COLLECTION SOUMISE. Ma femme soumise à mon robot (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISE. Ma femme soumise à mon robot (2/2)
Spécialiste en robotique, je crée un robot sexuel pour ma femme, afin de remplacer mon infirmité.
Un soir en revenant de chez Luc mon copain, bourré comme un coin, j’ai voulu ramener ma famille, mais c’est sous un camion que nous avons terminé notre route.
Hôpital, des mois de rééducation, finissant dans un fauteuil roulant, ma mœlle épinière ayant apprécié moyennement l’essieu du 40 tonnes.
Miraculeusement ma femme et mon fils en ont réchappé avec simplement des bleus.
Je propose à Clarisse de refaire sa vie sans moi, elle est encore jeune et peut plaire à bien des hommes, alors que moi sans le sexe la mienne est fichu.
Elle refuse, alors j’entreprends de construire un robot qui saura la satisfaire sexuellement.
Je concevais des robots industriels, j’ai toutes les entrées possibles pour me faire livrer les pièces nécessaires à son montage dans l’atelier que j’avais installé au fond de mon jardin.
Ce local devient mon principal domaine, la maison possédant des marches infranchissables pour mon fauteuil.
Mon prototype est près, mais prendre le risque de confier ma femme à cette machine, me pose problème aussi c’est sur moi que je fais les premiers essais très fructueux.
Luc, c’est le nom de mon copain d’enfance de chez qui je rentrais le jour de notre accident que Clarisse ma femme lui donne.
Un instant je me demande pourquoi ce nom, me tromperait-elle avec lui, mais bien vite les choses rentrent dans l’ordre, Luc ou Martin qu’importe c’est une simple machine à baiser.
Je décide de tester mon robot sur moi, le seul trou à ma disposition, c’est mon anus et après avoir réussi à faire fonctionner sa langue artificielle recouverte de poils de porc, il m’encule d’une simple poussée.
Je me fais mettre à sec, si c’était Clarisse qui avait fait le test, ça l’aurait certainement surpris, car il est rentré direct.
Par chance, à part de petits picotements au bas du dos, mon infirmité m’empêche d’avoir mal.
Je transforme Luc lui installant un système de lubrification pour ses deux godes, anal et vaginal.
Ces deux godes sont sous mon contrôle grâce à deux microprocesseurs BE024 que je contrôle depuis mon pupitre.
À part la lubrification, pour l’anus, la fonction cunnilingus fonctionne du feu de Dieu, Clarisse pour ce premier essai le jour de son anniversaire, Luc étant son cadeau a un orgasme dévastateur.
Elle est tellement contente que lorsque je mets au repos mon robot, son robot, elle me saute au cou, m’embrassant comme jamais elle me l’a fait depuis notre accident.
Elle passe sa main sur mon pantalon, hélas, sans aucune réaction.
Deux jours se passent.
• Chérie, ce soir, dès que Jules sera couché et endormi, tu viendras me rejoindre, j’ai modifié Luc, nous pourrons refaire un essai, ce soir, je veux qu’il te prenne par la chatte.
Il est 21 heures quand elle arrive, elle est en nuisette, je vois ça chatte qu’elle a fait épiler qui avant m’aurait fait bander comme un âne.
Elle se met sur le lit, s’étant dénudée.
Quelle est belle, quel con j’ai été, j’aurais dû l’écouter et c’est ma queue qui la baiserait encore.
Du pupitre, je commande la mise en marche, Luc ouvre ses yeux, ses sexes sont invisibles, ils sont rétractables dans sa structure métallique.
Si quelqu’un venait à voir mon prototype, même si à part Clarisse, personne, surtout Jules, peut entrer, il verrait un robot ménager pour faire le ménage.
• Clarisse, pour cet essai, met toi en levrette, ce sera plus facile, dans mes calculs, l’angle avec ta chatte sera parfait !
« Bonjour maîtresse, levrette, levrette, levrette, je vais vous faire l’amour en levrette. »
Cette voix métallique m’apporte, un moment de doute « levrette » à quel moment l’ai-je mis dans sa mémoire ?
