COLLECTION STAR DU PORNO. Comment je me suis retrouvée à tourner dans un porno (2/5) - histoire érotique

Comment ai-je pu être assez bête pour oublier de demander quel genre de film Freddy, m’ayant dit qu’il était réalisateur, tournait ?
Des pornos, de vulgaire porno avec Lola Montès première actrice que je rencontre près de la piscine, me montrant sa chatte en toute impudeur.
Sa chatte, je tombe moi aussi dans le graveleux malgré mon éducation, bon chic bon genre.
Je veux retourner à Paris et pour cela, je me dirige vers ma chambre, alors que j’aurais dû dire notre chambre à Freddy et à moi pour y refaire ma valise.
J’entends Sabrina dire à Freddy qu’elle s’occupe de moi.
Je me fiche royalement que cette femme, ni belle ni laide, je dirais quelconque s’occupe de moi.
Elle essaye de me faire comprendre pourquoi celui que je pensais être l’homme de ma vie est un pornographe.
Je suis d’un genre fille soumis, enfin du peu que je connais des rapports entre couple.
Le seul exemple de ma vie étant mes parents, papa notaire près de Clermont-Ferrand et maman épouse au foyer.
Du peu que je sais de leur jeunesse, ils m’ont eu rapidement, j’ai même entendu dire qu’au lieu d’être une prématurée, je serais née d’un mariage accéléré.
Est-ce pour cela que j’ai attendu vingt ans avant de franchir le pas et de découvrir les joies, non, les plaisirs du sexe.
Freddy rencontré à la sortie de la messe du dimanche a fini par venir boire un dernier verre.
Celui-ci terminé, il m’a pris dans ses bras et c’est là que réside ma soumission.
Il a sorti sa queue, oh ! pardon, son sexe et me l’a fait entrer dans ma bouche.
Je me souviens avoir pensé « est-ce naturel de sucer l’homme qui a fait battre mon cœur. »
Papa impose-t-il à maman une telle pratique, l’ignorant et pouvant difficilement avoir la réponse sauf l’appelé pour lui demander ce que je me refuse à faire, je le fais simplement par amour.
Avoir la peur de ma vie en prenant pour la première fois l’avion, si je regarde sa main, Freddy doit avoir mes ongles marqués comme des griffes de tigresse, est-ce pour autant anormal.
La piscine, Lola est à l’origine de la découverte de la réalité.
L’homme que je croyais aimé, aime filmer des filles se faisant défoncer dans cette jolie villa d’Ibiza.
Soumise, je le suis lorsque Sabrina me permet de pleurer sur son épaule finissant par me prendre mes lèvres et que je réponde à son baiser.
Oui, pour dire qu’on a fait une chose, participé et non subi, ce serait un viol de ma bouche, c’est moi qui l’ouvre pour laisser passer sa langue et tourner autour de la mienne.
Mieux, ma main se porte derrière la tête de Sabrina et c’est moi qui lui donne un profond baiser.
Sa main vient sur un de mes seins, ma pointe souvent entrée durcie, alors j’en fais de même.

• Tu vois, Suzy, tu peux te calmer et voir les choses d’un bon côté.

Sabrina a quitté ma bouche de quelques centimètres pour prononcer ces mots.
Je pourrais m’échapper, mais dès que ses lèvres reprennent les miens, je recommence à faire tourner ma langue.

• On est folle !
• Non, je pense que tu viens de découvrir une facette de ta personnalité.
Je suis certaine que c’est la première fois que tu te fais embrasser par une autre femme.
• J’ai été aussi maladroite que cela et tu l’as vu !
• Non, tu trembles comme la feuille d’un arbre dans le vent !
Lève-toi ?

Bien sûr, je me relève et elle fait descendre mon maillot de mes épaules.
Elle me dénude et sa figure vient se perdre entre mes seins avant de descendre vers toison auburn comme mes cheveux.
J’ai des yeux vairons qui me donnent un charme, mais que j’ignorais capable de séduire une autre femme.
Ses doigts, sa bouche comment dire.
Tient, c’est vrai, près de la piscine lorsque j’ai vu la partie intime de Lola Montès, un nom m’est venu naturellement au cerveau, « chatte. »
J’ai dû l’entendre quelque part et je l’ai employé sans m’en rendre compte, car au plus loin que je me souvienne maman parlais de mon « minou » ou de « mon petit minou ».
On va me prendre pour une grosse mytho, mais je dois reconnaitre que mon langage pour définir la sexualité est un peu limité.
La langue de Sabrina, vient en contact du haut de ma chatte et je ressens comme une décharge électrique.
Elle m’aide à me remettre sur le lit et en profite pour me dire.

• Merde, ton clito est ultra-sensible, j’ai senti comme du courant passer sur ma langue.
• J’ai senti la même chose, crois-tu que c’est normal !

J’ignore encore où il est, mais je sais que j’ai un clito, à retenir pour mon éducation, bien qu’il soit nécessaire que je quitte ce lieu de débauche.
Je parle de la villa et non de la chambre de Sabrina, découvrant des choses passionnantes.
Que dirait maman et encore plus papa s’il apprenait que je fais des saloperies avec une autre fille.
Sait-il au moins que deux filles peuvent faire cela, mais je me vois mal, là encore, aller lui demander ?
Il en va de même pour maman, je suis certaine qu’elle est à mille lieues de connaitre ce genre de plaisir !
Certes une fois, je l’ai vu sortir de la chambre d’amie de notre maison en peignoir alors qu’une de ses amies était venue pour un week-end, mais elle avait tout de même un peignoir.
Qui de Sabrina ou de moi, je suis complètement dans le brouillard, me permettant de me retrouver entre les cuisses de la scripte du film réalisé par Freddy ?
Qui d’elle ou de moi, fait glisser son short mini dégageant sa féminité, la deuxième en peu de temps que j’ai devant mes yeux ?

