Collection Textes en commun : « Aude se lâche » (15 : vengeance) - histoire érotique

Avertissement

Avec ce chapitre, nous terminons, avec Sarah, l’écriture « à deux mains » de cette série, dont ce chapitre est l’épilogue. Nous vous conseillons de lire ou relire les quatorze épisodes précédents, parus depuis le 4 août 2024.

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Dérogeant à la règle initiale fixée par Nadine, Barnabé et Momo devinrent les amants réguliers d’Aude, ensemble ou séparément, à la place des amants de rencontre. Il n’y avait cependant ni ambiguïté, ni tromperie. Non seulement Nadine était au courant, mais elle était complice, Aude tenant à ce qu’elle soit présente. Barnabé et Momo avaient parfaitement compris la stricte séparation voulue par le couple entre les sentiments, qui étaient leur domaine séparé, et le plaisir d’Aude, que les deux hommes comme l’épouse voulaient maximiser.

Momo, par le biais d’un autre adhérent de son club, réussit à rencontrer Daniel.
- Je suis enchanté de faire enfin votre connaissance, Monsieur S. Votre ami m’a dit que vous êtes un passionné de tennis et que vous débrouillez très bien !
- Disons que je me défendais pas mal, autrefois.
- Ne soyez pas modeste ! Je vous veux dans notre club.
Daniel eut l’ère gêné, baissant les yeux :
- Ce serait avec plaisir, mais j’ai vu le niveau des cotisations à ce club, qui est très select. Je suis en chômage depuis plusieurs mois et je dois restreindre mon train de vie, avoua-t-il en baissant les yeux, honteux.
- On réglera ces détails ! Allez Daniel, venez !
- C’est d’accord, Monsieur. Ça me du bien de reprendre une activité physique et de penser enfin à autre chose.
- A la bonne heure, Daniel. Appelle-moi Momo !

Daniel devint assidu au club et retrouva vite ses automatismes, ayant toujours été un excellent joueur de tennis. Lui et Momo devinrent inséparables, sympathisèrent, nouant en apparence une solide relation d’amitié.

Cela fit oublier à l’ex-directeur financier sa déchéance professionnelle et familiale. Il se sentait bien dans ce club et en compagnie de Momo. Celui-ci, peu à peu, renforçait son emprise sur Daniel. Quand Daniel, qui y passait de plus en plus de temps, arrivait au club, les deux hommes se faisaient la bise. Après une victoire dans un tournoi, Momo prit son « ami » dans les bras pour le féliciter pour son rôle décisif. Daniel fut troublé quand il sentit contre lui la formidable érection de Momo et quand celui-ci posa les mains sur ses fesses. Dans les douches, il ne put s’empêcher de mater le beau Momo, ses muscles et son engin, lequel dépassait, et de loin, tout ce que Daniel avait vu. Momo lui adressa un sourire ravageur, ajoutant : « tu sais que tu as un beau petit cul, mec ! »

En venant chez Aude et Nadine ce soir-là, Momo ne put s’empêcher de lui dire :
- Ton ex est mûr, ma belle. Je vais bientôt lui casser son petit cul !
Les paroles de Momo excitèrent beaucoup Aude.

De son côté, le soir, seul chez lui, Daniel ne put s’empêcher de se branler en pensant à ce qui s’était passé. Une fois qu’il avait joui, il se reprit. Ce n’était pas possible ! Jamais il n’avait été attiré par les hommes, lui qui avait collectionné les conquêtes féminines. Il était vrai que, depuis des mois, il n’avait plus baisé avec une femme. Sa situation financière ne lui permettait pas non plus d’aller demander les services d’une prostituée. Il était en manque, n’en pouvant plus de devoir se contenter de plaisirs solitaires.

Daniel en arriva à devenir voyeur. Il avait remarqué que, dans les vestiaires hommes, il y avait un trou qui donnait une vue imprenable sur les vestiaires des femmes. Tout en matant, Daniel sortit son sexe et commença à se masturber. Il n’entendit pas, derrière lui, Momo, qui sortait de sa douche et approchait, une ceinture nouée autour de la taille.
- Et ben, mon gars, ne te gêne surtout pas ! Si je te dénonce, non seulement tu seras viré du club, mais tu vas avoir une plainte au cul de la part de ces dames. Ça ne va pas arranger tes affaires !
- Non, Momo, je t’en supplie, ne fais pas ça. Je ferai tout ce que tu veux !
Momo eut un grand sourire. Le piège se refermait. Le prédateur était devenu une proie. Momo fit tomber sa serviette, exhibant une formidable érection. Daniel ne bougeait pas :
- Elle fait envie, n’est-ce pas ?

