COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Je ramasse (9/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. Je ramasse (9/1)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
C’est au marché que Maître Albert, me donne, non, m'offre à son frère, pour rattraper l’erreur que j’ai faite en lui donnant la boîte de six œufs, pensant bien faire, en lui offrant les plus gros.
Il s’avère que ces œufs étaient placés dans les nids pour que les poules prennent l’habitude de venir pondre évitant qu’ils soient dispersés partout.
Ils étaient pourris.
Jacques, le frère de mon Maître, pensait qu’il m’avait donné l’ordre de l’empoisonner.
Pour lui prouver que les intentions d'Albert étaient pures et que c'est moi qui me suis trompée, j'accepte ma "punition".
Je monte rejoindre le matelas dans l'arrière du camion où je sais que sur l’un des murs une cravache m’attend.
La tôle est criblée de trous, ça me permet de voir assez clair pour comprendre ce qui va m’arriver.
• Monsieur Jacques, je vous en supplie, je croyais bien faire, je vous ai donné ceux qui étaient les plus gros.
• Enlève tes vêtements de pute.
Je me retrouve nue en quelques instants, je veux essayer d’éviter ses représailles.
Il me regarde avec ses yeux vicieux, fixant mes mamelles de femme mure, mon petit ventre, mes mollets et cuisses, sans oublier bien sûr mon sexe glabre qui mouille.
• Les œufs, je m’en contrefiche, pour une fois c’est moi qui ai l'avantage sur mon frère, depuis tout petit je subis ses frasques, j’y ai perdu ma femme et ma fille. Ma femme, je vais la voir, mais elle ne me reconnaît pas, quant à ma fille, je suis souvent devant sa boutique, j’ai vu défiler une à une les filles qu’elle tatouait avec sa copine.
Tu te rends compte, c’est une gouine, ma fille est une suceuse de chattes, j’étais là quand tu es rentrée et en es ressortie avec tes tenues de salopes.
Les salopes, c’est comme cela que je les traite !
À partir de là, c’est avec son ceinturon qu’il me flagelle.
J’essaye de parer les coups, la première salve s’abat sur mes bras et mes épaules. J’essaye de me protéger du mieux que je peux, me retournant même, présentant mon dos et mon fessier.
Je serre les dents, Maître Albert n’aura pas le plaisir de m’entendre crier, je suis sûre qu’à l’extérieur il attend de m’entendre l’implorer de demander à son frère d’arrêter.
Son bras fatigue, les derniers coups sont presque des caresses, je tourne la tête, son pantalon est au bas de ses pieds, sa queue est identique à celle de mon Maître.
• Suce salope, j’ai vu que tu aimais t’exhiber, tu présentais tes seins à tous les hommes qui en redemandaient, tu mériterais que je te foute dehors, tu montrerais ton cul intégralement.
Je préfère sucer sa bite, avec les mêmes problèmes qu’avec mon Maître.
Mais dans mon for intérieur, j’aimerais qu’il mette sa menace à exécution car me promener nue sur ce marché ce serait phénoménal pour moi et si excitant.
Je comprends pourquoi à la ferme, j’ai le plaisir de vivre nue.
• Tu suces divinement bien.
Mon frère, même si c’est un pourri, sait y faire avec les femmes qu’il prend sous sa coupe.
Mets-toi à quatre pattes que je te sodomise.
En femme soumise, je perds l’habitude de contester les dire de ces messieurs, je me mets à quatre pattes lui présentant mon cul rond, pas trop gros mais bien ferme.
C’est à ce moment que j’entends la porte du tube s’ouvrir.
• Alors frérot, que penses-tu de ma salope ?
• J’allais l’enculer, mais j’y pense, pour sceller un pacte de paix entre nous deux, je te propose de réitérer la première fois où nous nous sommes dépucelés.
• Avec Rosa ?
• Oui, avec Rosa, la jeune garde d’enfant que les voisins faisaient venir pour garder leurs gosses.
• Tout juste, on l’avait repérée et chacun était persuadé d’être l’homme de sa vie.
• Quand on s’est aperçu qu’il nous serait impossible de savoir qui serait le premier à la coucher, nous avons convenu de la prendre en même temps.
• Ce coup si, on inverse.
• D’accord, on inverse.
Mon Maître s’allonge à mes côtés, sur le matelas, je vois sa bite, elle est déjà en pleine forme.
• Viens t’empaler par la chatte, Jacques va te prendre le cul.
Tu as compris, avec Rosa, nous avons perdu notre pucelage en la prenant en double pénétration, c’est moi qui l’avais sodomisée.
Qui n’a pas senti deux verges pilonner ses deux trous comme ils me pilonnent n'a jamais rien ressenti de telle.
