COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (2/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION VENGEANCE. Casino Royal (2/6)
C’est une histoire étrange qui m’est arrivée, je viens de vous en donner la trame dans le chapitre I.
Joseph est un joueur qui a entraîné sa famille dans ses turpitudes alors qu’il avait pignon sur rue comme haut fonctionnaire.
Marie-Madeleine, son épouse, cul béni et femme hautaine, se trouve à poil maintenant, attachée par les poignets sur son fauteuil avec des menottes.
Pourtant, elle le pourrait, à environ quarante ans, elle est bandante, autant que sa fille, ses seins, à ce que je vois sont les mêmes que ceux de Marie.
Je rappelle, moitié de pamplemousse, demi-mappemonde et fraise à leur pointe, Clara Morgan en plus âgée.
En un mot, ceux de Marie-Madeleine, commence à légèrement fléchir.
Peut-on avoir vingt ans comme Marie, la jeune fille que j’ai piégée pour pouvoir réaliser ma vengeance envers sa famille, les siens comme je le pensais sont magnifiques ?
• Joseph, es-tu content de mon cadeau ?
• Tu peux te faire foutre, détache-moi, dans ma jeunesse j’ai fait du sport de combat à l’armée, je suis encore capable de te foutre une branlée.
• De la savate, je parie que tu devais avoir des moustaches genre « Brigade du Tigre ».
• Si j’étais Clemenceau, je te briserais.
• C’est bien, je pensais que ta culture se trouvait alimentée par les films de Cannes ou de Venise.
Tu sembles aimer les vieux feuilletons de la télé, tiens ou est-elle.
À oui vendu pour aller perdre les billets que tu en as tirés en les parians contre la banque comme, tu vas perdre contre la mienne.
Tiens, tu vois ces tas de feuilles, je les mets là, je t’en parlerais dans cinq minutes.
Je revenais d’avoir accroché le tableau, je lui parle à la hauteur de son oreille, je vois qu’il tire sur ses menottes, son sexe pend lamentablement entre ses jambes.
Je vais me rassoir derrière mon sabot.
• Joseph, le jeu commence, carte noire ou carte rouge la première que je vais tirer.
• Je préfère me taire, tu peux toujours aller te faire enculer.
• Joseph, comment parles-tu à ce jeune homme, regarde, nous sommes à sa merci.
Noir.
• Ta femme est plus perspicace que toi, voyons si elle est plus chanceuse.
Rouge, perdu, voyons ce qu’il y a de marquer sur ce premier papier que je viens de mettre sur le côté.
« Je soussigné, bla-bla, reconnais devoir la somme de 30 000 € à : xxx, je tairais le nom de la personne à qui tu as emprunté cet argent ! »
• Regarde, lis plutôt ce qu’il y a sur ce document signé devant ton notaire.
Tu sais ton notaire qui t’a aidé à trouver des pigeons pour que tu entretiennes ton vice au détriment de ta famille.
Il cautionnait tes magouilles, car tu avais des photos de lui dans de fâcheuses postures avec des hommes lui qui est marié avec trois enfants.
Joseph, tu dois savoir que tous les papiers que je vais te montrer ce soir et les soirs prochains sont des copies, les originaux sont rangés dans mon coffre, inutile de penser les détruire.
Alors lit ce document.
• Il te cède mes reconnaissances de dette devant mon notaire.
• Eh ! elle, là ?
• Aussi d’un deuxième de mes préteurs.
• Et celui-là ?
• Pareil.
• Évitons d’y passer la nuit, il y en a 42 pour un total de 1 420 000 € sans compter les intérêts à des taux de 3 à 12 %.
Certains ignorants que tu étais insolvable se sont bien fait pigeonner.
Pour eux, sauf de t’envoyer en prison, ils espéraient que tu les rembourserais sur ton simple traitement .
Mon agent qui a enquêté et qui a découvert votre banqueroute, à ma demande les a rachetés avec l’aide de ton notaire à 50 % de leur valeur.
Mais ça, nous sommes seuls à le savoir, je suis propriétaire de la totalité de ta dette.
• Avec une deudeuche pourrie, comment as-tu pu sortir plus de 700 000 € pour racheter la dette de notre famille ?
Marie est en pleurs, sa mère me regarde me lançant des flèches.
Si elles avaient été réelles, elles m’auraient transpercé.
• Cette deudeuche dont tu parles, qui est dans ta cour intérieure de ton hôtel particulier grâce à ta fille, est dans ma famille depuis que l’un de mes parents l’a achetée neuve, c’est devenu une pièce de musée.
Elle est de 1948, elle est sortie dans les 10 premières des chaînes de Citroën.
Parlons de ce que j’ai appelé « ton hôtel particulier ».
Tes ancêtres l’ont acheté il y a des lustres, il était hypothéqué à hauteur de presque un million d'euros, là encore j’ai levé l’hypothèque me rendant propriétaire de ton bien.
Je suis ici chez moi, soyez sans crainte, vous resterez chez vous, du moins jusqu’à la fin du jeu « Casino Royal » que je viens de commencer.
