COLLECTION SALOPES. Mère et Fille (2/2) - histoire érotique

• Paul, tu voulais ta piscine pour cet été, elle est là, le crédit aussi et après la guerre en Ukraine, la flambée des prix nous met dans la panade et encore je reste poli.
Je vois une solution, mais je pense que tu vas avoir du mal à l’admettre !

C’est ainsi qu’a commencé mon aventure adultérine avec des jumeaux de vingt-cinq ans.
Ces jumeaux, c’est Paul, mon mari qui leur a fait signer leur baille de trois ans.
Lorsque je fais des choses contre nature pour moi depuis que je me suis laissé faire par Mayron,
J’avais vu juste, la machine va bien et comme je veux redescendre le plus vite, je m’agenouille et je les suce à tour de rôle.
Lorsque je descends, par chance, j’ai un mouchoir dans ma poche, je m’essuie le coin de la bouche évitant les questions impossibles à répondre.

Cet épisode, fin juillet, depuis quelque temps, mes amants sont devenus un peu distants, comme si un fait nouveau était survenu.
Nous sommes le 15 août, fête de Marie, mais la fête de notre famille, je frappe à la porte de Sofia.

• Maman, je suis un peu indisposée, excuse, tu peux aller piqueniquer avec papa je reste couchée.

Nous parlons pour la plage ou par le chemin dans la pinède nous savons trouver des tables.
L’achat de notre piscine, même si elle nous a mise dans la merde, nous permet de nous baigner alors que nous sommes à dix kilomètres de la mer.
Nous venons de finir de dîner quand je sens ce que chaque femme sent tous les mois.
J’ouvre mon sac, mince, j’ai oublié de remettre un tampon.

• Chéri, passe-moi ton affreux mouchoir nid à microbes que je me protège, il faut que nous rentrions à la maison.
• Tient le voilà, il est propre, mais je suis bien à me reposer sur notre plage.
Rentre, je reviendrais en courant, c’est ce que j’avais prévu pour faire mon jogging pour rentrer.

Je prends la voiture et j’arrive chez nous, les deux voitures des jumeaux sont là.
J’entre chez nous, je vais dans la salle de bains et je prends une douche faisant le nécessaire, j’ai deux jours d’avance par rapport à la normale, ce qui m’a piégé.
J’ai posé le mouchoir sur le lavabo, impossible que je le laver de toute façon Paul en possède une vraie collection surtout après la mort de sa maman où il a récupéré ceux de son papa.
Je vais le mettre dans la poubelle de la cuisine.
En partant pour la plage, j’ai fermé le store à lamelles laissant la fenêtre ouverte, la météo annonçait du beau temps sans risque d’orage.
J’entends des cris et des rigolages et surtout les rires de Sofia.
Elle a certainement repris le moral et est descendue se baigner dans la piscine.
Les voix masculines me sont trop connues, ce sont celles de mes amants.
Je tourne doucement la barre faisant pivoter les lamelles, simplement pour voir.
Ce sont bien les deux garçons et ma fille qui joue dans l’eau.
Ils se la jettent de l’un à l’autre, je la vois embrasser l’un des deux.
Ils recommencent, c’est l’autre qui a le droit à son baiser.
La connivence entre les trois est évidente.
J’ai voulu préserver ma fille en montant voir la machine à laver, mais je crois que je suis rattrapée par les évènements.
Ma première réaction est de descendre jusqu’à eux pour faire arrêter ces rapports hors nature entre une pure jeune fille et deux garçons, même s’ils sont presque tous majeurs me dépassent en tant que mère.
Le temps de cette réflexion apporte des éléments nouveaux à la situation.
L’un des noirs sort de l’eau poursuivie par Sofia.
Il s’écroule sur la pelouse et Sofia, saute sur la verge qui m’a si souvent pourfendu.
Si j’avais des scrupules à sucer cette bite la première fois ou l’autre suivant qui elle a rejointe, je constate qu’elle est très bonne en fellation.
Je comprends mieux l’impression de distance de ces garçons si après la mère l’un d’eux baise la fille.
Je sais comment ils sont faits lorsqu’ils bandent, mes yeux sont aussi près que les miens l’étaient il y a peu.
Une nouvelle fois, l’envie de faire arrêter cette abjection me taraude, mais quelle réaction j’aurais si le deuxième garçon vient à moi et à son tour veut que je le suce.
Je risque aussi qu’ils disent à ma fille qu’elle salope est leur mère.
Une nouvelle fois les choses s’accélèrent, Sofia se soulève et c’est elle qui s’empale sur cette bite tendue à mort.
Je sais regarder sa fille baiser, c’est ignoble, mais les choses s’accélèrent me laissant pantoise.
Le deuxième sort à son tour de l’eau et vient derrière ma progéniture.
Elle se couche sur le premier dégageant sa croupe.
Une bouche s’avance et vient sucer sans que je voie exactement l’anus de ma fille.
Il se masturbe en léchant l’arrière-train et en finissant par se relever, il se présente nettement vers sa petite porte.
J’ai refusé qu’il m’encule en double pénétration, Sofia se fait prendre comme une bête hurlant à qui veut l’entendre le plaisir que ces deux blacks lui apportent.
Je finis par décrocher de ce qui se passe au bord de la piscine entre ma fille et mes amants.
Un moment difficile, lorsque Sofia aura terminé ses orgies avec ces jumeaux, comment va-t-elle se comporter lorsque Paul sera de retour.
Je prends le prétexte de mes règles pour aller me réfugier dans notre chambre les stores fermés.

