COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission ? Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission ? Début de la saison I (1/3)
Professeur de français depuis plus de cinq ans dans ce lycée, l'un des plus huppé de Paris, je suis blindée à toutes les provocations faites par les élèves et j’y suis insensible.
Malgré le niveau du lycée, les jeunes restent des jeunes et sont toujours prêts à faire les potaches.
Souvent lorsque vous vous trouvez seule dans une salle de cours, ils se glissent près de vous et vous font le coup classique.
• Madame, j’ai trouvé une petite culotte devant le bureau du directeur, c’est la vôtre.
Et ils vous sortent une culotte de taille soixante, faisant le tour des classes, car c’est toujours la même qu’ils nous montrent.
• Vous vous trompez jeune homme, vous voyez bien que mon gros-cul aura du mal à y entrer.
Ça les calme pour un temps, malgré mes trente-deux ans, je fais un petit trente-huit, étant par moments obligés de me vêtir dans les rayons jeunes filles, car dans les femmes tout est trop grand pour moi.
• Ah ! j’ai trouvé, c’est la vôtre jeune homme même si je doute que vos grosses fesses trouvent leur place à l’intérieur.
C'est la deuxième lame quand je vois qu’ils vont surenchérir, tous les coups, il détale et je suis tranquille pour quelques semaines.
Classiquement, ce sont les élèves qui vous suivent en groupe, c’est plus facile qu’individuellement, montrant ainsi leur courage.
Ils savent où vous habitez et mettent une lettre dans votre boîte annonçant à votre mari qu’il est cocu.
Avec moi ils peuvent toujours courir, je suis divorcé depuis deux ans.
Mon mari pour nos trente ans et nos dix ans de mariage m’a quitté pour aller vivre avec sa vieille secrétaire.
Non, en disant vieille, j’emploie le bon mot, cent pour cent, vous annonce qu’il vous quitte pour leurs jeunes secrétaires.
Le mien m’a quitté pour cette femme ayant cinq ans de plus que moi, elle devait avoir des talents cachés.
Je classe les lettres qu’il a laissées pour avoir des souvenirs pour mes vieux jours dans une boîte rangée dans mon placard de chambre.
Depuis sa trahison, je me caresse la chatte avec mes doigts déclenchant dans mon corps des jouissances au dixième de celle que j’avais avec lui.
J’ai bien pensé à m’acheter un gode, mais je me vois mal aller dans un sexe chope en choisir un, je connais des pères d’élèves, je serais mal à l’aise si j’en rencontrais.
Je suis donc blindée, comme je l’ai dit, jusqu’à ce matin où le directeur m’appelle pour me présenter un nouvel élève qui nous rejoint après les fêtes de Noël.
Ce jeune homme est blond presque blanc et d’une silhouette plutôt malingre.
Ces os sont si frêles que l’on peut avoir peur de le casser en le touchant.
Il a une taille sensiblement la même que la mienne, je fais 1m55.
Je conduis l’élève vers ma classe et j’entends dans un souffle.
• Je t’aurai.
J’ai dû mal entendre, mais non, car lorsque nous franchissons la porte, il réitère sa phrase en parlant entre ses dents.
• Tu as compris, je t’aurai.
Mon premier réflexe est de faire demi-tour et de retourner vers le bureau du proviseur.
Lorsqu’il me regarde avec ses grands yeux bleus, j’ai une étrange réaction, pour la première fois, je décide de voir venir.
J’ai l’impression de fondre et je suis sûr que ma petite culotte vient d’être mouillée.
• Bonjour à tous, je vous présente Teti qui nous rejoint en cours d’années.
Teti, installe-toi à cette table devant mon bureau, cette bande de cancres évitant toujours d’être devant moi,C’est bien connu, les plus intellectuels d’entre eux préfèrent le radiateur.
Présente-toi, si tu le désir ?
• Je m’appelle Teti descendant de Teti 1er roi d’Égypte ayant régné à partir de 2321 avant Jésus-Christ.
• Madame, qu’est-ce que c’est que ce bouffon que vous nous amenez ?
Je suis Ducon 1er fils de mon père et de ma mère !
Je suis sorti de ses spermatozoïdes et des ovules de maman, regardez la belle bête, que cela nous a donnée !