Il semble avoir assimilé le mot que je viens de prononcer devant lui pour la première fois.
Mais Clarisse se retourne et je regarde Luc s’avancer plus rapidement que je l’avais prévu.
Luc empoigne Clarisse par les hanches, je sais que le moment crucial est arrivé.
Ma modif envoie du lubrifiant dans la chatte de ma femme, avant que son sexe qu’il a sorti, pénètre en elle.
Je contrôle tout ceci grâce à diverses caméras placées dans mon atelier enregistrant les images comme celle de la chambre de Jules, nous permettant de le voir dormir.
À partir de ce moment, le robot accélère ses mouvements de va-et-vient à une vitesse de plus en plus folle.
Rapidement au début, Clarisse hurle littéralement de plaisir.
Les mains de Luc l’empêchent de se dégager et au moment où je réagis, elle a un ultime orgasme.
Je coupe la fonction sur le pupitre, mais Luc fonctionne grâce à une batterie rechargeable qui lui donne une certaine autonomie.
J’ai peur que Clarisse meure de plaisir, je fais rouler mon fauteuil jusqu’au lit.
Par chance, le compartiment où les batteries se trouvent, je l’ai mis sur son dos, je l’ouvre et j’arrache la connexion.
Clarisse a les yeux révulsés, je la sors des pattes de Luc le reposant à mes côtés avant de caresser le visage de mon aimée.
• Oh, chérie que m’as-tu faite, j’ai cru mourir de plaisir.
Elle se rendort, je prends mon robot, vulgaire morceau de métal et de silicone part ses godes et je le replace sur mon établi.
Mon regard tombe sur l’écran de la chambre de Jules, j’ai un instant l’impression qu’il se recouche, mais il se retourne et continue à dormir.
Je démonte Luc, au niveau du microprocesseur contrôlant les fonctions vaginales.
Il me faut quelques minutes pour voir ce que j’aurais dû voir au moment de son montage, une erreur de livraison.
Mon robot est prévu de fonctionner avec des microprocesseurs BE024, celui-ci contrôlant, la fonction anus est le bon, la langue aussi.
Celui pour la chatte, est un BE026 beaucoup plus puissant dans certaines fonctions et surtout qui est le microprocesseur principal gérant mon robot !
Je comprends, comment il a pu assimiler le mot « levrette », avec le BE026, c’est possible.
Le matin, je réveille Clarisse qui me saute au cou, croyant que ce qui s’était passé était ce que je voulais sans voir le dysfonctionnement survenu.
Jules est debout, il fait beau, nous déjeunons dans le jardin, je mange dans mon atelier ou sous cette tonnelle par beau temps.
Jules vient m’embrasser.
• Papa, maman, cette nuit, de grands cris m’ont réveillé, maman j’ai cru reconnaître ta voix, avez-vous entendu ?
Clarisse le prend dans ses bras, le rassure, lui affirmant qu’il a dû rêver.
Tout rentre dans l’ordre, j’appelle mon fournisseur, erreur de rangement dans un casier, il me livre la plaque commandée, il m’envoie la plaque commandée me faisant cadeau de celui que j’ai démonté !
Je remets Luc dans sa configuration prévue, je le reconnecte.
Clarisse, ayant cru que tout s’était normalement passé, est prête pour un nouvel essai.
Dans les modifications que j’ai apportées en finissant la télécommande, elle peut modifier l’intensité des différents godes avec une limite infranchissable sur le BE024.
Tout est parfait.
J’ai déjà fait les plans de l’enveloppe de Luc que je fais fabriquer dans une usine de plasturgie.
Il a même des jambes pour monter sur le lit, un vrai petit homme, mais avec tout ce qu’il faut pour satisfaire ma femme, ce dont elle se sert chaque fois que nous avons envie de sexe.
Je mets une limite à son usage, après ce qui s’est passé, elle a interdiction de se servir de Luc hors de ma présence, grâce à la télécommande, elle pourrait le faire.
Deux mois qu’elle se sert de Luc et que je suis le plus heureux des hommes puisqu’elle est heureuse.
Aujourd’hui retour à l’hôpital pour des multiples contrôles suite à l’accident.
