COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. La vengeance des lapinous. (13/13)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-10-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Je deviens un objet sexuel. La vengeance des lapinous. (13/13)
Ce texte est écrit avec Anne, une amie. Ce sont ses fantasmes que je mets en forme du mieux que je le peux.
Je viens d’être libérée de mes liens après des heures de pendaison par les bras et une séance de flagellation par Fred, ancien artiste de cirque spécialiste d’un spectacle de fouet.
Il me déchire littéralement la chatte pour me punir d’avoir mis deux mâles dominants dans la même cage, entrainant la mort du plus jeune.
C’est celui des trois autres, mon Maître, qui semble le plus intéressé à s’occuper de moi sexuellement.
• Laissez-la-moi, à la voir se faire fouetter, je bande comme au plus beau jour de ma jeunesse. Voir le cul de cette chaudasse se faire rougir par les coups précis de Fred me redonne toute ma vigueur.
À partir de ce moment, nous jouons un jeu à plusieurs mains.
Je suis empoignée, placée le cul en l’air et dans la minute qui suit, je suis la chose du plus vieux des quatre, le Doc.
J’aurais bien voulu voir sa verge car ce que je sais, c’est ce que je ressens.
Le dernier coup de fouet que Fred m’a porté sur ma chatte, séparant mes grandes lèvres, est encore trop frais, je hurle, vite reprise par le début d’un plaisir.
Me sentir à la merci de ces quatre hommes dans la force de l’âge, n’est-ce pas ce que j’espérais secrètement trouver quand je me suis donnée corps et âme à Maître Albert !
N’est-ce pas ce que j’espérais dans ma vie quand j’ai laissé partir Pierre, mon homme, vers d’autres cieux et vers sa nouvelle conquête !
Malgré mon âge proche de la retraite, je suis prête à tout rayer d’un trait de plume pour cette nouvelle vie.
Doc m’a prise par mes hanches et me laboure à grands coups de sexe.
Je suis de nouveau une chienne en chaleur, surtout quand Jacques approche sa verge de ma bouche pour que je le suce, malgré qu’il soit aussi bien monté que Maître Albert.
J’écarte mes mâchoires au maximum j’ai appris à le faire avec celui qui a su prendre mon cœur, même s’il me tyrannise chaque fois qu’il considère que j’ai mal fait mon travail de soumise.
• Doc, tu l’as assez sautée, garde ton foutre pour la fin.
Allonge-toi sur la paille, vous allez la prendre en double pénétration.
Je comprends que mon Maître veut me faire passer une nouvelle étape, deux bites en même temps.
Ils veulent me punir pour le Lapinou, mais ils me font le plus beau des cadeaux.
Quelle femme dans son fort intérieur n’a pas rêvé de se retrouver dans ma situation.
Je remets Doc dans ma chatte quand, pensant que mon cul est pour lui, il avance son sexe vers mon anus.
• Non Fred, je te réserve l’apothéose pour ma pute avant que je ne la prenne moi-même.
Laisse la place à mon frère, je sodomisais sa femme et sa fille, elles me disaient qu’il refusait de leur faire.
N’ayez crainte, elles ont connu ce plaisir sous ma verge très rapidement avant de se faire tatouer.
Jacques encule là !
C’est sans aucune précaution que cette verge entre en moi, je venais de retomber sur celle de Doc au fond de mon vagin.
À son âge on débande facilement, inutile de louper cette double pénétration.
Une fois de plus lapinou me regarde me faire défoncer sous la charge de ces deux verges.
Je ressens une grande douleur lorsqu’il m’ouvre en deux, mais c’est pour mieux jouir quand elles me taraudent bien en rythme.
Mesdames, si vous n’avez jamais ressenti ce plaisir rare de deux verges en vous, cherchez bien autour de vous, vous trouverez certainement facilement deux hommes pour vous le faire connaître.
Mais n’oublions pas que mon Maître m’a promis une défonce maxi, c’est ce qui va m’arriver quand l’ordre tombe.
