COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Fin de la saison II et de l’histoire (7/7)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION SALOPE. Que m’est-il passé par la tête. Fin de la saison II et de l’histoire (7/7)
C’est en pleurs que derrière ma fenêtre j’attends de voir arriver William, mon patron et maintenant amant depuis hier.
Il est loin le moment où enfin, je découvrais sa verge, longue et fine, la soirée dernière.
Pendant que je trompais Hamed, il s’envolait certainement avec sa pute, cette petite salope que j’avais rencontrée et confiée mon fils Jules.
S’il s’était envolé seul avec cette espèce de catin, retrouvé la terre de leur ancêtre j’aurais pu comprendre, mais m’enlever mon fils, c’est impensable et pourtant, ils l’ont fait.
Je vois une voiture noire s’arrêter, William toujours aussi impeccable en sort et se dirige vers ma porte.
Je me déplace rapidement vers l’Interphone, j’ouvre la porte avant qu’il sonne.
Ainsi que la porte du palier, avant que l’ascenseur arrive.
• J’ai demandé un Uber, j’ai fait le plus vite possible pour vous rejoindre !
Mon dieu qu’il est bon de se lover dans les bras d’un homme qui semble vous apprécier juste comme femme et venir à votre secours.
Nous entrons, je lui fais voir le mot trouvé sur la table.
• À part attendre cet avocat et voir ce que veut votre mari, il est difficile de prendre une initiative avant.
Il est possible d’aller déposer une main courante, mais de nuit et à la fin d’un week-end, trouver un commissariat ouvert, c’est perdu d’avance, demain nous verrons clair.
Il me rassure, il continue à me dire vous, malgré ce qu’il y a eu entre nous.
Nous allons dans ma chambre, je dis déjà « ma », au lieu de dire « notre », entérinant le fait qu’entre Hamed et moi, tout est irréversible.
Dans la voiture, je me suis lovée dans ces bras, remplie d’amour et de sa bite qui m’a apporté de magnifiques orgasmes.
Quand je m’endors, c’est une tout autre femme que je suis, c’est de sa force d’homme dont j’ai besoin.
Je me réveille, les volets roulants sont restés ouverts dans l’état où nous étions.
William m’a abandonné, non, je sens une bonne odeur de café, il doit avoir trouvé le nécessaire dans la cuisine.
Je suis toujours dans la tenue de mon retour, j’ai dormi entièrement habillée.
• Bonjour mon cœur, vous avez un peu récupéré, je me suis permis de nous faire du café, j’attends la venue de l’avocat de votre mari.
• Merci, mais ton travail et le mien.
• Vous, vous êtes en repos jusqu’à ce que nous ayons démêlé votre situation.
J’ai appelé Éloi l’ingénieur de production que vous connaissez et Claudette la DRH, ils vont gérer, l’un la production et l’autre les bureaux en votre absence.
Va pour Éloi, pour Claudette, j’aurais un peu plus de recul.
Nous nous installons sur mon canapé, je me love dans ses bras alors qu’il s’assoie comme à son habitude droit comme un I.
Deux heures, deux heures cinq, deux heures dix, on est loin de l’heure de la venue de l’avocat qui va m’annoncer les exigences d’Hamed.
Dans les yeux cette salope de Radia est là et bien là, je suis sûr que c’est elle qui a tout manigancé.
Café sur café, période de somnolence, William dormant assis, je démarre la télé sans savoir pourquoi.
« Information de sept heures.
Revenons sur la grève surprise des aiguilleurs du ciel, depuis hier midi. »
Je secoue William.
• Écoute mon chéri.
William se secoue et écoute.
• Il nous faut agir vite, tout est encore possible.
Il prend son portable et appelle un numéro.
• George, je m’excuse de vous déranger, de si grand matin, mais c’est très urgent.
Le dialogue est établi, mais sans retour pour moi, j’hésite à demander à William de mettre sur haut-parleur.
« ...Vient de signer un accord, les contrôleurs vont reprendre leur travail dans quelques minutes, je préviens la police de l’air.
