COLLECTION STAR DU PORNO. Comment je me suis retrouvée à tourner dans un porno (5/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION STAR DU PORNO. Comment je me suis retrouvée à tourner dans un porno (5/5)
• Un jour, il est arrivé en hurlant, « ta fille est comme toi, une vraie pute et dire que tu as réussi à faire de moi son père. »
Je mange face à maman dans un resto du quartier où nous habitons Freddy et moi.
J’ai fini par devenir hardeuse pendant mon séjour à Ibiza en permettant à mon compagnon de me faire tourner dans son film en remplacement de Gigi Amoroso une Italienne jalouse.
Comme la plupart des femmes de cette péninsule, se faire baiser ainsi que Ludo son mec devant la caméra, elle l’acceptait.
Mais baiser hors du champ de l’optique, elle a refusé de le concevoir.
Nous serrions, tous rentrer à Paris sans aucune image et faisant perdre beaucoup d’argent au producteur nous permettant de tourner dans les meilleures conditions.
« Nous permettant de tourner… »
Je m’inclus parmi eux, depuis que pour faire ce film dans lequel, je me suis fait sodomiser par Yann, l’acteur, ayant la plus belle queue de la planète hard.
J’ai réussi, en plus d’avoir mal au cul pendant un petit moment, que cette scène soit dans le film que j’ai vu en avant-première après montage.
Depuis tous le long du tournage, j’ai vu les deux autres copines se faire aussi enculer. Mais durant cette projection, voire mon anus se distende avant que Yann fasse entrer son gland, une seconde fois, j’en ai mal.
• Tu m’as posé une question, comment celui que tu croyais être ton père a su que tu tournais dans des pornos.
Un client de son étude était en litige sur un viager, il lui avait fait perdre beaucoup d’argent.
Antoine fait fréquemment ce genre de transaction avec des clientes âgées.
La dernière réalisée, la dame est décédée trois jours après, spoliant son fils de la demeure familiale.
Il a sorti son portable et fait voire à Antoine ce que sa propre fille faisait, c’est là qu’il l’a su.
• Pourtant tout semblait bien aller entre toi et lui, lorsque j’étais à la maison, il n’y avait jamais un mot plus haut que l’autre.
• En façade, lorsqu’il a appris que je l’avais baisé à ta naissance, il a embauché une jeune clerc et en a fait sa maîtresse.
Il lui a promis son étude au moment où il se retirerait, mais tout cela ne change pas grand-chose, ça fait deux ans bientôt depuis la dernière fois où nous avons baisé ensemble.
À ce sujet, j’aurais une demande à te faire, à toi et à Freddy !
• Dis-moi, je vais essayer de te satisfaire si c’est dans nos cordes.
• Ça, c’est sûr, j’ai vu tes deux films.
C’est drôle, à chaque fois que tu te faisais sodomiser, je revoyais ton petit cul dodu que je pommadais lorsque tu étais bébé pour éviter que ton pipi ne l’entame.
• C’est malin, maman, c’est même inconvenant de me parler de ça, je suis ta fille, qu’elle est ton besoin !
• D’une queue, pardon, de deux queues, pendant que l’on y est, la double pénétration que tu as tournée, je voudrais la connaitre moi aussi.
Ludo et Yann, je me verrais bien me faire défoncer pour rattraper le temps perdu par deux pieux de ce calibre.
Lorsque j’ai choisi Antoine pour qu’il devienne ton père, si j’avais parlé de l’abbé Christopher quel scandale ça aurait été, ce que j’ignorais c’est qu’il avait une petite bite, une très petite bite.
• Tu serais disponible samedi, ça t’irait, s’ils sont disponibles, il va de soi.
Ce soir dans mon lit, Freddy était entre mes jambes à s’évertuer à essayer de me donner du plaisir avec sa langue.
Chaque fois que je croyais m'envoler, une main faisant le signe de la croix venait tout foutre parterre.
Fille de curé, fille de prêtre, mais fille bien là pour essayer de donner du plaisir à mon homme.
• Je vais inviter Yann et Ludo, ta mère vaut qu’on la rencontre, demander à sa fille de faire l’entremetteuse, c’est loin d’être banal.
Les garçons ont accepté, le samedi, ils arrivent à notre appartement.
Jusqu’à où savent-ils qu’ils sont là pour satisfaire cette femme qui a préparé le repas, somme tout très bon, presque trop bon.
Freddy et moi nous trouvons le moyen de nous éclipser dans notre chambre, la laissant seule face à son destin.