Pris au piège, honteux, ne sachant que dire, Daniel ne répondit pas, baissant même les yeux.
- Tu ne dis rien ! Tu la reluquais bien, pourtant, l’autre jour dans les douches ! Viens, je vais te faire découvrir ta vraie nature. Tu vas voir, tu vas aimer !

Momo prit solidement Daniel par la main, l’entraina brusquement vers une douche, refermant la porte derrière eux.
- À genoux, salope ! Suce !
- Mais…. Non ! Je n’ai jamais fait ça !
- Ne fais pas ta mijaurée. Je sais que tu en as envie. Allez, taille-moi une pipe ! Tu préfères que je te dénonce pour voyeurisme ?

Daniel pensa un instant au nombre de fois où il avait obligé Aude à faire une fellation à d’autres hommes. Il pensa surtout à Nadine, lesbienne endurcie, qu’il avait forcée à le sucer. Daniel savait qu’il n’avait pas le choix et surtout, étrangement, qu’une partie de lui en avait envie. S’étant fait sucer tant de fois, par Aude et par ses maitresses, il savait ce qu’il fallait faire.

Daniel s’approcha de la queue de Momo, ouvrit la bouche et l'avala complètement. Il la laissa ressortir en l'aspirant fort, puis s'attarda sur le gland, émettant un bruit de succion.
- Tu te débrouilles pas mal pour une première fois. Allez, t’es pas là pour mater, mais pour me sucer !

Daniel la reprit en bouche. Momo émit des gémissements. Il faillit comparer la prestation de Daniel à celles de son ex, alors que le quinquagénaire s’appliquait à l'avaler le plus possible à chaque va et viens. Il tenait les couilles d'une main. Ce fut seulement à ce moment-là qu’il réalisa ce qu’il était en train de faire, lui, le macho, lui qui avait tellement stigmatisé Aude et Nadine, les « deux gouines », comme il les appelait avec mépris.

Daniel empoigna le manche si dur et si chaud et le branla vigoureusement avant de le gober, téter le gland en le caressant fermement de la main. Sa langue tournait autour du gland si doux, s'attardant régulièrement sur le frein.
Momo lui saisit la tête de ses mains et lui dit d'ouvrir sa bouche, lui imposant un coït buccal, avec vigueur. Daniel en eut les larmes aux yeux.

Daniel continuait à sucer, à pomper avec avidité tout en regardant son amant droit dans les yeux. Momo s’abandonna alors complètement, se vidant dans la bouche de son amant. Daniel ne tenta pas de se dérober, avalant les puissantes giclées que lui envoya le coach.
Momo lui tendit la main et le prit dans ses bras, posant ses mains sur les fesses de Daniel.
- Je savais que tu aimerais ça. Mon instinct ne m’a trompé. Je vais m’occuper de ton petit cul. Pas ici, chez moi ! Je te dirai quand. Maintenant, casse-toi !
- J’ai fait ce que tu as demandé. On en reste là, non ?
- Ah non, ma salope ! Tu es à moi, figure-toi !
- Et si je refuse ?
- Regarde et souris à la caméra que j’ai installée. Il me semble que tu affectionnes ce genre de pratiques ! Donc, si tu ne veux pas que ça se sache, tu feras ce que je te demande. Sans discuter !

***

En rentrant chez lui, Daniel était troublé, comme un arroseur arrosé qui se souvenait des odieuses pratiques qu’il avait si souvent employées. Mais plus que de l’humiliation, il se sentait étrangement excité par ce qu’il découvrait de sa nature et qu’il n’avait jamais imaginé.
Il était dans sa chambre, nu, en train de se masturber, quand il reçut un appel téléphonique de Momo :
- Bonsoir, ma belle. Je pensais à toi. Tu sais que tu m’excites ! T’es où, là ?
- Dans ma chambre, sur mon lit.
- Je parie que tu es à poil !
- Oui
- Et que tu te branles !
- Oui.
- Elle te fait envie, ma queue ?