• Fred, je t’ai gardé pour une apothéose, A13 s’en souviendra toute sa vie et connaissant la salope qu’elle est, je suis sûr qu’elle en redemandera.
Comme tu es assez agile, glisse-toi dans le cul de cette pute ne sachant rien des lapins.
Prenez là en double pénétration et en double anal, je bande comme jamais.
Une nouvelle fois, je sens un mouvement sur mon dos, la douleur et mon cul qui s’ouvre me fait craindre que je sois déformée à vie.
Centimètre par centimètre, ce troisième sexe entre au plus profond de moi.
J’ai la sensation d’une poupée gonflable que ces quatre hommes ballottent au gré de leurs désirs.
Désir qui semble grand quand tous les trois lâchent leurs spermes au fond de mes réceptacles.
Je relève la tête et comme j’ai la bouche libre pour une fois, je hurle de plaisir.
Je crie si fort que je fais peur à lapinou qui part se sauver sous les cages, laissant le défunt à son triste avenir, le tas de fumier qui se trouve à côté du tube à l’arrière de la ferme.
Maître Albert devait avoir de gros animaux qui hélas, pour je ne sais quelle raison, ont quitté la ferme.
• C’est bien les gars, elle a assez ramassé.
Je pense que mon doux calvaire vient de s’arrêter quand ma chatte et mon cul dégoulinant de sperme se trouvent libérés.
C’est vrai, mon Maître veut aussi avoir son plaisir, il me fait mettre en levrette et me prend classiquement la chatte.
Contrairement à son habitude, il se cabre, je sens une onde de chaleur traverser mes fondements défoncés.
Une éjaculation survient et immédiatement je sens un poids sur mon dos.
Un moment de stupeur, c’est Doc en bon professionnel, qui réagit le premier.
• Merde, depuis le temps que je lui dis de se ménager !
Allongez-le, je vais lui faire un massage.
Je suis libérée, je vois le Maître les yeux révulsés à mon côté et le Doc, aidé des deux autres, lui faire un massage cardiaque et le ventiler avec sa bouche.
Hélas pour mon plus grand drame, le verdict tombe.
• C’est fini, il a eu une belle mort, mourir en défonçant une soumise et en déchargeant une dernière fois en elle, il m’a toujours confié que c’était ainsi qu’il souhaitait passer dans l’au-delà.
Je suis en pleurs, je me vois déjà reprenant mon sac à dos et retourner voir si ma place dans mon entreprise est toujours disponible, j’attendrai tranquillement ma retraite.
Nous portons mon Maître qui m’a abandonné dans sa maison, sur son lit de mort.
Le Doc appelle la gendarmerie, qui constate qu’il a fait les choses bien, c’est un docteur.
Je lui fais sa toilette enlevant toutes traces de sperme qui pourraient les intriguer.
En les attendant, Fred et Jacques ont nettoyé la grange, plaçant des bottes de paille devant ma cage et enlevant le palan.
Dans la cuisine, Doc a placé un jeu de cartes et des jetons faisant croire qu’une partie de poker était en cours.
• Il est tombé tout debout.
Regardez, il avait une quinte royale servie, la donne que tout joueur de poker souhaite toucher un jour.
Il savait qu’il avait des problèmes de cœur, il avait déjà fait deux attaques, j’avais réussi à ce qu’il réduise son travail en vendant ses vaches, mais ce jeu très peu vue pour les joueurs de poker lui a été fatale.
Dans les jours suivants, j’ai attendu avant de partir qu’il soit enterré dans un petit cimetière, non loin de la ferme.
Jacques m’a acheté une robe de deuil.
J’allais repartir quand le vieux téléphone a sonné, c’était Jacques.
• Peux-tu me rejoindre, place du marché, le notaire demande à te voir.
• Je n’ai pas de moyen de locomotion, j’étais venue en taxi.
• Je t’en envoie un, il va te conduire près de moi.
Depuis que je suis seule, j’ai gardé cette robe noire, quand je vois arriver deux jeunes d’une trentaine d’années.
