COLLECTION SM. Mon premier job (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SM. Mon premier job (1/1)
• Bonjour Chris, c’est un ami à toi qui m’a parlé de toi, il t’a vu dans les douches, tu as un physique qui m’intéresse en deux points.
Le premier, tu es noir et ma clientèle surtout féminine va adorer, le deuxième, c’est que tu es bien membré, je cherche ce double profile pour mon manoir.
• Votre manoir ?
• Oui, j’en possède un, quelque part en France, je t’embauche pour les trois mois d’été avant que tu retournes finir tes études, tu vas gagner assez d’argent en 3 mois ce qui te payera entièrement ton année d’études.
• Ça consiste en quoi !
• Être mon adjoint pour satisfaire ma clientèle qui si elle aime tes services laissera de gros pourboires.
• Ça semble intéressant, mais pourquoi est-il nécessaire d’avoir un gros sexe ?
• Ma clientèle aime les beaux sexes, j’avais un adjoint qui a décidé d’arrêter son job, il est parti voir d’autres horizons, il s’est engagé dans la marine, lui étant blanc.
Avec toi, j’apporte un plus, un black, tu vas faire fureur.
• Ça consiste en quoi !
• Difficile à t’expliquer, le mieux est que ma voiture soit devant chez toi et te conduise à mon manoir, tu fais un essai et si ça te convient, tu reste les trois prochains mois.
• Je veux bien essayer, mais je dois être franc, je suis puceau.
• Aucun problème, chez moi, tu vas très vite t’en séparer, on va régler ce problème dès le premier jour, à oui, voici 1 000 € en avance sur salaire, on est d’accord.
• Banco, je suis d'accord de faire un essai d'une semaine.
• Je te prendrais devant chez toi demain matin avec ma voiture, je te ferais monter à l’arrière, ma clientèle tient à son anonymat, les vitres opaques t’empêcheront de voir où est mon manoir.
C’est comme cela qu’après avoir pris un verre, à 20 heures, j’embarque pour une destination inconnue avec Maître Pascal, c’est du moins le nom qu’il m’a conseillé de lui donner.
Il faut être un peu barjo, s’embarquer dans une telle aventure sans garde-fou, c’est un peu dingue, même l’argent est secondaire, sous une apparence d’homme fort, seule ma musculature entretenue en salle, est au niveau.
Si je suis puceau, c’est que je suis un indécrottable timide, du moins avant que je sois dans cette voiture sans savoir où je vais.
C’est ainsi que la voiture s’arrête, quand j’en descends, je suis dans un garage, maître Pascale me conduit dans ma chambre sans savoir où je suis, sur mon lit ma tenue de travail est posée, combinaison de cuir noir avec cagoule et botte à la D’Artagnan.
• Ce soir vingt et une heures, Jo ton copain de boulot viendra te chercher, tu auras enfilé ta tenue et tu le suivras, surtout mets bien ta cagoule, c’est notre outil principal, ainsi que ta queue.
Un peu anxieux, je suis Jo aussi bien bâti que moi, lui blanc, moi noir, chocolat au lait tout au plus.
• Bonjour Chris, je te présente notre première cliente, la baronne, il y a des années qu’elle vient chez nous, ce sera une première expérience très enrichissante pour toi.
• Maître Pascal, vous m’aviez annoncé une surprise, elle est de taille, sa couleur va à mon teint de brune, commençons, j’ai hâte d’arriver à la phase finale.
C’est ainsi que dès le premier jour, Jo et Maître Pascal m’apprennent à ficeler la baronne comme un vulgaire paquet, le plus dur, ce sont ses seins, Jo les presse pour que j’entoure la cordelette, le sang étant stoppé dans ses terminaisons, j’ai mal pour elle, rapidement on dirait des calebasses.
Après l’avoir suspendu à bonne hauteur, ses bras étant tendus, ses articulations sont à la limite de craquer, mais elle semble aimer cela, elle nous présente un sourire épanoui.
