COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Fin de la saison I (3/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Fin de la saison I (3/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-03-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Fin de la saison I (3/3)
Enfin Teti est chez moi, j’ai enfin ce que je veux, de plus la fellation qu’il m’accorde me remplit de joie, même si j’ai du mal à faire rentrer sa grosse verge dans ma bouche.
Il a faim, une fois servi, il me donne l’ordre de m’installer à ses pieds.
Bien sûr, j’accepte sans le moindre mot, je crains la violence que je suspecte en lui si je le contrarie.

Lorsqu’il a fini, je peux manger et ranger la cuisine pendant qu’il se prélasse dans le bain que je lui ai préparé.
Lorsque j’ai fini, je le rejoins espérant le retrouver dans l’eau.
Il est en train de sortir et pour la première fois je le vois intégralement nu.

• Viens m’essuyer, dépêche, j’ai sommeil.

Je le sèche intégralement et au moment de m’occuper du sexe, je l’embrasse.

• C’est bien ma cochonne, je vois que tu y prends goût, tu sais ce que j’attends de toi.

Bien sûr, je le sais, il va falloir que je m’habitue à avaler, mais je suis certaine que cela va bien se passer et qu’il sera satisfait chaque fois qu’il le désirera.
J’ai de plus en plus d’agilité sur sa verge et la façon dont il se cabre me montre que je suis sur la bonne voie.
Il m’envoie ses traits dans la gorge et en le regardant avec des yeux enamourés, je déglutis.
Salé et un peu fade, pas mauvais, je suis sûr que je vais finir par aimer.

• Lave-toi et viens te coucher, tu as cinq minutes.

Je suis déçue, j’aurais aimé des jeux érotiques dans l’eau.
J’aimais quand mon fumier de mari me baisait dans la baignoire de notre ancienne demeure.
Après mon bain, je me pomponne et mets un truc qui sent bon sur ma nuque et mes seins, avant de le rejoindre.
J’allais ouvrir les draps et la couverture pour m’installer à son côté.
Il me jette un oreiller à la figure, je crois qu’il veut jouer, je l’attrape et je lui renvoie, il me le renvoie.

• J’aime dormir seul.

Il est vrai qu’il est au milieu de mon lit deux places, déçu d’être viré de mon propre lit, je prends l’oreiller et me dirige vers la salle pour dormir sur mon canapé.

• Où vas-tu, ta place est au pied du lit, prête si j’ai besoin de toi.
• Comment ?
• Tu te couches et tu évites de discuter, tu me soûles.

La carpette, je m’allonge sur la carpette entièrement nue, par chance c’est une peau de mouton en laine très douce, mais j’ai l’impression une fraction de seconde d’être le toutou qui va dormir aux pieds de son maître.
Cette pensée me traverse une fraction de seconde, car une nouvelle fois j’accepte ma situation.

La pièce est noire, lorsque je sens des mains me palper.
Le temps que je réalise, on me place en levrette et dans les secondes qui suivent mon cul est agressé par un sexe différent de celui de Teti vu sa grosseur.
Pourquoi, une nouvelle fois, j’accepte de servir de femelle à ce jeune garçon, même s’il est bien monté ?
Moi qui ai toujours refusé de me faire sodomiser par mon ex, je sens le gland de Teti à la porte de ma rosette.

• Non, pas la sodomie, épargne-moi cette ignominie ?

Une grande claque sur mon fessier me rappelle à l’ordre, en acceptant qu’il entre chez moi, j’ai impitoyablement accepté que ce jeune homme prenne mon corps en otage de ses jeux érotiques, il faut reconnaître que je l’espérais.
Une partie de ma jeunesse me revient en mémoire.
Cette claque ressemble à celle que papa me donnait quand j’avais été méchante ou peu sage, mais avec lui, c’étaient toujours les fesses couvertes.
J’avais pris l’habitude de ses traitements expéditifs et je me souviens même que je provoquais des incidents pour que sa grosse paluche s’abatte, là où cela fait mal, mais tant de bien aussi.
J’étais jeune et mes souvenances sont trop lointaines sur ma petite culotte se retrouvant mouillées comme ma chatte l’est à ce moment.

Quand j’ai accepté de me coucher hors de mon lit, non son lit, je dois l’admettre, j’aime qu’il me fasse connaître des choses que je pensais impossibles.
Je suis folle de me rebeller alors que je suis déchirée par sa verge en même temps que je me plains.
Cette première sodomie, non voulue à la base, restera un moment qui marquera ma vie surtout quand il ajoute.

• Je t’avais dit que je t’aurais.

En fait, je suis à la limite de la douleur d’une première pénétration et du plaisir qu’il m’encule comme si j’étais sa chienne.
Le suis-je devenue depuis que j’ai autour du cou le collier qui marque ma soumission, les menottes me les montrant.
Même si par rapport à un animal le mien est en or massif et a dû lui coûter fort cher.

Le matin, on est samedi, je lui sers son chocolat au lit avec des tartines beurrées.
J’ai eu le droit de descendre faire des courses et surtout du chocolat en poudre absent chez moi, il faut que je m’habitue, chez lui.
Pendant qu’il mange, je reprends ma place sur la peau de bête, il est gentil, il me donne une de ses bouchées de pain beurré un peu mâché, ce sera le seul repas qu’il m’autorise de la journée.