• Monsieur Albert est-il là ? Nous avons loué son chalet pour huit jours, nous allons étudier la faune dans cette partie de massif des Bauges !
Le taxi arrive.
• Voici la clef, installez-vous, je dois descendre à Aix, je reviens rapidement.
Quand je remonte, j’ai appris que j’étais l’héritière de mon Maître.
Il avait signé un testament donnant tous ses biens à la dernière femme qui aurait accepté de partager sa vie.
J’étais celle-là avec comme témoin Fred, le plombier, Doc le médecin et surtout Jacques le propre frère du défunt.
Je signe tous les papiers y compris un compte en banque plus que garni.
Nous buvons un verre avec Jacques avant de retourner chez moi m’occuper de mon jeune couple, il aurait pu contester mon héritage, mais ne le fait pas.
• Te rends-tu compte, dire, qu’avant qu’il ne meure sur mon dos, j’ai ressenti une grande chaleur en moi.
• Merde, il t’a refilé son don.
Maman c’est quand elle le tenait ses mains qu’il est devenu le guérisseur qu’il était.
Attends, on va voir. Ginette, viens ici, allais-tu toujours chez mon frère un samedi sur quatre ?
• Oui, je devais y monter samedi prochain, quel malheur.
• Simone, je crois que c’est ainsi que le notaire t’a appelé, place tes mains sur le ventre de Ginette.
Depuis toujours elle a des problèmes gastriques et de flatulence ce qui est un gros handicape dans son commerce, elle pète au nez des gens.
Nous entendons un gros pet, par chance sans odeur, je place mes mains sur son ventre.
• Incroyable, mieux qu’Albert, je vous dois combien.
• C’est gratuit pour cette fois.
C’est ainsi qu’à la ferme, plein de modifications se font.
Fred enlève tous les radars, il semble que mon fluide me permette de faire fuir les prédateurs, doublé d’un couple d’oies qui m’est offert dès le samedi suivant par un client satisfait d’avoir retrouver sa vigueur de 20 ans.
Elles sont aussi performantes que celle du capitole.
Quand vous arrivez, Fred et Jacques ont placé un grand panneau.
« Ferme des lapinous »
J’ai ouvert les cages, mon petit lapinou est devenu grand et saute toutes les femelles qui passent à son porté.
Bizarrement, à chaque portée, ce sont toujours les femelles qui gambadent à ses côtés.
Jacques, Fred et Doc viennent jouer au poker.
Sous la table, j’ai un jeune couple de soumis, on est écolo ou pas !
Qui me broute la chatte, Alain ou Aline ?
Qui suce les hommes, chacun leur tour avant qu’ils défoncent, Alain ou Aline sans m’oublier bien sûr ?
Ce qui est certain, c’est que mardi, mes esclaves sexuels vont venir avec moi au marché vendre les légumes qu’ils font pousser ainsi que les œufs qu’ils ramassent pendant que je me prélasse devant mon chalet.
Fred m’a livré mon nouveau Citroën Jumpy, j’y ai mis un nouveau matelas, le tube de Maître Albert étant définitivement une relique derrière la ferme, c’est un des repaires de mon lapinou.
J’ai fait venir, grâce à mon portable, des œufs en bois, pour remplacer ceux qui sont peints.
Les œufs d’oie se vendent bien eux aussi.
Le marché terminé, avec Jacques, qui est devenu mon amant attitré, sa verge me procurant autant de plaisir que celle de son frère, nous allons voir A1 sa femme, puis Lola A2, sa fille.
Alain et Aline, trouvant la vie à leur goût, ont accepté de se faire tatouer leur marque de soumission S1 et S1.
Je vous quitte, je reçois maintenant les mercredis et les samedis, je suis reconnue comme la meilleure guérisseuse du comté.
Voilà, j’ai essayé de satisfaire Anne, elle voulait :
- Être exhibée
- Être offerte a un autre homme.
- Connaître la pluralité masculine
- Connaître la soumission
- et même plus encore............
Bien sur, n’oublions pas les lapinous…
• Anne, je te laisse la parole si tu as quelque chose à ajouter.