Je pense qu’il est encore temps de les intercepter.
Je raccroche, le temps est compté... »
• Filons à Orly !
Comment puis-je rester insensible à un tel homme, il a pensé à mettre sur écoute.
Il me permet d’entendre que cette personne, certainement haut placée dans un ministère, va essayer de faire intercepter Hamed et sa pétasse.
Je jouis dans ma tête de ce qui va lui arriver quand il verra que son plan a échoué.
Du moins je l’espère ignorant combien de temps faut-il entre un compromis de fin et la reprise du travail.
Je suis loin d’être une personne syndicalisée, mais si j’avais un des signataires du début de la grève, je lui sauterais au cou l’embrassant à pleine bouche.
Même devant William, je le ferais.
Par chance, ce sont ses lèvres, sa bouche qui sont les plus proches et c’est lui qui reçoit mon baiser passionné.
Il me repousse, comment peut-on repousser une femme amoureuse.
• Blanche, nous aurons du temps pour ça dans le taxi et les jours prochains, laissez-moi en appeler un.
Je me détache de l’homme qui sait toujours faire ce qu’il faut dans un vrai flegme anglais.
Il tape sur son portable.
• Nous avons de la chance, il y en a un à moins de cinq minutes, préparez-vous, on y va.
Qui peut faire plus vite que moi, c’est impossible et pendant qu’il appelle l’ascenseur, je ferme à clef la porte de cet appartement qui aurait pu être mon tombeau sans la clairvoyance et les relations de Wylliam.
Que je suis contente de lui avoir cédé il y a quelques heures.
• Vous avez de la chance, je rentrais à Juvisy quand on m’a passé votre demande, j’ai décidé de prendre, il est difficile de cracher sur un petit billet.
• Gros billet si vous nous conduisez au guichet des départs d’Orly, le plus vite.
• Montez, vous savez galvaniser les gens.
Par chance, la circulation commence seulement à se charger.
Hamid, c’est le nom que je lis sur le tableau de bord, rapidement nous dépose à notre terminus en un seul morceau.
À la sortie de Paris, lorsque nous sommes sur l’autoroute, il roule même sur la bande d’arrêt d’urgence, contre tout respect du Code de la route.
• Merci monsieur, attendez, je vous rends la monnaie.
• Je vous avais dit, un gros billet, celui-ci est entièrement pour vous !
• Mais c’est quatre fois le prix de la course !
William descend, je le suis, j’ai le temps d’entendre Hamid, marmonner.
« C’est mon jour de chance, allons-nous coucher ; »
William me prend la main et semble savoir où il nous dirige dans cette grande aérogare.
Il est vrai que j’ai déjà vu des demandes de billets vers les pays du Maghreb dans le cadre de son travail.
« Le vol pour Meknès, départ dans 15 minutes, veuillez vous présenter muni de vos billets, porte 12 pour embarquement. »
C’est foutu, mon fils va embarquer et la plus grande partie de moi me sera arrachée.
J’aurais dû accepter qu’Hamed m’enferme, j’aurais gardé mon fils, la chair de ma chair.
• Maman, maman...
Ça fait quelques mois que j’ai récupéré Jules aux mains de son père et de sa pétasse.
J’avais peur qu’ils aient embarqué, mais ils étaient déjà arrêtés par la police de l’air.
L’avocat de William et celui qui a fait chou blanc lorsqu’il est venu chez nous.
Je passe la procédure, elle est en ma faveur.
Ce pédé d’Hamed, ainsi que Radia sa pute, ont reçu une convocation pour passer en justice pour tentative de soustraction d’enfant né en France vers un pays étranger.
Nul doute que le juge va attendre longtemps, William a appris qu’ils ont quitté le territoire.
En ce moment, je suis sur la terrasse du manoir d'Antoine et de Geneviève.
Nous sommes à ma chasse, un an après ma première venue et le début de ma relation avec William, mon patron.
Je suis couchée sur un relax avec Geneviève allongée, elle aussi.
Elle m’accompagne pendant cette année lorsque je mets ma main sur mon ventre.