C'est fabuleux !
N’oublions pas qu’ils sont montés comme des taureaux.
Si sous les coups de ceinture, j’ai fermé ma bouche, sous la charge de ces deux rostes, je jouis tellement que je dois ameuter tout le marché, je n’ai jamais rien ressenti de telle.
Quelle chance a eu Rosa de rencontrer deux êtres de cette pointure, et dire que c’était leur dépucelage.
Au moment où ces deux verges se déversent en moi, je dois tourner de l'œil ayant eu une jouissance trop forte.
Combien de temps suis-je restée dans les pommes ?
Un certain temps, car ayant perdu la notion du temps, me souvenant m’être fait ballotter à droite et à gauche, je reprends pied, je suis dans ma cage.
Un besoin naturel m’oblige à bouger, j’ai mal à la chatte et à l’anus, les deux frères m’ont littéralement défoncé, heureusement que j’ai mon coin toilettes.
Je me replace en chien de fusil, le temps du marché a été tellement intense que je me rendors.
C’est l’alarme qui me réveille, par chance, je suis déjà dans la cage.
Si c’est un intrus, je suis protégée, quelques minutes et la porte s’ouvre.
• Simone, je n’en crois pas mes yeux, merde, que fais tu dans cette position ?
• J’étais venu te dire que je te quittais et je te trouve enfermée.
Quand je suis parti à ta recherche, après m’être fait glisser le long de la paroi m’empêchant de remonter, je m’étais assis.
Je me demandais si j’avais bien fait, quant au-dessus de ma tête, j’ai entendu que l’on me parlait.
J’ai levé la tête, une belle blonde d’une quarantaine d'années était penchée me regardant, je l’ai rassurée lui disant que je cherchais une amie qui avait dû descendre par là.
Elle marchait en montagne ne connaissant pas ce sentier, elle a passé ses jambes dans le vide se laissant glisser afin de me rejoindre.
Je l'ai réceptionnée pour éviter qu’elle ne tombe, ses seins se sont retrouvés sur ma poitrine.
• L’as-tu baisée le long de cette paroi ?
• Non, nous nous sommes séparés, puis nous avons marché, c’est au bord d’un petit lac de montagne que nous avons fait l’amour, mais je m’arrête là, je vais t’aider à te sortir des pattes de ce psychopathe qui te séquestre.
• Va rejoindre ta pute, ferme la porte, ma place est ici.
C’est ainsi que je vois Pierre pour la dernière fois, il a compris que je suis une soumise volontaire de ce qui m’arrive.
Aussi, quand la porte s’ouvre de nouveau, mon Maître venant me faire travailler, j’avance à quatre pattes le regardant droit dans les yeux.
• C’est bien, quand ton ex est arrivé, l’alarme s'est déclenchée, il était devant ma porte, nous avons discuté et j’ai décidé de te tester.
Tu m’as réconcilié avec Jacques, mon frère, je me devais de te donner une chance.
Une chance, mais surtout un choix, rester ou partir.
Je vois que ta cage est refermée, je te remercie de m’avoir choisi, profites-en, il sera rare que je te traite comme une femme.
Tu deviens ma chienne favorite, demande-moi une faveur, je te l’accorde.
• J’aimerais un bain dans ton spa tous les matins au réveil.
• D’accord, mais je vais te faire franchir une étape nouvelle.
Voilà un collier pour gros chiens, je vais te le mettre et à partir de maintenant, ici, avec ce collier, je te promènerais avec ta laisse.
C’est seulement quand tu seras à l’extérieur, que tu te tiendras debout.
D’accord Maître Albert.
C’est comme cela que je franchis une étape nouvelle, moi la femme de 58 ans, bourgeoise dite de bonne famille.
Il m’emmène jusqu’au spa, les cailloux sur le chemin me font mal, mais c’est divinement que je me prélasse dans le bain froid.
Je vois le thermostat, 2 degrés, je frissonne mais je m’habitue, il faudra bien que je le fasse, ce n’est pas mon Maître qui aura de louable attention et il a raison, une soumise reste une soumise.
Je croyais le dominer, c’est lui qui le fait avec la température de mon bain matinal.
Je finis par aimer surtout que lorsque je sors et qu'il me couche sur la descente de bain, il me prend en levrette dans la chatte.
En demandant à Pierre de refermer la porte, j'avais conscience que ce que je cherchais se trouve avec Maître Albert, connaissant l’homme, il lui serait impossible d’être un Maître Pierre, il serait plutôt du genre d’être soumis lui aussi.
Que va-t-il m’arriver dans les heures et les jours prochains ?
