COLLECTION SM. La villa des surprises. (2/3)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION SM. La villa des surprises. (2/3)
Pour une surprise, c’est une surprise, je cherchais les WC pris d’une envie pressante, je me trompe ouvrant à gauche, alors que c’était la porte de droite.
Je vois un escalier qui descend vers une cave où la lumière est restée allumée.
Maman, m’ayant appris à économiser l’énergie je descends.
Là, oh !
Énorme surprise !
Surprises, c’est le mot minimum, si l’on m’avait dit que je verrais un jour ce que je vois surtout chez des amis, j’aurais crié au fou.
Je crie au fou bien que tous les goûts soient dans la nature, même si ce que je vois devant moi est loin d’être ma tartine de beurre.
Qui a pu concevoir ce qui est devant moi, qui a pu réaliser ce projet fou, certainement pas, la belle Galit, blonde, comme toutes les blondes.
Bref, je suis d’un brun presque noir, j’aime mon amie et je tiens à le rester surtout après ce qui s’étale devant moi.
• Tu veux essayer, quelques choses te tentent ?
Je me retourne en sursaut d’entendre parler, ça me fait manquer d’uriner sur place.
• Je cherchais les toilettes.
• En haut, en face, couloir 1ère porte à droite, tu es entrée 1ère porte à gauche, après tu reviens me voir.
• Tu crois, j’en ai assez vu !
Je monte en courant et je suis à mi-marche quand je l’entends dire.
• Cela m’étonnerait, tu es de la même race que moi, redescends dès que tu auras terminé.
J’ai une sainte horreur que l’on me donne des ordres aussi péremptoires.
Je fonce, j’ai du mal à ouvrir la porte des toilettes tellement j’ai envie, à deux doigts de faire pipi sous moi.
Il serait con que mes amis pensent que je suis incapable de me retenir et que je pisse comme une personne ayant des problèmes d’incontinence.
Heureusement, j’ai seulement sur moi ma petite culotte de maillot de bain deux pièces.
Qu’en aurait-il été si j’avais été avec un maillot une seule pièce et que j’aie dû enlever le haut.
Une fois assise, la totalité de ce qui part dans la cuvette sortant de mon intimité est à la limite de me faire jouir.
J’ai rarement été au bord du plaisir comme je le suis à ce moment en sentant ma vessie se vider.
Je m’essuie, j’avais pris le temps d’ôter mon tampon et de le placer dans sa pochette dans la poubelle prévue à cet effet.
Je me relève mettant une nouvelle protection et me reculottant je quitte les lieux-dits d’aisance facilement ayant uriné la porte ouverte.
Je repars vers la piscine sourde aux injonctions de Marc m’ayant proposé de revenir dans la cave.
Galit parle avec Francis, je vais pour les rejoindre quand une envie impérieuse m’oblige à faire demi-tour et de redescendre vers Marc.
Marc m’attend au bas des marches et me surprend par la tenue qu’il a enfilée.
• Diffa vient, quelque chose te fait envie maintenant que tu es soulagée !
• Je t’ai dit ce que j’en pense, mais j’adore ta tenue.
• Je savais depuis que je te connais que nous sommes faits des mêmes envies.
Regarde, je savais qu’un jour on se retrouverait complice dans cette cave.
Nous sommes de la même trempe l’un l’autre, je t’ai préparé la même tenue que la mienne, enfile là.
J’hésite une fraction de seconde, mais j’ai envie de lui montrer que je suis aussi forte que lui.
Je me vêts et quelques minutes après je peux m’admirer dans l’une des nombreuses glaces qui sont dans la cave.
Incroyable, je suis enfin moi, pour la première fois je vis comme j’ai toujours rêvé de vivre.
Marc vient de m’apporter la pierre manquant à ma vie depuis que j’ai décidé de vivre sur le même pied d’égalité que Galit.
Je me sens à armes égales avec elle et sa famille de parvenues.
Certes, sa mère a toujours donné l’impression de traiter ma mère sans faire de différence depuis que nous sommes en France.
Mais les ordres secs qu’elle recevait en courbant chaque fois l’échine me faisaient penser que c’était une posture de façade.
• Tu vois, nous sommes les mêmes, je savais qu’un jour nous serions deux dans cet espace pour la satisfaire.
• Chérie ou êtes-vous ?
• Ton Maître est là, vient recevoir la punition que tu mérites.
Incroyable Galit passe vers moi sans sembler me voir et tend ses mains devant elle répondant à l’injonction de celui qui vient de lui dire qu’il était son Maître.
