COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (13/14)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (13/14)
Avant de vous dévoiler qui est le garde qui a tué Teti, nouveau maître français et futur grand maître, je vais faire un point sur cette affaire et comment nous en sommes arrivés là.
Je suis certain que certains de ceux qui suivent cette histoire ont une idée sur ce garde qui a tué Teti et enlevé Aurore, sa soumise.
Tout a commencé dans un lycée lors de l’arrivée d’un nouvel élève, Teti fils de Ménès.
Une animosité s’est créé entre Teti et Patrick un autre élève, que nous pourrons considérer comme le cancre de la classe de Véronique prof de français, de ce même établissement.
Véronique avec son expérience a accumulé les erreurs en retardant sa réaction envers Teti qui a semblé vouloir la soumettre à son bon vouloir.
Les échanges entre les deux garçons dans un premier temps se sont même terminés à coups de poing, mais surtout savate, Teti excellant dans cet art de combat.
Aurore, jeune fille, jeune et jolie, leur a donné l’occasion de s’affronter lorsque Teti certainement pour faire bisquer la prof s’est mis à la draguer.
Teti réussit son coup prenant le poids sur la prof et l’amenant même dans son milieu favorisé.
Elle si fière s’abaisse et accepte les brimades et les privations de son élève.
Il prend pied chez elle avec un but, prouver à son père et son organisation que les femmes sont capables de prendre des décisions.
Ce sont les maîtres de notre pays tenant les postes clefs de père en fils.
Véronique devant finir dans un endroit inconnu d’elle où ces hommes se retrouvent pour honorer leur grand maître.
Ce vieil homme à qui les maîtres demandent depuis des mois de désigner son successeur à sa mort.
Il le fait et c’est Teti à qui échoie cette fonction avec l’approbation de tous les maîtres.
Quant à Véronique contre toute attente, le grand maître lui octroie le poste de maîtresse des soumises et des gardes.
Dès sa fonction obtenue, sa première décision est empreinte de jalousie, lui faisant prendre une décision, qui va tout précipiter.
Elle veut détacher Aurore de celui qu’elle considère être son seul maître, mais un des gardes tue Teti avec son glaive avant de s’emparer du grand maître.
Il entraîne Aurore derrière lui, et sors de la salle avec son otage empêchant tout garde à agir contre lui.
Dans la salle, Azur, autre jeune femme soumise, mais à Ménès un peu le père de Teti, les suit et franchit la porte avant qu’elle soit refermée.
C’est à ce moment que la montagne ou se trouve le repère de ces maîtres du monde explose, tuant certainement Véronique qui a pris Teti mort dans ses bras.
Alors, il est grand temps de voir ce qu’il se passe dès la porte franchie par ces quatre personnes.
Pour cela, comme tout explose sur ce qui doit être une île, voyons s’ils sont toujours en vie.
Chris71 m’interroge sur ce qui s’est passé et comment je me suis retrouvé garde dans ce lieu de tarés.
Certains d’entre vous doivent penser que je suis Patrick, le cancre de la classe de madame Véronique notre prof de français.
Vous vous demandez comment je me suis retrouvé dans cette grande pièce sur l’île où vit le grand maître de ce tas de malades et comment nous nous en sommes sorties quand tout a explosé autour de nous.
Je vais vous le raconter.
Oui, c’est moi Patrick prompte à me fourrer dans des coups foireux.
Maman qui m’a élevé seul, mon père taré comme moi l’a quitté à ma naissance.
Maman est infirmière dans un hôpital et fière par les temps qui courent de son travail.
J’étais pénard dans mon lycée à glander autant que je le pouvais jusqu’à ce que ce taré de Teti vieille foutre mes plans en l’air.
Perdre mon pucelage.
Un moment j’ai pensé le perdre avec Véronique notre prof de français.
Divorcée, des roberts comme des obus qu’elle avait tendance à nous mettre sous notre nez.