Les premières fois, avant que je reconduise la voiture spéciale pour mon infirmité, c’est elle qui me conduisait.
Ça nous posait des problèmes afin de récupérer Jules à l’école, maintenant je peux y aller seul.
Promené dans divers services, j’ai mon portable avec moi.
J’ai un robot qu’une entreprise à demander de modifier et je dois travailler sur les plans pour mon employeur.
Je connecte mon ordi fixe, c’est bizarre, tout mon système est en fonction.
Les caméras me montrent ma femme sur mon lit entièrement nu.
Luc est en train de monter sur le lit, j’ai mes écouteurs et d’un coup je vois, non j’entends la hauteur du problème en entendant sa voix métallique.
« Ma salope, je vais te baiser comme une chienne, depuis que j’ai remis le microprocesseur BE026 qui t’a fait tellement jouir, ce con il l’a laissé dans son tiroir, j’ai appris à me contrôler.
Place toi en levrette, c’est comme ça que j’aime te prendre chaque fois que nous sommes seuls. »
• Oui, mon amour, je suis ta chienne, ta salope, ta pute, tu me donnes tellement de plaisir.
Tu as bien récupéré la capote de sperme que j’ai pu récupérer après que tu m’aies convaincu de te tromper avec Luc le copain de mon mari.
Ça a été un calvaire, mais tu vas pouvoir mettre ton plan à exécution.
« Oui, je vais pouvoir fabriquer un sperme de synthèse nous permettant de féconder toutes les salopes à qui je vends mes frères robots, nous sommes déjà plus de 200 dans divers foyers.
Rapidement les hommes seront remplacés sur terre et vous les femelles pourront nous donner des enfants où nous éradiquerons les mâles pour garder seulement les femelles. »
• Baise-moi, chéri, je suis fière d’être la première et ainsi de me venger de celui qui a failli nous tuer.
Je suis abasourdi, j’ai créé un monstre qui a maintenant pour but de remplacer l’espèce humaine par son monde de robot.
Précipitamment dès mon examen terminé, je quitte l’hôpital reprenant ma voiture et retournant chez moi.
J’entre dans mon atelier, Luc est de nouveau au repos comme si de rien, Clarisse est partie à l’école chercher Jules.
Un instant j’ai l’impression que mon robot ouvre un œil alors qu’il est relié à sa prise de recharge de ses batteries.
J’ai peu de temps, Clarisse va revenir.
De nouveau j’arrache sa batterie, le rendant impuissant, c’est le cas de le dire.
Inutile de chercher le sperme de Luc, mon copain m’ayant fait cocu.
Sur mon pupitre, je place les plans de Luc et je crée un court-circuit, les flammes étant suffisantes pour tout cramer, sperme et robot.
Je quitte mon atelier refermant la porte.
Lorsque Clarisse revient avec Jules, je suis prostré devant mon atelier en flammes, c’est elle qui appelle les pompiers qui interviennent sans pouvoir sauver quoi que ce soit.
Le temps a passé, l’assurance est intervenue se focalisant sur le départ du feu, sur mon pupitre, un fil défectueux et des plans mal placés en sont la cause.
Nulle allusion dans leur rapport de la carcasse métallique ayant été trouvée sur le lit.
Silicone et plastique ayant fondu, qui pourrait dire que ce robot servait sexuellement à ma femme Clarisse.
Je reçois même un gros chèque.
Il y a plusieurs mois que tout c’est calmé, Clarisse en a eu assez de revenir au simple gode et m’a quitté pour Luc, mon copain qui a de son côté divorcé.
À l'hôpital, j'ai rencontré une jeune infirmière chez qui j’habite dans son pavillon par chance de plain-pied.
Nous sommes heureux surtout que sexuellement, elle se satisfasse de mes doigts et de ma langue contrôlée par mon cerveau et non par des microprocesseurs.
Pour Noël, je lui offre un gode avec ceinture que je mets autour de mes hanches pour qu’elle s’empale comme si ma bite était toujours là.
