COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (14/14)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
  • • 2261 récits publiés.
  • • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
  • • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 11 428 526 visites.
Récit libertin : COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (14/14) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 722 fois depuis sa publication.
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(14.0 / 10)

Couleur du fond :
COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (14/14)
Suivant ma petite Aurore, j’ai peut-être tué un homme habillé en Romain pour monter dans un avion l’emmenant vers un lieu que j’ignore.
Ce que je peux dire, c’est que le voyage a été long, car nous nous trouvions à un endroit de l’avion sans hublots.
Nous avons fait escale, certainement pour faire le plein, j’entendais des bruits de liquide coulant dans les réservoirs très près de l’endroit où nous étions installés.
Nous sommes reparties sans avoir mis le pied à terre.
Deux hôtesses nues elles aussi avec un collier de chien comme Aurore en porte un ainsi que les filles pleurent derrière nous sont venues avec un chariot.
Elles nous apportaient un plateau à chacun et des bouteilles d’un liquide d’un vert caca d’oie pour les filles.
Elles ont des piercings sur les seins et même sur leur chatte.
Ce que je remarque, c’est qu’elles sont vierges du moindre poil sur le corps.
C’était la première fois que je voyais des femmes nues épilées si près de moi.
Mon slip de cuir me tenant compte de culotte s’est mis à ce tendre, je bandais.
Nous avons fini par atterrir, j’étais anxieux, le maître m’avait interpellé sans voir que son garde avait changé, mais qu’en sera-t-il dans ce grand hangar où plusieurs avions étaient garés.
C’est là que descendant de l’avant de l’appareil, j’ai vu que madame Véronique était du voyage, mais avec le maître s’était adressée à moi.
Nous avons fait sortir les cinq filles et un autre garde romain est venu me parler en français.

• Tu as déjà mis ces salopes, ce soir nous allons en profiter, on nous avait promis des nouvelles, de vraies salopes.

Je l’ai suivi, j’ai vu Teti emmener Aurore, comme son toutou, il y avait trop de monde pour que j’intervienne.
Devant lui marchait madame Véronique qui semblait être la soumise du maître venu vers nous et qui m’avait interpellé.
De qui voulait-il parler quand il m’a dit avoir remplacé un certain Brutus et que j’avais oublié de l’appeler « maître ».

Les filles et nous avons été emmenés dans un cantonnement comme nous en voyons dans les films du temps où les jeunes faisaient leur service militaire.
Dans ce lieu, tous enlevaient, leur casque le laissant avec leur glaive sur le lit leur étant assigné.
Les trois autres, venus avec moi, ont récupéré leur lit, mais le garde nous ayant reçu m’a fait entrer dans une pièce où nous étions tous les deux.
J’ai compris que j’avais du galon et que j’avais droit à un espace plus grand et personnel.
Dès ce moment les filles ont été prises en main comme celle qui était déjà là.
Il avait certainement repéré une jeune femme parmi les cinq que nous avions amenés.
Il l’a attirée dans le lieu, a fermé, la porte, a sorti sa queue et lui a fait comprendre qu’elle devait le sucer.
J’étais gêné, je voyais mal perdre mon pucelage dans la chatte de cette pauvre fille, soumise à ses maîtres.

• Baise là pendant qu’elle me suce, dit, tu es le premier mec que je vois qui manque d’empressement avec les putes que l’on nous fournit.
Es-tu PD, sache que moi les tarlouses je les passe au fil de mon glaive ?
• Sois sans crainte, j’aime seulement les femmes, mais le voyage m’a un peu fatigué.
Tu as raison, le cul de cette fille semble très appétissant, je vais me l’embrocher.

J’étais assis sur mon lit, je voyais le cul de cette soumise à quelques centimètres de moi.
Je me suis levé, j’ai pris la pute à soldat par les hanches et j’ai glissé ma queue entre ses fesses.
J’ai senti que la chatte que je frottais mouillait ma queue bandant à son maximum.
J’étais étonné de la voir s’envoyer en l’air, mais mon frottement sur son clito même sans pénétration suffisait à l’envoyer vers les sommets du plaisir.

• Attends, on change, elle va te sucer et je vais l’enculer, ces petites femelles que nos maîtres nous offrent, elles adorent sentir nos grosses bites défoncer leur cul.
C’est incroyable qu’elles acceptent tout cela sans la moindre plainte.
Tu me diras avec ce que tu lui mets au fond de sa gorge, je comprends qu’il lui soit possible d’appeler, papa ou maman à la rescousse.