Je le fais régulièrement depuis six mois où une échographie a montré que Jules va avoir une petite sœur.
Bien sûr, c’est William, le père, dès notre retour d’Orly il m’a amené chez lui avec mon fils.
Nous avons une nounou pour Jules qu’elle garde ce soir.
52 ans, veuve sans revenu, je suis rassurée, demain, il y a peu de chances de retrouver la maison vide de retour à Paris, comme l'ont fait Hamed et cette jeune garce de Radia.
À partir de notre retour, j’ai rejoint la couche de William, sans aucune forme de remords, bien que j’ignore qu’Hamed me trompait avec cette catin ou cette raclure.
William étant célibataire.
Hamed, dans son délire basé sur sa religion, me faisait l’amour de manière très conventionnelle.
William, malgré sa façon d’être, me sexe, me baise dès ce premier jour toujours me faisant découvrir des positions que j’adore.
C’est ainsi qu’en parfaite harmonie, nous avons décidé d’avoir un enfant, j’en ai parlé avec mon fils, il a trépigné comme les enfants le font lorsqu’ils sont contents.
Lorsque de retour de l’écographie définitive sur le sexe, il a recommencé à trépigner en apprenant qu’il va avoir une petite sœur.
« Pan. »Prêt des mares, un canard a dû rendre l’âme et rejoindra l’assiette de mon amant magnifique, car depuis le début de ma grossesse, il m’est impossible de manger le moindre morceau de viande.
Depuis mon acceptation de qui je suis grâce à William, qui fait de moi une femme entière et comblée, j’ai une autre approche au sein de l’entreprise.
Expliquons comment les choses se sont passées, outre le taxi de Serge qui continue à venir nous chercher et nous raccompagne.
• Claudette, pouvez-vous venir me voir ?
• Oui, madame, je sais ce que vous allez me signifier !
Claudette la DRH arrive.
• Bon alors vous me virez, vous allez entendre parler de moi, je vais aller voir les prud’hommes, je vais vous laminer.
• Bonjour Colette, je reste poli, il semble que vous ayez oublié la politesse envers vos anciens patrons.
Je vous ai fait apporter un café par Françoise, la nouvelle secrétaire qui m’a remplacée.
Françoise, mon adjoint, celle qui m’avait donné les codes lorsque je suis arrivée.
J’ai eu le loisir de la tester avant notre partie de chasse et ce qui s’en est suivi.
Pour la remplacer, j’ai choisi une jeune débutante sortie d’une école de secrétariat et qui va commencer avant mon arrêt de grossesse.
• Ce café, qui je l’espère vous le trouverez à votre goût, dites-moi s’il est assez salé.
Il est vrai que je vous vire, je suis la future femme du patron et à ce titre j’ai pris en charge votre fonction !
Comme vous le savez lors de l’embauche de la jeune et nouvelle secrétaire et la nomination de Françoise, je m’occupe moi-même du recrutement et des licenciements.
Pour le prud’homme, regardez cette note de frais.
Reconnaissez que c’est vous qui vous êtes servi du carnet de chèques de la société pour payer une paire de chaussures, un ensemble petit culotte et guêpière !
Vous aviez oublié les bas noirs, pour plaire à votre amie Arlette, oui, je suis au courant de votre liaison avec cette femme.
Vous avez tout à fait le droit de vous gouiner avec cette femme, mais l’exciter sur le compte de l’entreprise, c’est un peu gonflé.
Bien vous pouvez disposer, allez chez les prud’hommes et je pense que le chèque que William vous a signé et que voici pour solde de tout compte se transformera en plainte au tribunal.
Voilà comment j’ai réglé le problème Claudette et de sa copine Arlette.
Comme William l’avait fait, j’ai cherché dans les papiers la faille et quand je suis tombé sur le double de cette facture frauduleuse, je savais ma vengeance en route.
Dans quelle collection, Chris71 a classé mon histoire ?
À oui, « salope, » il faut trouver là, une cause à effet.
Je vois revenir les chasseurs, William semble fier, son fusil sous son bras.
