COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Fin de la saison II et de mon histoire (6/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Il est difficile d’échapper à son destin. Fin de la saison II et de mon histoire (6/6)
Mince, Chris vient de mettre les trois petits points à la fin du chapitre V, il souhaite vous faire languir, il est assez sadique pour ça.
Nous sommes arrivées à la fin du chapitre VI qui va marquer ma vie entre deux façons de vivre.
Femme mariée exemplaire du moins en façade, je dirais donc plutôt faux cul et femme qui a la demande de sa chatte, va chercher par tous les moyens à la satisfaire même si le fait de lui céder marquera ma soumission.
C’est le cas ce soir après un verre de connaissance dans mon bar principal, lieu de chasse de ma jeunesse.
Je retrouve Patricia la mère de Joseph et surtout Christian le jeune avec lequel j’ai eu une fois un rapide rapport.
Christian, le premier même si cela a été assez bref et sans grande intensité, il reste le premier.
Le restaurant d’un hôtel là aussi connu de moi, avant d’aller m’éclater dans les étages.
À ce jour, c’est toujours seul avec mon futur sexe que je monte dans l’ascenseur.
Ce soir ils sont deux, Patricia ma maîtresse avec qui je me gouinais et Sylvain bite de passage qui va nous baiser toutes les deux.
Déjà dans l’ascenseur nous nous roulons des pelles gourmandes la main de l’un et de l’autre caressant ma chatte.
Elle bave d’envie de retrouver ces ambiances phalliques qui vont la satisfaire pour quelques heures et j’espère quelques jours.
Chez moi où je vis maintenant, ayant franchi le pas, je sais que la bite d’Alex, je l’ai à ma disposition chaque fois qu’il sera présent et que celle dont je dépends aura envie que je sois sa soumise.
Dans ma première vie, j’étais doué pour trouver des situations ou la satisfaire, sans nul doute qu’en plus de celle d’Alex je connaisse mes instincts de chasseresse et qu’à chaque fois qu’elle le décidera je trouverais à la satisfaire.
Ici chez mes parents, quand Patricia essaye de passer sa main dans mon short, il est tellement serré que sa tentative de la glisser par le haut a été impossible.
Quand elle me passe sa main la faisant glisser dessus, je sais qu’elle sera un très bon alibi pour des soirées torride comme celle que je commence ce soir.
Si avant ma décision de me ranger, mes parents savaient pour mes frasques, ils ont toujours ignorés ou et avec qui je les faisais.
Mon erreur dans ces années-là, c’était de rentrer alors qu’ils étaient déjà levés.
Il me voyait raide défoncée par l’alcool et les parties de jambes en l’air que ma foune m’imposait et auquel je me laissais aller.
Ce soir, je vais me faire baiser, je vais m’éclater et surtout je vais prendre une douche.
Combien de fois, suis-je rentrée chez mes parents la figure encore recouverte du sperme que des inconnus m’avaient éjaculé dessus ?
J’étais inconsciente de l’état ou j’étais quand je me présentais devant eux.
Maquillage et surtout ce soir avec les vêtements que j’ai mis dans mon sac après m’être changé.
Le sac que j’ai pris avec moi ce soir est largement assez grand pour y mettre mes chaussures remplaçant les cuissardes que je remettrai dans ma voiture.
Bref quand Sylvain nous fait entrer, j’entrerai pute et j’en ressortirai de nouveau bourgeoise aux deux adorables enfants.
Ce soir, je suis là pour me satisfaire, pour baiser comme une malade.
L’évocation de mes enfants risque de troubler mes ébats surtout quand mon haut s’envole et que deux bouches avides se collent sur chacun de mes mamelons.
Patricia d’un côté Sylvain de l’autre, ils commencent à sucer mes pointes très développées depuis mes allaitements successifs.
C’est moi qui fais sauter le bouton de mon short qui chute au sol me laissant nue offerte à ces deux êtres dont l’une je sais ce qu’elle aime et elle me le rendant bien.
Embrasser une salope, qui embrasse une autre salope, qui embrasse le garçon qui nous reçoit dans sa chambre.
Trio parfait, car c’est à mon tour d’avoir sa langue caressant ma langue.
Patricia se recule et choit sur le lit.
Je la suis et comme elle a écarté ses cuisses m’offrant sa chatte épilée, ma bouche s’empresse de venir récupérer la myriade de sécrétion qu’elle expulse.
Que c’est bon de retrouver son odeur de femme en rut.
Comme avec Alex, je sens que Sylvain cherche sa cible et une nouvelle fois je deviens la chienne que j’ai réussie pendant des années à refréner refusant d’être à la botte de ma propre chatte.