• Merci mon maître pour les merveilleux moments que tu m'as fait découvrir.
J'en voudrais encore d'autres... lors d'une nouvelle histoire, peut être ?
Anne
Je viens d’être libérée de mes liens après des heures de pendaison par les bras et une séance de flagellation par Fred, ancien artiste de cirque spécialiste d’un spectacle de fouet.
Il me déchire littéralement la chatte pour me punir d’avoir mis deux mâles dominants dans la même cage, entrainant la mort du plus jeune.
C’est celui des trois autres, mon Maître, qui semble le plus intéressé à s’occuper de moi sexuellement.
• Laissez-la-moi, à la voir se faire fouetter, je bande comme au plus beau jour de ma jeunesse. Voir le cul de cette chaudasse se faire rougir par les coups précis de Fred me redonne toute ma vigueur.
À partir de ce moment, nous jouons un jeu à plusieurs mains.
Je suis empoignée, placée le cul en l’air et dans la minute qui suit, je suis la chose du plus vieux des quatre, le Doc.
J’aurais bien voulu voir sa verge car ce que je sais, c’est ce que je ressens.
Le dernier coup de fouet que Fred m’a porté sur ma chatte, séparant mes grandes lèvres, est encore trop frais, je hurle, vite reprise par le début d’un plaisir.
Me sentir à la merci de ces quatre hommes dans la force de l’âge, n’est-ce pas ce que j’espérais secrètement trouver quand je me suis donnée corps et âme à Maître Albert !
N’est-ce pas ce que j’espérais dans ma vie quand j’ai laissé partir Pierre, mon homme, vers d’autres cieux et vers sa nouvelle conquête !
Malgré mon âge proche de la retraite, je suis prête à tout rayer d’un trait de plume pour cette nouvelle vie.
Doc m’a prise par mes hanches et me laboure à grands coups de sexe.
Je suis de nouveau une chienne en chaleur, surtout quand Jacques approche sa verge de ma bouche pour que je le suce, malgré qu’il soit aussi bien monté que Maître Albert.
J’écarte mes mâchoires au maximum j’ai appris à le faire avec celui qui a su prendre mon cœur, même s’il me tyrannise chaque fois qu’il considère que j’ai mal fait mon travail de soumise.
• Doc, tu l’as assez sautée, garde ton foutre pour la fin.
Allonge-toi sur la paille, vous allez la prendre en double pénétration.
Je comprends que mon Maître veut me faire passer une nouvelle étape, deux bites en même temps.
Ils veulent me punir pour le Lapinou, mais ils me font le plus beau des cadeaux.
Quelle femme dans son fort intérieur n’a pas rêvé de se retrouver dans ma situation.
Je remets Doc dans ma chatte quand, pensant que mon cul est pour lui, il avance son sexe vers mon anus.
• Non Fred, je te réserve l’apothéose pour ma pute avant que je ne la prenne moi-même.
Laisse la place à mon frère, je sodomisais sa femme et sa fille, elles me disaient qu’il refusait de leur faire.
N’ayez crainte, elles ont connu ce plaisir sous ma verge très rapidement avant de se faire tatouer.
Jacques encule là !
C’est sans aucune précaution que cette verge entre en moi, je venais de retomber sur celle de Doc au fond de mon vagin.
À son âge on débande facilement, inutile de louper cette double pénétration.
Une fois de plus lapinou me regarde me faire défoncer sous la charge de ces deux verges.
Je ressens une grande douleur lorsqu’il m’ouvre en deux, mais c’est pour mieux jouir quand elles me taraudent bien en rythme.
Mesdames, si vous n’avez jamais ressenti ce plaisir rare de deux verges en vous, cherchez bien autour de vous, vous trouverez certainement facilement deux hommes pour vous le faire connaître.
Mais n’oublions pas que mon Maître m’a promis une défonce maxi, c’est ce qui va m’arriver quand l’ordre tombe.
