Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (1 : la rencontre)
Récit érotique écrit par Olga T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
- • 380 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 9.4 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.0
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (1 : la rencontre)
Avertissement
Je ne me m’étais pas lancée, jusqu’à présent, dans la fiction érotique. Une de mes lectrices, Valériane, spécialiste du genre, m’a fortement encouragée et nous sommes convenus de tenter l’expérience de l’écriture d’un texte à deux.
J’ai déjà eu des expériences d’écriture à deux :
• Une série en 16 chapitres (tous publiés sur ma page), rédigés avec Elodie de Paris et publiés sur HDS entre 14 octobre 2020 et le 8 mai 2021. Elodie en a fait, avec mon accord, un e-book intitulé « La Thèse », ouvrage dont j’ai parlé dans « Lectures érotiques (28). Elodie de Paris : « La Thèse », mis en ligne le 21 mars 2024.
• Avec Micky, il y eut deux séries, « Olga et le docteur » dont les cinq chapitres ont été publiés, entre le 1er juillet et le 25 août 2021 alternativement sur ma page (chapitres 1 et 3) et de Micky (2, 4 et 5), puis « Saga Africa pour Olga », dont deux chapitres ont été publiés chez Micky (1 et 3) et un ma page, entre le 17 mars et le 16 mai 2023.
Les textes écrits avec Elodie et Micky, contenaient des éléments autobiographiques.
Cette fois, ce n’est pas le cas, il s’agit de pure fiction, même si, c’est inévitable, mon parcours m’a inspiré. En France, la formule exacte et intégrale de cette mention légale est : « toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence ».
Il est donc établi qu’Aude n’est ni Olga, ni Valériane, même si elle a des points communs avec les auteures et d'abord qu'elle aime le sexe, qu'elle aime baiser.
Un grand merci à Valériane pour notre collaboration !
***
Aude est une mère de famille âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.
Revenons 20 ans en arrière pour présenter Aude et parler de sa rencontre avec Daniel.
***
Aude fut une brillante étudiante d’une prestigieuse école de commerce. Son classement et sa réputation lui firent décrocher une des toutes premières places au sein d’un grand établissement financier. Jusqu’au début de son cursus professionnel, Aude avait consacré toute son énergie à ses études et à sa réussite. Elle était ambitieuse et surtout elle voulait réussir, sortir de son milieu social d’origine, une famille ouvrière d’une région industrielle en déclin. Rien ne devait la dévier de cet objectif. Elle n’avait pas le choix, ayant fait un emprunt pour financer ses études dans un établissement où ses condisciples la regardaient de haut. Elle allait leur montrer qui elle était!
Et en effet elle établit sa réputation de bosseuse, de forte en thème. Tout son temps était consacré alors à cette réussite. On ne lui connaissait aucun petit copain, pas de temps pour cela. Et pourtant, Aude, depuis l’adolescence, a toujours été une jolie fille, une brune aux longs cheveux suscitant les regards des hommes et la jalousie des filles. Elle est plutôt grande, mesurant 1m78 pour 65 kgs.
Sportive, elle a toujours pratiqué assidûment la natation, la gymnastique et la musculation. Aude est consciente que ses longues jambes et surtout sa poitrine attirent l’attention. Aude arbore un 90 C. De comportement réservée, Aude aime pourtant mettre ses atouts en valeur, porter des décolletés, ne pas mettre de soutien-gorge. Elle préfère les jupes courtes. Elle a aussi toujours aimé valoriser ses traits fins et réguliers, ses yeux sombres, en ajoutant un trait de khôl et en choisissant un lipstick au rouge provocateur. Bref, Aude fut toujours vue comme une allumeuse, d’autant qu’elle rabrouait les garçons de sa promotion qui tentaient une approche.
Le prix de sa réussite fut une longue frustration, car Aude ne voulait pas dévier de son but affiché : réussir à tout prix. Au lycée, afin de lever une hypothèque, elle avait choisi le plus beau garçon de la classe pour se débarrasser de son pucelage. Le garçon était très beau, mais il était un incontestable crétin et surtout un très mauvais amant, ce qui conforta Aude dans sa volonté de ne pas « perdre de temps avec ces choses. » Pour elle, ça viendrait plus tard. Chaque chose en son temps, même si elle devait patienter en se masturbant de plus en plus souvent, y compris en journée.
Allumeuse et frigide ? Tous ses condisciples pensaient cela. Ils auraient été surpris de savoir qu’Aude était une masturbatrice compulsive, collectionnant les sex-toys et une lectrice assidue, lors de ses rares temps de loisirs, des sites d’histoires érotiques.
Visionnant des vidéos X, elle rêvait de types virils et endurants, se disant que, le moment venu, elle rattraperait le temps perdu.
***
Il y eut ensuite le temps de sa carrière professionnelle, qui s’annonça immédiatement prometteuse. Dans un premier temps, Aude poursuivit sur sa lancée, donnant la priorité absolue à sa réussite sur toute autre considération. La rencontre décisive fut celle de Daniel, un des cadres essentiels de l’établissement financier où elle gravit rapidement les échelons, du fait de ses compétences et de son absence de scrupules. Daniel avait immédiatement repéré cette brune incendiaire et compris que, malgré sa réputation d’être inaccessible, Aude était prenable. Daniel avait 15 ans de plus qu’Aude. Il avait la réputation d’être un séducteur invétéré. Avec 1m95 pour 80 kg, ce beau brun était un fauve. Il voulait et il aurait celle que ses collègues, qui la détestaient, appelaient « l’imprécatrice », en référence à un film et un roman des années 70 au sujet du monde des multinationales.
Tout le monde avait peur de cette Aude, aussi impitoyable qu’elle semblait sensuelle. Et bien lui, Daniel S, il la baiserait, cette salope. Il la voulait, donc il se la ferait. Et pas plus tard que la semaine prochaine, où Aude et lui devaient aller ensemble au forum de Davos.
***
Une fois en Suisse pour le fameux forum, Aude et Daniel se rendent dans un hôtel étoilé très classe, où le beau monde descend régulièrement. Deux chambres leur avaient été retenues, dont une suite pour Daniel. Ils prennent leurs quartiers et avant de se rendre à la soirée organisée par un établissement financier suisse, ils se donnent rendez-vous au bar.
Étant son supérieur hiérarchique, Daniel considère Aude comme une collaboratrice incontournable. Très motivée, elle se donne corps et âme à son travail. Bien sûr, très jalousée, certaines personnes la prennent pour une arriviste. Mais sa réussite, elle ne la doit qu'à son travail, et non à son cul comme de mauvaises langues tentent de le faire croire. Les capacités professionnelles d’Aude sont reconnues dans les hautes sphères, où Aude est très bien notée.
Daniel est déjà au bar. Vêtu d'un costume très classe, il attend Aude. C’est alors qu’Aude apparait, ceinte d'une longue robe, fendue sur le côté, très osée : seuls ses seins retiennent le tissu. Sa longue chevelure bien lissée s'étale sur ses épaules dénudées.
Daniel manque de tomber à la renverse. Elle s'approche de lui en souriant. Sa robe l'empêchant de monter sur le tabouret, les deux s’installent alors à une table. Daniel commande une bouteille de champagne, en guise d'apéro.
Il ne cesse de dévisager Aude, il la trouve encore plus désirable qu'avant et ce bien qu’il ait dit à ses amis qu'elle finira comme trophée dans sa chambre. Il ignore cependant que ses intentions sont parvenues aux oreilles d'Aude.
Là, il est pris d'un doute, plusieurs personnes en queues de pies, accompagnés de femmes en longues robes, lorgnent plus ou moins discrètement en direction d’Aude. Les hommes reluquent cette brune incendiaire, les femmes la fusillent du regard, jalouses de ses effets sur leurs compagnons.
Aude et son chef trinquent en parlant de tout et de rien. Daniel remarque qu'Aude n'est pas la même personne en privé et au bureau. Il est sous le charme, après quelques verres, il lui prend la main et la caresse doucement, puis dépose plusieurs petits baisers sur la peau douce. Aude se laisse faire, avec un peu d'humour et, en souriant, lui dit :
- Daniel, mon grain de peau vous intéresse ?
Daniel se pince les lèvres, si seulement elle savait, qu'il n'y a pas que le grain de sa peau qui l'intéresse. Il répond :
- Excusez mon manque de savoir-vivre, mais je vous trouve très jolie, et je vous désire !
Aude le regarde, avec insistance, et en hochant la tête répond :
- On peut dire que vous au moins, vous êtes direct !
Enfin, c'est l'heure de diner.