Si Loïc s’était plus occupé de moi que de s’évertuer à vendre toujours plus de pièces mécaniques, je serais restée dans le camp des femmes fidèles.
Hélas, pourquoi Loïc a-t-il voulu retourner dans cette discothèque ?
Hélas, comme me l’a dit Alex, une salope reste une salope.
Je vois déjà les commentaires des grincheux et des grincheuses, plutôt les deuxièmes, les femmes étant plus dures avec les autres femmes.
Pour ma défense, si je suis défendable, aimer le sexe et en être frustré par son homme, c’est peut-être une forme de défense.
• Baise-moi, enfile-moi.
Voilà, rapidement je jouis, un orgasme sans fin me traverse et ce sont mes jambes flageolantes que je redeviens bourgeoise.
• Tu nous quittes déjà Claire !
C’est Patricia qui lève la tête alors que sa bouche faisait une pipe à cette bite qui m’a bien baisé assez du moins pour retrouver ma vie tranquille avec mes enfants.
Je démarre ma voiture, un peut plus loin un bar est encore ouvert.
Une place pour me garer, je vais pour descendre, il faut être raisonnable, mon pied appuie pour redémarrer et retrouver ma famille.
• Te voilà Claire, déjà ?
• Que crois-tu maman, tu pensais que j’allais foutre ma vie en l’air que j’ai eu tant de mal à construire pour redevenir celle que j’étais dans ma jeunesse ?
Je suis simplement allée au restaurant avec Patricia une amie, nous avons papoté de ses deux fils et moi de mes enfants et me voilà.
• Merci ma fille, avec ton père, nous avions cru que tu te servirais de nous et de notre envie de voir un peu plus nos petits-enfants pour renouer avec ton passé.
• Mon passé, c’est mon passé et soyez rassurés, il est derrière moi.
• Va embrasser tes enfants, ils sont adorables.
• Merci, je fais ce que je peux pour bien les élever, après une douche et dodo.
• J’oubliais, Loïc a appelé, il voulait avoir de tes nouvelles et aussi des enfants, je lui ai dit que tout allait bien.
• Au restaurant à une table voisine, une femme a passé son temps à répondre sur son portable, j’avais éteint le mien, je vais le remettre en marche.
Les portables, source d’emmerdes pour les femmes adultères, mais comme dans le temps de ma splendeur, je trouve toujours un motif pour me disculper.
J’embrasse mes enfants, ils dorment sans savoir et je l’espère toujours, que leur mère est dépendante de sa chatte.
Je me couche, je passe mes mains sur ma toison et sur mon clito.
« Tu vois c’est facile d’être une salope, il est facile de berner les uns ou les autres. »
• Tu es contente de toi, tu as fini par avoir ce que tu voulais, même si c’est moi qui dois composer avec les uns ou les autres.
Je me rends compte que c’est ma chatte qui m’a parlé et que comme une malade, je lui réponds.
Le dimanche soir arrive, nous sommes de retour.
• Bonjours les enfants, vous vous êtes bien amusés chez papy et mamy !
• Oui, mais tu nous as manqué, papa !
• Merci mes enfants, merci ma chérie, je m’excuse pour mon appel à ta mère, je t’avais envoyé un message sans réponse de ta part.
• Ma batterie était vide, j’étais sortie avec une amie.
• Je sais ma chérie, belle maman me l’a dit !
Ça s’est bien passé !
Quand je dis que je suis forte en alibi, surtout que le soir, malgré que pour lui demain c’est lundi et qu’une nouvelle semaine trépidante commence pour lui, nous faisons l’amour.
« Heureusement, que ce week-end, je me suis éclatée, quelle tristesse avec ton mari. »
• Tu te tais salope, tes saloperies tu les laisses à la porte de cette maison.
Nous savions toutes les deux à quoi nous en tenir quand nous avons pris la décision de nous marier avec Loïc.
Je rentre dans mon bain, je suis fière d’avoir claqué le bec à ma chatte, mon portable vibre, je viens de le poser sur la tablette de notre baignoire.
Je le prends et je décroche.
• Claire, c’est Alex, je suis chez moi demain, on dit 13 heures !
Je serais avec un copain !
• Oui, je viendrais, tu as bien dit deux !
« Tu vois, j’ai toujours raison, tu es une salope, on va s’éclater. »
• On va s’éclater, pourquoi ce « on » ?
« Parce que nous sommes deux c’est ton anus qui te parle. »
« Si ton sexe sur pied en a un troisième, je suis prenante, je suis ta bouche et je le sucerais bien volontiers. »
« Et tes mains, tu oublies tes mains, deux de plus, on assurera ! »
Alex avait raison, une salope reste une salope.