C’est ainsi que malgré que je voulais éviter de perdre mon pucelage dans la chatte de cette fille, c’est dans sa bouche que les premières rassades de mon sperme sont venues se perdre.
Je dis « perdre » pas entièrement, car la fille a semblé apprécier mon sperme, se léchant même les lèvres pour récupérer une goutte s’étant échappé.
C’est lorsqu’un grondement sourd est monté des entrailles d’où nous nous trouvions que j’ai compris que nous étions sur une île certainement volcanique avec un volcan semblant vouloir se mettre en colère.

• Soi sans crainte, ça fait des mois que je suis le garde principal de ces conards à côté.
La dernière fois que les maîtres se sont réunis, maître Ménès venu de France avec toi, c’était Brutus qui l’accompagnait.
Qu’est-il devenu ?

Question à cent balles me posant du tracas, jusqu’à où ce garçon dont j’ignorais le nom me testait-il.
Ouf sauvée par le gong, une sono s’est mis à cracher et une voix métallique à parler.

« Lucius, présentez-vous au bureau du grand maître, immédiatement ! »

À la réaction de Lucius, je savais comment il s’appelait, ça me donnait un avantage.

• Va coucher les gars, demain nous devons nous lever à 6 heures, afin de nous préparer comme tous les matins.
Prends ton glaive, certains baisant encore les filles auront du mal à exécuter ton ordre, fais preuve de fermeté, ils t’obéiront d’autant plus.

Il m’a quitté et je me suis coltiné une armoire à glace qui enculait une petite blonde sans plus de considération pour elle que s’il fourrait sa bite dans un rosbeef bien saignant.
Lorsqu’il est revenu, je me reposais sur mon lit, les filles étaient dans leur cage du même genre que celle que j’avais vue dans le hangar en France.
Comment pouvait-on faire cela à des femmes, j’ignorais que près de Teti, Aurore subissait le même sort ?

• Le grand manitou voulait savoir qui je mettrais près des trônes pour les garder.
Ce sera toi qui auras cet honneur, de mon côté je surveillerais la porte d’entrée à la grande salle afin que tout se passe bien.

Sans le savoir à ce moment la chance était avec moi.
Une partie de la nuit, des grondements se sont fait sentir jusque dans mon lit.
Vous savez la grande partie de la suite jusqu’à ce que je tue Teti venant d’être nommé futur grand maître à la mort du débris à côté duquel j’étais.
C’est madame Véronique pour qui j’avais le plus grand respect qui a déclenché ma colère complètement folle.
Lorsqu’elle a donné l’ordre de jeter ma petite dans les griffes de tous ceux avec qui j’avais passé la nuit sans le moindre respect pour les femmes qu’elles sont que je me suis emparé du débris.
J’ai embroché Teti avec un moment de joie instance.
J’ai donné un ordre à Aurore.

• Aurore, c’est moi Patrick ton copain de lycée.

Tenant le grand maître par le cou, elle m’a suivi et nous avons traversé la salle.
Lucius m’a ouvert la porte et lorsque nous sommes passés ça explosait de partout.
Je l’ai vu prendre une lance à un garde et bloquer les portes, les cris étaient atroces, le volcan devait se déverser dans la grande salle brûlant tous ces fumiers dans d’horribles souffrances.
J’aurais voulu sauver les filles, mais c’était impossible, sauf une qui s’appelait Sabrina et qui était muette.
Aurore qui l’avait fréquenté lors de leur venue avec madame Véronique chez maître Ménès, nous a dit que cette dernière ignorant son nom l’avait surnommé Azur.
Nous en avons beaucoup ri.
Nous avons rejoint un avion qui semblait prêt à décoller.
C’est à ce moment que le grand maître s’est affaissé dans mes bras, je l’ai lâché avant d’arriver au sol, je suis sûr qu’il était mort.

Aurore, Sabrina et Lucius s’appelant en réalité William nous avons pu décoller, par le hublot du co-pick, nous nous sommes éloignés de l’île ou en son sommet la lave coulait vers la mer.
J’ai vu un autre avion décollé, mais les pierres projetées par le volcan sont venues le percuter et exploser en vol.
Le pilote nous a conduits dans une autre île à des heures de là, il était habillé et nous en Romain et les filles nues.
Il est allé à terre et est revenu avec deux tenues de pilotes et deux tenues d’hôtesse, c’est comme cela que nous avons pris un avion de ligne qui pour la France pour nous et les filles et la Hollande pour Lucius.
Pour l’argent, le jet où nous étions avait un coffre que mon collègue a ouvert avec facilité car avant d’être garde, était un monte-en-l’air.
Il avait cambriolé la maison de l’un de ces maîtres qui l’avaient attrapé et lui avait proposé un poste de garde ou un lacet autour du cou.
Il avait vite choisi surtout quand on lui avait parlé des filles à leur disposition.