Daniel et Aude savent déjà comment finira la soirée. Ils sont habités par le même désir. Avant de partir en mission, Aude a bénéficié des confidences de sa collègue Christine, une des rares qui lui montrent de la sympathie. Christine est une blonde à forte poitrine et aux lèvres pulpeuses. Bien que mariée, elle fut la maitresse de Daniel et ils sont restés proches. Il n’a pas caché à Christine qu’Aude le fait bander et qu’il faut qu’il se la fasse. Christine avait répondu à son ex-amant :
- Je sais qu’il te les faut toutes, mais sache que j’ai sondé Aude, qui est en confiance avec moi. Elle n’a personne dans la vie et, jusqu’à présent, sa priorité, ce fut ses études puis sa carrière.
- Il me la faut, je te dis. Je vais faire d’elle une vraie femme. Je la prends avec moi à Davos.
Christine a affranchi Aude, qui, au lieu de s’offusquer, a baissé les yeux et a rougi. En fait, depuis des semaines, elle flashe sur son chef et, le soir, seule dans son lit, elle se masturbe furieusement, en pensant à tout que ce séducteur lui fera. Au bureau, Aude se montre très professionnelle, distante et froide, alors qu’elle porte des décolletés et des jupes courtes, des talons qui mettent son cul en valeur. Bref, tout ce qui fait sa réputation d’allumeuse et qui exacerbe le désir de Daniel. Pour Aude également cette mission à Davos est une occasion à ne pas laisser passer.
Mais revenons à cette soirée qui fut décisive pour Daniel et Aude.
Le diner est somptueux, un enchainement de mets fins et de vins exceptionnels. L’alcool finit de désinhiber Aude, qui n’a guère l’habitude, d’autant que Daniel la pousse, multipliant les toasts à sa réussite, à son bonheur, à sa beauté. Aude est grisée, légère, un peu ivre, mais toujours lucide. Ce qui va se passer, elle en a envie, elle le veut.
Le repas est interrompu par l’interminable discours du Doktor Peter Meier, le Président de cette grande banque suisse qui est l’hôte de la soirée. Son accent alémanique fait sourire Aude quand le Doktor Meier passe de l’Anglais au Français. Il ne manque pas de saluer son ami Daniel S, l’homme qui monte chez son partenaire français. Meier met les pieds dans le plat :
- Mon cher Daniel, je vois que vous êtes bien accompagné. Madame est magnifique !
Aude rougit. Daniel rectifie, alors que son attitude depuis le début de la soirée confirme ses visées sur la jeune femme, dont il ne lâche pas la main :
- Mademoiselle Aude L est seulement ma collaboratrice. Une jeune femme brillante, qui, en quelques mois, a démontré tous ses talents.
Peter Meier rebondit, faisant rire toute l’assistance :
- Collaboratrice ? Et plus si affinités !
Tout le monde a compris. Aude pique un fard, elle est gênée mais assume. Le diner reprend enfin, mais elle se sent épiée. A croire que tous savent que Daniel va faire d’elle sa proie de ce soir. Aude est décidée, elle va faire ce qu’elle pensait impossible la veille encore : s’offrir.
Elle enlève sa chaussure, son pied remonte le long de la jambe de son patron, jusqu’à la bosse qui déforme son pantalon et qu’elle commence à caresser.
- Hum, très intéressant, Monsieur S, dit Aude en se passant la langue sur ses lèvres.
- Tu ne crois pas qu’on pourrait se tutoyer ? Dis-donc, ils ont raison, tes détracteurs ! Tu n’as pas froid aux yeux.
- Pourtant c’est la première fois que je fais ce genre de choses.
- Pour une novice, tu te débrouilles pas mal !
- Tu m’as dit tout à l’heure que tu me désires. Eh bien moi, j’ai envie de toi !
- Encore un peu de patience, nous devons attendre que la soirée soit finie.
Aude aimerait ne pas attendre davantage. Elle est en feu. Elle sent que son intimité est humide, que ses tétons sont durs.
Pour la faire patienter, Daniel profite de la musique pour l’inviter à danser sur un slow. Peu importe s’il exhibe sa conquête, s’il la serre contre sa virilité, si ses mains sont sur ses fesses. C’est Aude qui prend alors l’initiative de lui offrir ses lèvres, pour un interminable baiser amoureux.
Il est 23h00 quand le Doktor Meier donne enfin le signal de la fin du diner. Malgré leur envie pressante, Aude et Daniel ne se précipitent pas, soucieux des convenances.
- S’il te plait, dit Aude, je ne peux plus attendre !
- Moi non plus, figure-toi !
Daniel tend la main à Aude et c’est main dans la main qu’ils se dirigent vers l’ascenseur qui doit les conduire vers la suite de Daniel dans ce luxueux resort.
***
Les deux collègues ont la fièvre. De nature, Aude, n’est pas si entreprenante, au contraire elle est trop réservée même, selon ses intimes. Et pour cause, car elle n’a pas d’expérience, seulement ses plaisirs solitaires pris en visionnant des vidéos X, où, se caressant jusqu’à se faire jouir, elle rêve d’étreintes torrides.
Ce soir, grisée par l’alcool, elle devient audacieuse. Dans l’ascenseur qui les mène à leurs chambres, ils échangent un long baiser. Daniel est très tactile, il caresse le corps svelte de la femme qu’il veut mettre dans son lit. Au travers du tissu, il lui palpe les courbures, presse les rondeurs. Mais il est interrompu, l’ascenseur s’arrête, ils sont arrivés à l’étage, il regarde intensément Aude et en lui relevant le menton avec deux doigts lui murmure :
- Oh toi, toi, tu me rends fou !
Il la prend par la main et l’entraîne vers son nid d’amour, il ouvre la porte, qui claque en se refermant. Impatient, il enlace Aude, la serre très fort contre lui, et plaque son bas-ventre contre le sien. Daniel est un tombeur. Mais jamais il n’a autant désiré une femme.
Elle le prend par le cou, et joint ses lèvres aux siennes, les langues se nouent, les salives s’échangent, Le baiser est très tendre. Les bassins ondulent, le frottement continuel produit son effet. Daniel place ses mains sur les hanches d’Aude, et tire dessus pour la plaquer davantage contre son bas-ventre. Le coquin ne peut retenir son émotion, Aude sent contre son ventre le manche de Daniel qui ne cesse de prendre du volume. Elle soupire, la pression qu’exerce son patron la fait frissonner. Elle décolle son corps du sien, passe sa main entre et sans aucune gêne, saisit au travers du pantalon la verge tendue.
Daniel se cabre, avec arrogance. Elle le toise, et en serrant les dents, presse fortement le membre. Daniel grimace. Elle desserre l’étau, et se met à agiter la verge au travers du pantalon. La verge, emprisonnée dans son carcan de tissu, devient douloureuse.
Daniel fait lâcher prise à Aude, et avec rapidité, baisse son pantalon et son slip. La verge, libérée, se dresse d’un coup en oscillant. Les yeux d’Aude ne quittent pas le membre, bien qu’elle n’en ait pas vu de nombreux, elle trouve celui-là impressionnant, digne des vidéos qu’elle affectionne. Daniel lui prend la main et la pose sur son mandrin, les doigts d’Aude ne peuvent faire le tour du membre, tellement il est imposant. Aude sent le sang battre dans le membre fortement veiné. Elle commence à l’agiter, en ne le quittant pas des yeux. Elle augmente la cadence, Daniel geint doucement en marmonnant :
- Oh, toi, toi, Aude !
Elle cesse de branler l’engin, et se laisse tomber à genoux. Elle décalotte le gland, l’observe un instant, avant de donner quelques coups de langue bien ajustés sur le cèpe. L’appendice lingual tourne sur le gland, titille le frein, lape les perles de rosées que le méat rejette. Daniel croit rêver, il se demande encore par quel miracle Aude lui a cédé. Daniel se cabre en poussant un grognement, Aude vient de lui gober le gland. Comme une vorace, elle s’acharne sur la boule de chair marbrée. Ses succions très appuyées font gémir son chef. La coquine savoure les perles suaves que le méat ne peut retenir.
La tension monte dans le corps de Daniel qui ne retient plus ses gémissements. Aude ignorait qu’elle était si douée pour la fellation. Sa bouche, très active, arrive à ses fins. C’est en grognant comme un fauve que Daniel envoie dans la bouche de la suceuse une puissante giclée de sperme. C’est si violent qu’elle manque d’étouffer, elle repousse brusquement l’éjaculateur, pince les lèvres, un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Daniel lui dit :
- Avale, avale, ne gâche pas un si précieux nectar !
Aude voudrait recracher, mais elle déglutit bruyamment, et avale en grimaçant jusqu’à la dernière goutte. Elle sort un mouchoir de son sac et s’essuie les lèvres. Puis, en regardant Daniel, elle ouvre la bouche pour lui montrer qu’elle a tout avalé. C’est la première fois qu’elle fait une telle chose. Elle se dit qu’elle aime la saveur de la semence de son amant.