Un temps je l’ai suivi jusque chez elles, espérant une occasion de la rencontrer en tête à tête hors du cadre de ses cours.
Certains vont penser que je suis timide et que c’est pour cela que mon biscuit est vierge, mais ils se trompent.
Je suis vierge, hors zodiaque, car je respecte les femmes et que je veux attendre le bon moment pour perdre ma rondelle avec la bonne personne.
Un jour aux sorties du lycée, j’ai bousculé Aurore, notre petite amie, je me suis excusé et je l’ai invité à prendre un coca.
J’ai compris que je l’intéressais alors j’ai déplacé mon envie de chatte adulte en chatte ados.
Ça marchait, j’étais à deux doigts de l’emmener dans ma chambre lorsque maman étant de service de jour la route était libre.
C’est à ce moment que ce connard est apparu dans notre vie.
J’ai vu que ma petite l’intéressait et j’ai voulu mordre.
Mal m’en ai pris, car j’ai pris la branler de ma vie par ce demi-avorton.
Qui a notre époque peut être le roi de la savate, je vous pose la question, son pied dans ma gueule moi je m’en souviens encore.
Les choses se sont accélérées, notre prof a disparu, un remplaçant est arrivé, bien moins sexy que madame Véronique.
Teti étant toujours au lycée, mais semblant s’être désintéressé d’Aurore, j’ai subi le nouveau prof.
Il se disait dans le lycée que le proviseur avait reçu une lettre de la prof faisant savoir qu’elle quittait l’établissement.
Quand ce fut le cas d’Aurore dans les mêmes circonstances, je suis allé chez ses parents qui pleuraient toutes les larmes de leur corps, leur fille ayant fugué avec un jeune homme.
Teti, ce mec devait être derrière toutes ces disparitions survenant depuis son arrivée et l’intérêt qu’il portait et à la prof et à Aurore.
Je l’ai suivi et j’ai été étonné qu’il prenne et qu’il entre chez notre prof.
Ça m’a paru louche, maman venait de me payer une voiture après mon permis.
En face de l’immeuble, il y avait une impasse, j’ai pu garer ma voiture, j’ai fait le nécessaire pour rester surveiller tout en restant à l’intérieur.
Les seuls allers-retours s’étaient Teti jusqu’à un dimanche matin où il est sorti avec ma petite Aurore et qu’ils sont montés dans une limousine conduite par un chauffeur.
Je m’étais endormi et j’ai failli les loupés, mais j’ai dégagé ce qui obstruait ma vision me permettant de rester sans que l’on me remarque.
J’ai été surpris de les voir prendre le chemin de l’aéroport du Bourget.
Je les ai vus entrer dans l’enceinte et aussi dans un hangar la porte se refermant.
Cancre peut être, mais malin ça c’est sûr.
J’ai réussi à entrer et à m’approcher du hangar, tout ceci était loin d’être normal.
J’en faisais le tour et par chance sur l’arrière il y avait une porte ouverte.
Je me suis faufilé avec de la chance, car il y avait des caisses prêtes à être embarqué sur un vol.
Au bout du hangar près d’un jet, des gens s’affairaient.
Parmi eux, des hommes étranges déchargeaient des choses étranges d’un camion.
Je me suis approché, c’était des caisses avec des femmes dedans.
J’étais trop loin, je me suis approché passant sur l’arrière de rangées de caisses.
J’étais assez prêt lorsqu’un de ces Romains est venu à deux mètres de moi, mais par chance me tournant le dos.
Nous faisons quelquefois des choses par instinct.
Le gars a posé son casque sur une caisse, a sorti sa queue et s’est mis à pisser.
La caisse derrière laquelle j’étais avait dû être ouverte, car un marteau et des clous étaient au sol.
Instinctivement je l’ai ramassé, je me suis approché et lorsqu’il m’a senti derrière lui, il a sorti son glaive, mais trop tard, car le marteau est arrivé sur son crâne.