Surtout, après la flagellation qu’on lui fait subir, ses fesses, ses seins sont rubiconds, je me répète, mais c’est loin d’être un problème, j’ai mal pour elle.
• Chris, c’est le moment du final, Baronne, j’espère que nous avons été à la hauteur, vous allez avoir l’honneur de dépuceler mon nouvel assistant, il avait gardé son pucelage pour vous, à toi mon ami, fais-toi une réputation, avec capote bien sûr.
Je me suis avancé pour me placer dans la fourche de la baronne, elle est entièrement dépourvue de poil, je sors mon sexe par la fente prévu à cet effet.
• Vas-y direct, Chris, j’aime les grosses bites et la violence, ça, tu l’as déjà compris.
Je la prends par les hanches, nul besoin de préparatif pour cette première fois, style fellation, je connais tout cela, m’étant souvent masturbé devant des vidéos X, mon sexe étant tendu comme jamais, alors je la pointe.
Premier hurlement de la dame, mais il me semble de plaisir quand mon bâton entre au fond de sa grotte, premier coup de reins, la faisant trembler et orgasme en même temps que je décharge dans ma capote.
Nous détachons la baronne, elle vient me caresser la joue.
• Maître Pascal, quand avez-vous un jour de libre, je crois que je vais revenir très vite, Jo excuse-moi, la prochaine fois, je m’occuperais de vous ensemble avec Chris.
Maître Pascal raccompagne la baronne, jusqu’à sa voiture, à son retour, il me tend un billet de 200 €.
• Bien venu dans mon monde Chris, voici un pourboire de la baronne, c’est la première fois qu’elle en sort autant, en plus, j’ai noté sur mon agenda, une séance tous les quinze jours jusqu’à la fin de l’été.
Allez-vous reposer, monsieur Léon arrive dans une heure.
Dois-je parler de monsieur Léon, j’ai vite reconnu un homme que je voyais fréquemment à la télé, c’est un présentateur connu, nous l’avons cloué au pilori l’un des instruments de torture de la cave, tous des objets étant d’origine, même les poulies sont d’époque.
Maître Pascal a hérité du manoir, du moins c’est ce qu’il me dit le soir après la prestation avec monsieur Léon, en faisant des travaux, il a découvert une porte derrière un mur de briques qui l’avait mené auprès d’eux.
Il a décidé de les réhabiliter, objets et cave, par bouche-à-oreille, il a développé sa clientèle toute de grande qualité vue les tarifs qu’il pratique.
Monsieur Léon est cloué à un pilori, il est à moitié plié en avant dans une position qui doit le faire souffrir, mais il est là pour ça, nous le cravachons, il peut hurler autant qu’il le veut, la cave est sans ouverture et les murs bien épais.
• Chris, veux-tu l’enculer, il est aussi là pour ça.
• Pas nécessairement.
• Alors Jo à toi, je sais que tu adores sodomiser ce genre de raclure.
Vous êtes bien une raclure monsieur Léon.
• Oh, que oui maître, allez-y Jo bien fort comme j’aime, mais je vous fais confiance.
C’est ainsi que dès le premier jour, je vois un homme de réputation mondiale dans son métier se faire enculer, il hurle comme la baronne de plaisir, jusqu’à ce que Jo décharge dans son anus, en sortant, je peux vérifier qu’il baisait sans protection.
Comme pour la baronne, maître Pascal le raccompagne, à son retour, il a des billets en main.
• Tiens Jo, 1 000 € l’ensemble de ta prestation, 500 pour le sans capote.
Merde, les homos semblent être plus généreux que les hétéros, ça me servira de leçon, il faut savoir goûter à tous.
Les jours passent, je baise à tour de bras la baronne revient, accompagnée de sa fille qui souhaite connaître les plaisirs dont sa mère lui rabâche les oreilles.
C’est moi qui l’attache sur la croix où je la fouette et baise sans être le premier, contrairement à sa maman, sa chatte est bien serrée et je prends un pied phénoménal.