Je l’ignore, ce que je sais, sait que je n’ai qu’un seul Maître, Maître Albert…
C’est au marché que Maître Albert, me donne, non, m'offre à son frère, pour rattraper l’erreur que j’ai faite en lui donnant la boîte de six œufs, pensant bien faire, en lui offrant les plus gros.
Il s’avère que ces œufs étaient placés dans les nids pour que les poules prennent l’habitude de venir pondre évitant qu’ils soient dispersés partout.
Ils étaient pourris.
Jacques, le frère de mon Maître, pensait qu’il m’avait donné l’ordre de l’empoisonner.
Pour lui prouver que les intentions d'Albert étaient pures et que c'est moi qui me suis trompée, j'accepte ma "punition".
Je monte rejoindre le matelas dans l'arrière du camion où je sais que sur l’un des murs une cravache m’attend.
La tôle est criblée de trous, ça me permet de voir assez clair pour comprendre ce qui va m’arriver.
• Monsieur Jacques, je vous en supplie, je croyais bien faire, je vous ai donné ceux qui étaient les plus gros.
• Enlève tes vêtements de pute.
Je me retrouve nue en quelques instants, je veux essayer d’éviter ses représailles.
Il me regarde avec ses yeux vicieux, fixant mes mamelles de femme mure, mon petit ventre, mes mollets et cuisses, sans oublier bien sûr mon sexe glabre qui mouille.
• Les œufs, je m’en contrefiche, pour une fois c’est moi qui ai l'avantage sur mon frère, depuis tout petit je subis ses frasques, j’y ai perdu ma femme et ma fille. Ma femme, je vais la voir, mais elle ne me reconnaît pas, quant à ma fille, je suis souvent devant sa boutique, j’ai vu défiler une à une les filles qu’elle tatouait avec sa copine.
Tu te rends compte, c’est une gouine, ma fille est une suceuse de chattes, j’étais là quand tu es rentrée et en es ressortie avec tes tenues de salopes.
Les salopes, c’est comme cela que je les traite !
À partir de là, c’est avec son ceinturon qu’il me flagelle.
J’essaye de parer les coups, la première salve s’abat sur mes bras et mes épaules. J’essaye de me protéger du mieux que je peux, me retournant même, présentant mon dos et mon fessier.
Je serre les dents, Maître Albert n’aura pas le plaisir de m’entendre crier, je suis sûre qu’à l’extérieur il attend de m’entendre l’implorer de demander à son frère d’arrêter.
Son bras fatigue, les derniers coups sont presque des caresses, je tourne la tête, son pantalon est au bas de ses pieds, sa queue est identique à celle de mon Maître.
• Suce salope, j’ai vu que tu aimais t’exhiber, tu présentais tes seins à tous les hommes qui en redemandaient, tu mériterais que je te foute dehors, tu montrerais ton cul intégralement.
Je préfère sucer sa bite, avec les mêmes problèmes qu’avec mon Maître.
Mais dans mon for intérieur, j’aimerais qu’il mette sa menace à exécution car me promener nue sur ce marché ce serait phénoménal pour moi et si excitant.
Je comprends pourquoi à la ferme, j’ai le plaisir de vivre nue.
• Tu suces divinement bien.
Mon frère, même si c’est un pourri, sait y faire avec les femmes qu’il prend sous sa coupe.
Mets-toi à quatre pattes que je te sodomise.
En femme soumise, je perds l’habitude de contester les dire de ces messieurs, je me mets à quatre pattes lui présentant mon cul rond, pas trop gros mais bien ferme.
C’est à ce moment que j’entends la porte du tube s’ouvrir.
• Alors frérot, que penses-tu de ma salope ?
• J’allais l’enculer, mais j’y pense, pour sceller un pacte de paix entre nous deux, je te propose de réitérer la première fois où nous nous sommes dépucelés.
• Avec Rosa ?
• Oui, avec Rosa, la jeune garde d’enfant que les voisins faisaient venir pour garder leurs gosses.
• Tout juste, on l’avait repérée et chacun était persuadé d’être l’homme de sa vie.
• Quand on s’est aperçu qu’il nous serait impossible de savoir qui serait le premier à la coucher, nous avons convenu de la prendre en même temps.
• Ce coup si, on inverse.
• D’accord, on inverse.
Mon Maître s’allonge à mes côtés, sur le matelas, je vois sa bite, elle est déjà en pleine forme.
• Viens t’empaler par la chatte, Jacques va te prendre le cul.
Tu as compris, avec Rosa, nous avons perdu notre pucelage en la prenant en double pénétration, c’est moi qui l’avais sodomisée.
Qui n’a pas senti deux verges pilonner ses deux trous comme ils me pilonnent n'a jamais rien ressenti de telle.