À croire qu’il l’avait enlevé pour me faciliter la tâche.
Je sais, certains diront que c’est mal d’assommer quelqu’un à coups de marteau, le laissant nu sur le sol peut être mort, mais c’était aussi mal de me piquer l’amour de ma vie.
L’homme était nu, car j’ai enlevé mes vêtements et j’ai enfilé l’armure romaine sans oublier le casque me cachant le visage grâce au protège-nez.
Le moment crucial a été lorsque j’ai rejoint le groupe, un garde m’a fait une réflexion sans que je la comprenne sauf que c’était certainement de l’Espagnole.
J’ai vu qu’il restait une cage avec une fille apeurée à l’intérieur, mais surtout que la limousine était certainement repartie.
J’ai aidé à sortir la dernière caisse, lorsqu’un homme sapé comme un maître est venu voir le chargement.
Il était d’un genre hautain comme pouvait l’être Teti.
Il s’est adressé à moi en français, les autres semblants étrangers et espagnols, j’ai pu comprendre.
• Je t’ai donné la place de Brutus, car il m’a déçu, j’espère avoir plus de chance avec toi ou étais-tu parti ?
• J’étais allé pisser un coup, sans vouloir vous déplaire.
• Maître, tu dois dire maître je te le rappelle.
• Pardon maître, j’allais le dire.
Un des autres gardes a sorti la fille, lui mettant sa laisse et elle nous a suivies lorsque nous sommes montés à l’arrière de l’avion.
Quatre autres filles étaient là attachés à leur siège comme le fut celle que nous avions fait monter.
Nous nous sommes assis sur des sièges prêts des caisses, devant moi je voyais Teti avec Aurore, avec elle aussi une laisse au cou et assise à ses côtés.
J’aurais dû garder le marteau, certes, j’avais un glaive, mais les turbines ont démarré et nous avons décollé.
Vers quelles destinations, j’avais peut-être fait une connerie en montant dans cet avion, mais quand je voyais la petite à la merci de ce salopard, j’étais fière d’être là...
Je suis certain que certains de ceux qui suivent cette histoire ont une idée sur ce garde qui a tué Teti et enlevé Aurore, sa soumise.
Tout a commencé dans un lycée lors de l’arrivée d’un nouvel élève, Teti fils de Ménès.
Une animosité s’est créé entre Teti et Patrick un autre élève, que nous pourrons considérer comme le cancre de la classe de Véronique prof de français, de ce même établissement.
Véronique avec son expérience a accumulé les erreurs en retardant sa réaction envers Teti qui a semblé vouloir la soumettre à son bon vouloir.
Les échanges entre les deux garçons dans un premier temps se sont même terminés à coups de poing, mais surtout savate, Teti excellant dans cet art de combat.
Aurore, jeune fille, jeune et jolie, leur a donné l’occasion de s’affronter lorsque Teti certainement pour faire bisquer la prof s’est mis à la draguer.
Teti réussit son coup prenant le poids sur la prof et l’amenant même dans son milieu favorisé.
Elle si fière s’abaisse et accepte les brimades et les privations de son élève.
Il prend pied chez elle avec un but, prouver à son père et son organisation que les femmes sont capables de prendre des décisions.
Ce sont les maîtres de notre pays tenant les postes clefs de père en fils.
Véronique devant finir dans un endroit inconnu d’elle où ces hommes se retrouvent pour honorer leur grand maître.
Ce vieil homme à qui les maîtres demandent depuis des mois de désigner son successeur à sa mort.
Il le fait et c’est Teti à qui échoie cette fonction avec l’approbation de tous les maîtres.
Quant à Véronique contre toute attente, le grand maître lui octroie le poste de maîtresse des soumises et des gardes.
Dès sa fonction obtenue, sa première décision est empreinte de jalousie, lui faisant prendre une décision, qui va tout précipiter.