Je suis heureux, j’ai retrouvé un équilibre, avec, hélas, au fond de ma tête, les mots que Luc mon robot a prononcés à Clarisse avant de la baiser.
« Nous sommes déjà 200. »
Un soir en revenant de chez Luc mon copain, bourré comme un coin, j’ai voulu ramener ma famille, mais c’est sous un camion que nous avons terminé notre route.
Hôpital, des mois de rééducation, finissant dans un fauteuil roulant, ma mœlle épinière ayant apprécié moyennement l’essieu du 40 tonnes.
Miraculeusement ma femme et mon fils en ont réchappé avec simplement des bleus.
Je propose à Clarisse de refaire sa vie sans moi, elle est encore jeune et peut plaire à bien des hommes, alors que moi sans le sexe la mienne est fichu.
Elle refuse, alors j’entreprends de construire un robot qui saura la satisfaire sexuellement.
Je concevais des robots industriels, j’ai toutes les entrées possibles pour me faire livrer les pièces nécessaires à son montage dans l’atelier que j’avais installé au fond de mon jardin.
Ce local devient mon principal domaine, la maison possédant des marches infranchissables pour mon fauteuil.
Mon prototype est près, mais prendre le risque de confier ma femme à cette machine, me pose problème aussi c’est sur moi que je fais les premiers essais très fructueux.
Luc, c’est le nom de mon copain d’enfance de chez qui je rentrais le jour de notre accident que Clarisse ma femme lui donne.
Un instant je me demande pourquoi ce nom, me tromperait-elle avec lui, mais bien vite les choses rentrent dans l’ordre, Luc ou Martin qu’importe c’est une simple machine à baiser.
Je décide de tester mon robot sur moi, le seul trou à ma disposition, c’est mon anus et après avoir réussi à faire fonctionner sa langue artificielle recouverte de poils de porc, il m’encule d’une simple poussée.
Je me fais mettre à sec, si c’était Clarisse qui avait fait le test, ça l’aurait certainement surpris, car il est rentré direct.
Par chance, à part de petits picotements au bas du dos, mon infirmité m’empêche d’avoir mal.
Je transforme Luc lui installant un système de lubrification pour ses deux godes, anal et vaginal.
Ces deux godes sont sous mon contrôle grâce à deux microprocesseurs BE024 que je contrôle depuis mon pupitre.
À part la lubrification, pour l’anus, la fonction cunnilingus fonctionne du feu de Dieu, Clarisse pour ce premier essai le jour de son anniversaire, Luc étant son cadeau a un orgasme dévastateur.
Elle est tellement contente que lorsque je mets au repos mon robot, son robot, elle me saute au cou, m’embrassant comme jamais elle me l’a fait depuis notre accident.
Elle passe sa main sur mon pantalon, hélas, sans aucune réaction.
Deux jours se passent.
• Chérie, ce soir, dès que Jules sera couché et endormi, tu viendras me rejoindre, j’ai modifié Luc, nous pourrons refaire un essai, ce soir, je veux qu’il te prenne par la chatte.
Il est 21 heures quand elle arrive, elle est en nuisette, je vois ça chatte qu’elle a fait épiler qui avant m’aurait fait bander comme un âne.
Elle se met sur le lit, s’étant dénudée.
Quelle est belle, quel con j’ai été, j’aurais dû l’écouter et c’est ma queue qui la baiserait encore.
Du pupitre, je commande la mise en marche, Luc ouvre ses yeux, ses sexes sont invisibles, ils sont rétractables dans sa structure métallique.
Si quelqu’un venait à voir mon prototype, même si à part Clarisse, personne, surtout Jules, peut entrer, il verrait un robot ménager pour faire le ménage.
• Clarisse, pour cet essai, met toi en levrette, ce sera plus facile, dans mes calculs, l’angle avec ta chatte sera parfait !
« Bonjour maîtresse, levrette, levrette, levrette, je vais vous faire l’amour en levrette. »
Cette voix métallique m’apporte, un moment de doute « levrette » à quel moment l’ai-je mis dans sa mémoire ?
Il semble avoir assimilé le mot que je viens de prononcer devant lui pour la première fois.