Cette journée avec cette petite a des conséquences sur mon avenir, mais nous y reviendrons, nous venons de placer sur le tourniquet un homme un peu bedonnant, nous arrivons après la phase soumissions à la phase sodomie.
• Jo, il est à toi.
• Pardon maître Pascal, laisser le moi, il faut tout connaître dans cette cave.
• Tu vas avoir une surprise.
J’aurais dû me méfier, mais j’y vais bille en tête, pour enfiler un mec, je procède de la même manière que la chatte de la fille ou de la baronne, il est à genoux le cul bien dégagé, je viens de faire claquer mes couilles sur son cul bien rebondi quand je sens quelqu’un dans mon dos.
Je tourne la tête, Jo est derrière moi, son sexe en main, avant que j’aie le temps de me poser des questions, il me pénètre, ma verge se dépucelait dans l’anus du client, Jo me prend ma rondelle.
Je venais de dire qu’il fallait tout connaître dans cette cave, je suis servi, je jouis dans le cul du client, plutôt dans ma capote, seul point qu’il m’était impossible de refuser.
Il en est de même pour Jo, chaque fois que l’un sodomise l’autre pour s’adapter à la demande des clients ou clientes.
Avec une cliente, qui est pendue par les bras, les pieds au sol, nous la poinçonnons en double pénétration, je sens la verge de Jo frotter la mienne à travers le périnée de la dame.
Je passe un été formidable, maître Pascal a même refusé de nombreux clients, ce matin, entré dans l’amphithéâtre de ma fac de droit, une jeune femme vient se placer à mon côté.
• Chris !
• Jacinthe !
Nous sortons d’une grande surface rayon bricolage, principalement des cordes, nous passons par un sex-shop, là encore nous prenons, cravache, martinet à boule de buis, sans oublier les pinces à seins crocodiles, celles qui font le plus mal.
Nous prenons aussi une boule à bouche, les voisins pourraient penser que je tue ma future femme quand elle va avoir les plaisirs que les douleurs que je vais lui apporter la dévasteront de plaisir.
La vie s’annonce radieuse, grâce à maître Pascal.
Le premier, tu es noir et ma clientèle surtout féminine va adorer, le deuxième, c’est que tu es bien membré, je cherche ce double profile pour mon manoir.
• Votre manoir ?
• Oui, j’en possède un, quelque part en France, je t’embauche pour les trois mois d’été avant que tu retournes finir tes études, tu vas gagner assez d’argent en 3 mois ce qui te payera entièrement ton année d’études.
• Ça consiste en quoi !
• Être mon adjoint pour satisfaire ma clientèle qui si elle aime tes services laissera de gros pourboires.
• Ça semble intéressant, mais pourquoi est-il nécessaire d’avoir un gros sexe ?
• Ma clientèle aime les beaux sexes, j’avais un adjoint qui a décidé d’arrêter son job, il est parti voir d’autres horizons, il s’est engagé dans la marine, lui étant blanc.
Avec toi, j’apporte un plus, un black, tu vas faire fureur.
• Ça consiste en quoi !
• Difficile à t’expliquer, le mieux est que ma voiture soit devant chez toi et te conduise à mon manoir, tu fais un essai et si ça te convient, tu reste les trois prochains mois.
• Je veux bien essayer, mais je dois être franc, je suis puceau.
• Aucun problème, chez moi, tu vas très vite t’en séparer, on va régler ce problème dès le premier jour, à oui, voici 1 000 € en avance sur salaire, on est d’accord.
• Banco, je suis d'accord de faire un essai d'une semaine.
• Je te prendrais devant chez toi demain matin avec ma voiture, je te ferais monter à l’arrière, ma clientèle tient à son anonymat, les vitres opaques t’empêcheront de voir où est mon manoir.
C’est comme cela qu’après avoir pris un verre, à 20 heures, j’embarque pour une destination inconnue avec Maître Pascal, c’est du moins le nom qu’il m’a conseillé de lui donner.