• Chérie, comment vont les deux femmes de ma vie, vous avez entendu, « j’ai tiré un coup. »• Deux, mon chéri, un sur un canard et un avec moi, regardez le résultat.
Je vous aime William.
Il est loin le moment où enfin, je découvrais sa verge, longue et fine, la soirée dernière.
Pendant que je trompais Hamed, il s’envolait certainement avec sa pute, cette petite salope que j’avais rencontrée et confiée mon fils Jules.
S’il s’était envolé seul avec cette espèce de catin, retrouvé la terre de leur ancêtre j’aurais pu comprendre, mais m’enlever mon fils, c’est impensable et pourtant, ils l’ont fait.
Je vois une voiture noire s’arrêter, William toujours aussi impeccable en sort et se dirige vers ma porte.
Je me déplace rapidement vers l’Interphone, j’ouvre la porte avant qu’il sonne.
Ainsi que la porte du palier, avant que l’ascenseur arrive.
• J’ai demandé un Uber, j’ai fait le plus vite possible pour vous rejoindre !
Mon dieu qu’il est bon de se lover dans les bras d’un homme qui semble vous apprécier juste comme femme et venir à votre secours.
Nous entrons, je lui fais voir le mot trouvé sur la table.
• À part attendre cet avocat et voir ce que veut votre mari, il est difficile de prendre une initiative avant.
Il est possible d’aller déposer une main courante, mais de nuit et à la fin d’un week-end, trouver un commissariat ouvert, c’est perdu d’avance, demain nous verrons clair.
Il me rassure, il continue à me dire vous, malgré ce qu’il y a eu entre nous.
Nous allons dans ma chambre, je dis déjà « ma », au lieu de dire « notre », entérinant le fait qu’entre Hamed et moi, tout est irréversible.
Dans la voiture, je me suis lovée dans ces bras, remplie d’amour et de sa bite qui m’a apporté de magnifiques orgasmes.
Quand je m’endors, c’est une tout autre femme que je suis, c’est de sa force d’homme dont j’ai besoin.
Je me réveille, les volets roulants sont restés ouverts dans l’état où nous étions.
William m’a abandonné, non, je sens une bonne odeur de café, il doit avoir trouvé le nécessaire dans la cuisine.
Je suis toujours dans la tenue de mon retour, j’ai dormi entièrement habillée.
• Bonjour mon cœur, vous avez un peu récupéré, je me suis permis de nous faire du café, j’attends la venue de l’avocat de votre mari.
• Merci, mais ton travail et le mien.
• Vous, vous êtes en repos jusqu’à ce que nous ayons démêlé votre situation.
J’ai appelé Éloi l’ingénieur de production que vous connaissez et Claudette la DRH, ils vont gérer, l’un la production et l’autre les bureaux en votre absence.
Va pour Éloi, pour Claudette, j’aurais un peu plus de recul.
Nous nous installons sur mon canapé, je me love dans ses bras alors qu’il s’assoie comme à son habitude droit comme un I.
Deux heures, deux heures cinq, deux heures dix, on est loin de l’heure de la venue de l’avocat qui va m’annoncer les exigences d’Hamed.
Dans les yeux cette salope de Radia est là et bien là, je suis sûr que c’est elle qui a tout manigancé.
Café sur café, période de somnolence, William dormant assis, je démarre la télé sans savoir pourquoi.
« Information de sept heures.
Revenons sur la grève surprise des aiguilleurs du ciel, depuis hier midi. »
Je secoue William.
• Écoute mon chéri.
William se secoue et écoute.
• Il nous faut agir vite, tout est encore possible.
Il prend son portable et appelle un numéro.
• George, je m’excuse de vous déranger, de si grand matin, mais c’est très urgent.
Le dialogue est établi, mais sans retour pour moi, j’hésite à demander à William de mettre sur haut-parleur.
« ...Vient de signer un accord, les contrôleurs vont reprendre leur travail dans quelques minutes, je préviens la police de l’air.
Je pense qu’il est encore temps de les intercepter.
Je raccroche, le temps est compté... »
• Filons à Orly !
