COLLECTION SOUMISSION. De prof vers ma soumission. Fin de la saison II (6/6) - histoire érotique

Je suis derrière Teti qui, lorsqu’il entre, tombe dans les bras de son père.

• Bonjour fils, je suis content que tu viennes me présenter celle que tu as su séduire et amené à rejoindre notre monde.
Écarte-toi que j’admire le résultat de ton travail.
À première vue c’est très agréable et équilibré.

Je me sens dégradé par les propos de cet homme même s’il est impressionnant par sa carrure et par sa chevelure blanche.
Comment un homme ayant une telle allure peut-il avoir eu un fils, certes, très beau, mais avec une plus petite carrure ?

• Si tu le veux, on peut passer à table.
• Oui, père.

Nous pénétrons et c’est là que je prends conscience que depuis que j’ai enlevé mon imper avant d’entrer, je présente à qui veut la voir ma chatte sans aucun poil depuis mon épilation au laser.
J’ai un réflexe étonnant, à cette pensée, car je mets la main devant espérant une hypothétique protection.
La table est exceptionnellement longue cinq à six mètres, Teti connaît la maison, il avance vers un bout alors que Ménès se place à l’opposé.
Ménès, car je me souviens de l’altercation avec Patrick, mon autre élève.
Tenue par ma laisse, je suis mon Maître, lorsque je me tourne, je la découvre.
Une jolie fille pas plus vieille que moi à genoux à côté de la chaise de celui qui doit être son Maître.
À la différence de moi elle a les seins libres étant sans guêpière.
À son cou un collier avec sa laisse, mais bien moins beau que le mien, car en cuir noir avec quelques pierres rouges tout de même.
En plus de son collier, je vois une laisse qui pend et que le père de Teti prend en main dès qu’il s’assoit.
Ce qui est marquant, c’est que sa tête est entièrement rasée certainement au laser aussi si cela se pratique, je l’ignore.
Les tatouages qu’elle porte sur ses seins ont dû être terribles à faire sur cette peau si tendre à cet endroit étant donnée la douleur que j’ai ressentie sur les bras et mon épaule
Avant qu’elle soit assise, j’ai l’impression de voir quelque chose briller au niveau de sa chatte.

• Fils bien venu chez toi après les deux semaines où tu as formé celle qui doit jusqu’à la fin de sa vie nous être attachée comme l’a été ta mère avec moi, hélas.
Ta maman qui est la première d’une longue série de femmes qui concevait son rôle au service de l’amour de l’homme et qui l’avait choisi après avoir fait allégeance à notre organisation.
J’ai eu la chance d’être celui-là et si elle avait réussi à vaincre la maladie, elle aurait été agenouillée à côté de celle qu’elle a laissée à ma droite.
Ta belle-mère, que tu vas avoir l’honneur de baiser pour la première fois après manger pendant que je m’occuperai de la chatte de ta soumise comme le veut la tradition de notre organisation.
Vous franchirez la première marche des plaisirs que peu d’hommes ou femmes au monde ont la chance de connaître.
J’espère que tu vas mériter d’en devenir membre à vie.
La semaine prochaine, on vous conduira chez le grand Maître suprême afin qu’il te donne ton brevet de Maître au service de la vie de ta soumise.
Une fois obtenus, ils accepteront que tu en trouves une deuxième comme ta belle-mère qui a été avec moi et ta mère pendant cinq ans.
Ces deux femmes acquises à ta personne pourront se donner du plaisir entre elles et avoir, elles aussi, une vie de douceur en parallèle de nos pratiques plus dures.
Fais-la mettre à ta gauche, car aujourd’hui elle est en examen et le resterait si je juge de vous recaler si elle est en dessous des attentes et des critères que tu as mis en elle.
Nous la renverrons dans le monde des femmes qui se font bêtement baiser en attendant que leur mari leur face des enfants qu’elles torcheront jusqu'à leur majorité.
Si je juge que tu as réussi, tu la placeras à ta droite montrant ainsi qu’elle est la dominante de celle qui prendra place à ta gauche.

Si j’ai bien compris cette longue litanie, si Teti a toujours ignoré ma chatte, c’est que dans l’organisation où il aspire à appartenir, le maître baise sa soumise, sa chatte lui étant interdite.
J’en déduis qu’il en va de même pour Ménès qui tout au long de sa vie a offert sa femme, hélas, disparu et d’autres sans jamais les avoir prises par leur féminité.
Conclusion cet homme à des enfants, mais Teti est le fils d’un autre.
Cette manière d’avoir des enfants avec d’autres hommes que le sien est l’aboutissement suprême qu’une femme montre à son homme de sa soumission.
Une fois de plus, je devrais partir en courant, mais si Teti veut que je mette au monde un enfant avec un autre, je suis prête à l’accepter pour son bonheur.
S’il concevait sa vie autrement, il m’aurait simplement baisée et lorsque je m’agenouille le corps bien droit, soit je suis sotte sans avoir compris, soit j’ai l’intelligence d’une femme amoureuse.
J’admets le monde dans lequel ils vivent.
Pourquoi si nous restons agenouillées il y a deux assiettes près de chaque homme avec une chaise ?
Le majordome leur amène l’entrée me donnant l’eau à la bouche.

• Teti assoit là à table, c’est dimanche et elle a gagné par son obéissance le droit de manger le plat principal de notre repas.

Qui a dit que nous étions des soumises maltraitées dans cette maison ?