• Patrick, on respecte son camarade, pour lundi, tu me feras une page sur Teti 1er.
• Il habite où que j’aille chercher des renseignements chez son père.
• Deux pages, tu iras sur Internet rechercher tes données au lieu de tchatter avec tes copines.
Il va sans dire que je connais ces réseaux, inutile de recopier des pans entiers, je veux du développement.
Je venais de faire deux erreurs, l’animosité de Patrick envers Teti et moi qui le place devant moi alors qu’il y a d'autres places libres.
• Teti continue.
• J’ai dix-neuf ans, comme je l’ai dit, je suis d’origine égyptienne par mon père.
Il se nomme Ménès descendant de Ménès 1er, nous arrivons du Venezuela où mon père était ambassadeur.
• Ménès, là, je connais, c’est l’attaquant au P.S.G, madame !
Je devrais sévir une nouvelle fois, mais là, il faut reconnaître que c'est drôle, alors je laisse passer.
Je connais le phénomène, la première punition va déjà être un casse-tête pour lui.
Patrick me voit rire alors qu’il allait reprendre la parole, mais le regard que je lui lance et les deux pages récoltées, le calme.
Je connais l’ouverture de ces conflits entre jeunes et le point critique sera la récré où ils seront en partie livrés à eux-mêmes.
Je vais surveiller cela de prêt même si les pions sont là pour ça.
Je commence mon cours sur un texte de Voltaire, à un moment mon regard croise celui de Teti.
Il m’est arrivé au début de ma carrière, de temps en temps, qu’un grand dadais veuille lutter avec moi en fixant son regard dans le mien et je les ai toujours mouchés.
J’aurais dû tourner mon regard immédiatement et refuser la lutte, car au bout de quatre à cinq minutes, je baisse mes yeux et mes joues virent aux rouges.
Je finis, l’heure sans le regarder.
Que ce garçon bâtit comme une ablette alors que j’aime les mecs un peu baraqués comme l’était mon ex me trouble, ça semble inimaginable.
Quand la sonnerie retentie, j’évite de bouger ayant peur que mon tailleur blanc présente une marque à la hauteur de mon sexe.
Teti prend son temps pour ranger ses affaires et lorsque Patrick passe près de lui, il lui lance un regard noir.
J’accumule les erreurs depuis que j’ai récupéré Teti chez le proviseur.
Le temps que je mets à ranger mes feuilles dans mon sac, je suis en tête à tête avec lui.
• Tu peux lutter, tu seras à moi, dès que je le déciderai.
• Vous voulez que je vous emmène chez le directeur.
• Chiche.
Je m’enfonce de plus en plus, car une nouvelle fois je recule évitant de mettre en pratique mes menaces.
Nous sortons et j’accumule ce qu’il faut éviter de faire, je passe devant lui.
• On te l’a déjà dit, tu as un joli cul, en dehors de ce lycée, j’y aurais porté ma main.
• Je vais convoquer vos parents.
• Tu m’amuses, mon père te collera au mur pour te baiser.
Tu sais qu’il est le digne héritier de Ménès, comme moi de Teti 1er.
Je suis sûr que tu aimeras, sache qu’un jour…
Il arrête là sa phrase, ce qui ressemble à une menace, je file vers la salle des profs le laissant se débrouiller avec Patrick.
J’arrive à me calmer, car je sens que je suis troublée pour la première fois par ce garçon inconnu de moi ce matin.
Je retrouve tout mon groupe pour la deuxième heure avant de passer le relais au prof de math.
C’est l’effervescence autour de Patrick qui se tient la mâchoire, j’arrive à comprendre ce qui est arrivé sans poser de questions.
Dans la cour de récré, Patrick serait venu pour agresser Teti qui lui aurait porté un coup avec son pied comme on l’apprend dans les cours de savates à la française directement dans la mâchoire.
Le cours se passe bien, à un détail près, chaque fois que je regarde dans sa direction même sans le vouloir, je baisse les yeux, ayant le temps de le voir passer sa langue sur ses lèvres.
À la fin de mon cours, je sors la première, pour la première fois depuis mes débuts et je vais me réfugier dans la salle des profs.
Le reste de la journée, je finis par penser à d’autres choses qu’à mon élève très entreprenant, même si c’est simplement par la parole et le regard.