Il lui sourit et retire ses vêtements. Elle commence devant lui à effectuer un effeuillage digne d’une strip-teaseuse. Sa robe sur le plancher, elle fait sauter l’agrafe du soutien-gorge, ses seins jaillissent en se dressant comme deux obus. Daniel salive, en ne quittant pas des yeux le corps sublime d’Aude. Elle se tortille en baissant lentement sa culotte de dentelle assortie à son soutien-gorge. Enfin, il aperçoit la vulve, il remarque que la fine toison soyeuse, bien entretenue, est humide.
Une fois nue, elle tourne sur elle-même, se trémousse, prend des poses provocatrices. Daniel fond, il salive abondamment. Il s’approche, la saisit à bras le corps et la dépose sur le bord du lit.
***
Il lui ouvre les jambes et avant de glisser sa main entre les cuisses, regarde la fente, garnie de lèvres bien dessinées. Il les caresse du bout des doigts, qu’il glisse ensuite dans le sillon qu'elles forment. Et part à la recherche du clito. Habilement, il le saisit entre ses doigts, et commence à le triturer, pour en augmenter le volume, enfin, il commence un doux branlage. Aude immédiatement geint, elle agite doucement son bassin. La masturbation devient plus intense, la soumise geint plus fort. Son bouton est devenu énorme, Daniel le presse de temps en temps pour bien le stimuler. Soudain, Aude se cabre en poussant un gémissement. Daniel vient de lui gober le clito et se met à le sucer comme un affamé.
Rapidement, Aude défaille, son corps se met à trembler, elle couine de plaisir. Longuement son amant lui dévore la boule magique, sa langue agile, s’enfonce profondément dans son puits d’amour et le fouille si fort que qu’Aude se cambre comme un pont, et en poussant un cri, qu’elle tente étouffer en se mordant le poignet, elle jouit. Sa jouissance est fabuleuse, elle ne se souvient pas d’en avoir eu une aussi intense. Daniel se redresse, caresse un long moment le corps fébrile, avant de malaxer les seins. Les demi-sphères se raffermissent à chaque enfoncement des doigts dans la chair souple. Daniel s’attarde sur les mamelons, il les roule entre ses doigts, les étire, les écrase pour les faire épaissir.
Mais lorsqu’il les gobe, Aude pousse un long gémissement. Le bougre tète les mamelons comme un enfant qui s’allaite. Les coups de dents qu’il donne dessus font gémir Aude de plaisir.
Enfin, il les délaisse, et prend place entre les cuisses de la femme impatiente d’être prise :
- Prends-moi, prends-moi, j’en peux plus Daniel, fais de moi ta salope !
A aucun moment, Aude ne demande à Daniel de mettre une capote. Elle veut être à lui complètement. Et c’est bien ainsi que Daniel, en mâle dominateur conçoit les choses.
Encouragé, le coquin présente à la vulve ruisselante, son engin tendu comme un arc, prêt à lancer sa flèche. Il s’accroche aux hanches larges de sa proie, et pousse. Aude se cabre, en soufflant comme un dragon. Irrémédiablement, le membre s’enfonce dans son ventre, jusqu’aux couilles, sans faire une pause. Aude s’accroche à son amant comme une pieuvre à son rocher, en respirant fortement. Daniel commence un va-et-vient très lent au début, mais dès que son amante commence à geindre, il accélère. Aude agite son bassin, en grognant comme une bête blessée.
La tension monte, les coups de reins deviennent plus violents. Aude est au bord de la syncope, la verge qui lui laboure le ventre, la fait se pâmer. Par contre, le gland large et épais qui lui racle les parois vaginales la fait délirer :
- Oui, oui, prends-moi fort, oui, oui, tape fort, fais-moi mal !
Daniel augmente la vitesse de pénétration, sa queue voyage dans le ventre de son amante, en lui labourant fortement le col de l’utérus. Aude défaille, elle donne, elle aussi, de grands coups de reins pour s’empaler totalement sur la queue de son amant. Les gémissements résonnent dans la chambre des ébats. Les deux ne sont pas avares de coups de reins, ni de râles. Petit à petit, son amant l’amène au point de non-retour. Elle se cambre terriblement en poussant un cri inhumain. Une violente brûlure lui traverse le ventre, sa jouissance est monstrueuse. Aude tremble de tous ses membres, elle retombe sur le lit en haletant. Daniel continue de la défoncer, maintenant, il cherche son propre plaisir. Sa queue fait des allers et retours rapides dans la gaine abondamment lubrifiée par la cyprine. Aude le supplie :
- Oh, mon chéri. Viens ! Vide-toi en moi ! Remplis-moi ! Je suis à toi !
C’est en grognant, qu’il se bloque et remplit de sa semence épaisse le ventre de son amante. Il donne encore quelques estocades, Aude jouit de nouveau comme une malade. Elle divague :
- Mon Dieu, encore, encore, oui défonce-moi, oh putain comme c’est bon, n'arrête pas ! Je t’aime !
Aude sait qu’elle est en période fertile. C’est en toute connaissance de cause qu’elle n’a pris aucune précaution. Daniel, à ce moment, n’imagine pas les conséquences. Il a d'autres projets pour elle, il se retire. Le bougre aimerait la prendre par le cul, mais il hésite.
***
Aude en veut encore. Le plaisir s’est révélé à elle et elle n’entend plus s’en priver. Elle se met à quatre pattes sur le lit, tendant sa croupe. Cette position de la levrette l’a toujours excité, mais elle l’a toujours trouvé bestiale. Ce soir, c’est de ça dont elle a envie. Et Daniel a de la ressource.
Daniel ne s’embarrasse d’aucun préliminaire et pénètre Aude immédiatement.
— Femme, tends ta croupe ! Prends ça !
— Oui, vas-y ! Comme ça !
La verge dure se met à coulisser en elle pendant qu’il la saisit par les hanches. Il accélère la cadence et prend ses seins qu’il pelote avidement, tout en la pistonnant. De temps à autre, il lui assène des claques sonores sur le postérieur.
Daniel donne des coups de reins de plus en plus amples, entrant et ressortant la totalité de son sexe. À chaque fois qu’il ressort, il marque une pause avant de replonger en elle, en pressant ses seins avec ses mains. De cette façon, elle ressent un manque quand il sort et cela renforce les envies d’Aude qu’il la reprenne. Progressivement, Daniel accélère la cadence et à chaque fois qu’il s’enfonce en elle, Aude ne peut s’empêcher de gémir, d’exprimer ce plaisir qui monte en elle comme un cheval au galop. Il la baise de cette manière pendant de longues minutes.
Daniel donne alors un coup de reins plus intense. Aude a l’impression de s’ouvrir un peu plus à chaque coup, pour qu’il puisse aller plus profond encore. Elle a un ultime orgasme quand son amant se raidit enfin, en se plaquant contre son postérieur, puis elle sent éjaculer longuement en elle. Il se retire et elle sent son sperme s’écouler entre ses cuisses.
La nuit n’est pas encore finie. A défaut d’avoir dépucelé Aude, Daniel lui a fait découvrir le plaisir. Il veut la posséder par la voie étroite, certain qu’elle ne l’a jamais fait et qu’elle va adorer ça !
***
Le coquin profite qu'Aude est encore sous les spasmes de la jouissance, pour les caresser les lobes fessiers. Aude a toujours refusé ces attouchements qu'elle trouve contre-nature. Dès que les doigts glissent dans le large sillon qui sépare les demi-sphères, et qu'ils appuient sur son anus, Aude se cabre comme un cheval fougueux. Elle marmonne :
- Non Daniel pas ça, nous ne sommes pas des animaux !
Pour toute réponse, il cherche ses lèvres. Le baiser est fougueux. Mais le bougre ne désarme pas, il appuie son majeur sur le muscle rectal. Aude se cabre, la première phalange s'enfonce aisément dans la gaine étroite. Une seconde poussée, fait cabrer encore plus fort Aude. Le doigt disparait entièrement comme aspirait dans l'antre. Le gredin reste un moment sans faire de mouvements. Puis, sans brusquerie, commence un doux va-et-vient.
Aude réagit vivement en ruant comme un cheval, et réussit à se dégager en repoussant Daniel. Pour Aude, c'est de l'humiliation. Malgré plusieurs tentatives infructueuses, Daniel doit renoncer à son projet anal. Les deux se séparent, car la journée s'annonce longue.
***
Quel est l’avenir de leur relation ? Un coup de folie d’un soir ou un engagement de long terme ?
(À suivre)
Je ne me m’étais pas lancée, jusqu’à présent, dans la fiction érotique. Une de mes lectrices, Valériane, spécialiste du genre, m’a fortement encouragée et nous sommes convenus de tenter l’expérience de l’écriture d’un texte à deux.