C'est fabuleux !
N’oublions pas qu’ils sont montés comme des taureaux.
Si sous les coups de ceinture, j’ai fermé ma bouche, sous la charge de ces deux rostes, je jouis tellement que je dois ameuter tout le marché, je n’ai jamais rien ressenti de telle.
Quelle chance a eu Rosa de rencontrer deux êtres de cette pointure, et dire que c’était leur dépucelage.
Au moment où ces deux verges se déversent en moi, je dois tourner de l'œil ayant eu une jouissance trop forte.
Combien de temps suis-je restée dans les pommes ?
Un certain temps, car ayant perdu la notion du temps, me souvenant m’être fait ballotter à droite et à gauche, je reprends pied, je suis dans ma cage.
Un besoin naturel m’oblige à bouger, j’ai mal à la chatte et à l’anus, les deux frères m’ont littéralement défoncé, heureusement que j’ai mon coin toilettes.
Je me replace en chien de fusil, le temps du marché a été tellement intense que je me rendors.
C’est l’alarme qui me réveille, par chance, je suis déjà dans la cage.
Si c’est un intrus, je suis protégée, quelques minutes et la porte s’ouvre.
• Simone, je n’en crois pas mes yeux, merde, que fais tu dans cette position ?
• J’étais venu te dire que je te quittais et je te trouve enfermée.
Quand je suis parti à ta recherche, après m’être fait glisser le long de la paroi m’empêchant de remonter, je m’étais assis.
Je me demandais si j’avais bien fait, quant au-dessus de ma tête, j’ai entendu que l’on me parlait.
J’ai levé la tête, une belle blonde d’une quarantaine d'années était penchée me regardant, je l’ai rassurée lui disant que je cherchais une amie qui avait dû descendre par là.
Elle marchait en montagne ne connaissant pas ce sentier, elle a passé ses jambes dans le vide se laissant glisser afin de me rejoindre.
Je l'ai réceptionnée pour éviter qu’elle ne tombe, ses seins se sont retrouvés sur ma poitrine.
• L’as-tu baisée le long de cette paroi ?
• Non, nous nous sommes séparés, puis nous avons marché, c’est au bord d’un petit lac de montagne que nous avons fait l’amour, mais je m’arrête là, je vais t’aider à te sortir des pattes de ce psychopathe qui te séquestre.
• Va rejoindre ta pute, ferme la porte, ma place est ici.
C’est ainsi que je vois Pierre pour la dernière fois, il a compris que je suis une soumise volontaire de ce qui m’arrive.
Aussi, quand la porte s’ouvre de nouveau, mon Maître venant me faire travailler, j’avance à quatre pattes le regardant droit dans les yeux.
• C’est bien, quand ton ex est arrivé, l’alarme s'est déclenchée, il était devant ma porte, nous avons discuté et j’ai décidé de te tester.
Tu m’as réconcilié avec Jacques, mon frère, je me devais de te donner une chance.
Une chance, mais surtout un choix, rester ou partir.
Je vois que ta cage est refermée, je te remercie de m’avoir choisi, profites-en, il sera rare que je te traite comme une femme.
Tu deviens ma chienne favorite, demande-moi une faveur, je te l’accorde.
• J’aimerais un bain dans ton spa tous les matins au réveil.
• D’accord, mais je vais te faire franchir une étape nouvelle.
Voilà un collier pour gros chiens, je vais te le mettre et à partir de maintenant, ici, avec ce collier, je te promènerais avec ta laisse.
C’est seulement quand tu seras à l’extérieur, que tu te tiendras debout.
D’accord Maître Albert.
C’est comme cela que je franchis une étape nouvelle, moi la femme de 58 ans, bourgeoise dite de bonne famille.
Il m’emmène jusqu’au spa, les cailloux sur le chemin me font mal, mais c’est divinement que je me prélasse dans le bain froid.
Je vois le thermostat, 2 degrés, je frissonne mais je m’habitue, il faudra bien que je le fasse, ce n’est pas mon Maître qui aura de louable attention et il a raison, une soumise reste une soumise.
Je croyais le dominer, c’est lui qui le fait avec la température de mon bain matinal.
Je finis par aimer surtout que lorsque je sors et qu'il me couche sur la descente de bain, il me prend en levrette dans la chatte.
En demandant à Pierre de refermer la porte, j'avais conscience que ce que je cherchais se trouve avec Maître Albert, connaissant l’homme, il lui serait impossible d’être un Maître Pierre, il serait plutôt du genre d’être soumis lui aussi.
Que va-t-il m’arriver dans les heures et les jours prochains ?
Je l’ignore, ce que je sais, sait que je n’ai qu’un seul Maître, Maître Albert…
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