• Fred, je t’ai gardé pour une apothéose, A13 s’en souviendra toute sa vie et connaissant la salope qu’elle est, je suis sûr qu’elle en redemandera.
Comme tu es assez agile, glisse-toi dans le cul de cette pute ne sachant rien des lapins.
Prenez là en double pénétration et en double anal, je bande comme jamais.
Une nouvelle fois, je sens un mouvement sur mon dos, la douleur et mon cul qui s’ouvre me fait craindre que je sois déformée à vie.
Centimètre par centimètre, ce troisième sexe entre au plus profond de moi.
J’ai la sensation d’une poupée gonflable que ces quatre hommes ballottent au gré de leurs désirs.
Désir qui semble grand quand tous les trois lâchent leurs spermes au fond de mes réceptacles.
Je relève la tête et comme j’ai la bouche libre pour une fois, je hurle de plaisir.
Je crie si fort que je fais peur à lapinou qui part se sauver sous les cages, laissant le défunt à son triste avenir, le tas de fumier qui se trouve à côté du tube à l’arrière de la ferme.
Maître Albert devait avoir de gros animaux qui hélas, pour je ne sais quelle raison, ont quitté la ferme.
• C’est bien les gars, elle a assez ramassé.
Je pense que mon doux calvaire vient de s’arrêter quand ma chatte et mon cul dégoulinant de sperme se trouvent libérés.
C’est vrai, mon Maître veut aussi avoir son plaisir, il me fait mettre en levrette et me prend classiquement la chatte.
Contrairement à son habitude, il se cabre, je sens une onde de chaleur traverser mes fondements défoncés.
Une éjaculation survient et immédiatement je sens un poids sur mon dos.
Un moment de stupeur, c’est Doc en bon professionnel, qui réagit le premier.
• Merde, depuis le temps que je lui dis de se ménager !
Allongez-le, je vais lui faire un massage.
Je suis libérée, je vois le Maître les yeux révulsés à mon côté et le Doc, aidé des deux autres, lui faire un massage cardiaque et le ventiler avec sa bouche.
Hélas pour mon plus grand drame, le verdict tombe.
• C’est fini, il a eu une belle mort, mourir en défonçant une soumise et en déchargeant une dernière fois en elle, il m’a toujours confié que c’était ainsi qu’il souhaitait passer dans l’au-delà.
Je suis en pleurs, je me vois déjà reprenant mon sac à dos et retourner voir si ma place dans mon entreprise est toujours disponible, j’attendrai tranquillement ma retraite.
Nous portons mon Maître qui m’a abandonné dans sa maison, sur son lit de mort.
Le Doc appelle la gendarmerie, qui constate qu’il a fait les choses bien, c’est un docteur.
Je lui fais sa toilette enlevant toutes traces de sperme qui pourraient les intriguer.
En les attendant, Fred et Jacques ont nettoyé la grange, plaçant des bottes de paille devant ma cage et enlevant le palan.
Dans la cuisine, Doc a placé un jeu de cartes et des jetons faisant croire qu’une partie de poker était en cours.
• Il est tombé tout debout.
Regardez, il avait une quinte royale servie, la donne que tout joueur de poker souhaite toucher un jour.
Il savait qu’il avait des problèmes de cœur, il avait déjà fait deux attaques, j’avais réussi à ce qu’il réduise son travail en vendant ses vaches, mais ce jeu très peu vue pour les joueurs de poker lui a été fatale.
Dans les jours suivants, j’ai attendu avant de partir qu’il soit enterré dans un petit cimetière, non loin de la ferme.
Jacques m’a acheté une robe de deuil.
J’allais repartir quand le vieux téléphone a sonné, c’était Jacques.
• Peux-tu me rejoindre, place du marché, le notaire demande à te voir.
• Je n’ai pas de moyen de locomotion, j’étais venue en taxi.
• Je t’en envoie un, il va te conduire près de moi.
Depuis que je suis seule, j’ai gardé cette robe noire, quand je vois arriver deux jeunes d’une trentaine d’années.
• Monsieur Albert est-il là ? Nous avons loué son chalet pour huit jours, nous allons étudier la faune dans cette partie de massif des Bauges !