J’ai déjà eu des expériences d’écriture à deux :
• Une série en 16 chapitres (tous publiés sur ma page), rédigés avec Elodie de Paris et publiés sur HDS entre 14 octobre 2020 et le 8 mai 2021. Elodie en a fait, avec mon accord, un e-book intitulé « La Thèse », ouvrage dont j’ai parlé dans « Lectures érotiques (28). Elodie de Paris : « La Thèse », mis en ligne le 21 mars 2024.
• Avec Micky, il y eut deux séries, « Olga et le docteur » dont les cinq chapitres ont été publiés, entre le 1er juillet et le 25 août 2021 alternativement sur ma page (chapitres 1 et 3) et de Micky (2, 4 et 5), puis « Saga Africa pour Olga », dont deux chapitres ont été publiés chez Micky (1 et 3) et un ma page, entre le 17 mars et le 16 mai 2023.
Les textes écrits avec Elodie et Micky, contenaient des éléments autobiographiques.
Cette fois, ce n’est pas le cas, il s’agit de pure fiction, même si, c’est inévitable, mon parcours m’a inspiré. En France, la formule exacte et intégrale de cette mention légale est : « toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence ».
Il est donc établi qu’Aude n’est ni Olga, ni Valériane, même si elle a des points communs avec les auteures et d'abord qu'elle aime le sexe, qu'elle aime baiser.
Un grand merci à Valériane pour notre collaboration !
***
Aude est une mère de famille âgée de 45 ans. Elle est mariée depuis près de 20 ans à Daniel. Le couple, établi dans une grande métropole de province, a deux enfants, Clémence, 19 ans et Arnaud, 16 ans.
Revenons 20 ans en arrière pour présenter Aude et parler de sa rencontre avec Daniel.
***
Aude fut une brillante étudiante d’une prestigieuse école de commerce. Son classement et sa réputation lui firent décrocher une des toutes premières places au sein d’un grand établissement financier. Jusqu’au début de son cursus professionnel, Aude avait consacré toute son énergie à ses études et à sa réussite. Elle était ambitieuse et surtout elle voulait réussir, sortir de son milieu social d’origine, une famille ouvrière d’une région industrielle en déclin. Rien ne devait la dévier de cet objectif. Elle n’avait pas le choix, ayant fait un emprunt pour financer ses études dans un établissement où ses condisciples la regardaient de haut. Elle allait leur montrer qui elle était!
Et en effet elle établit sa réputation de bosseuse, de forte en thème. Tout son temps était consacré alors à cette réussite. On ne lui connaissait aucun petit copain, pas de temps pour cela. Et pourtant, Aude, depuis l’adolescence, a toujours été une jolie fille, une brune aux longs cheveux suscitant les regards des hommes et la jalousie des filles. Elle est plutôt grande, mesurant 1m78 pour 65 kgs.
Sportive, elle a toujours pratiqué assidûment la natation, la gymnastique et la musculation. Aude est consciente que ses longues jambes et surtout sa poitrine attirent l’attention. Aude arbore un 90 C. De comportement réservée, Aude aime pourtant mettre ses atouts en valeur, porter des décolletés, ne pas mettre de soutien-gorge. Elle préfère les jupes courtes. Elle a aussi toujours aimé valoriser ses traits fins et réguliers, ses yeux sombres, en ajoutant un trait de khôl et en choisissant un lipstick au rouge provocateur. Bref, Aude fut toujours vue comme une allumeuse, d’autant qu’elle rabrouait les garçons de sa promotion qui tentaient une approche.
Le prix de sa réussite fut une longue frustration, car Aude ne voulait pas dévier de son but affiché : réussir à tout prix. Au lycée, afin de lever une hypothèque, elle avait choisi le plus beau garçon de la classe pour se débarrasser de son pucelage. Le garçon était très beau, mais il était un incontestable crétin et surtout un très mauvais amant, ce qui conforta Aude dans sa volonté de ne pas « perdre de temps avec ces choses. » Pour elle, ça viendrait plus tard. Chaque chose en son temps, même si elle devait patienter en se masturbant de plus en plus souvent, y compris en journée.
Allumeuse et frigide ? Tous ses condisciples pensaient cela. Ils auraient été surpris de savoir qu’Aude était une masturbatrice compulsive, collectionnant les sex-toys et une lectrice assidue, lors de ses rares temps de loisirs, des sites d’histoires érotiques.
Visionnant des vidéos X, elle rêvait de types virils et endurants, se disant que, le moment venu, elle rattraperait le temps perdu.
***
Il y eut ensuite le temps de sa carrière professionnelle, qui s’annonça immédiatement prometteuse. Dans un premier temps, Aude poursuivit sur sa lancée, donnant la priorité absolue à sa réussite sur toute autre considération. La rencontre décisive fut celle de Daniel, un des cadres essentiels de l’établissement financier où elle gravit rapidement les échelons, du fait de ses compétences et de son absence de scrupules. Daniel avait immédiatement repéré cette brune incendiaire et compris que, malgré sa réputation d’être inaccessible, Aude était prenable. Daniel avait 15 ans de plus qu’Aude. Il avait la réputation d’être un séducteur invétéré. Avec 1m95 pour 80 kg, ce beau brun était un fauve. Il voulait et il aurait celle que ses collègues, qui la détestaient, appelaient « l’imprécatrice », en référence à un film et un roman des années 70 au sujet du monde des multinationales.
Tout le monde avait peur de cette Aude, aussi impitoyable qu’elle semblait sensuelle. Et bien lui, Daniel S, il la baiserait, cette salope. Il la voulait, donc il se la ferait. Et pas plus tard que la semaine prochaine, où Aude et lui devaient aller ensemble au forum de Davos.
***
Une fois en Suisse pour le fameux forum, Aude et Daniel se rendent dans un hôtel étoilé très classe, où le beau monde descend régulièrement. Deux chambres leur avaient été retenues, dont une suite pour Daniel. Ils prennent leurs quartiers et avant de se rendre à la soirée organisée par un établissement financier suisse, ils se donnent rendez-vous au bar.
Étant son supérieur hiérarchique, Daniel considère Aude comme une collaboratrice incontournable. Très motivée, elle se donne corps et âme à son travail. Bien sûr, très jalousée, certaines personnes la prennent pour une arriviste. Mais sa réussite, elle ne la doit qu'à son travail, et non à son cul comme de mauvaises langues tentent de le faire croire. Les capacités professionnelles d’Aude sont reconnues dans les hautes sphères, où Aude est très bien notée.
Daniel est déjà au bar. Vêtu d'un costume très classe, il attend Aude. C’est alors qu’Aude apparait, ceinte d'une longue robe, fendue sur le côté, très osée : seuls ses seins retiennent le tissu. Sa longue chevelure bien lissée s'étale sur ses épaules dénudées.
Daniel manque de tomber à la renverse. Elle s'approche de lui en souriant. Sa robe l'empêchant de monter sur le tabouret, les deux s’installent alors à une table. Daniel commande une bouteille de champagne, en guise d'apéro.
Il ne cesse de dévisager Aude, il la trouve encore plus désirable qu'avant et ce bien qu’il ait dit à ses amis qu'elle finira comme trophée dans sa chambre. Il ignore cependant que ses intentions sont parvenues aux oreilles d'Aude.
Là, il est pris d'un doute, plusieurs personnes en queues de pies, accompagnés de femmes en longues robes, lorgnent plus ou moins discrètement en direction d’Aude. Les hommes reluquent cette brune incendiaire, les femmes la fusillent du regard, jalouses de ses effets sur leurs compagnons.
Aude et son chef trinquent en parlant de tout et de rien. Daniel remarque qu'Aude n'est pas la même personne en privé et au bureau. Il est sous le charme, après quelques verres, il lui prend la main et la caresse doucement, puis dépose plusieurs petits baisers sur la peau douce. Aude se laisse faire, avec un peu d'humour et, en souriant, lui dit :
- Daniel, mon grain de peau vous intéresse ?
Daniel se pince les lèvres, si seulement elle savait, qu'il n'y a pas que le grain de sa peau qui l'intéresse. Il répond :
- Excusez mon manque de savoir-vivre, mais je vous trouve très jolie, et je vous désire !
Aude le regarde, avec insistance, et en hochant la tête répond :
- On peut dire que vous au moins, vous êtes direct !
Enfin, c'est l'heure de diner.
Daniel et Aude savent déjà comment finira la soirée. Ils sont habités par le même désir. Avant de partir en mission, Aude a bénéficié des confidences de sa collègue Christine, une des rares qui lui montrent de la sympathie. Christine est une blonde à forte poitrine et aux lèvres pulpeuses. Bien que mariée, elle fut la maitresse de Daniel et ils sont restés proches. Il n’a pas caché à Christine qu’Aude le fait bander et qu’il faut qu’il se la fasse. Christine avait répondu à son ex-amant :
- Je sais qu’il te les faut toutes, mais sache que j’ai sondé Aude, qui est en confiance avec moi. Elle n’a personne dans la vie et, jusqu’à présent, sa priorité, ce fut ses études puis sa carrière.