À bien regarder autour de moi, il est normal qu’au moins une personne soit une soumise quand je vois tous ces objets dignes de ceux que nous voyons dans les films de torture à la télé.
• Maître Marc, vous allez me donner ma dose de plaisir, j’ai hâte.
Incroyable, ou ma copine est-elle capable d’aller dans cette cave, jusqu’à quel degré de perversité Marc a-t-il réussi à l’amener.
• Maîtresse Diffa venez m’aider, je vais commencer à vous former.
Je cherchais une personne pour me remplacer pendant les 15 jours où je m’absente.
C’est vous que j’ai choisi dès que je vous ai vu.
Vous êtes de la même race que moi, celle des dominateurs face à une petite soumise comme l’est cette chienne qui me tend ses poignets pour que je l’attache et que nous la punition.
Mettez-lui ses bracelets, je vais vous montrer à quoi servent ses piercings sur ses seins.
C’est presque dans un état second vite réfréné que je me saisis des poignets de mon amie.
Je l’attache à la corde qui pend, permettant à Marc de la tendre étirant sans trop les bras de Galit sans qu’à aucun moment je la voie se rebeller.
Ainsi, immobilisé il donne du mou à une seconde corde ou se trouve deux gros hameçons reliés entre eux par une chaîne.
• Vous voyez, ces hameçons sont ceux qui servent aux marins pécheurs afin de pécher de beaux thons bien gros.
Leurs spécificités, ils sont sans émerillon !
Nous pourrons lui enlever sans risque de la blesser profondément.
Il faut qu’elle puisse nous resservir.
Regardez, comment il faudra que vous les mettiez quand je serais parti.
Ces seins adorent être percés chaque jour.
Je suis abasourdi.
Marc prend un hameçon et le passe dans le trou qu’il a dégagé du premier piercing dans le sein gauche.
Il en fait de même avec l’autre hameçon dans la fraise du sein droit.
Le corps de notre soumise semble habituer à être percé, car ils entrent sans qu’il ait à forcer.
• Vous voyez maîtresse Diffa, les deux seins sont reliés entre eux par cette chaîne.
Soumise, soulevez votre jambe droite que je vous fixe cette menotte, ce qui va tendre la corde.
Mon amie s’exécute.
Marc prend une boule qu’il lui place dans sa bouche.
Ce doit être celle qu’il lui place tous les jours, car les sangles sont exactement réglées à ses dimensions.
Elle va pouvoir hurler de toutes ses cordes vocales, sans que les voisins soient alertés qu’elle aime souffrir, c’est le moins que l’on puisse dire.
• Diffa, regardez, j’attache la corde à son mollet.
Maintenant c’est elle qui est maîtresse de ses envies, il lui suffit de descendre sa jambe ou de la monter pour que ses seins suivent tirés par les hameçons.
Faites voir à maîtresse Diffa comme vous aimez vous faire souffrir.
Incroyable, mon amie baisse sa jambe tendant la corde et l’ensemble relié par une poulie lui tirant les seins vers le haut.
J’ai mal pour elle, les hameçons tirent ses pointes à la limite de les arracher.
• Allez soumise, aimez-vous que cela vous fasse mal.
Vous serrez les dents autour de votre boule, reposez votre jambe au sol, les réglages vont vous permettre d’apporter de la douleur à vos seins comme vous aimez en recevoir.
Dans un premier temps, elle relève sa jambe devant ressentir une douleur top forte pour cette première tension.
Elle rabaisse sa jambe une deuxième fois gagnants cinq centimètres.
Dès la troisième tentative, elle pose son pied au sol, mais le relève rapidement.
• Soumise, vous voyez, vous retrouvez vos bonnes habitudes, tenez plus longtemps votre pied au sol sinon maîtresse Diffa va vous cravacher.
Maîtresse prenez une cravache sur ce mur.
Oui, celle avec la large spatule et apprenez à la fesser, cela va lui stimuler le sang, allez soumise baissez cette jambe.
Inimaginable, moi qui aime sucer la chatte de mon amie, je me surprends à la cravacher pour la première fois.
Chaque fois que je frappe ou chaque fois qu’elle baisse sa jambe, elle émet des cris doux à mes oreilles malgré sa bouche obstruée.
Inimaginable, j’aime la torturer autant qu’elle semble aimer que je la torture.
• Vous voyez maîtresse Diffa, elle aime et en redemande !
• Que faite vous, c’est fou, laissez Galit.
Comment peux-tu mettre une telle tenue mon amour ?
C’est Francis qui vient d’entrer, nous cherchant...
