dérange-t-on, vous étiez couché, vous êtes en robe de chambre ?
• Entrer, nous venons de commencer de réveillonner avec des amies.
La jeune femme nous fait entrer dans un vestibule et tir le gros rideau évitant l’entrée de l’air froid extérieur.
• Élodie, qui c’était ?
Sortant d’une pièce, une autre jeune femme se présente simplement revêtue d’un paréo saumon.
Nous voyant, elle rentre dans la pièce.
Je comprends tout de suite que la soirée, dans ce chalet, semble être entre gens un peu libertins, lorsque par l’échancrure de son peignoir, je vois que cette jeune Élodie, à elle aussi un simple voile sur le corps.
Tout est confirmé lorsqu’un homme vient à nous revêtu d’un simple boxer.
• Monsieur, madame, je m’appelle Gilles et Élodie est ma femme.
Dans cette zone de montagne, nous sommes dans une zone blanche et il vous faudra attendre demain, pour que nous allions en ski de fond faire venir une dépanneuse.
Vous nous mettez mal à l’aise, nous voudrions bien vous venir en aide, mais avec quelques amis, nous sommes dans un réveillon libertin.
Nous sommes quatre couples, qui ont déjà bien engagé notre soirée jusqu’aux douze coups de minuit.
Je vois Charles avoir un mouvement pour remettre ses chaussures, veut-il que j’aille attraper la mort dans notre voiture ?
Surtout que tout est de sa faute.
• Je m’appelle Natacha et mon mari Charles, pouvez-vous me recevoir, si mon mari a envie de se les geler dans notre voiture alors que tout est de sa faute s’il m’avait un peu écouté, qu’il y aille.
Ça vous dérange, si je reste habillée, un petit coin près du feu et demain nous verrons ce que nous pourrons faire.
Charles repose sa chaussure et enlève sa doudoune, nous suivons ce couple, une soirée libertine, je dois reconnaître que de voir comment ça se pratique, ça me fait envie.
La pièce où nous entrons est une pièce unique avec un escalier montant certainement vers les chambres.
Plusieurs couples, tous d’environ nos âges, certains dansent, d’autres près du buffet où ils peuvent manger ce qui est préparé.
Mais surtout je vois la grande cheminée de pierre ou brûle plusieurs bûches chauffant la pièce.
• Mes amis, je vous présente Charles et Natacha, ils sont tombés en panne au bas du chemin, il leur est impossible d’appeler dans notre zone blanche.
Ils vont rester près du feu et éviteront de nous déranger.
Bien sûr, le buffet leur est ouvert.
Gilles nous présente les participants, toutes les filles ont des paréos de diverses couleurs.
J’ai rarement vu autant de chattes et de seins, il faut dire qu’à part à la piscine et sur la plage, j’ai rarement vu des filles dénudées.
Je m’installe dans l’un des fauteuils, face au feu, rapidement, je suis bouillante.
Gilles a entraîné Charles vers les consommables et lui sert une coupe de champagne.
Élodie passe prendre deux coupes et vient vers moi, elle s’assied sur l’accoudoir de mon fauteuil.
• On se tutoie, tu prendras bien une coupe, à deux heures de la nouvelle année.
Fêtons dignement la fin de celle-ci qui nous aura bien emmerdés.
Tu as des enfants, moi j’en ai deux, ils sont à Paris chez mes parents.
• Avez-vous tous des enfants, mais pourtant vous êtes libertins ?
• Oui, mais l’un et l’autre sont possibles, nous faisons des jeux érotiques toujours protégés et chacun de nous avons arrêté l’échangisme pour avoir nos enfants.
Ils sont bien à nous, ou habitez-vous ?
• Charles a un cabinet d’avocats à Grenoble où nous avons plusieurs employés, je fais l’administratif et nous sommes sans enfants.
• Tu en veux !
• Oui, si notre couple tient, il faut dire que c’est difficile en ce moment, c’est la totale incompréhension entre nous.
• Tu vois, nous sommes passés par là avec Gilles, j’en avais déjà un, Ludovic, il a quatre ans, mais c’est l’échangisme qui a sauvé notre couple.
Dès notre retour à Paris, j’enlèverais mon stérilet et nous espérons avoir une fille, mais un autre garçon, ce serait bien aussi.
• Que faite vous à Paris ?
• Nous sommes tous les deux professeurs des écoles, moi en maternels et Gilles directeur de l’école primaire.
Tu vois, nous étions toujours l’un avec l’autre et comme vous, le faite d’être toujours ensemble a failli briser notre couple.
Tu danses, j’adore ce slow, il me rappelle de vieux souvenirs.
Élodie récupère ma coupe et me prends la main, est-ce le produit plein de bulles, il m’en faut peu pour être pompette, je me lève et me coule dans ses bras...
Je suis allée voir dans le guide du constructeur, « voyant moteur orange », ils disent que nous devons nous rapprocher de notre réparateur.
• C’est seulement un voyant « orange », ma chérie !