Arrivé à Paris, nous avons compris que Sabrina pouvait être de bon conseil.
À Orly nous avons acheté un carnet et un stylo.
Nous lui parlions, elle écrivait la réponse.
Elle était maligne comme un singe, c’est du moins ce que j’ai toujours entendu dire.
Un taxi nous a déposé devant chez Ménès dans un immeuble qui était sa possession.
Là où il y avait peu de risques qu’il vienne nous réclamer des comptes.
Pour entrer, facile, nous avons fait appel à un serrurier basique lui disant que rentrant de goguette nous avions perdu nos clefs.
Il a ouvert sans plus se poser de questions lorsqu’il a eu dans sa main le gros billet de 500 € que je lui avais glissé.
Sabrina savait qu’il y avait un double dans le bureau du maître de maison.

Il était l’heure de se doucher et de se coucher.
Ce fut cette nuit-là que je trouvais l’amour physique avec deux jeunes femmes amoureuses.
Mais seulement par fellation.
Vous allez dire que vivre dans un hôtel particulier coute chère, c’est vrai, mais j’ai trouvé la parade à tout cela.
La fortune de maître Ménès.
Sabrina là aussi nous fut de grande utilité, le maître la tenait en laisse à ses pieds et avec l’habitude et le temps, elle était devenue invisible pour lui.
Il faisait des gestes mécaniques comme celui d’aller jusqu’à sa bibliothèque de la faire pivoter et d’y disparaitre.
Nous avons cherché un mécanisme, c’est moi qui ai déplacé le faux livre déclenchant l’ouverture.
Derrière il y avait une pièce véritable caverne d’Ali Baba.
Lingots or et argent, devise de nombreux pays, nous pouvions aller au Brésil, en Afrique du Sud, au Vietnam sans avoir à passer par la case des banques.
J’ai fait venir, maman, elle a été étonnée de me trouver vivant dans ce palais avec deux femmes.
Notre fortune était telle que cela a fini par lui paraître normal.
Les parents d’Aurore que je vais épouser ont été plus circonspects, bien sûr, nous sommes tombés d’accord avec les filles pour leur taire notre aventure.
Que faire, de cette fortune, vivre au soleil, ça oui, nous allons le faire ?
En attendant j’ai lu les journaux, peu d’article sur une île ayant exposé à cause d’un volcan, mais surtout la disparition d’hommes importants de notre pays.
Dans notre quartier un poste de député se trouve libre et des élections doivent avoir lieu.
Un jeu de passe-passe sur ma carte d’identité m’a permis d’être candidat puis élue malgré mon âge à la Chambre des députés.
J’ai bien compris que les hommes qui constituaient cette organisation internationale étaient des hommes de pouvoir, nous avons décidé de les combattre de l’intérieur.
Vous m’excusez, aujourd’hui je vais me marier.
Ce soir, je vais enfin perdre mon pucelage dans la chatte d’Aurore vierge à ce jour.
Ma nuit de noces, nous serons trois, car Sabrina malgré qu’elle ait connu les queues de quelques maîtres veut profiter de la mienne.
Un dernier avantage, dans nos aventures, ces maîtres me permettent d’avoir deux parfaites petites soumises à la maison que demandent le peuple.
Je sais.

Un jour, Patrick Président, ça plaira à maman.

Les avis des lecteurs

Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...


Texte coquin : COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Épilogue de l’histoire en deux chapitres (14/14)
Histoire sexe : Une rose rouge
Vous êtes :
Indiquez votre adresse mail si vous souhaitez la communiquer à l'auteur de l'histoire.

Dernières histoires érotiques publiées par CHRIS71

COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (161) - Récit érotique publié le 29-04-2024
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Beau-papa me rase la chatte (1/1) - Récit érotique publié le 28-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (25/25) - Récit érotique publié le 27-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (24/25) - Récit érotique publié le 26-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (23/25) - Récit érotique publié le 25-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (22/25) - Récit érotique publié le 23-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (21/25) - Récit érotique publié le 22-04-2024
COLLECTION LE MARIN. Cinéma porno des années 70 - 80 (1/1) - Récit érotique publié le 20-04-2024
COLLECTION ZONE ROUGE. Lait maternel (1/1) - Récit érotique publié le 19-04-2024
COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (20/20) - Récit érotique publié le 17-04-2024