Il faut être un peu barjo, s’embarquer dans une telle aventure sans garde-fou, c’est un peu dingue, même l’argent est secondaire, sous une apparence d’homme fort, seule ma musculature entretenue en salle, est au niveau.
Si je suis puceau, c’est que je suis un indécrottable timide, du moins avant que je sois dans cette voiture sans savoir où je vais.
C’est ainsi que la voiture s’arrête, quand j’en descends, je suis dans un garage, maître Pascale me conduit dans ma chambre sans savoir où je suis, sur mon lit ma tenue de travail est posée, combinaison de cuir noir avec cagoule et botte à la D’Artagnan.
• Ce soir vingt et une heures, Jo ton copain de boulot viendra te chercher, tu auras enfilé ta tenue et tu le suivras, surtout mets bien ta cagoule, c’est notre outil principal, ainsi que ta queue.
Un peu anxieux, je suis Jo aussi bien bâti que moi, lui blanc, moi noir, chocolat au lait tout au plus.
• Bonjour Chris, je te présente notre première cliente, la baronne, il y a des années qu’elle vient chez nous, ce sera une première expérience très enrichissante pour toi.
• Maître Pascal, vous m’aviez annoncé une surprise, elle est de taille, sa couleur va à mon teint de brune, commençons, j’ai hâte d’arriver à la phase finale.
C’est ainsi que dès le premier jour, Jo et Maître Pascal m’apprennent à ficeler la baronne comme un vulgaire paquet, le plus dur, ce sont ses seins, Jo les presse pour que j’entoure la cordelette, le sang étant stoppé dans ses terminaisons, j’ai mal pour elle, rapidement on dirait des calebasses.
Après l’avoir suspendu à bonne hauteur, ses bras étant tendus, ses articulations sont à la limite de craquer, mais elle semble aimer cela, elle nous présente un sourire épanoui.
Surtout, après la flagellation qu’on lui fait subir, ses fesses, ses seins sont rubiconds, je me répète, mais c’est loin d’être un problème, j’ai mal pour elle.
• Chris, c’est le moment du final, Baronne, j’espère que nous avons été à la hauteur, vous allez avoir l’honneur de dépuceler mon nouvel assistant, il avait gardé son pucelage pour vous, à toi mon ami, fais-toi une réputation, avec capote bien sûr.
Je me suis avancé pour me placer dans la fourche de la baronne, elle est entièrement dépourvue de poil, je sors mon sexe par la fente prévu à cet effet.
• Vas-y direct, Chris, j’aime les grosses bites et la violence, ça, tu l’as déjà compris.
Je la prends par les hanches, nul besoin de préparatif pour cette première fois, style fellation, je connais tout cela, m’étant souvent masturbé devant des vidéos X, mon sexe étant tendu comme jamais, alors je la pointe.
Premier hurlement de la dame, mais il me semble de plaisir quand mon bâton entre au fond de sa grotte, premier coup de reins, la faisant trembler et orgasme en même temps que je décharge dans ma capote.
Nous détachons la baronne, elle vient me caresser la joue.
• Maître Pascal, quand avez-vous un jour de libre, je crois que je vais revenir très vite, Jo excuse-moi, la prochaine fois, je m’occuperais de vous ensemble avec Chris.
Maître Pascal raccompagne la baronne, jusqu’à sa voiture, à son retour, il me tend un billet de 200 €.
• Bien venu dans mon monde Chris, voici un pourboire de la baronne, c’est la première fois qu’elle en sort autant, en plus, j’ai noté sur mon agenda, une séance tous les quinze jours jusqu’à la fin de l’été.
Allez-vous reposer, monsieur Léon arrive dans une heure.
Dois-je parler de monsieur Léon, j’ai vite reconnu un homme que je voyais fréquemment à la télé, c’est un présentateur connu, nous l’avons cloué au pilori l’un des instruments de torture de la cave, tous des objets étant d’origine, même les poulies sont d’époque.