• Oui bouffe-moi le clito, j’adore qu’une fille me fasse ce genre de chose !

Je prends le temps de dire, que le gros bouton ressemblant à une petite verge comme celle de Freddy, ce doit être ça un clito.
Sans me le regarder dans une glace, le mien est bien plus petit, mais semble presque plus sensible que le sien.

• Mais arrête de tergiverser, bouffe-moi la chatte.

Éducation sexuelle à vitesse V majuscule.
Je sais que c’était prévu avant le bac en éducation sexuelle, mais le manque de prof a fait qu’ils sont passés à la trappe.
La prof nous aurait-elle parlé des plaisirs féminins ?
De plus dans ces cours ça m’étonnerait que l’on y apprenne à aller jusqu’à devenir lesbienne.
Suis-je douée, Sabrina se tortille tellement que je dois la retenir par ses hanches pour éviter quel rut dans les brancards ?

• Ah ! Salope, tu me fais jouir, putain que c’est bon.

Je devrais mettre un carré blanc à ses propos !
Mais c’est bien ce qu’elle me dit lorsque je sens sous ma langue sa chatte me couler dans la bouche.
Elle semble épuisée, avant de reprendre vie à mes côtés.

• Suzy, je vais te faire une confidence, je suis vierge !

Je la regarde franchement étonnée, pourtant j’ai bien remarqué qu’elle savait faire bien des choses entre deux femmes, ne serait-ce pas le cas avec un homme ?

• Je vois ton air étonné, attends, laisse-moi redescendre sur terre.
Lorsque je te dis que je suis vierge, moi qui travaille pour des réalisateurs sur des films pornographiques, aucun homme n’est venu en moi.
Je pense que Freddy a été à la hauteur, ce serait un peu bizarre qu’il filme des scènes de sexe sans pour autant t’avoir dépucelé !
Ou alors, tu l’étais déjà !
• Non, tu as raison, c’est le premier et je croyais que ce serait le dernier, il m’a bien trompé.

Sabrina tend la main sur le côté de notre couche et en sort une copie rose d’un sexe masculin plus vrai que nature.

• Je te présente, mon gode et amant Gaspard !
C’est la jeune femme qui me l’a offert qui l’a baptisé ainsi.
C’est elle et lui qui m’a dépucelé, c’est un amant fidèle, il bande à toute heure du jour ou de la nuit.
Veux-tu l’essayer, c’est rare que j’accepte qu’il satisfasse une autre que moi !
Je t’aime bien, tu es si belle et si fraiche.

Avant de me l’introduire, elle le prend dans sa bouche avant de me parler.

• Je le chauffe avec ma salive, tu verras, ce sera plus agréable et il te pénètrera plus facilement, ça le lubrifiera !

Mais, je ne veux pas que ce soit plus agréable, je refuse d’écarter mes cuisses pour que la bite de Gaspard, qu’elle tient en main, entre en moi.
Alors pourquoi, bien calée dans son oreiller, je les écarte en lui passant deux doigts dans sa fente béante d’envie ?
Je touche son clito qui semble avoir encore durci, lorsque Gaspard entre en moi, je me cabre du plaisir que je ressens.
Nous reprenons nos bouches, avec Freddy, lorsque je fais l’amour avec lui et qu’il vient sur moi.
Il se met sur ses avant-bras et la première fois, j’ai ressenti le mal dont je savais l’existence pour une fois que cela arriverait.
Dès que j’ai eu mes règles, maman m’avait dit que cela arrivait aux filles me permettant de ne pas être surprise et qu’ainsi, je serais devenue femme capable de procréer.
Depuis nous l’avons faite de nombreuses fois avec Freddy, et le mal a disparu, mais bien loin de ce qui monte en moi pour éclater comme une bulle de savon sous les aller et retour de Gaspard.
C’est un vulgaire bout de plastique ou toute autre matière qui m’apporte une jouissance bien supérieure à ce que Freddy m’a apporté à ce jour depuis qu’il a fait de moi une femme.
Attention, on va me dire que pour un réalisateur de porno, il était loin d’être le mâle impérial qu’il aurait dû être.
Ce serait le diminuer dans ce qu’il est, car il m’a rapidement apporté du plaisir, mais moins fort que ce gode.

• Alors Suzy, crois-tu qu’il faut te mettre martel en tête, parce que tu es sur les lieux de tournage d’un film pour adultes.

Je dois reconnaitre qu’elle a raison, je les laisserai faire leurs cochonneries et je profiterai un max du soleil, de la piscine et de la mer non loin de la villa.

• Viens, profitons de ce que nous sommes nues pour aller nous baigner, avant que les autres ne reviennent et que tu sois obligée de remettre cet horrible maillot.

La chambre de Sabrina, donne sur la terrasse et la piscine.
Nous nous prenons la main et c’est deux bombes nues qui sautent dans l’eau.
Nous faisons quelques brasses avant de nous retrouver dans les bras l’une de l’autre à nous embrasser et faisant les folles.
C’est à ce moment que venant de l’intérieur de la maison, des cris en ce qui doit être de l’italien nous parviennent.
J’entends des portes claquer avant qu’un semblant de porte recommence, avec toujours des cris impossibles de transcrire, tellement ils sont débités avec toute la passion des filles du sud.
Que peut-il se passer ?...