• Chut, maman a ses périodes et elle semble avoir une grave migraine, elle dort, vient nous allons dîner.

Mon subterfuge a marché, je sens mon mari venir se coucher sans faire le moindre bruit.
J’ai un problème, j’ai faim alors à mon tour sans bruit, je vais dans la cuisine et je dévore une cuisse de poulet qui reste de notre repas de dimanche.

Nous sommes début septembre.
Sofia est absente, je me rends compte que ma fille nous abandonne de plus en plus souvent.
Elle doit avoir des rencards avec Mayron et Jayden.
De leur côté, sans me donner le moindre détail, nos jeux érotiques sont définitivement terminés.
J’ai retrouvé la verge familiale jusqu’à ce midi où l’on sonne à la porte alors que nous allions nous mettre à table.

• Papa et maman, c’est pour moi, je vais vous faire rencontrer quelqu’un, ça va vous étonner, mais ma vie est avec lui.

Un instant je me demande ce que ma fille a encore pu inventer alors qu’elle se faisait baiser par les deux noirs.
Je suis vite renseignée lorsqu’elle arrive avec l’un d’eux.

• Papa, maman, je vais aller vivre avec Jayden dans l’appartement que vous aviez prévu pour y installer mamy.

Je vois Paul étonné, il ignore ce que je savais.
Il se lève serre celui qui est peut-être Jayden voir Mayron qui peut savoir, moi-même lorsque je me donnais à eux j’étais incapable de les différencier.
Pas tout à fait, Mayron a un sexe qui a tendance à tirer à gauche, résultat d’un coup de pied mal placé reçu par son frère dans sa jeunesse.
Sofia a-t-elle relevé ce détail ?
Ce qui est sûr, c’est qu’il serait mal venu devant mon mari que je demande à ce garçon de baisser son pantalon.

• Et ton frère ?

C’est moi qui pose la question, resté muette pourrait paraître suspecte à Paul.

• Maman, nous avons tout prévu, ils ont chacun leur chambre et je vais travailler avec eux.
Je sais que les temps ont été durs avec les problèmes dans le monde.
J’arrête mes études de dessin pour passer à la pratique.
C’est moi qui vais devenir la coloriste de leurs bandes dessinées.
De plus, Jayden a été rencontrer leur éditeur, il va publier celle que je suis en train de créer et qui sera dessiné par Mayron.

Paul va dans le frigo chercher une bouteille de pétillant, c’est drôle de trinquer avec mes anciens amants, car le frère est descendu pour fêter la bonne nouvelle.
Voilà, je finis de faire le ménage, car Sofia s’en occupe.
Lorsqu’ils nous invitent, je vais aux toilettes.
Chambre droite, impeccable, chambre gauche idem, mais le lit a été changé, d’un 140 la chambre étant assez grande, un 180 a pris la place.
J’ai la confirmation que ma fille vit en trio et que les pratiques sexuelles que je refusais, elle semble s’en satisfaire.

En ce moment, nous sommes tous au bord de la piscine profitant des premiers beaux jours.
Notre fille radieuse se baigne avec les garçons sans nous montrer le moindre signe, qu’elle a deux amants.
Bien sûr, en présence de beau-papa et de belle-maman chacun de nous sait se tenir recouvert d’un maillot de bain.
Je suis dans ma chaise longue, je serais de mauvaise foi si par moments mes yeux se détournaient lorsqu’ils sortent de l’eau me montrant leur paquet protégé par leur slip de bain.