Maître Pascal a hérité du manoir, du moins c’est ce qu’il me dit le soir après la prestation avec monsieur Léon, en faisant des travaux, il a découvert une porte derrière un mur de briques qui l’avait mené auprès d’eux.
Il a décidé de les réhabiliter, objets et cave, par bouche-à-oreille, il a développé sa clientèle toute de grande qualité vue les tarifs qu’il pratique.
Monsieur Léon est cloué à un pilori, il est à moitié plié en avant dans une position qui doit le faire souffrir, mais il est là pour ça, nous le cravachons, il peut hurler autant qu’il le veut, la cave est sans ouverture et les murs bien épais.
• Chris, veux-tu l’enculer, il est aussi là pour ça.
• Pas nécessairement.
• Alors Jo à toi, je sais que tu adores sodomiser ce genre de raclure.
Vous êtes bien une raclure monsieur Léon.
• Oh, que oui maître, allez-y Jo bien fort comme j’aime, mais je vous fais confiance.
C’est ainsi que dès le premier jour, je vois un homme de réputation mondiale dans son métier se faire enculer, il hurle comme la baronne de plaisir, jusqu’à ce que Jo décharge dans son anus, en sortant, je peux vérifier qu’il baisait sans protection.
Comme pour la baronne, maître Pascal le raccompagne, à son retour, il a des billets en main.
• Tiens Jo, 1 000 € l’ensemble de ta prestation, 500 pour le sans capote.
Merde, les homos semblent être plus généreux que les hétéros, ça me servira de leçon, il faut savoir goûter à tous.
Les jours passent, je baise à tour de bras la baronne revient, accompagnée de sa fille qui souhaite connaître les plaisirs dont sa mère lui rabâche les oreilles.
C’est moi qui l’attache sur la croix où je la fouette et baise sans être le premier, contrairement à sa maman, sa chatte est bien serrée et je prends un pied phénoménal.
Cette journée avec cette petite a des conséquences sur mon avenir, mais nous y reviendrons, nous venons de placer sur le tourniquet un homme un peu bedonnant, nous arrivons après la phase soumissions à la phase sodomie.
• Jo, il est à toi.
• Pardon maître Pascal, laisser le moi, il faut tout connaître dans cette cave.
• Tu vas avoir une surprise.
J’aurais dû me méfier, mais j’y vais bille en tête, pour enfiler un mec, je procède de la même manière que la chatte de la fille ou de la baronne, il est à genoux le cul bien dégagé, je viens de faire claquer mes couilles sur son cul bien rebondi quand je sens quelqu’un dans mon dos.
Je tourne la tête, Jo est derrière moi, son sexe en main, avant que j’aie le temps de me poser des questions, il me pénètre, ma verge se dépucelait dans l’anus du client, Jo me prend ma rondelle.
Je venais de dire qu’il fallait tout connaître dans cette cave, je suis servi, je jouis dans le cul du client, plutôt dans ma capote, seul point qu’il m’était impossible de refuser.
Il en est de même pour Jo, chaque fois que l’un sodomise l’autre pour s’adapter à la demande des clients ou clientes.
Avec une cliente, qui est pendue par les bras, les pieds au sol, nous la poinçonnons en double pénétration, je sens la verge de Jo frotter la mienne à travers le périnée de la dame.
Je passe un été formidable, maître Pascal a même refusé de nombreux clients, ce matin, entré dans l’amphithéâtre de ma fac de droit, une jeune femme vient se placer à mon côté.
• Chris !
• Jacinthe !
Nous sortons d’une grande surface rayon bricolage, principalement des cordes, nous passons par un sex-shop, là encore nous prenons, cravache, martinet à boule de buis, sans oublier les pinces à seins crocodiles, celles qui font le plus mal.
Nous prenons aussi une boule à bouche, les voisins pourraient penser que je tue ma future femme quand elle va avoir les plaisirs que les douleurs que je vais lui apporter la dévasteront de plaisir.
La vie s’annonce radieuse, grâce à maître Pascal.
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