• Va faire le ménage, je veux que mon appartement soit nickel ce soir.

Il a accaparé mon appartement, mais bof, il m’a honoré cette nuit, même si c’est mon anus, si c’est ce qu’il aime, je comprends qu’il souhaite vivre dans une maison propre.
Toute la journée je frotte et après ma douche, je suis contente de retrouver ma couche, sur ma peau de bête bien sûr.
Je suis à peine endormi qu’il me réveille en allumant sa lumière pour que je lui suce la verge.
Au moment de monter sur son lit, je lui fais un beau sourire satisfait du geste qu’il a vers moi.
Il décharge, lorsque je l’ai très bien nettoyé, millimètre par millimètre, appréciant son goût de plus en plus, je me rallonge lorsqu’il m’enlève l'oreiller.

• Tu seras mieux sans ce truc qui te casse le cou.

Une fois de plus, je devrais hurler, mais il a raison, j’ai pris de mauvaises habitudes, je me sentirais mieux, il est très gentil de prendre soin de ma santé, surtout de mes cervicales.
Je passe une nuit mitigée, certains moments, je cherche l'oreiller pour le remettre sous ma tête, ce qui me réveille.
Au matin, je me lève pour aller préparer son petit déjeuner, il bascule ses jambes et s’assoit au bord du lit.

• Viens ici, dépêche-toi.

Je pense qu’il veut m’enculer aussi je m’agenouille devant sa verge.
Mais c’est sa main qui s’abat sur mes fesses de plus en plus fort et de plus en plus rapidement.
Je pleure, je crie, les voisins doivent être avertis à cause du bruit que je fais et vont venir me délivrer de mon tortionnaire.

• Je m’arrêterai lorsque tu arrêteras de crier.
C’est la première, mais pas la dernière, chaque fois que tu feras une erreur !
Tu y auras le droit, cette première, c’est pour le bruit que tu as fait cette nuit lorsque tu as bougé tout le temps en cherchant ton oreiller, cela m’a réveillé.

Pour que la correction stop, je commence par baisser de ton, mais les coups continuant, je me mords la lèvre pour éviter que sorte de ma bouche le moindre son.

• Tu vois, tu y arrives, fais voir ta lèvre.

Il me prend les cheveux et me lève la tête, son geste est si brusque qu’une fraction de seconde, j’ai peur qu’il me scalpe.

• Tout à l’heure nous réglerons ce problème, je veux te réussir comme bonne soumise, il est hors de question que j’échoue pour une lèvre en sang.

De quoi parle-t-il, je suis toujours en position, aussi je me garde bien de poser la question afin que mes fesses déjà bien rouges finissent aussi en sang.
Je verrai tout à l’heure.
Après avoir pris son bain qu’une nouvelle fois je lui ai préparé, il met le peignoir qui était à mon ex, me cachant mon plaisir que me procure la vue de son sexe.

• Pour aujourd’hui dimanche, tu as un programme allégé pour le ménage.
Tu iras faire la chambre en changeant mes draps, j’aime qu’ils sentent de frais, après tu iras dans la cuisine la nettoyer à fond.
Tu as de la chance, car le dimanche si toute la semaine a été satisfaisant, je t’emmènerai au restaurant où j’ai mes habitudes.
À partir de maintenant tu deviendras végétarienne, à quinze heures, nous irons à notre rendez-vous.
Viens, je vais te montrer ton repas de la semaine.

Il va dans le frigo et sort une bouteille.

• Regarde, la bouteille est graduée à partir du dimanche avec un trait pour chaque jour.
Un jour, une dose, ce sera ton repas de la journée jusqu’à mon diplôme dans quinze jours.

J’ai envie de lui demander ce que ce breuvage contient, mais comme il me sert la dose du dimanche, gouttant du bout des lèvres, c’est buvable.
Un peu épais comme de la soupe de légumes, d’ailleurs il doit y avoir de la carotte.

• Quinze jours de ce régime, ton corps sera parfait comme il est recommandé, une femelle soumise doit avoir une taille de guêpe.

Sans crier gare et sans préparatifs, il me couche les seins sur la table de la cuisine et à grands coups de sexe, il me défonce une fois de plus ma rondelle ignorant ma petite chatte qui bave d’envie.
Il est efficace, car je fais marcher les petits muscles autour de sa verge et j’ai une bonne décharge d’adrénaline.
Après avoir ramassé ma dose dans les fesses, je me mets au boulot jusqu’au moment de me préparer pour aller faire voir la belle pouliche que je suis devenue.
Nous sommes dans l’ascenseur et je veux lui donner un baiser, il tourne la tête comme si je l’avais brûlé.

Depuis que j’ai accepté de porter le collier de Teti lui prouvant que j’acceptais ma soumission, les choses se sont accélérées.
Entre ce que j’ai avalé ce matin et qui va être ma dose journalière pendant deux semaines et le repas du dimanche, je vais rapidement perdre les quelques kilogrammes que je me promets de larguer depuis des années.
Son rendez-vous est à proximité du restaurant, pourquoi m’entraîne-t-il devant une boutique où le rideau d’acier est fermé ?

● Attends, il va ouvrir…

Fin de la saison I, j’espère que la saison II nous montrera jusqu’à ou Teti sera capable de soumettre Véronique, sa prof de français.

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