Elle veut détacher Aurore de celui qu’elle considère être son seul maître, mais un des gardes tue Teti avec son glaive avant de s’emparer du grand maître.
Il entraîne Aurore derrière lui, et sors de la salle avec son otage empêchant tout garde à agir contre lui.
Dans la salle, Azur, autre jeune femme soumise, mais à Ménès un peu le père de Teti, les suit et franchit la porte avant qu’elle soit refermée.
C’est à ce moment que la montagne ou se trouve le repère de ces maîtres du monde explose, tuant certainement Véronique qui a pris Teti mort dans ses bras.
Alors, il est grand temps de voir ce qu’il se passe dès la porte franchie par ces quatre personnes.
Pour cela, comme tout explose sur ce qui doit être une île, voyons s’ils sont toujours en vie.
Chris71 m’interroge sur ce qui s’est passé et comment je me suis retrouvé garde dans ce lieu de tarés.
Certains d’entre vous doivent penser que je suis Patrick, le cancre de la classe de madame Véronique notre prof de français.
Vous vous demandez comment je me suis retrouvé dans cette grande pièce sur l’île où vit le grand maître de ce tas de malades et comment nous nous en sommes sorties quand tout a explosé autour de nous.
Je vais vous le raconter.
Oui, c’est moi Patrick prompte à me fourrer dans des coups foireux.
Maman qui m’a élevé seul, mon père taré comme moi l’a quitté à ma naissance.
Maman est infirmière dans un hôpital et fière par les temps qui courent de son travail.
J’étais pénard dans mon lycée à glander autant que je le pouvais jusqu’à ce que ce taré de Teti vieille foutre mes plans en l’air.
Perdre mon pucelage.
Un moment j’ai pensé le perdre avec Véronique notre prof de français.
Divorcée, des roberts comme des obus qu’elle avait tendance à nous mettre sous notre nez.
Un temps je l’ai suivi jusque chez elles, espérant une occasion de la rencontrer en tête à tête hors du cadre de ses cours.
Certains vont penser que je suis timide et que c’est pour cela que mon biscuit est vierge, mais ils se trompent.
Je suis vierge, hors zodiaque, car je respecte les femmes et que je veux attendre le bon moment pour perdre ma rondelle avec la bonne personne.
Un jour aux sorties du lycée, j’ai bousculé Aurore, notre petite amie, je me suis excusé et je l’ai invité à prendre un coca.
J’ai compris que je l’intéressais alors j’ai déplacé mon envie de chatte adulte en chatte ados.
Ça marchait, j’étais à deux doigts de l’emmener dans ma chambre lorsque maman étant de service de jour la route était libre.
C’est à ce moment que ce connard est apparu dans notre vie.
J’ai vu que ma petite l’intéressait et j’ai voulu mordre.
Mal m’en ai pris, car j’ai pris la branler de ma vie par ce demi-avorton.
Qui a notre époque peut être le roi de la savate, je vous pose la question, son pied dans ma gueule moi je m’en souviens encore.
Les choses se sont accélérées, notre prof a disparu, un remplaçant est arrivé, bien moins sexy que madame Véronique.
Teti étant toujours au lycée, mais semblant s’être désintéressé d’Aurore, j’ai subi le nouveau prof.
Il se disait dans le lycée que le proviseur avait reçu une lettre de la prof faisant savoir qu’elle quittait l’établissement.
Quand ce fut le cas d’Aurore dans les mêmes circonstances, je suis allé chez ses parents qui pleuraient toutes les larmes de leur corps, leur fille ayant fugué avec un jeune homme.
Teti, ce mec devait être derrière toutes ces disparitions survenant depuis son arrivée et l’intérêt qu’il portait et à la prof et à Aurore.
Je l’ai suivi et j’ai été étonné qu’il prenne et qu’il entre chez notre prof.
Ça m’a paru louche, maman venait de me payer une voiture après mon permis.