Le taxi arrive.
• Voici la clef, installez-vous, je dois descendre à Aix, je reviens rapidement.
Quand je remonte, j’ai appris que j’étais l’héritière de mon Maître.
Il avait signé un testament donnant tous ses biens à la dernière femme qui aurait accepté de partager sa vie.
J’étais celle-là avec comme témoin Fred, le plombier, Doc le médecin et surtout Jacques le propre frère du défunt.
Je signe tous les papiers y compris un compte en banque plus que garni.
Nous buvons un verre avec Jacques avant de retourner chez moi m’occuper de mon jeune couple, il aurait pu contester mon héritage, mais ne le fait pas.
• Te rends-tu compte, dire, qu’avant qu’il ne meure sur mon dos, j’ai ressenti une grande chaleur en moi.
• Merde, il t’a refilé son don.
Maman c’est quand elle le tenait ses mains qu’il est devenu le guérisseur qu’il était.
Attends, on va voir. Ginette, viens ici, allais-tu toujours chez mon frère un samedi sur quatre ?
• Oui, je devais y monter samedi prochain, quel malheur.
• Simone, je crois que c’est ainsi que le notaire t’a appelé, place tes mains sur le ventre de Ginette.
Depuis toujours elle a des problèmes gastriques et de flatulence ce qui est un gros handicape dans son commerce, elle pète au nez des gens.
Nous entendons un gros pet, par chance sans odeur, je place mes mains sur son ventre.
• Incroyable, mieux qu’Albert, je vous dois combien.
• C’est gratuit pour cette fois.
C’est ainsi qu’à la ferme, plein de modifications se font.
Fred enlève tous les radars, il semble que mon fluide me permette de faire fuir les prédateurs, doublé d’un couple d’oies qui m’est offert dès le samedi suivant par un client satisfait d’avoir retrouver sa vigueur de 20 ans.
Elles sont aussi performantes que celle du capitole.
Quand vous arrivez, Fred et Jacques ont placé un grand panneau.
« Ferme des lapinous »
J’ai ouvert les cages, mon petit lapinou est devenu grand et saute toutes les femelles qui passent à son porté.
Bizarrement, à chaque portée, ce sont toujours les femelles qui gambadent à ses côtés.
Jacques, Fred et Doc viennent jouer au poker.
Sous la table, j’ai un jeune couple de soumis, on est écolo ou pas !
Qui me broute la chatte, Alain ou Aline ?
Qui suce les hommes, chacun leur tour avant qu’ils défoncent, Alain ou Aline sans m’oublier bien sûr ?
Ce qui est certain, c’est que mardi, mes esclaves sexuels vont venir avec moi au marché vendre les légumes qu’ils font pousser ainsi que les œufs qu’ils ramassent pendant que je me prélasse devant mon chalet.
Fred m’a livré mon nouveau Citroën Jumpy, j’y ai mis un nouveau matelas, le tube de Maître Albert étant définitivement une relique derrière la ferme, c’est un des repaires de mon lapinou.
J’ai fait venir, grâce à mon portable, des œufs en bois, pour remplacer ceux qui sont peints.
Les œufs d’oie se vendent bien eux aussi.
Le marché terminé, avec Jacques, qui est devenu mon amant attitré, sa verge me procurant autant de plaisir que celle de son frère, nous allons voir A1 sa femme, puis Lola A2, sa fille.
Alain et Aline, trouvant la vie à leur goût, ont accepté de se faire tatouer leur marque de soumission S1 et S1.
Je vous quitte, je reçois maintenant les mercredis et les samedis, je suis reconnue comme la meilleure guérisseuse du comté.
Voilà, j’ai essayé de satisfaire Anne, elle voulait :
- Être exhibée
- Être offerte a un autre homme.
- Connaître la pluralité masculine
- Connaître la soumission
- et même plus encore............
Bien sur, n’oublions pas les lapinous…
• Anne, je te laisse la parole si tu as quelque chose à ajouter.
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