Je vois un escalier qui descend vers une cave où la lumière est restée allumée.
Maman, m’ayant appris à économiser l’énergie je descends.
Là, oh !
Énorme surprise !
Surprises, c’est le mot minimum, si l’on m’avait dit que je verrais un jour ce que je vois surtout chez des amis, j’aurais crié au fou.
Je crie au fou bien que tous les goûts soient dans la nature, même si ce que je vois devant moi est loin d’être ma tartine de beurre.
Qui a pu concevoir ce qui est devant moi, qui a pu réaliser ce projet fou, certainement pas, la belle Galit, blonde, comme toutes les blondes.
Bref, je suis d’un brun presque noir, j’aime mon amie et je tiens à le rester surtout après ce qui s’étale devant moi.
• Tu veux essayer, quelques choses te tentent ?
Je me retourne en sursaut d’entendre parler, ça me fait manquer d’uriner sur place.
• Je cherchais les toilettes.
• En haut, en face, couloir 1ère porte à droite, tu es entrée 1ère porte à gauche, après tu reviens me voir.
• Tu crois, j’en ai assez vu !
Je monte en courant et je suis à mi-marche quand je l’entends dire.
• Cela m’étonnerait, tu es de la même race que moi, redescends dès que tu auras terminé.
J’ai une sainte horreur que l’on me donne des ordres aussi péremptoires.
Je fonce, j’ai du mal à ouvrir la porte des toilettes tellement j’ai envie, à deux doigts de faire pipi sous moi.
Il serait con que mes amis pensent que je suis incapable de me retenir et que je pisse comme une personne ayant des problèmes d’incontinence.
Heureusement, j’ai seulement sur moi ma petite culotte de maillot de bain deux pièces.
Qu’en aurait-il été si j’avais été avec un maillot une seule pièce et que j’aie dû enlever le haut.
Une fois assise, la totalité de ce qui part dans la cuvette sortant de mon intimité est à la limite de me faire jouir.
J’ai rarement été au bord du plaisir comme je le suis à ce moment en sentant ma vessie se vider.
Je m’essuie, j’avais pris le temps d’ôter mon tampon et de le placer dans sa pochette dans la poubelle prévue à cet effet.
Je me relève mettant une nouvelle protection et me reculottant je quitte les lieux-dits d’aisance facilement ayant uriné la porte ouverte.
Je repars vers la piscine sourde aux injonctions de Marc m’ayant proposé de revenir dans la cave.
Galit parle avec Francis, je vais pour les rejoindre quand une envie impérieuse m’oblige à faire demi-tour et de redescendre vers Marc.
Marc m’attend au bas des marches et me surprend par la tenue qu’il a enfilée.
• Diffa vient, quelque chose te fait envie maintenant que tu es soulagée !
• Je t’ai dit ce que j’en pense, mais j’adore ta tenue.
• Je savais depuis que je te connais que nous sommes faits des mêmes envies.
Regarde, je savais qu’un jour on se retrouverait complice dans cette cave.
Nous sommes de la même trempe l’un l’autre, je t’ai préparé la même tenue que la mienne, enfile là.
J’hésite une fraction de seconde, mais j’ai envie de lui montrer que je suis aussi forte que lui.
Je me vêts et quelques minutes après je peux m’admirer dans l’une des nombreuses glaces qui sont dans la cave.
Incroyable, je suis enfin moi, pour la première fois je vis comme j’ai toujours rêvé de vivre.
Marc vient de m’apporter la pierre manquant à ma vie depuis que j’ai décidé de vivre sur le même pied d’égalité que Galit.
Je me sens à armes égales avec elle et sa famille de parvenues.
Certes, sa mère a toujours donné l’impression de traiter ma mère sans faire de différence depuis que nous sommes en France.
Mais les ordres secs qu’elle recevait en courbant chaque fois l’échine me faisaient penser que c’était une posture de façade.
• Tu vois, nous sommes les mêmes, je savais qu’un jour nous serions deux dans cet espace pour la satisfaire.
• Chérie ou êtes-vous ?
• Ton Maître est là, vient recevoir la punition que tu mérites.
Incroyable Galit passe vers moi sans sembler me voir et tend ses mains devant elle répondant à l’injonction de celui qui vient de lui dire qu’il était son Maître.
À bien regarder autour de moi, il est normal qu’au moins une personne soit une soumise quand je vois tous ces objets dignes de ceux que nous voyons dans les films de torture à la télé.
• Maître Marc, vous allez me donner ma dose de plaisir, j’ai hâte.