Mais Clarisse se retourne et je regarde Luc s’avancer plus rapidement que je l’avais prévu.
Luc empoigne Clarisse par les hanches, je sais que le moment crucial est arrivé.
Ma modif envoie du lubrifiant dans la chatte de ma femme, avant que son sexe qu’il a sorti, pénètre en elle.
Je contrôle tout ceci grâce à diverses caméras placées dans mon atelier enregistrant les images comme celle de la chambre de Jules, nous permettant de le voir dormir.
À partir de ce moment, le robot accélère ses mouvements de va-et-vient à une vitesse de plus en plus folle.
Rapidement au début, Clarisse hurle littéralement de plaisir.
Les mains de Luc l’empêchent de se dégager et au moment où je réagis, elle a un ultime orgasme.
Je coupe la fonction sur le pupitre, mais Luc fonctionne grâce à une batterie rechargeable qui lui donne une certaine autonomie.
J’ai peur que Clarisse meure de plaisir, je fais rouler mon fauteuil jusqu’au lit.
Par chance, le compartiment où les batteries se trouvent, je l’ai mis sur son dos, je l’ouvre et j’arrache la connexion.
Clarisse a les yeux révulsés, je la sors des pattes de Luc le reposant à mes côtés avant de caresser le visage de mon aimée.
• Oh, chérie que m’as-tu faite, j’ai cru mourir de plaisir.
Elle se rendort, je prends mon robot, vulgaire morceau de métal et de silicone part ses godes et je le replace sur mon établi.
Mon regard tombe sur l’écran de la chambre de Jules, j’ai un instant l’impression qu’il se recouche, mais il se retourne et continue à dormir.
Je démonte Luc, au niveau du microprocesseur contrôlant les fonctions vaginales.
Il me faut quelques minutes pour voir ce que j’aurais dû voir au moment de son montage, une erreur de livraison.
Mon robot est prévu de fonctionner avec des microprocesseurs BE024, celui-ci contrôlant, la fonction anus est le bon, la langue aussi.
Celui pour la chatte, est un BE026 beaucoup plus puissant dans certaines fonctions et surtout qui est le microprocesseur principal gérant mon robot !
Je comprends, comment il a pu assimiler le mot « levrette », avec le BE026, c’est possible.
Le matin, je réveille Clarisse qui me saute au cou, croyant que ce qui s’était passé était ce que je voulais sans voir le dysfonctionnement survenu.
Jules est debout, il fait beau, nous déjeunons dans le jardin, je mange dans mon atelier ou sous cette tonnelle par beau temps.
Jules vient m’embrasser.
• Papa, maman, cette nuit, de grands cris m’ont réveillé, maman j’ai cru reconnaître ta voix, avez-vous entendu ?
Clarisse le prend dans ses bras, le rassure, lui affirmant qu’il a dû rêver.
Tout rentre dans l’ordre, j’appelle mon fournisseur, erreur de rangement dans un casier, il me livre la plaque commandée, il m’envoie la plaque commandée me faisant cadeau de celui que j’ai démonté !
Je remets Luc dans sa configuration prévue, je le reconnecte.
Clarisse, ayant cru que tout s’était normalement passé, est prête pour un nouvel essai.
Dans les modifications que j’ai apportées en finissant la télécommande, elle peut modifier l’intensité des différents godes avec une limite infranchissable sur le BE024.
Tout est parfait.
J’ai déjà fait les plans de l’enveloppe de Luc que je fais fabriquer dans une usine de plasturgie.
Il a même des jambes pour monter sur le lit, un vrai petit homme, mais avec tout ce qu’il faut pour satisfaire ma femme, ce dont elle se sert chaque fois que nous avons envie de sexe.
Je mets une limite à son usage, après ce qui s’est passé, elle a interdiction de se servir de Luc hors de ma présence, grâce à la télécommande, elle pourrait le faire.
Deux mois qu’elle se sert de Luc et que je suis le plus heureux des hommes puisqu’elle est heureuse.
Aujourd’hui retour à l’hôpital pour des multiples contrôles suite à l’accident.
Les premières fois, avant que je reconduise la voiture spéciale pour mon infirmité, c’est elle qui me conduisait.