À dix-sept heures, je quitte le lycée.
Je me dépêche de prendre mon métro me conduisant après quatre stations en ligne directe à mon petit trois-pièces que je me suis acheté après avoir récupéré la moitié de nos biens avec mon mari.
L’immeuble de cinq étages possède un ascenseur, lorsque la double porte va se fermer, une main la retient et je retrouve devant moi Teti qui monte à mes côtés.
• Que faite vous là ?
• Qu’est-ce que je t’ai dit ce matin, c’est l’heure ?
• Mon mari va rentrer.
• Tu me prends pour une bille, il s’est tiré.
• Comment sais-tu cela ?
Pour la première fois, je viens de le tutoyer, son regard acéré me fait comprendre qu’il l’a entendu.
• Les portables, c’est utile, j’ai appelé le mec qui va bien et il m’a tout dit sur toi.
Le mec qui va bien, qui a pu lui donner de tels renseignements.
Pourquoi chercher, il les a et je me sens mal à l’aise, car je suis sans défense ?
Lorsque l'ascenseur arrive sur le palier de mon appartement, il me fait passer et me frôle insidieusement.
C’est reparti, je sens mon corps m’abandonner, Teti prenant de plus en plus d’emprise sur moi.
J’ouvre et au moment où je vois qu’il veut entrer, j’appuie sur le bouton de la porte de l’ascenseur qui s’ouvre de nouveau.
• Dégage, j’irai voir le directeur demain qui convoquera ton père qui te sermonnera pour ton agissement.
Je suis une femme respectable et je refuse une aventure d’un moment avec un jeune garçon comme toi, qui plus est, l’un de mes élèves.
Avant qu’il ait le temps de comprendre, j’entre et je referme ma porte contre laquelle je m’appuie pour reprendre pied sur terre en fermant les yeux.
Insidieusement, pour la première fois depuis que mon aventure avec Teti a commencé, je me caresse la chatte à travers ma jupe.
J’ai chaud, pas seulement à cause du chauffage dans mon appartement que je règle avec du mal, un des thermostats étant hors-service, mais pour tout autre chose inavouable.
Pourquoi ai-je refusé qu’il entre, j’entrouvre ma porte, il est parti, l’ascenseur vient de redescendre ?...
Malgré le niveau du lycée, les jeunes restent des jeunes et sont toujours prêts à faire les potaches.
Souvent lorsque vous vous trouvez seule dans une salle de cours, ils se glissent près de vous et vous font le coup classique.
• Madame, j’ai trouvé une petite culotte devant le bureau du directeur, c’est la vôtre.
Et ils vous sortent une culotte de taille soixante, faisant le tour des classes, car c’est toujours la même qu’ils nous montrent.
• Vous vous trompez jeune homme, vous voyez bien que mon gros-cul aura du mal à y entrer.
Ça les calme pour un temps, malgré mes trente-deux ans, je fais un petit trente-huit, étant par moments obligés de me vêtir dans les rayons jeunes filles, car dans les femmes tout est trop grand pour moi.
• Ah ! j’ai trouvé, c’est la vôtre jeune homme même si je doute que vos grosses fesses trouvent leur place à l’intérieur.
C'est la deuxième lame quand je vois qu’ils vont surenchérir, tous les coups, il détale et je suis tranquille pour quelques semaines.
Classiquement, ce sont les élèves qui vous suivent en groupe, c’est plus facile qu’individuellement, montrant ainsi leur courage.
Ils savent où vous habitez et mettent une lettre dans votre boîte annonçant à votre mari qu’il est cocu.
Avec moi ils peuvent toujours courir, je suis divorcé depuis deux ans.
Mon mari pour nos trente ans et nos dix ans de mariage m’a quitté pour aller vivre avec sa vieille secrétaire.
Non, en disant vieille, j’emploie le bon mot, cent pour cent, vous annonce qu’il vous quitte pour leurs jeunes secrétaires.
Le mien m’a quitté pour cette femme ayant cinq ans de plus que moi, elle devait avoir des talents cachés.
Je classe les lettres qu’il a laissées pour avoir des souvenirs pour mes vieux jours dans une boîte rangée dans mon placard de chambre.
Depuis sa trahison, je me caresse la chatte avec mes doigts déclenchant dans mon corps des jouissances au dixième de celle que j’avais avec lui.