« Orange », attention, « rouge », arrêt immédiat et rejoignez au plus vite votre concessionnaire.
J’ai déjà eu ce voyant qui s’allumait sur notre ancienne voiture, j’ai fait 2 000 kilomètres avant que je fasse réparer.
Nous pouvons aller chez mes parents, il y a 80 kilomètres, il est trop tard ce 31 décembre à 20 heures pour la faire voir.
C’est ainsi que je monte au côté de Charles en robe de réveillon.
Lui est en costume, car nous nous rendons de Grenoble ou nous habitons et travaillons non loin d’Albertville où mes beaux-parents sont à la retraite.
Ça fait sept ans, que Charles a demandé ma main alors que je faisais mes études à la fac.
Six ans, que chaque année nous prenons l’autoroute pour rejoindre la montagne pour trois jours où nous retrouverons Georgette, sa sœur, vieille fille en devenir.
Solange, ma belle-mère et Lucien, mon beau-père, tous vieux jeux, ma belle-mère va encore à la messe chaque dimanche.
Nous les avons vus à Noël, depuis quatre ans, nous réveillonnons à Grenoble, car les curés se faisant rares, ils vont tous à la messe de minuit à la cathédrale.
Par chance mes parents étaient communistes, ils m’ont épargné le baptême et je prépare le repas pour leur retour pendant qu’il se caille dans ce grand monument.
Mes parents, je les ai perdus il y a deux ans lors de vacances, ils se sont noyés.
Pour le réveillon de la nouvelle année, c’est nous qui montons près d’Albertville où nous aimons surtout faire du ski.
Nous roulons depuis quelques kilomètres, il neige de plus en plus.
Tout d’un coup, la voiture de sécurité montre que devant nous, il y a un accident.
Par chance, nous sommes à 500 mètres d’une sortie de l’autoroute.
Toujours ce voyant du moteur qui est allumé, me rendant anxieuse.
Nous faisons une dizaine de kilomètres lorsque des gyrophares jaunes sont de nouveau devant nous.
Panneaux « déviation éboulement. »
• Je connais cette route sur la droite, je l’ai déjà prise.
Nous allons contourner l’éboulement et finir notre parcours.
Nous serons chez mes parents vers 22 heures, téléphonons leur !
• Je viens d’essayer, j’ignore si c’est la neige, mais le réseau semble coupé.
Regarde, il y a un parking, faisons demi-tour et rentrons chez nous, tes parents comprendront que c’est trop difficile de les rejoindre surtout par ce temps.
J’ai depuis quelque temps, un problème avec Charles, certains diront la crise dès sept ans de mariage dont bien des gens parlent.
L’harmonie entre nous qui a prévalu depuis notre mariage commence à se distendre.
Je dois reconnaître que très souvent les crises de migraine qui surgissent dans les couples dans ces moments-là, sont de plus en plus légion.
Il m’est même arrivé de lui faire croire que j’avais deux fois mes règles dans le même mois.
Comme tous les hommes, ce sont des affaires de femmes et il s’en fiche.
• Tu commences à me faire chier, je sais ce que je fais, ça va passer.
Ce qui me fait peur, outre le langage peut châtier de Charles, nous sommes seules sur la route.
La nuit noire et les virages se succèdent jusqu’à ce que la voiture refuse d’accélérer.
Je vois Charles verdir et par chance, dans le virage, il y a une place de parking pour en temps normal pouvoir doubler.
J’essaye une nouvelle fois mon portable, rien aucune barre de connexion.
J’ai bien un manteau de fourrure et je gèle lorsque Charles décroche le capot et qu’il descend voir ce qui se passe coté moteur.
Si mon mari était bricoleur, ça se saurait, même un clou il est incapable de le planter.
Avocat, c’est la seule chose pour laquelle il est doué.
Je finis par descendre, mais il semble tourner en rond.
• Je sais ce que tu vas dire, inutile d’en rajouter, il va falloir attendre demain matin, heureusement qu’il y a un plaid à l’arrière.
• Regarde, au-dessus de nous, il y a un chalet, on voit de la lumière, allons demander de l’aide.
Un chemin de neige, je glisse, j’ai mon manteau ainsi que des chaussures fourrées, alors que Charles à sa doudoune, mais il est en chaussures italiennes.
Mes talons hauts, je les ai sur le siège arrière avec la petite valise pour la nuit.
Là encore, ses chaussures ont été une source de conflit, lorsque je lui ai dit que pour partir en montagne, il aurait pu mettre des chaussures plus adaptées.
Il a rétorqué que pour conduire, il lui fallait de la souplesse et qu’avec des grosses chaussures nous risquions l’accident.
Nous arrivons devant une grosse porte de bois.
Nous entendons de la musique, Charles frappe, aucune réaction.
Il recommence tapant plus fort, on entend que ça bouge et qu’un rideau est tiré avant que la porte s’entrouvre.
Une jeune femme passe le bout de son nez, je vois qu’elle est blonde.