Comment puis-je rester insensible à un tel homme, il a pensé à mettre sur écoute.
Il me permet d’entendre que cette personne, certainement haut placée dans un ministère, va essayer de faire intercepter Hamed et sa pétasse.
Je jouis dans ma tête de ce qui va lui arriver quand il verra que son plan a échoué.
Du moins je l’espère ignorant combien de temps faut-il entre un compromis de fin et la reprise du travail.
Je suis loin d’être une personne syndicalisée, mais si j’avais un des signataires du début de la grève, je lui sauterais au cou l’embrassant à pleine bouche.
Même devant William, je le ferais.
Par chance, ce sont ses lèvres, sa bouche qui sont les plus proches et c’est lui qui reçoit mon baiser passionné.
Il me repousse, comment peut-on repousser une femme amoureuse.
• Blanche, nous aurons du temps pour ça dans le taxi et les jours prochains, laissez-moi en appeler un.
Je me détache de l’homme qui sait toujours faire ce qu’il faut dans un vrai flegme anglais.
Il tape sur son portable.
• Nous avons de la chance, il y en a un à moins de cinq minutes, préparez-vous, on y va.
Qui peut faire plus vite que moi, c’est impossible et pendant qu’il appelle l’ascenseur, je ferme à clef la porte de cet appartement qui aurait pu être mon tombeau sans la clairvoyance et les relations de Wylliam.
Que je suis contente de lui avoir cédé il y a quelques heures.
• Vous avez de la chance, je rentrais à Juvisy quand on m’a passé votre demande, j’ai décidé de prendre, il est difficile de cracher sur un petit billet.
• Gros billet si vous nous conduisez au guichet des départs d’Orly, le plus vite.
• Montez, vous savez galvaniser les gens.
Par chance, la circulation commence seulement à se charger.
Hamid, c’est le nom que je lis sur le tableau de bord, rapidement nous dépose à notre terminus en un seul morceau.
À la sortie de Paris, lorsque nous sommes sur l’autoroute, il roule même sur la bande d’arrêt d’urgence, contre tout respect du Code de la route.
• Merci monsieur, attendez, je vous rends la monnaie.
• Je vous avais dit, un gros billet, celui-ci est entièrement pour vous !
• Mais c’est quatre fois le prix de la course !
William descend, je le suis, j’ai le temps d’entendre Hamid, marmonner.
« C’est mon jour de chance, allons-nous coucher ; »
William me prend la main et semble savoir où il nous dirige dans cette grande aérogare.
Il est vrai que j’ai déjà vu des demandes de billets vers les pays du Maghreb dans le cadre de son travail.
« Le vol pour Meknès, départ dans 15 minutes, veuillez vous présenter muni de vos billets, porte 12 pour embarquement. »
C’est foutu, mon fils va embarquer et la plus grande partie de moi me sera arrachée.
J’aurais dû accepter qu’Hamed m’enferme, j’aurais gardé mon fils, la chair de ma chair.
• Maman, maman...
Ça fait quelques mois que j’ai récupéré Jules aux mains de son père et de sa pétasse.
J’avais peur qu’ils aient embarqué, mais ils étaient déjà arrêtés par la police de l’air.
L’avocat de William et celui qui a fait chou blanc lorsqu’il est venu chez nous.
Je passe la procédure, elle est en ma faveur.
Ce pédé d’Hamed, ainsi que Radia sa pute, ont reçu une convocation pour passer en justice pour tentative de soustraction d’enfant né en France vers un pays étranger.
Nul doute que le juge va attendre longtemps, William a appris qu’ils ont quitté le territoire.
En ce moment, je suis sur la terrasse du manoir d'Antoine et de Geneviève.
Nous sommes à ma chasse, un an après ma première venue et le début de ma relation avec William, mon patron.
Je suis couchée sur un relax avec Geneviève allongée, elle aussi.
Elle m’accompagne pendant cette année lorsque je mets ma main sur mon ventre.
Je le fais régulièrement depuis six mois où une échographie a montré que Jules va avoir une petite sœur.
Bien sûr, c’est William, le père, dès notre retour d’Orly il m’a amené chez lui avec mon fils.
