COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison II (4/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Début de la saison II (4/6)
Dans cette première saison, moi la prof de français persuadée avoir de l’expérience me retrouve chez moi dominée par celui qui s’est présenté comme Teti fils de Teti 1er !
Où cette saison II va-t-elle me conduire ?
Je suis heureuse, Teti, mon jeune Maître me donne entièrement satisfaction, même si nos rapports sexuels sont empreints de violence.
Mais je sens que j’apprécie de plus en plus un peu son sadisme.
Je sais où il veut m’amener et ma tête l’a entièrement accepté, une chienne, une sodomisée, bref sa soumise.
Pour me prouver qu’il aime ma soumission, il vient de me sortir pour la première fois et nous nous retrouvons devant le rideau de fer d’une boutique.
Le rideau monte et la porte s’ouvre après quelques minutes.
• Entrez, je vous attendais.
• Excuse-moi, Ralf de te déranger.
• Je suis là pour vous, tu le sais bien, grâce à vous je booste mon chiffre d’affaires.
Veux-tu la base habituelle pour ta copine ?
• Oui, mais ajoute une boule à bouche, elle chante trop fort.
• Tu as raison, surtout avec le martinet que je vais te fournir.
• Les guêpes, tu en veux combien ?
• Trois avec la blanche pour les sorties.
• Je vois que tu as bien étudié les règles pour avoir ton diplôme.
Revoilà le diplôme, pourtant cette année, ils sont très stricts, c’est une année de transition.
• Tu le passes quand ?
• Je la présente dimanche prochain à mon père et à ma belle-mère qui vont l’affiner et me montrer les points de détail pour le dimanche suivant où je passe devant le grand jury.
• Tu as de la chance, elle va entrer au sein des seins.
À ce que je voie de ta protégée, nul doute que tu l’auras, tu as fait un bon choix.
Allons-y, la mienne m’attend et tu sais qu’il faut éviter de les laisser seules trop longtemps.
• La mienne cela va, sauf les cris, elle a compris où était son intérêt et elle sait que je suis le seul à pouvoir lui apporter les plaisirs qu’elle ressent depuis que je l’ai prise en main.
J’ai envie de hurler lorsque je l’entends parler de moi comme d’un simple tas de chairs ou un objet, mais toujours pareil, j’ai accepté son amour et ma soumission alors je me tais.
• Viens par là, on va commencer par la boule, on va la faire taire.
Ce devait être de l’humour, car ma bouche est restée close.
Close, elle va l’être lorsqu’il prend une boîte avec à l’intérieur une boule en caoutchouc qu’il me place dans la bouche et qu’il attache derrière ma tête.
• Celle-ci est rouge, mais je la décline en bleu, vert, brune, noire ou blanche.
Regarde, celle-là, elle est multicolore, mais pour ton but, elle fait trop folklorique, il m’étonnerait que le grand Maître apprécie.
Je te conseille la blanche, elle irait très bien avec la guêpe blanche, mais elle a tendance à se salir très vite.
Viens, on va choisir les guêpes, cela orientera le choix des boules.
• Déshabille-toi ?
L’ordre tombe sec sans souffrir d’aucune récrimination de ma part.
D’ailleurs comment pourrais-je avec ma boule dans la bouche, surtout après ce qu’ils viennent de dire ?
Je suis fière que ce jeune homme voulant devenir un Maître m’ait choisie.
Je dois reconnaître ma soumission une fois de plus lorsque je parle de « ma boule » alors que j’aurais dû penser « la boule ».
L’homme vient vers moi et tâte la marchandise.
• Tu as très bien choisi, elle doit avoir passé la trentaine et ils sont très fermes.
C’est vrai ce que j’ai entendu dire, que c’est ta prof de mathématiques.
• Non, de français.
• Chapeau l’artiste, avec ton diplôme, tu vas monter vite dans l’organisation.
De quoi parle-t-il une fois de plus, son diplôme et maintenant une organisation, je suis larguée.
Une fois nue, un peu gênée devant cet inconnu, moi qui étant mariée étais très pudique et que dire devant mes collègues et mes élèves, je me retrouve devant le rayon guêpière avec mon seul collier.
• La rouge, elle est en phase avec sa boule, elle est dans les mêmes tons.
Je la mets sur mon corps, il l’ajuste grâce aux lanières, elle est en cuir et les moitiés de bonnets font remonter mes seins mettant en valeur les aréoles avec leurs fraises qui les terminent.