Nous entendons de la musique et des rires, même des gémissements, ma maman semblant très bien avoir su amener les garçons à lui donner du plaisir.
Et puis le silence, mais de courte durée, je m’endormais lorsque ses cris se sont fait entendre de nouveau.
Vers deux heures, étant dans l’incapacité de me rendormir, je me lève pour aller satisfaire un pipi sans pour autant avoir besoin d’être pommadée.
Passant devant la chambre de maman, j’entends clairement sa voix, celle de Violette.
Je l’appelle Violette, car je l’entends très clairement pomper une des deux verges, voire les deux à tour de rôle, comme je l’ai fait dans le film d’Ibiza.
Incroyable, mon pipi fait et recouché, je l’entends clairement remettre le couvert et hurler de nouveau de plaisir.
Onze heures à mon radio-réveil lorsque je me lève et que je rejoins la cuisine, Yann est là à nous préparer du café.
• Suzy, ta mère est un sacré numéro, il devait être cinq heures lorsqu’elle a rendu les armes, j’ai rarement eu mal à ma queue comme maintenant.
Une véritable ogresse, il faudrait qu’elle tourne des pornos, de véritable gang bang.
En grand nombre, nous pourrions peut-être la satisfaire.
Regarde mon dos, alors que nous la prenions en double pénétration, elle m’a littéralement labouré avec ses ongles.
Je me rappelle pourquoi elle voulait les rencontrer, au dire de Yann, il semble qu’elle soit passée à la casserole et dans le tourniquet de leurs deux bites, une devant une derrière.
Yann se retourne et me montre son dos, il est à la limite d’être profondément marqué, j’espère qu’elle l’a labouré en pleine jouissance.
Lors de mon premier tournage à Ibiza, Lola Montès, m’en a fait de même et m’avouant après qu’elle faisait ça systématiquement pour faire croire à ceux qui nous regardent que ce soit son pied qu’elle prenait.
Venue de sa chambre, nous l’entendons appeler.
• Yann, amène-moi une tasse de café, je ressens un petit regain de forme, vient me faire manger mes croissants.
• Quand je te dis que je vais y laisser ma peau Suzy !
J’ai vu Yann sur les deux longs métrages tournés avec Freddy.
Un instant, j’ai l’impression qu’il avait pris dix ans, dix ans de galère jusqu’au soir où lisant dans le salon, ils viennent nous saluer.
• On remet ça samedi prochain, les garçons, vous m’avez promis de revenir me voir, d’ici là, reprenez des forces, vous verrez, moi, je serais toujours d’attaque !
Maman est là depuis quelques jours.
• Freddy a dit en partant qu’il t’attendait à 15 heures pour un petit tournage.
Peux-tu me dire de quoi il parlait ?
• Maman dans le milieu que j’ai intégré sans que je sois prédisposé à ça.
Les hardeurs tournent des petits films que nous appelons alimentaires, un peu comme celui que tu aurais pu faire si tu avais demandé à Freddy de filmer ta soirée et ta nuit avec Yann et Ludo.
Souvent ce sont des couples, monsieur voulant offrir à son épouse des moments de plaisir fixé sur la pellicule.
C’est le cas aujourd’hui, je rejoins Freddy qui va me filmer en train de baiser avec la femme devant le mari.
Ils ont les moyens de se payer un petit film pour leurs vieux jours, la femme n’est pas loin de la cinquantaine et lui dix de plus.
Là encore, j’ai découvert ce monde nouveau pour moi, la nature est ainsi faite qu’il y a des demandes pour ce genre de films.
• Je viens avec toi, je suis sûr que Freddy sera content que je sois là.
Voilà comment maman a fait son premier petit film porno, un petit film alimentaire.
J’ai gouiné la femme et elle s’est fait prendre par le mari sur une autre cassette.
Deux recettes en une.
Bonne journée, de quoi vivre un mois sans nous préoccuper du lendemain.
Je dois avouer qu’elle était là sur mon tournage, mais que j’ai reculé à assister à ses ébats avec le mari.
Pour monter les scénarios de ces petits films, plus nombreux qu’on ne peut le croire. Maman est l’actrice principale choisie par les hommes, et depuis hier par les femmes.
Telle fille, telle mère, je prends cet ordre, car c’est moi qui ai franchi le pas du tournage dans la pornographie la première.
• Bella, suce Armand avant qu’il te saute sur la selle de ta moto, « route 66 », ça va cartonner dans quelques mois sur Canal.