Nous avons une nounou pour Jules qu’elle garde ce soir.
52 ans, veuve sans revenu, je suis rassurée, demain, il y a peu de chances de retrouver la maison vide de retour à Paris, comme l'ont fait Hamed et cette jeune garce de Radia.
À partir de notre retour, j’ai rejoint la couche de William, sans aucune forme de remords, bien que j’ignore qu’Hamed me trompait avec cette catin ou cette raclure.
William étant célibataire.
Hamed, dans son délire basé sur sa religion, me faisait l’amour de manière très conventionnelle.
William, malgré sa façon d’être, me sexe, me baise dès ce premier jour toujours me faisant découvrir des positions que j’adore.
C’est ainsi qu’en parfaite harmonie, nous avons décidé d’avoir un enfant, j’en ai parlé avec mon fils, il a trépigné comme les enfants le font lorsqu’ils sont contents.
Lorsque de retour de l’écographie définitive sur le sexe, il a recommencé à trépigner en apprenant qu’il va avoir une petite sœur.
« Pan. »Prêt des mares, un canard a dû rendre l’âme et rejoindra l’assiette de mon amant magnifique, car depuis le début de ma grossesse, il m’est impossible de manger le moindre morceau de viande.
Depuis mon acceptation de qui je suis grâce à William, qui fait de moi une femme entière et comblée, j’ai une autre approche au sein de l’entreprise.
Expliquons comment les choses se sont passées, outre le taxi de Serge qui continue à venir nous chercher et nous raccompagne.
• Claudette, pouvez-vous venir me voir ?
• Oui, madame, je sais ce que vous allez me signifier !
Claudette la DRH arrive.
• Bon alors vous me virez, vous allez entendre parler de moi, je vais aller voir les prud’hommes, je vais vous laminer.
• Bonjour Colette, je reste poli, il semble que vous ayez oublié la politesse envers vos anciens patrons.
Je vous ai fait apporter un café par Françoise, la nouvelle secrétaire qui m’a remplacée.
Françoise, mon adjoint, celle qui m’avait donné les codes lorsque je suis arrivée.
J’ai eu le loisir de la tester avant notre partie de chasse et ce qui s’en est suivi.
Pour la remplacer, j’ai choisi une jeune débutante sortie d’une école de secrétariat et qui va commencer avant mon arrêt de grossesse.
• Ce café, qui je l’espère vous le trouverez à votre goût, dites-moi s’il est assez salé.
Il est vrai que je vous vire, je suis la future femme du patron et à ce titre j’ai pris en charge votre fonction !
Comme vous le savez lors de l’embauche de la jeune et nouvelle secrétaire et la nomination de Françoise, je m’occupe moi-même du recrutement et des licenciements.
Pour le prud’homme, regardez cette note de frais.
Reconnaissez que c’est vous qui vous êtes servi du carnet de chèques de la société pour payer une paire de chaussures, un ensemble petit culotte et guêpière !
Vous aviez oublié les bas noirs, pour plaire à votre amie Arlette, oui, je suis au courant de votre liaison avec cette femme.
Vous avez tout à fait le droit de vous gouiner avec cette femme, mais l’exciter sur le compte de l’entreprise, c’est un peu gonflé.
Bien vous pouvez disposer, allez chez les prud’hommes et je pense que le chèque que William vous a signé et que voici pour solde de tout compte se transformera en plainte au tribunal.
Voilà comment j’ai réglé le problème Claudette et de sa copine Arlette.
Comme William l’avait fait, j’ai cherché dans les papiers la faille et quand je suis tombé sur le double de cette facture frauduleuse, je savais ma vengeance en route.
Dans quelle collection, Chris71 a classé mon histoire ?
À oui, « salope, » il faut trouver là, une cause à effet.
Je vois revenir les chasseurs, William semble fier, son fusil sous son bras.
• Chérie, comment vont les deux femmes de ma vie, vous avez entendu, « j’ai tiré un coup. »• Deux, mon chéri, un sur un canard et un avec moi, regardez le résultat.
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