Incroyable, ou ma copine est-elle capable d’aller dans cette cave, jusqu’à quel degré de perversité Marc a-t-il réussi à l’amener.
• Maîtresse Diffa venez m’aider, je vais commencer à vous former.
Je cherchais une personne pour me remplacer pendant les 15 jours où je m’absente.
C’est vous que j’ai choisi dès que je vous ai vu.
Vous êtes de la même race que moi, celle des dominateurs face à une petite soumise comme l’est cette chienne qui me tend ses poignets pour que je l’attache et que nous la punition.
Mettez-lui ses bracelets, je vais vous montrer à quoi servent ses piercings sur ses seins.
C’est presque dans un état second vite réfréné que je me saisis des poignets de mon amie.
Je l’attache à la corde qui pend, permettant à Marc de la tendre étirant sans trop les bras de Galit sans qu’à aucun moment je la voie se rebeller.
Ainsi, immobilisé il donne du mou à une seconde corde ou se trouve deux gros hameçons reliés entre eux par une chaîne.
• Vous voyez, ces hameçons sont ceux qui servent aux marins pécheurs afin de pécher de beaux thons bien gros.
Leurs spécificités, ils sont sans émerillon !
Nous pourrons lui enlever sans risque de la blesser profondément.
Il faut qu’elle puisse nous resservir.
Regardez, comment il faudra que vous les mettiez quand je serais parti.
Ces seins adorent être percés chaque jour.
Je suis abasourdi.
Marc prend un hameçon et le passe dans le trou qu’il a dégagé du premier piercing dans le sein gauche.
Il en fait de même avec l’autre hameçon dans la fraise du sein droit.
Le corps de notre soumise semble habituer à être percé, car ils entrent sans qu’il ait à forcer.
• Vous voyez maîtresse Diffa, les deux seins sont reliés entre eux par cette chaîne.
Soumise, soulevez votre jambe droite que je vous fixe cette menotte, ce qui va tendre la corde.
Mon amie s’exécute.
Marc prend une boule qu’il lui place dans sa bouche.
Ce doit être celle qu’il lui place tous les jours, car les sangles sont exactement réglées à ses dimensions.
Elle va pouvoir hurler de toutes ses cordes vocales, sans que les voisins soient alertés qu’elle aime souffrir, c’est le moins que l’on puisse dire.
• Diffa, regardez, j’attache la corde à son mollet.
Maintenant c’est elle qui est maîtresse de ses envies, il lui suffit de descendre sa jambe ou de la monter pour que ses seins suivent tirés par les hameçons.
Faites voir à maîtresse Diffa comme vous aimez vous faire souffrir.
Incroyable, mon amie baisse sa jambe tendant la corde et l’ensemble relié par une poulie lui tirant les seins vers le haut.
J’ai mal pour elle, les hameçons tirent ses pointes à la limite de les arracher.
• Allez soumise, aimez-vous que cela vous fasse mal.
Vous serrez les dents autour de votre boule, reposez votre jambe au sol, les réglages vont vous permettre d’apporter de la douleur à vos seins comme vous aimez en recevoir.
Dans un premier temps, elle relève sa jambe devant ressentir une douleur top forte pour cette première tension.
Elle rabaisse sa jambe une deuxième fois gagnants cinq centimètres.
Dès la troisième tentative, elle pose son pied au sol, mais le relève rapidement.
• Soumise, vous voyez, vous retrouvez vos bonnes habitudes, tenez plus longtemps votre pied au sol sinon maîtresse Diffa va vous cravacher.
Maîtresse prenez une cravache sur ce mur.
Oui, celle avec la large spatule et apprenez à la fesser, cela va lui stimuler le sang, allez soumise baissez cette jambe.
Inimaginable, moi qui aime sucer la chatte de mon amie, je me surprends à la cravacher pour la première fois.
Chaque fois que je frappe ou chaque fois qu’elle baisse sa jambe, elle émet des cris doux à mes oreilles malgré sa bouche obstruée.
Inimaginable, j’aime la torturer autant qu’elle semble aimer que je la torture.
• Vous voyez maîtresse Diffa, elle aime et en redemande !
• Que faite vous, c’est fou, laissez Galit.
Comment peux-tu mettre une telle tenue mon amour ?
C’est Francis qui vient d’entrer, nous cherchant...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Beurk comme les minots vous êtes sérieuse !!!! 🤦♀️😤
La chipie
La chipie
Beueueurrkkkk lis pas si c'est Beueueueurrkkkk...
Beueueurrkkkk...