• On en mangerait.
• Profites-en, je suis sûr que cela va lui plaire, elle démarre au quart de tour.
• Me, me.
• Tu vois, elle donne son accord, je t’offre ma petite soumise, profite en bien.
Comment peut-il m’offrir à cet homme surtout en lui disant que je pars au quart de tour, alors qu’il m’a simplement sodomisée deux fois ?
L’homme pourtant quelconque se penche et engame la pointe de mes seins.
Il fait tourner sa langue dessus, je gémis alors que ce doit être seulement dans ma tête, donnant raison à mon Maître.
• Regarde, elle respire trop facilement.
• J’ai vu, je vais la brider.
Il prend les lanières et une à une il les serre, j’ai le souffle coupé, lorsqu’il ajuste la dernière.
• Elle est trop grande, il lui faut la taille en dessous.
J’aime que Teti ait confié mes seins à cet homme, mais là il exagère, il m’est impossible de respirer et il veut m’en passer une plus petite.
Il me dégrafe me permettant de reprendre mon souffle, j’étais au bord des larmes, il me passe la taille en dessous.
Auparavant il distant les lanières, lorsqu’il la passe et qu’il retend les lacets, je suis aussi serré qu’avant.
• Tu vois Teti, celle-là lui va mieux, lorsque je l’agrafe devant, j’ai plus de jeu entre les bords arrière de cuir pour serrer les lanières.
Tu l’as mise au régime que nous préconisons dans l’organisation pour les débutants comme toi !
Dans huit jours, tu auras un premier résultat et samedi avant d’aller chez ton père, tu passeras pour que je l’ajuste.
Elle en aura besoin après le régime alimentaire que nous leur imposons, je te mets les trois aux couleurs de la France.
• Je t’amènerais les trois, car tu es plus doué que moi pour les équilibres et les tensions des lanières.
• C’est un métier, tu as raison, les juges regardent ces petits détails, d’accord tu passes avec ton œuvre dimanche à onze heures.
Voilà que je deviens une œuvre, bientôt il va me mettre en exposition et en concurrence avec la Joconde.
J’essaye les trois qu’il règle sur moi, chaque fois il laisse traîner ses mains partout.
Chaque fois mon corps s’embrase, je deviens une vraie salope qui serait capable de se faire prendre là sur cette table où il pose les affaires si Teti m’en donnait l’ordre.
• Pour les boules alors.
• Blanche, bleu et rouge.
• Après tu as besoin de quoi.
• Les boules.
• On vient de les voir.
• Non, les autres.
• De geishas ?
• Oui, venez c’est là-bas.
Il nous conduit vers une console ou de drôles d’objets se trouvent dans la vitrine.
Au passage, je passe devant une glace, il est impossible que ce soit moi qui accepte tout ça, et pourtant.
• Lesquelles ?
• Les plus efficaces.
• Celle-là, elle vibre à tout moment.
Mets-toi sur la chaise et écarte tes cuisses, belle salope.
À quel jeu vont-ils jouer avec moi ?
Qu’est-ce que c’est que ces deux boules métalliques reliées par un cordon ?
• Attends-tu vas te les mettre ?
J’ai interdiction de toucher.
Dialogue de fous, encore l’inconnu, je pense que je me doute, comment les mettre, je pousse la première au plus loin et la deuxième pousse la première.
• Elle a un beau vagin bien profond, ce sont les plus grosses, peu de femmes peuvent mettre les deux avec une telle facilitée.
L’anneau qui sort de mon vagin est un peu disgracieux, mais je me suis habituée à tellement de choses en peu de temps, alors un simple anneau.
• Marche, tu vas voir à quoi elle sert !
Un pas, deux pas, ça bouge, encore un pas, ça bouge encore et ma chatte s’échauffe.
Ayant fait le tour du magasin, ma chatte est en feu, comment vais-je vivre avec cette excitation permanente, vais-je devoir aller devant les autres élèves avec de tels objets dans mon vagin.
• Demain, tu les mettras pour aller au lycée, même lorsque je serai dans une autre salle, tu penseras à moi et nous resterons soudés.
Qu’est-ce que je disais, on voit pourquoi je l’aime, il a toujours une solution pour tous les moments de ma nouvelle vie ?
• C’est tout pour aujourd’hui !