Un silence s’installa. Daniel eut une dernière résistance. Non il ne pouvait pas faire ça !
- Réponds, salope ! Tu m’as allumé. Va falloir assumer maintenant ! Tu préfères que je fasse circuler tes exploits d’aujourd’hui ?
- Non, Momo, ne fais pas ça ! Je tiens à ma réputation !
- Alors réponds. Elle t’excite ma queue ?
- Oui, répondit faiblement Daniel.
- Je m’en doutais ! Demain soir, tu viens chez moi. Je vais te niquer !
- Momo. Je n’ai jamais fait ça. Et vu comme tu es monté, ça me fait peur.
- Tu pratiquais souvent la sodomie avec tes meufs ?
- Oui, j’adorai leur casser le cul. Surtout celui de mon ex, Aude. Cette salope couinait !
- Eh bien, ce sera pareil pour toi.

Le lendemain soir, plein d’appréhension, Daniel se rendit chez Momo.
Dès qu’il entra dans l’appartement, les deux hommes se regardèrent intensément, sans échanger un mot. Daniel ne bougeait pas, Momo s’approcha de lui et le prit dans les bras, posant ses mains sur les fesses de son amant. Il serra Daniel contre lui.
- Tu la sens bien ?
- Oui. Tu bandes comme un taureau !
- Je vois que tu es excité, ma salope. Je te préviens, je suis bi, mais uniquement actif. Ne t’attends pas à ce que je m’occupe de toi. Tu es seulement là pour mon plaisir. Tu n’auras qu’à te branler, si t’as envie. T’as compris ?
- Oui
- Dis-moi ce dont tu as envie. Je t’écoute !

Daniel était rouge de honte. Il ignorait que tout était enregistré et filmé ;
- Ne fais pas ta chochotte. Dis-le !

Les derniers barrages cédaient chez l’ancien mâle dominant. Sa réponse, murmurée, fut un aveu qu’il n’aurait jamais pensé faire, lui qui avait toujours tenu des paroles de mépris pour ceux qu’il appelait les tantouzes.
- J’ai envie que tu m’encules, Momo.
- Tu es à moi ! je vais faire de toi ma femelle. Allez à poil !

Daniel s’exécuta. Il frissonna. Une partie de lui avait envie, mais dans sa tête, il sentait encore une réticence. Comment, lui qui avait eu à sa disposition tant de femmes, en était arrivé là ?
C’est alors que la sonnette retentit. Daniel eut un nouveau frisson. Il y aurait donc des témoins à sa déchéance !
- Va ouvrir !
- Comme ça ?
- Bien sûr, mes invitées t’ont déjà vu à poil !

Daniel comprit alors et il eut confirmation de ses craintes en ouvrant. Il faillit s’évanouir quand il vit Aude et Nadine, se tenant la main et le dévisageant avec un profond mépris. Elles étaient là pour se venger. Daniel ne put s’empêcher de les trouver magnifiques. Un éclair traversa son esprit, un flash sur tout le mal qu’il leur avait fait. Nadine ne put s’empêcher d’ironiser :
- Les gouines vous saluent, Monsieur S.

Les derniers doutes de Daniel disparurent, quand il vit Aude échanger un long baiser avec Momo. C’était un traquenard. Mais peu lui importait que les deux femmes soient présentes. Il voulait être à Momo.
- Installez-vous sur ce canapé, mes belles. Vous serez en première ligne pour assister au spectacle. Et ensuite, je m’occuperai d’Aude !

Nadine prit Aude par la main. Les deux femmes se déshabillèrent l’une l’autre, s’embrassant, se caressant, offrant à Daniel le spectacle de leur nudité et de leur amour.
- Ça t’excite, n’est-ce pas, sale pervers ? Regarde, car plus jamais tu ne nous toucheras, ma femme et moi, dit Aude.
- Ne vous inquiétez pas mes belles, ce salaud est désormais à moi. Plus jamais, il ne fera de mal à une femme.
Momo fit tourner Daniel sur lui-même.
- Il a un superbe cul, n’est-ce pas ?
Momo malaxa les fesses de Daniel et le poussa lentement vers l’autre canapé. Puis il prit la main de Daniel, la posa sur sa queue...Le coach bandait de plus en plus. Daniel allait être servi !