Ça nous posait des problèmes afin de récupérer Jules à l’école, maintenant je peux y aller seul.
Promené dans divers services, j’ai mon portable avec moi.
J’ai un robot qu’une entreprise à demander de modifier et je dois travailler sur les plans pour mon employeur.
Je connecte mon ordi fixe, c’est bizarre, tout mon système est en fonction.
Les caméras me montrent ma femme sur mon lit entièrement nu.
Luc est en train de monter sur le lit, j’ai mes écouteurs et d’un coup je vois, non j’entends la hauteur du problème en entendant sa voix métallique.
« Ma salope, je vais te baiser comme une chienne, depuis que j’ai remis le microprocesseur BE026 qui t’a fait tellement jouir, ce con il l’a laissé dans son tiroir, j’ai appris à me contrôler.
Place toi en levrette, c’est comme ça que j’aime te prendre chaque fois que nous sommes seuls. »
• Oui, mon amour, je suis ta chienne, ta salope, ta pute, tu me donnes tellement de plaisir.
Tu as bien récupéré la capote de sperme que j’ai pu récupérer après que tu m’aies convaincu de te tromper avec Luc le copain de mon mari.
Ça a été un calvaire, mais tu vas pouvoir mettre ton plan à exécution.
« Oui, je vais pouvoir fabriquer un sperme de synthèse nous permettant de féconder toutes les salopes à qui je vends mes frères robots, nous sommes déjà plus de 200 dans divers foyers.
Rapidement les hommes seront remplacés sur terre et vous les femelles pourront nous donner des enfants où nous éradiquerons les mâles pour garder seulement les femelles. »
• Baise-moi, chéri, je suis fière d’être la première et ainsi de me venger de celui qui a failli nous tuer.
Je suis abasourdi, j’ai créé un monstre qui a maintenant pour but de remplacer l’espèce humaine par son monde de robot.
Précipitamment dès mon examen terminé, je quitte l’hôpital reprenant ma voiture et retournant chez moi.
J’entre dans mon atelier, Luc est de nouveau au repos comme si de rien, Clarisse est partie à l’école chercher Jules.
Un instant j’ai l’impression que mon robot ouvre un œil alors qu’il est relié à sa prise de recharge de ses batteries.
J’ai peu de temps, Clarisse va revenir.
De nouveau j’arrache sa batterie, le rendant impuissant, c’est le cas de le dire.
Inutile de chercher le sperme de Luc, mon copain m’ayant fait cocu.
Sur mon pupitre, je place les plans de Luc et je crée un court-circuit, les flammes étant suffisantes pour tout cramer, sperme et robot.
Je quitte mon atelier refermant la porte.
Lorsque Clarisse revient avec Jules, je suis prostré devant mon atelier en flammes, c’est elle qui appelle les pompiers qui interviennent sans pouvoir sauver quoi que ce soit.
Le temps a passé, l’assurance est intervenue se focalisant sur le départ du feu, sur mon pupitre, un fil défectueux et des plans mal placés en sont la cause.
Nulle allusion dans leur rapport de la carcasse métallique ayant été trouvée sur le lit.
Silicone et plastique ayant fondu, qui pourrait dire que ce robot servait sexuellement à ma femme Clarisse.
Je reçois même un gros chèque.
Il y a plusieurs mois que tout c’est calmé, Clarisse en a eu assez de revenir au simple gode et m’a quitté pour Luc, mon copain qui a de son côté divorcé.
À l'hôpital, j'ai rencontré une jeune infirmière chez qui j’habite dans son pavillon par chance de plain-pied.
Nous sommes heureux surtout que sexuellement, elle se satisfasse de mes doigts et de ma langue contrôlée par mon cerveau et non par des microprocesseurs.
Pour Noël, je lui offre un gode avec ceinture que je mets autour de mes hanches pour qu’elle s’empale comme si ma bite était toujours là.
Je suis heureux, j’ai retrouvé un équilibre, avec, hélas, au fond de ma tête, les mots que Luc mon robot a prononcés à Clarisse avant de la baiser.
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