« Et une salope reste une salope ! »
Je lui dirais bien « ta gueule » !
Hélas, j’aurais peur de la vexer et qu’elle redevienne sage.
Nous sommes arrivées à la fin du chapitre VI qui va marquer ma vie entre deux façons de vivre.
Femme mariée exemplaire du moins en façade, je dirais donc plutôt faux cul et femme qui a la demande de sa chatte, va chercher par tous les moyens à la satisfaire même si le fait de lui céder marquera ma soumission.
C’est le cas ce soir après un verre de connaissance dans mon bar principal, lieu de chasse de ma jeunesse.
Je retrouve Patricia la mère de Joseph et surtout Christian le jeune avec lequel j’ai eu une fois un rapide rapport.
Christian, le premier même si cela a été assez bref et sans grande intensité, il reste le premier.
Le restaurant d’un hôtel là aussi connu de moi, avant d’aller m’éclater dans les étages.
À ce jour, c’est toujours seul avec mon futur sexe que je monte dans l’ascenseur.
Ce soir ils sont deux, Patricia ma maîtresse avec qui je me gouinais et Sylvain bite de passage qui va nous baiser toutes les deux.
Déjà dans l’ascenseur nous nous roulons des pelles gourmandes la main de l’un et de l’autre caressant ma chatte.
Elle bave d’envie de retrouver ces ambiances phalliques qui vont la satisfaire pour quelques heures et j’espère quelques jours.
Chez moi où je vis maintenant, ayant franchi le pas, je sais que la bite d’Alex, je l’ai à ma disposition chaque fois qu’il sera présent et que celle dont je dépends aura envie que je sois sa soumise.
Dans ma première vie, j’étais doué pour trouver des situations ou la satisfaire, sans nul doute qu’en plus de celle d’Alex je connaisse mes instincts de chasseresse et qu’à chaque fois qu’elle le décidera je trouverais à la satisfaire.
Ici chez mes parents, quand Patricia essaye de passer sa main dans mon short, il est tellement serré que sa tentative de la glisser par le haut a été impossible.
Quand elle me passe sa main la faisant glisser dessus, je sais qu’elle sera un très bon alibi pour des soirées torride comme celle que je commence ce soir.
Si avant ma décision de me ranger, mes parents savaient pour mes frasques, ils ont toujours ignorés ou et avec qui je les faisais.
Mon erreur dans ces années-là, c’était de rentrer alors qu’ils étaient déjà levés.
Il me voyait raide défoncée par l’alcool et les parties de jambes en l’air que ma foune m’imposait et auquel je me laissais aller.
Ce soir, je vais me faire baiser, je vais m’éclater et surtout je vais prendre une douche.
Combien de fois, suis-je rentrée chez mes parents la figure encore recouverte du sperme que des inconnus m’avaient éjaculé dessus ?
J’étais inconsciente de l’état ou j’étais quand je me présentais devant eux.
Maquillage et surtout ce soir avec les vêtements que j’ai mis dans mon sac après m’être changé.
Le sac que j’ai pris avec moi ce soir est largement assez grand pour y mettre mes chaussures remplaçant les cuissardes que je remettrai dans ma voiture.
Bref quand Sylvain nous fait entrer, j’entrerai pute et j’en ressortirai de nouveau bourgeoise aux deux adorables enfants.
Ce soir, je suis là pour me satisfaire, pour baiser comme une malade.
L’évocation de mes enfants risque de troubler mes ébats surtout quand mon haut s’envole et que deux bouches avides se collent sur chacun de mes mamelons.
Patricia d’un côté Sylvain de l’autre, ils commencent à sucer mes pointes très développées depuis mes allaitements successifs.
C’est moi qui fais sauter le bouton de mon short qui chute au sol me laissant nue offerte à ces deux êtres dont l’une je sais ce qu’elle aime et elle me le rendant bien.
Embrasser une salope, qui embrasse une autre salope, qui embrasse le garçon qui nous reçoit dans sa chambre.
Trio parfait, car c’est à mon tour d’avoir sa langue caressant ma langue.
Patricia se recule et choit sur le lit.
Je la suis et comme elle a écarté ses cuisses m’offrant sa chatte épilée, ma bouche s’empresse de venir récupérer la myriade de sécrétion qu’elle expulse.
Que c’est bon de retrouver son odeur de femme en rut.
Comme avec Alex, je sens que Sylvain cherche sa cible et une nouvelle fois je deviens la chienne que j’ai réussie pendant des années à refréner refusant d’être à la botte de ma propre chatte.
Si Loïc s’était plus occupé de moi que de s’évertuer à vendre toujours plus de pièces mécaniques, je serais restée dans le camp des femmes fidèles.