Momo mit Daniel à quatre pattes sur le grand canapé, tira sa queue en arrière. Il se positionna debout, derrière lui. Les mains de Momo prirent Daniel par les hanches pour le tirer vers lui.
- Cambre bien ton cul. Montre bien tes fesses à mes amies. Regardez, mes chéries, comme son cul est beau... Un vrai derrière de femme ! Je vais le préparer !
- Tu es bien bon, dit Nadine. Tu devrais le prendre à sec, comme lui il faisait !
- Il le mériterait, mais je ne veux pas l’estropier quand même !

Il enduisit copieusement la raie de vaseline. Daniel gémit, tendit son cul. Momo en profita pour lui doigter le cul et l’ouvrir. Daniel eut alors une envie, furieuse, incontrôlable. Des spasmes parcoururent son corps. Il attendit que le sexe du jeune Beur se frotte contre son sillon. Il le voulait et il le redoutait. Il avait envie et peur en même temps. Il eut honte de tendre ainsi ses fesses devant ces deux femmes qu’il avait possédées.
- Détends-toi... Ouvre tes fesses... Montre bien aux femmes ton œillet...

Daniel écarta ses fesses. Il tremblait, pas de peur, mais cette fois de désir.
- Regardez. Vous vouliez le voir se faire niquer... Ça vous excite, hein ?
- Oh oui, j’adore ça ! J’attends ça depuis des années, répondit Aude.
- Vas-y ! Encule-le, ajouta Nadine.

Momo tira doucement son amant vers sa verge. Momo y alla d’abord progressivement, tirant Daniel de plus en plus fort sur son pieu. L’anus capitula pour s'ouvrir sous les poussées viriles.
- Aïe, doucement !
- Tu crois que tu vas pouvoir lui enfoncer ton sexe jusqu'à la garde ? demanda Aude.
- Ne crains rien, Aude. Regarde comme son trou s'ouvre bien. Je vais le niquer jusqu'à l'os ton ex-mari et devant vous, comme tu en rêvais.
- Oh, oui, vas-y maintenant, encule-le, ordonna Nadine !
- Ça y est, cette fois, je suis à fond ! J’adore, il est bien serré !
- Oh, c’est magnifique ! Vas-y, baise-le ! Aude était aux anges. Sa revanche était totale.

Sous les encouragements des deux femmes, Momo commença à le tringler, en poussant de plus en plus loin et le cul répondit parfaitement en s'élargissant souplement. Daniel n’avait plus mal. S’il gémissait toujours, cette fois c’était de plaisir.
Aude et Nadine en avaient rêvé de cette scène, voir leur bourreau se faire défoncer devant elles. Chacune tenta de calmer son excitation, en branlant vigoureusement son clitoris. Momo interpella Aude :
- Regarde-le, ton ex. Une vraie femelle !

Excitée à mort par le spectacle torride, Aude remonta ses mains sur ses seins, les prit à pleine main pour bien les caresser. Elle mouilla deux doigts pour les passer sur ses tétons en érection. Ils grossirent encore un peu. Aude branla alors son clitoris pour jouir. Elle avait les yeux fermés. Elle aimerait tant avoir dans son vagin la bite qui défonce son ex-mari. Aude jouit intensément une première fois.
Momo, qui commençait à bien la connaitre, avait compris :
- Patience, ma belle, je m’occuperai de toi un peu plus tard.

Daniel écarta ses fesses, allant à la rencontre des coups de reins de son amant pour que la bite aille le plus loin possible. Le pieu du coach tapait le fond de son ventre, lui arrachant à chaque fois des petits cris de plaisir.

Aude et Nadine ne perdaient rien du spectacle que les deux amants leur offrent. Aude ne fut pas calmée par son premier orgasme. Nadine se mit à la doigter pour la soulager. Nadine passa les mains sur les fesses de sa femme, mit la droite entre ses globes pour arriver à son petit trou où elle commença à la pénétrer, pas beaucoup, avec une seule phalange. De son autre main, Nadine mit trois doigts qui allèrent et vinrent sur cet endroit où l’avocate aimait tant caresser son amante qui jouit à nouveau.