Magdelaine, toi tu suces les deux autres bikers et tu montres tes seins qu’ils ont sortis de ton gilet de cuir rouge !
Magdelaine, c’est le nom à l’écran de maman.
« Route 66 », deux Françaises roulant sur leur moto et à qui ils arrivent bien des plaisirs, avec des bikers rencontrés au fil des kilomètres.
Une fille et sa mère, mais il va de soi qu’il n’y a aucune scène où je suis près de maman.
Il serait mal venu que nous soyons targués d’inceste, nous sommes farouchement contre ce genre de pratique en famille.
Une fois de plus, maman me montre la voix de la pornographie, les deux motards rencontrés avec leur cuir et leurs grosses moustaches, vont la défoncer.
Dire que je la prenais, presque pour une oie blanche, à quarante ans, cette cougar très à la mode en ce moment dans nos films a de l’avenir dans le milieu de la pornographie.
Sur cette scène Freddy ayant attrapé la grippe, c’est moi qui règle la scène et qui attend les minutages de Sabrina, qui est toujours notre assistante.
Pourquoi dissoudre une équipe qui fonctionne du feu de Dieu ?
« Autant en emporte le vent », va attendre un peu que nous ayons totalement épuisé ce genre cinématographique.
Voyage, à travers le monde avec de beaux mâles qui nous baisent sur de magnifiques plages de sable blanc ou noir.
Noir c’est le cas lorsque nous allons à Tahiti tourner sur les plages de Bora-bora.
Les mêmes aussi, celles de base, celles de mon premier film et des hardeurs locaux, les Tahitiens aussi ont ce qu’il faut là où il faut.
Vous nous excuserez, nous devons faire couleur locale dans notre bronzage.
Au bord de l’eau, des transats sont à notre disposition où nous allons nous faire bronzer nues.
À Paris, c’est l’hiver, ici, il fait quarante degrés à l’ombre et les fleurs sont magnifiques.
Pourquoi deux salopes comme nous arrêterions de nous faire filmer en train en plus de baiser ?
À oui, j’oubliais, j’ai lu le scénario.
Demain première scène, nous rencontrons les sauvages vivant dans l’intérieur des terres.
Ces hommes venus d’un autre âge, vont nous faire prisonnières et à une vingtaine vont nous faire connaitre notre premier gang bang, à maman et à moi.
Toujours dans le respect de la bienséance de notre famille très à cheval sur les principes moraux.
Je mange face à maman dans un resto du quartier où nous habitons Freddy et moi.
J’ai fini par devenir hardeuse pendant mon séjour à Ibiza en permettant à mon compagnon de me faire tourner dans son film en remplacement de Gigi Amoroso une Italienne jalouse.
Comme la plupart des femmes de cette péninsule, se faire baiser ainsi que Ludo son mec devant la caméra, elle l’acceptait.
Mais baiser hors du champ de l’optique, elle a refusé de le concevoir.
Nous serrions, tous rentrer à Paris sans aucune image et faisant perdre beaucoup d’argent au producteur nous permettant de tourner dans les meilleures conditions.
« Nous permettant de tourner… »
Je m’inclus parmi eux, depuis que pour faire ce film dans lequel, je me suis fait sodomiser par Yann, l’acteur, ayant la plus belle queue de la planète hard.
J’ai réussi, en plus d’avoir mal au cul pendant un petit moment, que cette scène soit dans le film que j’ai vu en avant-première après montage.
Depuis tous le long du tournage, j’ai vu les deux autres copines se faire aussi enculer. Mais durant cette projection, voire mon anus se distende avant que Yann fasse entrer son gland, une seconde fois, j’en ai mal.
• Tu m’as posé une question, comment celui que tu croyais être ton père a su que tu tournais dans des pornos.
Un client de son étude était en litige sur un viager, il lui avait fait perdre beaucoup d’argent.
Antoine fait fréquemment ce genre de transaction avec des clientes âgées.
La dernière réalisée, la dame est décédée trois jours après, spoliant son fils de la demeure familiale.
Il a sorti son portable et fait voire à Antoine ce que sa propre fille faisait, c’est là qu’il l’a su.
• Pourtant tout semblait bien aller entre toi et lui, lorsque j’étais à la maison, il n’y avait jamais un mot plus haut que l’autre.
• En façade, lorsqu’il a appris que je l’avais baisé à ta naissance, il a embauché une jeune clerc et en a fait sa maîtresse.