Je le vois tirer sur la laisse et la belle-mère se lève allant s’assoir à son côté.
Je reçois le même mouvement de sa main sur la chaîne d’or, placée à l’opposé de moi.
La table me cachait un détail des seins de la belle, deux piercings traversent la fraise.
Dès que nous sommes installées, nos maîtres nous enlèvent nos boules qu’ils posent à côté d’eux.
Le plat nous est servi, chaque fois que nous avons ce qui ressemble à un cadeau.
J’ai compris que je devrais le payer à un moment ou un autre, je semble vivre pour ces moments.
C’est encore le cas avec nos assiettes qui au gramme près contiennent la moitié de ce qu’ils ont à déguster.
J’observe la belle-mère devant me servir de modèle pour obtenir le niveau de perfection que Teti souhaite que j’atteigne.
Elle est assise très droite les mains posées sur la table bien à plat, de plus la tête, dans la même position, semble figée.

• Encore une fois bravo mon fils, elle comprend vite, elle vient de voir la position de ta belle-mère et d’elle-même elle a rectifié la sienne.
Je vais avoir de plus en plus de plaisir tout à l’heure à la baiser.

J’ai beau avoir compris que je devrais passer à la casserole après le repas, mais la manière dont il insiste est étrange.
Je pense qu’il teste mon degré de soumission.
Il est mal tombé, une femme soumise à son homme le démontrera et cette femme, c’est bien moi.
Quand j’étais petite et que papa me fessait, j’ignorais à ce moment qu’il conditionnait mon avenir sans le savoir de sa part, je le pense.
Maman aimait-elle être soumise, suis-je vraiment sa fille, puisque mon Maître à une allure bien étrange quand je vois son fils, mon propre Maître.

Le plat est succulent avec de la sauce bien épaisse.
Trop peu, cela à un goût de top peu, mais il faut savoir être raisonnable, car si l’on me sert cette quantité, ce doit être pour mon bien.
L’assiette finie, mangée plus lentement que moi par la belle rasée.
Il faudra que je sois moins gourmande à l’avenir, j’ai mal réagi, j’aurais dû laisser une part de cette assiette pour montrer que je suis capable de mourir de faim pour lui.
Bien sûr, ma guêpière leur montre que ce sont eux qui sont dans le vrai.
Je dois peser quelques kilos de moins que lorsqu’il est rentré dans ma classe.
Surtout moi qui me battais depuis des années pour arriver à ce résultat, perdre quelques kilos étant mon obsession.
Il a fallu que je rencontre Teti pour que je devienne presque maigre.

On leur sert un dessert dont nous ignorons même l’odeur.

• Teti, c’est l’heure de son examen.

Il me fait un geste et je sais qu’il m’envoie vers son père.

• Tourne.

Je fais la toupie, je me sens examinée comme un maquignon le fait avant d’acheter une vache.

• Pas mal, une chose saute aux yeux.

Je suis sûr qu’il va parler des piercings qui font la différence avec sa soumise.

• Les talons, trop bas, ils manquent au moins cinq centimètres, cela accentuera la cambrure de ses reins et elle sera plus bandante pour le grand Maître.
Les tatouages parfaits, vous verrez dans le temps si tu veux lui en faire d’autre.
Mais attention, il faut être raisonnable, en mettre trop peut déplaire, trouve le juste équilibre.
Les piercings essayent de faire ceux des seins avant dimanche attention aux rougeurs disgracieuses pendant quelques jours.
• C’est prévu, je la fais percer demain soir après nos cours.
J’ai deux heures le matin et deux heures le soir de cours avec elle.
Toute la journée elle saura qu’elle va souffrir pour moi.
Je sens que je vais bander comme je bande pour ma belle-mère en ce moment.
• Reste calme, maintenant que tu sais ce qu’il te reste à faire d’ici dimanche.
Il faut qu’elle nous fasse voir, comment elle peut aimer une femme.

Je regarde Teti qui me fait signe d’y aller.
Je vois Ménès faire un geste et la jeune femme attrape ma laisse en or m’ayant été laissé, me faisant monter sur la table.
Il souhaite que je mette des talons plus haut, ma cheville tourne me faisant horriblement mal.
Je me tais, panique, comment je vais faire la semaine prochaine lorsque je serais présenté au grand Maître.
Malgré ça, je la suis comme une femme soumise non pas à elle, les jeux érotiques féminins m’étant inconnus.
Je sais que les femmes se gouinent entre elles, certaines sont de vraies brouteuses de chattes.
Je sais aussi qu’il existe des femmes bi-sexuelles, j’ai lu ça comme prof de français !
Côté livres, des classiques, « Histoire d’O » et « Emmanuelle » dont on a tiré des films, quand je les ai vus, je me souviens avoir rêvée être à la place de ces héroïnes.
Je venais de me marier, mais, hélas, j’ai refusé d’assumer mes envies.
Celle dont j’ignore le nom me place sur le dos une jambe hors de la table, la chatte bien ouverte, agenouillée, elle avance sa bouche et avec ses dents, elle tire sur l’anneau des boules qui sont toujours là.
Elles sortent une à une en vibrant et comme elle touche mon clitoris, il réagit et il se met à couler tachant certainement la table.
J’entends les boules tomber et la langue de cette salope venir les remplacer.
Elle me regarde fixement, de loin ses yeux azur m’étaient cachés.
J’ai l’impression de voir la mer que j’ai vue dans le Pacifique lors de mon voyage de noces.

• Fils monte à ton tour sur la table, et prend ma salope pendant qu’elle fait un 69 à ta soumise, j’aimerais que tu la fécondes…