J’ai bien pensé à m’acheter un gode, mais je me vois mal aller dans un sexe chope en choisir un, je connais des pères d’élèves, je serais mal à l’aise si j’en rencontrais.
Je suis donc blindée, comme je l’ai dit, jusqu’à ce matin où le directeur m’appelle pour me présenter un nouvel élève qui nous rejoint après les fêtes de Noël.
Ce jeune homme est blond presque blanc et d’une silhouette plutôt malingre.
Ces os sont si frêles que l’on peut avoir peur de le casser en le touchant.
Il a une taille sensiblement la même que la mienne, je fais 1m55.
Je conduis l’élève vers ma classe et j’entends dans un souffle.
• Je t’aurai.
J’ai dû mal entendre, mais non, car lorsque nous franchissons la porte, il réitère sa phrase en parlant entre ses dents.
• Tu as compris, je t’aurai.
Mon premier réflexe est de faire demi-tour et de retourner vers le bureau du proviseur.
Lorsqu’il me regarde avec ses grands yeux bleus, j’ai une étrange réaction, pour la première fois, je décide de voir venir.
J’ai l’impression de fondre et je suis sûr que ma petite culotte vient d’être mouillée.
• Bonjour à tous, je vous présente Teti qui nous rejoint en cours d’années.
Teti, installe-toi à cette table devant mon bureau, cette bande de cancres évitant toujours d’être devant moi,C’est bien connu, les plus intellectuels d’entre eux préfèrent le radiateur.
Présente-toi, si tu le désir ?
• Je m’appelle Teti descendant de Teti 1er roi d’Égypte ayant régné à partir de 2321 avant Jésus-Christ.
• Madame, qu’est-ce que c’est que ce bouffon que vous nous amenez ?
Je suis Ducon 1er fils de mon père et de ma mère !
Je suis sorti de ses spermatozoïdes et des ovules de maman, regardez la belle bête, que cela nous a donnée !
• Patrick, on respecte son camarade, pour lundi, tu me feras une page sur Teti 1er.
• Il habite où que j’aille chercher des renseignements chez son père.
• Deux pages, tu iras sur Internet rechercher tes données au lieu de tchatter avec tes copines.
Il va sans dire que je connais ces réseaux, inutile de recopier des pans entiers, je veux du développement.
Je venais de faire deux erreurs, l’animosité de Patrick envers Teti et moi qui le place devant moi alors qu’il y a d'autres places libres.
• Teti continue.
• J’ai dix-neuf ans, comme je l’ai dit, je suis d’origine égyptienne par mon père.
Il se nomme Ménès descendant de Ménès 1er, nous arrivons du Venezuela où mon père était ambassadeur.
• Ménès, là, je connais, c’est l’attaquant au P.S.G, madame !
Je devrais sévir une nouvelle fois, mais là, il faut reconnaître que c'est drôle, alors je laisse passer.
Je connais le phénomène, la première punition va déjà être un casse-tête pour lui.
Patrick me voit rire alors qu’il allait reprendre la parole, mais le regard que je lui lance et les deux pages récoltées, le calme.
Je connais l’ouverture de ces conflits entre jeunes et le point critique sera la récré où ils seront en partie livrés à eux-mêmes.
Je vais surveiller cela de prêt même si les pions sont là pour ça.
Je commence mon cours sur un texte de Voltaire, à un moment mon regard croise celui de Teti.
Il m’est arrivé au début de ma carrière, de temps en temps, qu’un grand dadais veuille lutter avec moi en fixant son regard dans le mien et je les ai toujours mouchés.
J’aurais dû tourner mon regard immédiatement et refuser la lutte, car au bout de quatre à cinq minutes, je baisse mes yeux et mes joues virent aux rouges.
Je finis, l’heure sans le regarder.
Que ce garçon bâtit comme une ablette alors que j’aime les mecs un peu baraqués comme l’était mon ex me trouble, ça semble inimaginable.
Quand la sonnerie retentie, j’évite de bouger ayant peur que mon tailleur blanc présente une marque à la hauteur de mon sexe.
Teti prend son temps pour ranger ses affaires et lorsque Patrick passe près de lui, il lui lance un regard noir.