Il lui a promis son étude au moment où il se retirerait, mais tout cela ne change pas grand-chose, ça fait deux ans bientôt depuis la dernière fois où nous avons baisé ensemble.
À ce sujet, j’aurais une demande à te faire, à toi et à Freddy !
• Dis-moi, je vais essayer de te satisfaire si c’est dans nos cordes.
• Ça, c’est sûr, j’ai vu tes deux films.
C’est drôle, à chaque fois que tu te faisais sodomiser, je revoyais ton petit cul dodu que je pommadais lorsque tu étais bébé pour éviter que ton pipi ne l’entame.
• C’est malin, maman, c’est même inconvenant de me parler de ça, je suis ta fille, qu’elle est ton besoin !
• D’une queue, pardon, de deux queues, pendant que l’on y est, la double pénétration que tu as tournée, je voudrais la connaitre moi aussi.
Ludo et Yann, je me verrais bien me faire défoncer pour rattraper le temps perdu par deux pieux de ce calibre.
Lorsque j’ai choisi Antoine pour qu’il devienne ton père, si j’avais parlé de l’abbé Christopher quel scandale ça aurait été, ce que j’ignorais c’est qu’il avait une petite bite, une très petite bite.
• Tu serais disponible samedi, ça t’irait, s’ils sont disponibles, il va de soi.
Ce soir dans mon lit, Freddy était entre mes jambes à s’évertuer à essayer de me donner du plaisir avec sa langue.
Chaque fois que je croyais m'envoler, une main faisant le signe de la croix venait tout foutre parterre.
Fille de curé, fille de prêtre, mais fille bien là pour essayer de donner du plaisir à mon homme.
• Je vais inviter Yann et Ludo, ta mère vaut qu’on la rencontre, demander à sa fille de faire l’entremetteuse, c’est loin d’être banal.
Les garçons ont accepté, le samedi, ils arrivent à notre appartement.
Jusqu’à où savent-ils qu’ils sont là pour satisfaire cette femme qui a préparé le repas, somme tout très bon, presque trop bon.
Freddy et moi nous trouvons le moyen de nous éclipser dans notre chambre, la laissant seule face à son destin.
Nous entendons de la musique et des rires, même des gémissements, ma maman semblant très bien avoir su amener les garçons à lui donner du plaisir.
Et puis le silence, mais de courte durée, je m’endormais lorsque ses cris se sont fait entendre de nouveau.
Vers deux heures, étant dans l’incapacité de me rendormir, je me lève pour aller satisfaire un pipi sans pour autant avoir besoin d’être pommadée.
Passant devant la chambre de maman, j’entends clairement sa voix, celle de Violette.
Je l’appelle Violette, car je l’entends très clairement pomper une des deux verges, voire les deux à tour de rôle, comme je l’ai fait dans le film d’Ibiza.
Incroyable, mon pipi fait et recouché, je l’entends clairement remettre le couvert et hurler de nouveau de plaisir.
Onze heures à mon radio-réveil lorsque je me lève et que je rejoins la cuisine, Yann est là à nous préparer du café.
• Suzy, ta mère est un sacré numéro, il devait être cinq heures lorsqu’elle a rendu les armes, j’ai rarement eu mal à ma queue comme maintenant.
Une véritable ogresse, il faudrait qu’elle tourne des pornos, de véritable gang bang.
En grand nombre, nous pourrions peut-être la satisfaire.
Regarde mon dos, alors que nous la prenions en double pénétration, elle m’a littéralement labouré avec ses ongles.
Je me rappelle pourquoi elle voulait les rencontrer, au dire de Yann, il semble qu’elle soit passée à la casserole et dans le tourniquet de leurs deux bites, une devant une derrière.
Yann se retourne et me montre son dos, il est à la limite d’être profondément marqué, j’espère qu’elle l’a labouré en pleine jouissance.
Lors de mon premier tournage à Ibiza, Lola Montès, m’en a fait de même et m’avouant après qu’elle faisait ça systématiquement pour faire croire à ceux qui nous regardent que ce soit son pied qu’elle prenait.
Venue de sa chambre, nous l’entendons appeler.
• Yann, amène-moi une tasse de café, je ressens un petit regain de forme, vient me faire manger mes croissants.
• Quand je te dis que je vais y laisser ma peau Suzy !
J’ai vu Yann sur les deux longs métrages tournés avec Freddy.
Un instant, j’ai l’impression qu’il avait pris dix ans, dix ans de galère jusqu’au soir où lisant dans le salon, ils viennent nous saluer.