- Il me la faut, je te dis. Je vais faire d’elle une vraie femme. Je la prends avec moi à Davos.
Christine a affranchi Aude, qui, au lieu de s’offusquer, a baissé les yeux et a rougi. En fait, depuis des semaines, elle flashe sur son chef et, le soir, seule dans son lit, elle se masturbe furieusement, en pensant à tout que ce séducteur lui fera. Au bureau, Aude se montre très professionnelle, distante et froide, alors qu’elle porte des décolletés et des jupes courtes, des talons qui mettent son cul en valeur. Bref, tout ce qui fait sa réputation d’allumeuse et qui exacerbe le désir de Daniel. Pour Aude également cette mission à Davos est une occasion à ne pas laisser passer.
Mais revenons à cette soirée qui fut décisive pour Daniel et Aude.
Le diner est somptueux, un enchainement de mets fins et de vins exceptionnels. L’alcool finit de désinhiber Aude, qui n’a guère l’habitude, d’autant que Daniel la pousse, multipliant les toasts à sa réussite, à son bonheur, à sa beauté. Aude est grisée, légère, un peu ivre, mais toujours lucide. Ce qui va se passer, elle en a envie, elle le veut.
Le repas est interrompu par l’interminable discours du Doktor Peter Meier, le Président de cette grande banque suisse qui est l’hôte de la soirée. Son accent alémanique fait sourire Aude quand le Doktor Meier passe de l’Anglais au Français. Il ne manque pas de saluer son ami Daniel S, l’homme qui monte chez son partenaire français. Meier met les pieds dans le plat :
- Mon cher Daniel, je vois que vous êtes bien accompagné. Madame est magnifique !
Aude rougit. Daniel rectifie, alors que son attitude depuis le début de la soirée confirme ses visées sur la jeune femme, dont il ne lâche pas la main :
- Mademoiselle Aude L est seulement ma collaboratrice. Une jeune femme brillante, qui, en quelques mois, a démontré tous ses talents.
Peter Meier rebondit, faisant rire toute l’assistance :
- Collaboratrice ? Et plus si affinités !
Tout le monde a compris. Aude pique un fard, elle est gênée mais assume. Le diner reprend enfin, mais elle se sent épiée. A croire que tous savent que Daniel va faire d’elle sa proie de ce soir. Aude est décidée, elle va faire ce qu’elle pensait impossible la veille encore : s’offrir.
Elle enlève sa chaussure, son pied remonte le long de la jambe de son patron, jusqu’à la bosse qui déforme son pantalon et qu’elle commence à caresser.
- Hum, très intéressant, Monsieur S, dit Aude en se passant la langue sur ses lèvres.
- Tu ne crois pas qu’on pourrait se tutoyer ? Dis-donc, ils ont raison, tes détracteurs ! Tu n’as pas froid aux yeux.
- Pourtant c’est la première fois que je fais ce genre de choses.
- Pour une novice, tu te débrouilles pas mal !
- Tu m’as dit tout à l’heure que tu me désires. Eh bien moi, j’ai envie de toi !
- Encore un peu de patience, nous devons attendre que la soirée soit finie.
Aude aimerait ne pas attendre davantage. Elle est en feu. Elle sent que son intimité est humide, que ses tétons sont durs.
Pour la faire patienter, Daniel profite de la musique pour l’inviter à danser sur un slow. Peu importe s’il exhibe sa conquête, s’il la serre contre sa virilité, si ses mains sont sur ses fesses. C’est Aude qui prend alors l’initiative de lui offrir ses lèvres, pour un interminable baiser amoureux.
Il est 23h00 quand le Doktor Meier donne enfin le signal de la fin du diner. Malgré leur envie pressante, Aude et Daniel ne se précipitent pas, soucieux des convenances.
- S’il te plait, dit Aude, je ne peux plus attendre !
- Moi non plus, figure-toi !
Daniel tend la main à Aude et c’est main dans la main qu’ils se dirigent vers l’ascenseur qui doit les conduire vers la suite de Daniel dans ce luxueux resort.
***
Les deux collègues ont la fièvre. De nature, Aude, n’est pas si entreprenante, au contraire elle est trop réservée même, selon ses intimes. Et pour cause, car elle n’a pas d’expérience, seulement ses plaisirs solitaires pris en visionnant des vidéos X, où, se caressant jusqu’à se faire jouir, elle rêve d’étreintes torrides.
Ce soir, grisée par l’alcool, elle devient audacieuse. Dans l’ascenseur qui les mène à leurs chambres, ils échangent un long baiser. Daniel est très tactile, il caresse le corps svelte de la femme qu’il veut mettre dans son lit. Au travers du tissu, il lui palpe les courbures, presse les rondeurs. Mais il est interrompu, l’ascenseur s’arrête, ils sont arrivés à l’étage, il regarde intensément Aude et en lui relevant le menton avec deux doigts lui murmure :
- Oh toi, toi, tu me rends fou !
Il la prend par la main et l’entraîne vers son nid d’amour, il ouvre la porte, qui claque en se refermant. Impatient, il enlace Aude, la serre très fort contre lui, et plaque son bas-ventre contre le sien. Daniel est un tombeur. Mais jamais il n’a autant désiré une femme.
Elle le prend par le cou, et joint ses lèvres aux siennes, les langues se nouent, les salives s’échangent, Le baiser est très tendre. Les bassins ondulent, le frottement continuel produit son effet. Daniel place ses mains sur les hanches d’Aude, et tire dessus pour la plaquer davantage contre son bas-ventre. Le coquin ne peut retenir son émotion, Aude sent contre son ventre le manche de Daniel qui ne cesse de prendre du volume. Elle soupire, la pression qu’exerce son patron la fait frissonner. Elle décolle son corps du sien, passe sa main entre et sans aucune gêne, saisit au travers du pantalon la verge tendue.
Daniel se cabre, avec arrogance. Elle le toise, et en serrant les dents, presse fortement le membre. Daniel grimace. Elle desserre l’étau, et se met à agiter la verge au travers du pantalon. La verge, emprisonnée dans son carcan de tissu, devient douloureuse.
Daniel fait lâcher prise à Aude, et avec rapidité, baisse son pantalon et son slip. La verge, libérée, se dresse d’un coup en oscillant. Les yeux d’Aude ne quittent pas le membre, bien qu’elle n’en ait pas vu de nombreux, elle trouve celui-là impressionnant, digne des vidéos qu’elle affectionne. Daniel lui prend la main et la pose sur son mandrin, les doigts d’Aude ne peuvent faire le tour du membre, tellement il est imposant. Aude sent le sang battre dans le membre fortement veiné. Elle commence à l’agiter, en ne le quittant pas des yeux. Elle augmente la cadence, Daniel geint doucement en marmonnant :
- Oh, toi, toi, Aude !
Elle cesse de branler l’engin, et se laisse tomber à genoux. Elle décalotte le gland, l’observe un instant, avant de donner quelques coups de langue bien ajustés sur le cèpe. L’appendice lingual tourne sur le gland, titille le frein, lape les perles de rosées que le méat rejette. Daniel croit rêver, il se demande encore par quel miracle Aude lui a cédé. Daniel se cabre en poussant un grognement, Aude vient de lui gober le gland. Comme une vorace, elle s’acharne sur la boule de chair marbrée. Ses succions très appuyées font gémir son chef. La coquine savoure les perles suaves que le méat ne peut retenir.
La tension monte dans le corps de Daniel qui ne retient plus ses gémissements. Aude ignorait qu’elle était si douée pour la fellation. Sa bouche, très active, arrive à ses fins. C’est en grognant comme un fauve que Daniel envoie dans la bouche de la suceuse une puissante giclée de sperme. C’est si violent qu’elle manque d’étouffer, elle repousse brusquement l’éjaculateur, pince les lèvres, un filet de sperme s’échappe à la commissure de ses lèvres. Daniel lui dit :
- Avale, avale, ne gâche pas un si précieux nectar !
Aude voudrait recracher, mais elle déglutit bruyamment, et avale en grimaçant jusqu’à la dernière goutte. Elle sort un mouchoir de son sac et s’essuie les lèvres. Puis, en regardant Daniel, elle ouvre la bouche pour lui montrer qu’elle a tout avalé. C’est la première fois qu’elle fait une telle chose. Elle se dit qu’elle aime la saveur de la semence de son amant.
Il lui sourit et retire ses vêtements. Elle commence devant lui à effectuer un effeuillage digne d’une strip-teaseuse. Sa robe sur le plancher, elle fait sauter l’agrafe du soutien-gorge, ses seins jaillissent en se dressant comme deux obus. Daniel salive, en ne quittant pas des yeux le corps sublime d’Aude. Elle se tortille en baissant lentement sa culotte de dentelle assortie à son soutien-gorge. Enfin, il aperçoit la vulve, il remarque que la fine toison soyeuse, bien entretenue, est humide.