J’accumule les erreurs depuis que j’ai récupéré Teti chez le proviseur.
Le temps que je mets à ranger mes feuilles dans mon sac, je suis en tête à tête avec lui.
• Tu peux lutter, tu seras à moi, dès que je le déciderai.
• Vous voulez que je vous emmène chez le directeur.
• Chiche.
Je m’enfonce de plus en plus, car une nouvelle fois je recule évitant de mettre en pratique mes menaces.
Nous sortons et j’accumule ce qu’il faut éviter de faire, je passe devant lui.
• On te l’a déjà dit, tu as un joli cul, en dehors de ce lycée, j’y aurais porté ma main.
• Je vais convoquer vos parents.
• Tu m’amuses, mon père te collera au mur pour te baiser.
Tu sais qu’il est le digne héritier de Ménès, comme moi de Teti 1er.
Je suis sûr que tu aimeras, sache qu’un jour…
Il arrête là sa phrase, ce qui ressemble à une menace, je file vers la salle des profs le laissant se débrouiller avec Patrick.
J’arrive à me calmer, car je sens que je suis troublée pour la première fois par ce garçon inconnu de moi ce matin.
Je retrouve tout mon groupe pour la deuxième heure avant de passer le relais au prof de math.
C’est l’effervescence autour de Patrick qui se tient la mâchoire, j’arrive à comprendre ce qui est arrivé sans poser de questions.
Dans la cour de récré, Patrick serait venu pour agresser Teti qui lui aurait porté un coup avec son pied comme on l’apprend dans les cours de savates à la française directement dans la mâchoire.
Le cours se passe bien, à un détail près, chaque fois que je regarde dans sa direction même sans le vouloir, je baisse les yeux, ayant le temps de le voir passer sa langue sur ses lèvres.
À la fin de mon cours, je sors la première, pour la première fois depuis mes débuts et je vais me réfugier dans la salle des profs.
Le reste de la journée, je finis par penser à d’autres choses qu’à mon élève très entreprenant, même si c’est simplement par la parole et le regard.
À dix-sept heures, je quitte le lycée.
Je me dépêche de prendre mon métro me conduisant après quatre stations en ligne directe à mon petit trois-pièces que je me suis acheté après avoir récupéré la moitié de nos biens avec mon mari.
L’immeuble de cinq étages possède un ascenseur, lorsque la double porte va se fermer, une main la retient et je retrouve devant moi Teti qui monte à mes côtés.
• Que faite vous là ?
• Qu’est-ce que je t’ai dit ce matin, c’est l’heure ?
• Mon mari va rentrer.
• Tu me prends pour une bille, il s’est tiré.
• Comment sais-tu cela ?
Pour la première fois, je viens de le tutoyer, son regard acéré me fait comprendre qu’il l’a entendu.
• Les portables, c’est utile, j’ai appelé le mec qui va bien et il m’a tout dit sur toi.
Le mec qui va bien, qui a pu lui donner de tels renseignements.
Pourquoi chercher, il les a et je me sens mal à l’aise, car je suis sans défense ?
Lorsque l'ascenseur arrive sur le palier de mon appartement, il me fait passer et me frôle insidieusement.
C’est reparti, je sens mon corps m’abandonner, Teti prenant de plus en plus d’emprise sur moi.
J’ouvre et au moment où je vois qu’il veut entrer, j’appuie sur le bouton de la porte de l’ascenseur qui s’ouvre de nouveau.
• Dégage, j’irai voir le directeur demain qui convoquera ton père qui te sermonnera pour ton agissement.
Je suis une femme respectable et je refuse une aventure d’un moment avec un jeune garçon comme toi, qui plus est, l’un de mes élèves.
Avant qu’il ait le temps de comprendre, j’entre et je referme ma porte contre laquelle je m’appuie pour reprendre pied sur terre en fermant les yeux.
Insidieusement, pour la première fois depuis que mon aventure avec Teti a commencé, je me caresse la chatte à travers ma jupe.
J’ai chaud, pas seulement à cause du chauffage dans mon appartement que je règle avec du mal, un des thermostats étant hors-service, mais pour tout autre chose inavouable.
Pourquoi ai-je refusé qu’il entre, j’entrouvre ma porte, il est parti, l’ascenseur vient de redescendre ?...
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