Hélas, pourquoi Loïc a-t-il voulu retourner dans cette discothèque ?
Hélas, comme me l’a dit Alex, une salope reste une salope.
Je vois déjà les commentaires des grincheux et des grincheuses, plutôt les deuxièmes, les femmes étant plus dures avec les autres femmes.
Pour ma défense, si je suis défendable, aimer le sexe et en être frustré par son homme, c’est peut-être une forme de défense.
• Baise-moi, enfile-moi.
Voilà, rapidement je jouis, un orgasme sans fin me traverse et ce sont mes jambes flageolantes que je redeviens bourgeoise.
• Tu nous quittes déjà Claire !
C’est Patricia qui lève la tête alors que sa bouche faisait une pipe à cette bite qui m’a bien baisé assez du moins pour retrouver ma vie tranquille avec mes enfants.
Je démarre ma voiture, un peut plus loin un bar est encore ouvert.
Une place pour me garer, je vais pour descendre, il faut être raisonnable, mon pied appuie pour redémarrer et retrouver ma famille.
• Te voilà Claire, déjà ?
• Que crois-tu maman, tu pensais que j’allais foutre ma vie en l’air que j’ai eu tant de mal à construire pour redevenir celle que j’étais dans ma jeunesse ?
Je suis simplement allée au restaurant avec Patricia une amie, nous avons papoté de ses deux fils et moi de mes enfants et me voilà.
• Merci ma fille, avec ton père, nous avions cru que tu te servirais de nous et de notre envie de voir un peu plus nos petits-enfants pour renouer avec ton passé.
• Mon passé, c’est mon passé et soyez rassurés, il est derrière moi.
• Va embrasser tes enfants, ils sont adorables.
• Merci, je fais ce que je peux pour bien les élever, après une douche et dodo.
• J’oubliais, Loïc a appelé, il voulait avoir de tes nouvelles et aussi des enfants, je lui ai dit que tout allait bien.
• Au restaurant à une table voisine, une femme a passé son temps à répondre sur son portable, j’avais éteint le mien, je vais le remettre en marche.
Les portables, source d’emmerdes pour les femmes adultères, mais comme dans le temps de ma splendeur, je trouve toujours un motif pour me disculper.
J’embrasse mes enfants, ils dorment sans savoir et je l’espère toujours, que leur mère est dépendante de sa chatte.
Je me couche, je passe mes mains sur ma toison et sur mon clito.
« Tu vois c’est facile d’être une salope, il est facile de berner les uns ou les autres. »
• Tu es contente de toi, tu as fini par avoir ce que tu voulais, même si c’est moi qui dois composer avec les uns ou les autres.
Je me rends compte que c’est ma chatte qui m’a parlé et que comme une malade, je lui réponds.
Le dimanche soir arrive, nous sommes de retour.
• Bonjours les enfants, vous vous êtes bien amusés chez papy et mamy !
• Oui, mais tu nous as manqué, papa !
• Merci mes enfants, merci ma chérie, je m’excuse pour mon appel à ta mère, je t’avais envoyé un message sans réponse de ta part.
• Ma batterie était vide, j’étais sortie avec une amie.
• Je sais ma chérie, belle maman me l’a dit !
Ça s’est bien passé !
Quand je dis que je suis forte en alibi, surtout que le soir, malgré que pour lui demain c’est lundi et qu’une nouvelle semaine trépidante commence pour lui, nous faisons l’amour.
« Heureusement, que ce week-end, je me suis éclatée, quelle tristesse avec ton mari. »
• Tu te tais salope, tes saloperies tu les laisses à la porte de cette maison.
Nous savions toutes les deux à quoi nous en tenir quand nous avons pris la décision de nous marier avec Loïc.
Je rentre dans mon bain, je suis fière d’avoir claqué le bec à ma chatte, mon portable vibre, je viens de le poser sur la tablette de notre baignoire.
Je le prends et je décroche.
• Claire, c’est Alex, je suis chez moi demain, on dit 13 heures !
Je serais avec un copain !
• Oui, je viendrais, tu as bien dit deux !
« Tu vois, j’ai toujours raison, tu es une salope, on va s’éclater. »
• On va s’éclater, pourquoi ce « on » ?
« Parce que nous sommes deux c’est ton anus qui te parle. »
« Si ton sexe sur pied en a un troisième, je suis prenante, je suis ta bouche et je le sucerais bien volontiers. »
« Et tes mains, tu oublies tes mains, deux de plus, on assurera ! »
Alex avait raison, une salope reste une salope.
« Et une salope reste une salope ! »
Je lui dirais bien « ta gueule » !
Hélas, j’aurais peur de la vexer et qu’elle redevienne sage.
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