• On remet ça samedi prochain, les garçons, vous m’avez promis de revenir me voir, d’ici là, reprenez des forces, vous verrez, moi, je serais toujours d’attaque !
Maman est là depuis quelques jours.
• Freddy a dit en partant qu’il t’attendait à 15 heures pour un petit tournage.
Peux-tu me dire de quoi il parlait ?
• Maman dans le milieu que j’ai intégré sans que je sois prédisposé à ça.
Les hardeurs tournent des petits films que nous appelons alimentaires, un peu comme celui que tu aurais pu faire si tu avais demandé à Freddy de filmer ta soirée et ta nuit avec Yann et Ludo.
Souvent ce sont des couples, monsieur voulant offrir à son épouse des moments de plaisir fixé sur la pellicule.
C’est le cas aujourd’hui, je rejoins Freddy qui va me filmer en train de baiser avec la femme devant le mari.
Ils ont les moyens de se payer un petit film pour leurs vieux jours, la femme n’est pas loin de la cinquantaine et lui dix de plus.
Là encore, j’ai découvert ce monde nouveau pour moi, la nature est ainsi faite qu’il y a des demandes pour ce genre de films.
• Je viens avec toi, je suis sûr que Freddy sera content que je sois là.
Voilà comment maman a fait son premier petit film porno, un petit film alimentaire.
J’ai gouiné la femme et elle s’est fait prendre par le mari sur une autre cassette.
Deux recettes en une.
Bonne journée, de quoi vivre un mois sans nous préoccuper du lendemain.
Je dois avouer qu’elle était là sur mon tournage, mais que j’ai reculé à assister à ses ébats avec le mari.
Pour monter les scénarios de ces petits films, plus nombreux qu’on ne peut le croire. Maman est l’actrice principale choisie par les hommes, et depuis hier par les femmes.
Telle fille, telle mère, je prends cet ordre, car c’est moi qui ai franchi le pas du tournage dans la pornographie la première.
• Bella, suce Armand avant qu’il te saute sur la selle de ta moto, « route 66 », ça va cartonner dans quelques mois sur Canal.
Magdelaine, toi tu suces les deux autres bikers et tu montres tes seins qu’ils ont sortis de ton gilet de cuir rouge !
Magdelaine, c’est le nom à l’écran de maman.
« Route 66 », deux Françaises roulant sur leur moto et à qui ils arrivent bien des plaisirs, avec des bikers rencontrés au fil des kilomètres.
Une fille et sa mère, mais il va de soi qu’il n’y a aucune scène où je suis près de maman.
Il serait mal venu que nous soyons targués d’inceste, nous sommes farouchement contre ce genre de pratique en famille.
Une fois de plus, maman me montre la voix de la pornographie, les deux motards rencontrés avec leur cuir et leurs grosses moustaches, vont la défoncer.
Dire que je la prenais, presque pour une oie blanche, à quarante ans, cette cougar très à la mode en ce moment dans nos films a de l’avenir dans le milieu de la pornographie.
Sur cette scène Freddy ayant attrapé la grippe, c’est moi qui règle la scène et qui attend les minutages de Sabrina, qui est toujours notre assistante.
Pourquoi dissoudre une équipe qui fonctionne du feu de Dieu ?
« Autant en emporte le vent », va attendre un peu que nous ayons totalement épuisé ce genre cinématographique.
Voyage, à travers le monde avec de beaux mâles qui nous baisent sur de magnifiques plages de sable blanc ou noir.
Noir c’est le cas lorsque nous allons à Tahiti tourner sur les plages de Bora-bora.
Les mêmes aussi, celles de base, celles de mon premier film et des hardeurs locaux, les Tahitiens aussi ont ce qu’il faut là où il faut.
Vous nous excuserez, nous devons faire couleur locale dans notre bronzage.
Au bord de l’eau, des transats sont à notre disposition où nous allons nous faire bronzer nues.
À Paris, c’est l’hiver, ici, il fait quarante degrés à l’ombre et les fleurs sont magnifiques.
Pourquoi deux salopes comme nous arrêterions de nous faire filmer en train en plus de baiser ?
À oui, j’oubliais, j’ai lu le scénario.
Demain première scène, nous rencontrons les sauvages vivant dans l’intérieur des terres.
Ces hommes venus d’un autre âge, vont nous faire prisonnières et à une vingtaine vont nous faire connaitre notre premier gang bang, à maman et à moi.
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