Une fois nue, elle tourne sur elle-même, se trémousse, prend des poses provocatrices. Daniel fond, il salive abondamment. Il s’approche, la saisit à bras le corps et la dépose sur le bord du lit.
***
Il lui ouvre les jambes et avant de glisser sa main entre les cuisses, regarde la fente, garnie de lèvres bien dessinées. Il les caresse du bout des doigts, qu’il glisse ensuite dans le sillon qu'elles forment. Et part à la recherche du clito. Habilement, il le saisit entre ses doigts, et commence à le triturer, pour en augmenter le volume, enfin, il commence un doux branlage. Aude immédiatement geint, elle agite doucement son bassin. La masturbation devient plus intense, la soumise geint plus fort. Son bouton est devenu énorme, Daniel le presse de temps en temps pour bien le stimuler. Soudain, Aude se cabre en poussant un gémissement. Daniel vient de lui gober le clito et se met à le sucer comme un affamé.
Rapidement, Aude défaille, son corps se met à trembler, elle couine de plaisir. Longuement son amant lui dévore la boule magique, sa langue agile, s’enfonce profondément dans son puits d’amour et le fouille si fort que qu’Aude se cambre comme un pont, et en poussant un cri, qu’elle tente étouffer en se mordant le poignet, elle jouit. Sa jouissance est fabuleuse, elle ne se souvient pas d’en avoir eu une aussi intense. Daniel se redresse, caresse un long moment le corps fébrile, avant de malaxer les seins. Les demi-sphères se raffermissent à chaque enfoncement des doigts dans la chair souple. Daniel s’attarde sur les mamelons, il les roule entre ses doigts, les étire, les écrase pour les faire épaissir.
Mais lorsqu’il les gobe, Aude pousse un long gémissement. Le bougre tète les mamelons comme un enfant qui s’allaite. Les coups de dents qu’il donne dessus font gémir Aude de plaisir.
Enfin, il les délaisse, et prend place entre les cuisses de la femme impatiente d’être prise :
- Prends-moi, prends-moi, j’en peux plus Daniel, fais de moi ta salope !
A aucun moment, Aude ne demande à Daniel de mettre une capote. Elle veut être à lui complètement. Et c’est bien ainsi que Daniel, en mâle dominateur conçoit les choses.
Encouragé, le coquin présente à la vulve ruisselante, son engin tendu comme un arc, prêt à lancer sa flèche. Il s’accroche aux hanches larges de sa proie, et pousse. Aude se cabre, en soufflant comme un dragon. Irrémédiablement, le membre s’enfonce dans son ventre, jusqu’aux couilles, sans faire une pause. Aude s’accroche à son amant comme une pieuvre à son rocher, en respirant fortement. Daniel commence un va-et-vient très lent au début, mais dès que son amante commence à geindre, il accélère. Aude agite son bassin, en grognant comme une bête blessée.
La tension monte, les coups de reins deviennent plus violents. Aude est au bord de la syncope, la verge qui lui laboure le ventre, la fait se pâmer. Par contre, le gland large et épais qui lui racle les parois vaginales la fait délirer :
- Oui, oui, prends-moi fort, oui, oui, tape fort, fais-moi mal !
Daniel augmente la vitesse de pénétration, sa queue voyage dans le ventre de son amante, en lui labourant fortement le col de l’utérus. Aude défaille, elle donne, elle aussi, de grands coups de reins pour s’empaler totalement sur la queue de son amant. Les gémissements résonnent dans la chambre des ébats. Les deux ne sont pas avares de coups de reins, ni de râles. Petit à petit, son amant l’amène au point de non-retour. Elle se cambre terriblement en poussant un cri inhumain. Une violente brûlure lui traverse le ventre, sa jouissance est monstrueuse. Aude tremble de tous ses membres, elle retombe sur le lit en haletant. Daniel continue de la défoncer, maintenant, il cherche son propre plaisir. Sa queue fait des allers et retours rapides dans la gaine abondamment lubrifiée par la cyprine. Aude le supplie :
- Oh, mon chéri. Viens ! Vide-toi en moi ! Remplis-moi ! Je suis à toi !
C’est en grognant, qu’il se bloque et remplit de sa semence épaisse le ventre de son amante. Il donne encore quelques estocades, Aude jouit de nouveau comme une malade. Elle divague :
- Mon Dieu, encore, encore, oui défonce-moi, oh putain comme c’est bon, n'arrête pas ! Je t’aime !
Aude sait qu’elle est en période fertile. C’est en toute connaissance de cause qu’elle n’a pris aucune précaution. Daniel, à ce moment, n’imagine pas les conséquences. Il a d'autres projets pour elle, il se retire. Le bougre aimerait la prendre par le cul, mais il hésite.
***
Aude en veut encore. Le plaisir s’est révélé à elle et elle n’entend plus s’en priver. Elle se met à quatre pattes sur le lit, tendant sa croupe. Cette position de la levrette l’a toujours excité, mais elle l’a toujours trouvé bestiale. Ce soir, c’est de ça dont elle a envie. Et Daniel a de la ressource.
Daniel ne s’embarrasse d’aucun préliminaire et pénètre Aude immédiatement.
— Femme, tends ta croupe ! Prends ça !
— Oui, vas-y ! Comme ça !
La verge dure se met à coulisser en elle pendant qu’il la saisit par les hanches. Il accélère la cadence et prend ses seins qu’il pelote avidement, tout en la pistonnant. De temps à autre, il lui assène des claques sonores sur le postérieur.
Daniel donne des coups de reins de plus en plus amples, entrant et ressortant la totalité de son sexe. À chaque fois qu’il ressort, il marque une pause avant de replonger en elle, en pressant ses seins avec ses mains. De cette façon, elle ressent un manque quand il sort et cela renforce les envies d’Aude qu’il la reprenne. Progressivement, Daniel accélère la cadence et à chaque fois qu’il s’enfonce en elle, Aude ne peut s’empêcher de gémir, d’exprimer ce plaisir qui monte en elle comme un cheval au galop. Il la baise de cette manière pendant de longues minutes.
Daniel donne alors un coup de reins plus intense. Aude a l’impression de s’ouvrir un peu plus à chaque coup, pour qu’il puisse aller plus profond encore. Elle a un ultime orgasme quand son amant se raidit enfin, en se plaquant contre son postérieur, puis elle sent éjaculer longuement en elle. Il se retire et elle sent son sperme s’écouler entre ses cuisses.
La nuit n’est pas encore finie. A défaut d’avoir dépucelé Aude, Daniel lui a fait découvrir le plaisir. Il veut la posséder par la voie étroite, certain qu’elle ne l’a jamais fait et qu’elle va adorer ça !
***
Le coquin profite qu'Aude est encore sous les spasmes de la jouissance, pour les caresser les lobes fessiers. Aude a toujours refusé ces attouchements qu'elle trouve contre-nature. Dès que les doigts glissent dans le large sillon qui sépare les demi-sphères, et qu'ils appuient sur son anus, Aude se cabre comme un cheval fougueux. Elle marmonne :
- Non Daniel pas ça, nous ne sommes pas des animaux !
Pour toute réponse, il cherche ses lèvres. Le baiser est fougueux. Mais le bougre ne désarme pas, il appuie son majeur sur le muscle rectal. Aude se cabre, la première phalange s'enfonce aisément dans la gaine étroite. Une seconde poussée, fait cabrer encore plus fort Aude. Le doigt disparait entièrement comme aspirait dans l'antre. Le gredin reste un moment sans faire de mouvements. Puis, sans brusquerie, commence un doux va-et-vient.
Aude réagit vivement en ruant comme un cheval, et réussit à se dégager en repoussant Daniel. Pour Aude, c'est de l'humiliation. Malgré plusieurs tentatives infructueuses, Daniel doit renoncer à son projet anal. Les deux se séparent, car la journée s'annonce longue.
***
Quel est l’avenir de leur relation ? Un coup de folie d’un soir ou un engagement de long terme ?
(À suivre)
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53 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
@ Luce, merci. 3 épisodes de suite ont déjà été publiés. le chapitre 5 le sera bientôt et le 6 est en cours d'écriture. Bonne lecture!
Que du bonheur, vite une suite
Luce
Luce
Oups "de moi" Pas d'émoi avec ce terme! lol
@ Micky, merci. les chapitres suivants vont nous y amener. Quant à "cèpe" une référence à "champignon" pour décrire le sexe masculin. Ce n'est pas d emoi, mais je trouvé que c'est très imagé. :-)
Je me retrouve totalement dans la description imagée et réaliste de la scène de sexe, avec cependant une découverte pendant la fellation : le mot "cèpe". Ques aquo ? Toujours en attente des ébats d'Aude devenue quadragénaire.