En face de l’immeuble, il y avait une impasse, j’ai pu garer ma voiture, j’ai fait le nécessaire pour rester surveiller tout en restant à l’intérieur.
Les seuls allers-retours s’étaient Teti jusqu’à un dimanche matin où il est sorti avec ma petite Aurore et qu’ils sont montés dans une limousine conduite par un chauffeur.
Je m’étais endormi et j’ai failli les loupés, mais j’ai dégagé ce qui obstruait ma vision me permettant de rester sans que l’on me remarque.
J’ai été surpris de les voir prendre le chemin de l’aéroport du Bourget.
Je les ai vus entrer dans l’enceinte et aussi dans un hangar la porte se refermant.
Cancre peut être, mais malin ça c’est sûr.
J’ai réussi à entrer et à m’approcher du hangar, tout ceci était loin d’être normal.
J’en faisais le tour et par chance sur l’arrière il y avait une porte ouverte.
Je me suis faufilé avec de la chance, car il y avait des caisses prêtes à être embarqué sur un vol.
Au bout du hangar près d’un jet, des gens s’affairaient.
Parmi eux, des hommes étranges déchargeaient des choses étranges d’un camion.
Je me suis approché, c’était des caisses avec des femmes dedans.
J’étais trop loin, je me suis approché passant sur l’arrière de rangées de caisses.
J’étais assez prêt lorsqu’un de ces Romains est venu à deux mètres de moi, mais par chance me tournant le dos.
Nous faisons quelquefois des choses par instinct.
Le gars a posé son casque sur une caisse, a sorti sa queue et s’est mis à pisser.
La caisse derrière laquelle j’étais avait dû être ouverte, car un marteau et des clous étaient au sol.
Instinctivement je l’ai ramassé, je me suis approché et lorsqu’il m’a senti derrière lui, il a sorti son glaive, mais trop tard, car le marteau est arrivé sur son crâne.
À croire qu’il l’avait enlevé pour me faciliter la tâche.
Je sais, certains diront que c’est mal d’assommer quelqu’un à coups de marteau, le laissant nu sur le sol peut être mort, mais c’était aussi mal de me piquer l’amour de ma vie.
L’homme était nu, car j’ai enlevé mes vêtements et j’ai enfilé l’armure romaine sans oublier le casque me cachant le visage grâce au protège-nez.
Le moment crucial a été lorsque j’ai rejoint le groupe, un garde m’a fait une réflexion sans que je la comprenne sauf que c’était certainement de l’Espagnole.
J’ai vu qu’il restait une cage avec une fille apeurée à l’intérieur, mais surtout que la limousine était certainement repartie.
J’ai aidé à sortir la dernière caisse, lorsqu’un homme sapé comme un maître est venu voir le chargement.
Il était d’un genre hautain comme pouvait l’être Teti.
Il s’est adressé à moi en français, les autres semblants étrangers et espagnols, j’ai pu comprendre.
• Je t’ai donné la place de Brutus, car il m’a déçu, j’espère avoir plus de chance avec toi ou étais-tu parti ?
• J’étais allé pisser un coup, sans vouloir vous déplaire.
• Maître, tu dois dire maître je te le rappelle.
• Pardon maître, j’allais le dire.
Un des autres gardes a sorti la fille, lui mettant sa laisse et elle nous a suivies lorsque nous sommes montés à l’arrière de l’avion.
Quatre autres filles étaient là attachés à leur siège comme le fut celle que nous avions fait monter.
Nous nous sommes assis sur des sièges prêts des caisses, devant moi je voyais Teti avec Aurore, avec elle aussi une laisse au cou et assise à ses côtés.
J’aurais dû garder le marteau, certes, j’avais un glaive, mais les turbines ont démarré et nous avons décollé.
Vers quelles destinations, j’avais peut-être fait une connerie en montant dans cet avion, mais quand je voyais la petite à la merci de ce salopard, j’étais fière d’être là...
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