• Non, des portes jarretelles et des bas, une bonne soumise doit ressembler à une pute.
• Je vais pouvoir te satisfaire, j’ai des modèles très jolis…
Où cette saison II va-t-elle me conduire ?
Je suis heureuse, Teti, mon jeune Maître me donne entièrement satisfaction, même si nos rapports sexuels sont empreints de violence.
Mais je sens que j’apprécie de plus en plus un peu son sadisme.
Je sais où il veut m’amener et ma tête l’a entièrement accepté, une chienne, une sodomisée, bref sa soumise.
Pour me prouver qu’il aime ma soumission, il vient de me sortir pour la première fois et nous nous retrouvons devant le rideau de fer d’une boutique.
Le rideau monte et la porte s’ouvre après quelques minutes.
• Entrez, je vous attendais.
• Excuse-moi, Ralf de te déranger.
• Je suis là pour vous, tu le sais bien, grâce à vous je booste mon chiffre d’affaires.
Veux-tu la base habituelle pour ta copine ?
• Oui, mais ajoute une boule à bouche, elle chante trop fort.
• Tu as raison, surtout avec le martinet que je vais te fournir.
• Les guêpes, tu en veux combien ?
• Trois avec la blanche pour les sorties.
• Je vois que tu as bien étudié les règles pour avoir ton diplôme.
Revoilà le diplôme, pourtant cette année, ils sont très stricts, c’est une année de transition.
• Tu le passes quand ?
• Je la présente dimanche prochain à mon père et à ma belle-mère qui vont l’affiner et me montrer les points de détail pour le dimanche suivant où je passe devant le grand jury.
• Tu as de la chance, elle va entrer au sein des seins.
À ce que je voie de ta protégée, nul doute que tu l’auras, tu as fait un bon choix.
Allons-y, la mienne m’attend et tu sais qu’il faut éviter de les laisser seules trop longtemps.
• La mienne cela va, sauf les cris, elle a compris où était son intérêt et elle sait que je suis le seul à pouvoir lui apporter les plaisirs qu’elle ressent depuis que je l’ai prise en main.
J’ai envie de hurler lorsque je l’entends parler de moi comme d’un simple tas de chairs ou un objet, mais toujours pareil, j’ai accepté son amour et ma soumission alors je me tais.
• Viens par là, on va commencer par la boule, on va la faire taire.
Ce devait être de l’humour, car ma bouche est restée close.
Close, elle va l’être lorsqu’il prend une boîte avec à l’intérieur une boule en caoutchouc qu’il me place dans la bouche et qu’il attache derrière ma tête.
• Celle-ci est rouge, mais je la décline en bleu, vert, brune, noire ou blanche.
Regarde, celle-là, elle est multicolore, mais pour ton but, elle fait trop folklorique, il m’étonnerait que le grand Maître apprécie.
Je te conseille la blanche, elle irait très bien avec la guêpe blanche, mais elle a tendance à se salir très vite.
Viens, on va choisir les guêpes, cela orientera le choix des boules.
• Déshabille-toi ?
L’ordre tombe sec sans souffrir d’aucune récrimination de ma part.
D’ailleurs comment pourrais-je avec ma boule dans la bouche, surtout après ce qu’ils viennent de dire ?
Je suis fière que ce jeune homme voulant devenir un Maître m’ait choisie.
Je dois reconnaître ma soumission une fois de plus lorsque je parle de « ma boule » alors que j’aurais dû penser « la boule ».
L’homme vient vers moi et tâte la marchandise.
• Tu as très bien choisi, elle doit avoir passé la trentaine et ils sont très fermes.
C’est vrai ce que j’ai entendu dire, que c’est ta prof de mathématiques.
• Non, de français.
• Chapeau l’artiste, avec ton diplôme, tu vas monter vite dans l’organisation.
De quoi parle-t-il une fois de plus, son diplôme et maintenant une organisation, je suis larguée.
Une fois nue, un peu gênée devant cet inconnu, moi qui étant mariée étais très pudique et que dire devant mes collègues et mes élèves, je me retrouve devant le rayon guêpière avec mon seul collier.
• La rouge, elle est en phase avec sa boule, elle est dans les mêmes tons.
Je la mets sur mon corps, il l’ajuste grâce aux lanières, elle est en cuir et les moitiés de bonnets font remonter mes seins mettant en valeur les aréoles avec leurs fraises qui les terminent.