• Nous sommes en panne de voiture, dans le virage au bout du chemin qui mène jusqu’ici, pouvons-nous entrer, il fait si froid, et pouvons-nous téléphoner.
Vous dérange-t-on, vous étiez couché, vous êtes en robe de chambre ?
• Entrer, nous venons de commencer de réveillonner avec des amies.
La jeune femme nous fait entrer dans un vestibule et tir le gros rideau évitant l’entrée de l’air froid extérieur.
• Élodie, qui c’était ?
Sortant d’une pièce, une autre jeune femme se présente simplement revêtue d’un paréo saumon.
Nous voyant, elle rentre dans la pièce.
Je comprends tout de suite que la soirée, dans ce chalet, semble être entre gens un peu libertins, lorsque par l’échancrure de son peignoir, je vois que cette jeune Élodie, à elle aussi un simple voile sur le corps.
Tout est confirmé lorsqu’un homme vient à nous revêtu d’un simple boxer.
• Monsieur, madame, je m’appelle Gilles et Élodie est ma femme.
Dans cette zone de montagne, nous sommes dans une zone blanche et il vous faudra attendre demain, pour que nous allions en ski de fond faire venir une dépanneuse.
Vous nous mettez mal à l’aise, nous voudrions bien vous venir en aide, mais avec quelques amis, nous sommes dans un réveillon libertin.
Nous sommes quatre couples, qui ont déjà bien engagé notre soirée jusqu’aux douze coups de minuit.
Je vois Charles avoir un mouvement pour remettre ses chaussures, veut-il que j’aille attraper la mort dans notre voiture ?
Surtout que tout est de sa faute.
• Je m’appelle Natacha et mon mari Charles, pouvez-vous me recevoir, si mon mari a envie de se les geler dans notre voiture alors que tout est de sa faute s’il m’avait un peu écouté, qu’il y aille.
Ça vous dérange, si je reste habillée, un petit coin près du feu et demain nous verrons ce que nous pourrons faire.
Charles repose sa chaussure et enlève sa doudoune, nous suivons ce couple, une soirée libertine, je dois reconnaître que de voir comment ça se pratique, ça me fait envie.
La pièce où nous entrons est une pièce unique avec un escalier montant certainement vers les chambres.
Plusieurs couples, tous d’environ nos âges, certains dansent, d’autres près du buffet où ils peuvent manger ce qui est préparé.
Mais surtout je vois la grande cheminée de pierre ou brûle plusieurs bûches chauffant la pièce.
• Mes amis, je vous présente Charles et Natacha, ils sont tombés en panne au bas du chemin, il leur est impossible d’appeler dans notre zone blanche.
Ils vont rester près du feu et éviteront de nous déranger.
Bien sûr, le buffet leur est ouvert.
Gilles nous présente les participants, toutes les filles ont des paréos de diverses couleurs.
J’ai rarement vu autant de chattes et de seins, il faut dire qu’à part à la piscine et sur la plage, j’ai rarement vu des filles dénudées.
Je m’installe dans l’un des fauteuils, face au feu, rapidement, je suis bouillante.
Gilles a entraîné Charles vers les consommables et lui sert une coupe de champagne.
Élodie passe prendre deux coupes et vient vers moi, elle s’assied sur l’accoudoir de mon fauteuil.
• On se tutoie, tu prendras bien une coupe, à deux heures de la nouvelle année.
Fêtons dignement la fin de celle-ci qui nous aura bien emmerdés.
Tu as des enfants, moi j’en ai deux, ils sont à Paris chez mes parents.
• Avez-vous tous des enfants, mais pourtant vous êtes libertins ?
• Oui, mais l’un et l’autre sont possibles, nous faisons des jeux érotiques toujours protégés et chacun de nous avons arrêté l’échangisme pour avoir nos enfants.
Ils sont bien à nous, ou habitez-vous ?
• Charles a un cabinet d’avocats à Grenoble où nous avons plusieurs employés, je fais l’administratif et nous sommes sans enfants.
• Tu en veux !
• Oui, si notre couple tient, il faut dire que c’est difficile en ce moment, c’est la totale incompréhension entre nous.
• Tu vois, nous sommes passés par là avec Gilles, j’en avais déjà un, Ludovic, il a quatre ans, mais c’est l’échangisme qui a sauvé notre couple.
Dès notre retour à Paris, j’enlèverais mon stérilet et nous espérons avoir une fille, mais un autre garçon, ce serait bien aussi.
• Que faite vous à Paris ?
• Nous sommes tous les deux professeurs des écoles, moi en maternels et Gilles directeur de l’école primaire.
Tu vois, nous étions toujours l’un avec l’autre et comme vous, le faite d’être toujours ensemble a failli briser notre couple.
Tu danses, j’adore ce slow, il me rappelle de vieux souvenirs.
Élodie récupère ma coupe et me prends la main, est-ce le produit plein de bulles, il m’en faut peu pour être pompette, je me lève et me coule dans ses bras...
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