Merci chère lectrice!
Superbe scène de sexe j'adore, bravo Olga
Merci, chère lectrice anonyme
J'aime, excellent récit
@ La chipie, merci. Sur la suite, tu as bien perçu un des ressorts de l'histoire d'Aude, ses relations avec ce macho de Daniel qui va devenir son mari.
On s'en fout , si Olga a envi de parler de sa vie privé ça la regarde. La c'est 1 texte fictif, j'espère que Aude mettra Daniel à genoux d'ailleurs.
Moi j'attends la suite avec impatience.
Ou alors vous aimez lire puis denigrer les récits d'Olga, vous trouvez ça jouissif Alfred !!!!
La chipie
Moi j'attends la suite avec impatience.
Ou alors vous aimez lire puis denigrer les récits d'Olga, vous trouvez ça jouissif Alfred !!!!
La chipie
@ lecteur anonyme, oui bien sûr, il y aura une suite. Et elle sera écrite à deux mains (ou dit-on "quatre"?), ce sera une surprise. Le texte reste à écrire
@ Cyrille, tu as raison, mais j'ai décidé de ne plus répondre à des commentaires comme ceux d'Alfred.
@ Cyrille, tu as raison, mais j'ai décidé de ne plus répondre à des commentaires comme ceux d'Alfred.
Bravo @Didier de ta prise de position...
C'est vrai que des lecteurs comme @Alfred devrait être bannis de HDS.
Cyrille
C'est vrai que des lecteurs comme @Alfred devrait être bannis de HDS.
Cyrille
Alors, finalement, il y aura une suite?
@ Norbert: merci, heureuse que cela t'ait plu!
@ Gisèle et Romain, merci pour ce premier commentaire. cela me fait vraiment plaisir!
@ Didier, un grand merci. J'étais décidée à ne pas répondre
@ Gisèle et Romain, merci pour ce premier commentaire. cela me fait vraiment plaisir!
@ Didier, un grand merci. J'étais décidée à ne pas répondre
@Alfred,
Je respecte profondément la liberté d’expression, et chacun est libre d’exprimer ses idées voire son opinion sur ce texte et ses auteures.
Cependant je ne comprends pas trop la finalité de votre dernier commentaire.
Il n’a vraiment aucun rapport de près comme de loin avec cette fiction.
Sauf peut-être à continuer de dénigrer Olga, voire de la discréditer auprès de ses lecteurs, comme vous l’avez si bien fait avec votre chasse aux sorcière sur sa dernière autobiographie…
Je pense que cela suffit maintenant...
Didier
Je respecte profondément la liberté d’expression, et chacun est libre d’exprimer ses idées voire son opinion sur ce texte et ses auteures.
Cependant je ne comprends pas trop la finalité de votre dernier commentaire.
Il n’a vraiment aucun rapport de près comme de loin avec cette fiction.
Sauf peut-être à continuer de dénigrer Olga, voire de la discréditer auprès de ses lecteurs, comme vous l’avez si bien fait avec votre chasse aux sorcière sur sa dernière autobiographie…
Je pense que cela suffit maintenant...
Didier
C'est notre premier commentaire.
Nous sommes des lecteurs fidèles de tes récits. Là, Félicitation Olga, tu te lâches, nous adorons tes récits, mais celui-là, nous le trouvons extra, encore bravo.
Giselle et Romain
Nous sommes des lecteurs fidèles de tes récits. Là, Félicitation Olga, tu te lâches, nous adorons tes récits, mais celui-là, nous le trouvons extra, encore bravo.
Giselle et Romain
@ Olga, je n'avais plus autant été excité par un de tes textes depuis que tu nous avais parlé de Nassim
Norbert
Norbert
@ linsee, grâce à Valériane, je t'ai envoyé un message sur ta boite mail.
Bises
Bises
J'en suis ravie, ma chère Steph!
@ Olga et pourquoi tu ne publies plus de textes autobiographiques? plus rien à raconter? Ou plutôt tu as honte, tu n'oses pas?
Alfred
Alfred
@ Olga, Comme beaucoup de lectrices et de lecteurs, j'avoue que, dans tes publications, c'est ce genre de textes que je préfère.
J'ose dire que je me suis caressée en te lisant. merci à toi et Valériane!
Steph
J'ose dire que je me suis caressée en te lisant. merci à toi et Valériane!
Steph
@ linsee, malheureusement, depuis la relance de HDS, les adresses mail n'apparaissent plus. Pire, il est impossible de communiquer son adresse via un commentaire, ça ne passe pas.
Je vais donc envoyer un message à Valériane.
Un grand merci à toi.
Bises
Je vais donc envoyer un message à Valériane.
Un grand merci à toi.
Bises
@ Lucette, c'est le cas pour certains récits, comme les textes historiques, mythologies, cinéma, poésies.
Mes textes autobiographiques contiennent des scènes de sexe, qui correspondent à mon hypersexualité.
Et il y en avait beaucoup dans un récit à chapitres, à la fois historique et fictif, comme "Matrone et Domina", qui raconte les aventures de Tullia, patricienne romaine hypersexuelle.
Mais promis, je vais, grâce à ces récits fictifs, publier des textes avec davantage de scènes de sexe
Mes textes autobiographiques contiennent des scènes de sexe, qui correspondent à mon hypersexualité.
Et il y en avait beaucoup dans un récit à chapitres, à la fois historique et fictif, comme "Matrone et Domina", qui raconte les aventures de Tullia, patricienne romaine hypersexuelle.
Mais promis, je vais, grâce à ces récits fictifs, publier des textes avec davantage de scènes de sexe
Si tu ne reçois pas mon émail, envoie un message à Valériane, elle te le donnera, merci.
Linsee
Linsee
Ok pour faire un essai avec toi Olga.
Linsee
je te laisse mon émail
Linsee
je te laisse mon émail
@ Alfred, je ne prévois pas, pour le moment, de publier de nouveaux textes autobiographiques
@Ber77, je préfère "auteure". Valériane ne publie sur HDS mais sur d'autres sites. Je lui laisse le soin de se présenter
@ Laurine, merci! Heureuse que ça te plaise!
@ Didier, merci beaucoup. J'ai beaucoup aimé la collaboration avec Valériane et, fidèle lectrice de linsee (qui publie sur HDS) je me suis permise de la solliciter
@Ber77, je préfère "auteure". Valériane ne publie sur HDS mais sur d'autres sites. Je lui laisse le soin de se présenter
@ Laurine, merci! Heureuse que ça te plaise!
@ Didier, merci beaucoup. J'ai beaucoup aimé la collaboration avec Valériane et, fidèle lectrice de linsee (qui publie sur HDS) je me suis permise de la solliciter
Tes récits, que je suivais, assidument, manquaient de sexe, enfin cette lacune est résolue. Bravo pour cette évolution, qui plaira sans doute à beaucoup de monde.
Lucette
Lucette
@Julie,
Je vous remercie d’avoir, vous aussi, souligné que Matrone et Domina est une fiction, une magnifique fiction, d’une très grande qualité aussi bien historique que culturelle.
@Olga, je suis persuadé qu’avec cette collaboration avec Valériane, tu, vous nous fournirez également une merveilleuse fiction sur Aude qui sera elle aussi surement d’une très grande qualité.
Comme le serait également tout texte issu de ta collaboration avec Linsee…
Didier
Je vous remercie d’avoir, vous aussi, souligné que Matrone et Domina est une fiction, une magnifique fiction, d’une très grande qualité aussi bien historique que culturelle.
@Olga, je suis persuadé qu’avec cette collaboration avec Valériane, tu, vous nous fournirez également une merveilleuse fiction sur Aude qui sera elle aussi surement d’une très grande qualité.
Comme le serait également tout texte issu de ta collaboration avec Linsee…
Didier
Oh la vache quelle partie de sexe, j'adore
Laurine
Laurine
Je passe après les autres avis de lecteur qui ont résumé mes réflexions sur ce texte. Difficile de rajouter quelque chose . Si je lis régulièrement les récits d’Olga et loue non seulement ses textes érotiques mais aussi sa culture qu’elle nous fait si bien partager , je ne connais pas Valériane, peut être pourrais t elle se présenter pour que nous trouvions ses écrits.
La suite de cette histoire est attendue avec impatience , merci aux auteures (autrices, auteuses ,?, je ne connais pas la règle grammaticale applicable, même si l’usage devenu courant semble être auteures)
Ber77
La suite de cette histoire est attendue avec impatience , merci aux auteures (autrices, auteuses ,?, je ne connais pas la règle grammaticale applicable, même si l’usage devenu courant semble être auteures)
Ber77
C'est un beau texte, très excitant. Mais j'avoue préférer tes textes autobiographiques, qui me manquent beaucoup.
Alfred
Alfred
Merci Cyrille.