• On en mangerait.
• Profites-en, je suis sûr que cela va lui plaire, elle démarre au quart de tour.
• Me, me.
• Tu vois, elle donne son accord, je t’offre ma petite soumise, profite en bien.
Comment peut-il m’offrir à cet homme surtout en lui disant que je pars au quart de tour, alors qu’il m’a simplement sodomisée deux fois ?
L’homme pourtant quelconque se penche et engame la pointe de mes seins.
Il fait tourner sa langue dessus, je gémis alors que ce doit être seulement dans ma tête, donnant raison à mon Maître.
• Regarde, elle respire trop facilement.
• J’ai vu, je vais la brider.
Il prend les lanières et une à une il les serre, j’ai le souffle coupé, lorsqu’il ajuste la dernière.
• Elle est trop grande, il lui faut la taille en dessous.
J’aime que Teti ait confié mes seins à cet homme, mais là il exagère, il m’est impossible de respirer et il veut m’en passer une plus petite.
Il me dégrafe me permettant de reprendre mon souffle, j’étais au bord des larmes, il me passe la taille en dessous.
Auparavant il distant les lanières, lorsqu’il la passe et qu’il retend les lacets, je suis aussi serré qu’avant.
• Tu vois Teti, celle-là lui va mieux, lorsque je l’agrafe devant, j’ai plus de jeu entre les bords arrière de cuir pour serrer les lanières.
Tu l’as mise au régime que nous préconisons dans l’organisation pour les débutants comme toi !
Dans huit jours, tu auras un premier résultat et samedi avant d’aller chez ton père, tu passeras pour que je l’ajuste.
Elle en aura besoin après le régime alimentaire que nous leur imposons, je te mets les trois aux couleurs de la France.
• Je t’amènerais les trois, car tu es plus doué que moi pour les équilibres et les tensions des lanières.
• C’est un métier, tu as raison, les juges regardent ces petits détails, d’accord tu passes avec ton œuvre dimanche à onze heures.
Voilà que je deviens une œuvre, bientôt il va me mettre en exposition et en concurrence avec la Joconde.
J’essaye les trois qu’il règle sur moi, chaque fois il laisse traîner ses mains partout.
Chaque fois mon corps s’embrase, je deviens une vraie salope qui serait capable de se faire prendre là sur cette table où il pose les affaires si Teti m’en donnait l’ordre.
• Pour les boules alors.
• Blanche, bleu et rouge.
• Après tu as besoin de quoi.
• Les boules.
• On vient de les voir.
• Non, les autres.
• De geishas ?
• Oui, venez c’est là-bas.
Il nous conduit vers une console ou de drôles d’objets se trouvent dans la vitrine.
Au passage, je passe devant une glace, il est impossible que ce soit moi qui accepte tout ça, et pourtant.
• Lesquelles ?
• Les plus efficaces.
• Celle-là, elle vibre à tout moment.
Mets-toi sur la chaise et écarte tes cuisses, belle salope.
À quel jeu vont-ils jouer avec moi ?
Qu’est-ce que c’est que ces deux boules métalliques reliées par un cordon ?
• Attends-tu vas te les mettre ?
J’ai interdiction de toucher.
Dialogue de fous, encore l’inconnu, je pense que je me doute, comment les mettre, je pousse la première au plus loin et la deuxième pousse la première.
• Elle a un beau vagin bien profond, ce sont les plus grosses, peu de femmes peuvent mettre les deux avec une telle facilitée.
L’anneau qui sort de mon vagin est un peu disgracieux, mais je me suis habituée à tellement de choses en peu de temps, alors un simple anneau.
• Marche, tu vas voir à quoi elle sert !
Un pas, deux pas, ça bouge, encore un pas, ça bouge encore et ma chatte s’échauffe.
Ayant fait le tour du magasin, ma chatte est en feu, comment vais-je vivre avec cette excitation permanente, vais-je devoir aller devant les autres élèves avec de tels objets dans mon vagin.
• Demain, tu les mettras pour aller au lycée, même lorsque je serai dans une autre salle, tu penseras à moi et nous resterons soudés.
Qu’est-ce que je disais, on voit pourquoi je l’aime, il a toujours une solution pour tous les moments de ma nouvelle vie ?
• C’est tout pour aujourd’hui !
• Non, des portes jarretelles et des bas, une bonne soumise doit ressembler à une pute.
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