Terriblement excitée, Aude prononçait des paroles de plus en plus crues, des injures.
- Tu prends ton pied, mon salaud ?
- Oh oui !
- Tu es une femelle, une chienne, une salope !

Daniel se cambrait, visage levé vers le plafond, gémissant de plaisir. Momo le tira alors vers lui de toutes ses forces, le faisant crier de douleur.
- Je vais le remplir à ras bord.
- Oui, vas-y, mets-lui tout.

Son foutre jaillit. Les jets chauds remplirent le fion de l’ex-mari d’Aude, qui se tordit de plaisir, au moment même où Nadine provoqua chez son épouse un nouveau et violent orgasme.
Momo reprit rapidement toute sa vigueur. Il revint se placer derrière Daniel, sa queue se frottant entre ses fesses. Daniel bandait, et se trémoussait de plus belle : il avait encore envie !
- Encore, mon chéri, baise-moi ! lui dit-il avec une voix de petite soumise en chaleur.
Momo le tint fermement le cul, et le pénétra. Daniel recommençait à gémir, à bouger.
- Je ne suis pas ton chéri. Tu n’es qu’une chienne, Daniel, une salope qui satisfait un mec.

Momo prit tout son temps et changea les positions. Daniel était à genoux sur le canapé, lui dans son dos en train de l’enculer lentement et en profondeur.
- Oh Momo, je suis comblé, possédé, je t’appartiens, et je veux que tu me prennes encore. Vas- y !

Daniel n’eut même pas besoin de parler : la salope qui était en lui avait désormais pris le dessus. Il plaça une jambe de chaque côté des hanches de son amant, et s’enfonça sa queue...

Nadine en rajoutait :
- Vas-y petite cochonne, je veux te voir bouger sur la queue de ton homme.

Aude se mit face à Daniel. Ses yeux expriment son excitation et son mépris.
- Tu aimes ça petite chienne, dis-le-moi !
- Oui j’aime !
- Tu aimes quoi, lui dit-elle d’un ton sévère, dis-le !
- J’aime me faire baiser !
- Alors mets-toi sur le dos, je veux te voir soumis à une bite, les jambes écartées.

Daniel obéit. Alors Aude saisit la queue de Momo et lui enfonça à nouveau dans le cul. Elle la sortit puis remis plusieurs fois, sentant le cul s’ouvrir et se fermer à chaque fois.
- À toi de jouer Momo, pilonne-le, finis-le, je veux l’entendre crier de plaisir ! Casse-lui le cul ! Tu es une vraie salope, tu aimes la bite en fait...Maintenant, tu vas le sucer devant moi, et je voudrais ensuite qu’il jouisse à nouveau dans ton cul, pour prendre possession complètement de toi.

Daniel se mit cette fois à genoux, et recommença à sucer son amant. Aude tint la queue de Momo d’une main, et la tête de son ex-mari de l’autre, et lui enfonça littéralement son sexe en bouche, le sortit, le frotta contre les lèvres, en lui disant qu’il est bien à sa place de chienne, soumis comme ça sous une queue.

Daniel était en transe, dirigé par son ex-femme sur la queue d’un bel homme.
Momo ne voulut pas jouir dans la bouche de Daniel. Il s’enleva violemment, remit Daniel sur le dos, enfonça sa queue d’un coup en lui, et déchargea son sperme à nouveau dans le cul, l’écrasant de tout son poids.

***
La transformation radicale de Daniel fut une immense revanche pour les deux femmes.
Daniel, qui se soumet désormais à tous les désirs de son amant, se souvient-il de ce qu’il avait fait à Aude et à Nadine ?

L’histoire se termine par une double annonce, à commencer par celle du mariage de Clémence, enceinte.

Quant à Aude, elle va devenir grand-mère et aussi redevenir mère, car elle a accepté d’accomplir le rêve de Nadine, qu’elle porte un enfant, leur enfant. Celui-ci fut conçu au cours d’une nuit torride, par Barnabé, Momo, mais aussi Antoine, à qui les deux femmes ont pardonné. Tout cela en présence de Nadine, qui tenait amoureusement la main de sa chérie.