J'ai beaucoup apprécié ce travail en commun avec Valériane et serai en effet heureuse de faire a même chose avec linsee
J'ai beaucoup apprécié ce travail en commun avec Valériane et serai en effet heureuse de faire a même chose avec linsee
Merci Olga et Valériane...
Je suis ton écriture depuis quelques temps et j'adore tes récits, Olga et quand tu rajoutes une autre plume c'est toujours très beau...
Je me réjouis de la suite...
Et j'attends également une collaboration avec Linsee..
Cyrille
Je suis ton écriture depuis quelques temps et j'adore tes récits, Olga et quand tu rajoutes une autre plume c'est toujours très beau...
Je me réjouis de la suite...
Et j'attends également une collaboration avec Linsee..
Cyrille
@ lecteur anonyme @ Claude, merci beaucoup!
Evidemment qu'on veut la suite. Olga nous dit que c'est prévu. @ Valériane, qu'en pensez-vous?
Claude
Claude
@ linsee, j'ajoute que je serai heureuse et fière de faire avec toi un exercice similaire. J'adore tes textes!
Super merci à vous Olga et Valériane pour cette merveilleuse entrée en matière j’attends la suite
Merci à tous pour vos commentaires, en particulier Daniel, Micky, Sarah, Lucienne, linsee.
Je souhaite bien sûr une suite. Je verrai avec Valériane si elle souhaite ou non poursuivre notre collaboration.
@ Julie, tu me permets de revenir à une réponse que je dois à Didier. Oui, "Matrone et Domina" était un récit fictif, mais se différencie du présent texte par le fait qu'il y avait un fil conducteur historique, qui allait du règne de Claude à celui de Trajan. Et tu as raison, Tullia me ressemblait beaucoup, du moins en tant qu'hypersexuelle.
Je souhaite bien sûr une suite. Je verrai avec Valériane si elle souhaite ou non poursuivre notre collaboration.
@ Julie, tu me permets de revenir à une réponse que je dois à Didier. Oui, "Matrone et Domina" était un récit fictif, mais se différencie du présent texte par le fait qu'il y avait un fil conducteur historique, qui allait du règne de Claude à celui de Trajan. Et tu as raison, Tullia me ressemblait beaucoup, du moins en tant qu'hypersexuelle.
Bravo à vous deux, excellent ce récit.
Belle scène de sexe, comme on aime, collaboration très efficace et judicieuse, je félicite les deux auteures. La suite, je l'attends avec impatience.
Lucienne
Lucienne
J'espère que nous aurons une suite très bientôt !!
Sarah
Sarah
Très belle scène de sexe, très réaliste, mais j'attends avec intérêt le moment où Aude sera quadragénaire avec toute son expérience. Et j'espère aussi que cette prometteuse Christine entrera en action...
J'avais oublié de dire que j'étais d'accord avec Didier et qu'en effet, Matrone et Domina, sur un fond historique, était une merveilleuse fiction.
Flaubert disait "Madame Bovary, c'est moi". Tu pourrais dire, chère Olga, "Tullia, c'est moi".
Quant à Aude? Elle est fictive, mais il y a forcément des liens avec vous, chères auteures!
Julie
Flaubert disait "Madame Bovary, c'est moi". Tu pourrais dire, chère Olga, "Tullia, c'est moi".
Quant à Aude? Elle est fictive, mais il y a forcément des liens avec vous, chères auteures!
Julie
C'est une belle entrée en matière! Vite la suite, Mesdames!
Daniel
Daniel
@ Julie, merci. Oui ce texte doit beaucoup à Valériane.
@ Dyonisia, tu as raison, il y a chez Aude deux faces: la gazelle et la tigresse.
@ Jacques, merci également. Oui, ceux qui connaissent nos écrits peuvent retrouver la patte de chacune, car nous avons écrit successivement et ensuite relu et validé l'ensemble.
@ Dyonisia, tu as raison, il y a chez Aude deux faces: la gazelle et la tigresse.
@ Jacques, merci également. Oui, ceux qui connaissent nos écrits peuvent retrouver la patte de chacune, car nous avons écrit successivement et ensuite relu et validé l'ensemble.
Un beau long texte les filles. J’ai trouvé la première partie racontée à la troisième personne du singulier un peu longue mais comme mentionné il faut bien placer les pions!
Parce que je lis Olga depuis un bon bout de temps j’ai repéré quelques éléments propres à Olga mais bien entendu ce n’était pas voulu! Que ceux qui veulent savoir lesquels, je vous recommande de lire les récits de Olga depuis sa première histoire. Vous connaîtrez alors cette auteure peut-être autant que moi.
J’ai bien l’impression que ce récit sera très chaud parce que ses auteures connaissent très bien le sujet.
À suivre.
Parce que je lis Olga depuis un bon bout de temps j’ai repéré quelques éléments propres à Olga mais bien entendu ce n’était pas voulu! Que ceux qui veulent savoir lesquels, je vous recommande de lire les récits de Olga depuis sa première histoire. Vous connaîtrez alors cette auteure peut-être autant que moi.
J’ai bien l’impression que ce récit sera très chaud parce que ses auteures connaissent très bien le sujet.
À suivre.
Eh bien, Madame Olga, on se dévergonde, on écrit des scènes scabreuses ? C'est la complicité de Dame Valériane qui vous entraîne sur ces chemins coupables ? :)
Cela commence benoîtement, comme une biographie bienveillante, puis le caractère s'affirme, on sent poindre la tigresse sous l'ambitieuse gazelle (oui, je sais, tigresses et gazelles ne se rencontrent pas, c'est pour l'image), et bientôt, tel est pris qui croyait prendre, la passion se révèle, le sujet devient... brûlant !
L'avenir de cette relation ? Mon dieu, bien des unions ont débuté sous des auspices moins favorables.
Cela commence benoîtement, comme une biographie bienveillante, puis le caractère s'affirme, on sent poindre la tigresse sous l'ambitieuse gazelle (oui, je sais, tigresses et gazelles ne se rencontrent pas, c'est pour l'image), et bientôt, tel est pris qui croyait prendre, la passion se révèle, le sujet devient... brûlant !
L'avenir de cette relation ? Mon dieu, bien des unions ont débuté sous des auspices moins favorables.
Dans tous les domaines, tu excelles, chère Olga. Dans celui de la fiction érotique c'est le cas aussi, même si je suppose que tu as bénéficié de l'expertise de Valériane.
Julie
Julie
Enfin et merci! Depuis le temps que j'attendais un texte comme celui-là!
Paul
Paul
Merci Maurice et Didier.
Oui le premier chapitre nous fait découvrir les personnages. La suite, à écrire, nous parlera du destin de la belle Aude.
Oui le premier chapitre nous fait découvrir les personnages. La suite, à écrire, nous parlera du destin de la belle Aude.
Olga,
En tant que fidèle lecteur, je sais que ce soit pour les fictions citées, auquel j’ajouterai "Matrone et Domina", pour tes diverses chroniques ou pour tes récits autobiographiques, la qualité de tes écrits est toujours au rendez-vous.
Et là une fois encore, tu ne déroge pas à la règle. C’est un excellent texte très explicite que tu nous présente là, à lire.
En effet dans cette fiction qui se veut très réaliste, on a le plaisir d’y découvrir l’héroïne, Aude. Une jeune femme sérieuse et dynamique qui, après de brillants parcours scolaire et professionnel, découvre enfin, lors d’un forum à Davos, le vrai plaisir du sexe avec son supérieur à la réputation de séducteur, Daniel.
Ce premier chapitre est tellement magnifique et torride à souhait que je n’ai qu’une hâte, en découvrir la suite.
Daniel arrivera-t-il à ses fins ? Jusqu’où Aude va-t-elle se lâcher ?
Merci et félicitations aux deux auteures.
Didier
En tant que fidèle lecteur, je sais que ce soit pour les fictions citées, auquel j’ajouterai "Matrone et Domina", pour tes diverses chroniques ou pour tes récits autobiographiques, la qualité de tes écrits est toujours au rendez-vous.
Et là une fois encore, tu ne déroge pas à la règle. C’est un excellent texte très explicite que tu nous présente là, à lire.
En effet dans cette fiction qui se veut très réaliste, on a le plaisir d’y découvrir l’héroïne, Aude. Une jeune femme sérieuse et dynamique qui, après de brillants parcours scolaire et professionnel, découvre enfin, lors d’un forum à Davos, le vrai plaisir du sexe avec son supérieur à la réputation de séducteur, Daniel.
Ce premier chapitre est tellement magnifique et torride à souhait que je n’ai qu’une hâte, en découvrir la suite.
Daniel arrivera-t-il à ses fins ? Jusqu’où Aude va-t-elle se lâcher ?
Merci et félicitations aux deux auteures.
Didier
Bravo Olga et Valériane! J'ai adoré
Maurice
Maurice