C’est grâce à votre petite dinde qui m’a ouvert croyant que je l’aimais et il se terminera le jour de Noël.
Marie arrête de pleurer, tu m’as amusé, jouant la vierge effarouchée alors que tu avais toutes les cartes en mains pour arranger la situation.
• D’où vient ton argent, dit moi que tu as gagné au loto et que tu es riche à millions.
• Eh ! si Joseph, regarde ce que j’ai pendu là et que j’ai recouvert d’un drap.
Je tire sur le voile lui montrant une réplique en trois mètres sur un d’un chèque signé de la Française des jeux.
• 170 millions, je te fais grâce des centimes Joseph, gagné à l’euro million.
170 millions sans compter ce qu’ils m’ont déjà rapporté depuis la date que tu vois marquée là, Marie.
À quelle date, tu peux la lire, elle est assez grosse.
• J’ai vu, le jour où nous nous sommes rencontrés dans la boîte où j’étais allée avec Juliette mon amie.
• Comment, tu allais en boîte alors que tu disais que tu couchais chez ton amie ?
• Maman, je suis majeure.
• Mais fiancé à Eustache, Marquis de la Huchette que tu vas épouser dans un mois le jour de Noël dans la pure tradition de nos familles.
• Parlons d’Eustache, Marie-Madeleine, jeune homme à particule, mais qui a eu la malchance d’avoir eu des soucis dans son adolescence.
C’est bien malheureux, mais vouloir marier Marie avec ce garçon ayant plus que des problèmes, c’est ignoble.
Surtout simplement pour capter sa fortune et rembourser tes dettes Joseph.
Dernière chose avant notre première partie de black-jack Joseph.
Marie-Madeleine, tu as deux jours pour faire passer un communiqué de presse que le mariage de ta fille avec ce garçon est annulé pour des raisons familiales.
Tu leur diras que tu refuseras de commenter.
Jouons, mais avant je vais vous libérer, vous avez compris que vous êtes tous les trois entièrement à ma botte.
S’il m’arrive la moindre chose sans prévenir que tout va bien à celui qui a fait cette enquête, la police recevra une lettre avec toutes les preuves de ce que vous avez fait.
La honte sera pour vous.
Jouons.
Je les détache, tous sont prostrés, je reprends ma place derrière le sabot.
• Je mise cette première dette sur cette pile, 30 000 €, que mets-tu en face de ta dette ?
• Tu sais bien que je suis sans ma culotte !
• C’est vrai, je te l’ai déjà enlevé pendant ton sommeil aidé par ta fille avant qu’à son tour je l’attache.
J’ai une idée, chaque soir nous ferons une seule partie, tu pourras désigner soit ta femme soit ta fille que je baiserais devant toi pour te montrer le saligaud que tu aies.
Pour cette partie, si la banque gagne qui vais-je baiser ?
• Ignoble garçon et tu aurais voulu que je te donne ma fille, prends ma femme.
• C’est impensable, vous pouvez vous brosser pour que je sois à vous.
• Je sais, tu pourras aller voir ton curé pour te plaindre, c’est le seul qui pourra savoir ce que je t’ai fait et l'obligé à fermer sa gueule dans le secret du confessionnal, commençons.
Première carte, 10 pour toi Joseph, carte cachée pour moi.
• Une carte.
• As, 1 ou 11.
• 11.
• Bien sûr, tu as gagné quoi que, je t’ai dit que la banque gagnait toujours.
Pas de chance, 21 aussi à la banque, un coup pour rien, on recommence.
19 pour toi, pas de chance de nouveau, 20 à la banque, cette dette, je la garde, belle-maman, je vais t’honorer.
Avant, j’ai envie de te baiser avec tous tes bijoux.
• Il les a vendus pour jouer, ceux que tu as vus, ce sont des faux faisant illusion pour les non-initiés.
• Marie-Madeleine, je vais te baiser, mais avant prend cet écrin.
Je récupère dans mon sac une boîte à bijoux, elle l’ouvre.
• Merci Pierre, ça me va droit au cœur, je suis prête à subir tes assauts.
Elle passe plusieurs bagues et semble chercher l’une d’elles.
• Inutile de chercher, ton alliance et ta bague de fiançailles, je les ai jetés dans les chiotes.
Je suis galant, je vais l’aider à se lever.
• Dégrafe mon pantalon, découvre la verge que tu vas honorer.
Elle est matée, Marie est en pleurs, mais regarde intensément ce qui se passe entre sa mère et moi, qu’elle est sa pensée profonde.
« Quel salopard ce mec moi qui ai cru l’aimer. »
Pourtant, elle a ma bague à son doigt.
• Tu verras, demain ou après-demain, c’est toi qui seras à la place de ta maman.
Sache que j’ai tout mon temps, le principal, c’est de t’éviter de te retrouver marié avec le marquis de mes burnes.
Regarde bien, comment on suce la bite d’un homme quand on est une bigote par-devant et une pute par-derrière.
Oui, comme ça ouvre bien ta bouche, tu vois, ta mère fait croire à tous qu’elle est portée sur les curés alors que son plus grand plaisir, c’est de se faire défoncer.
À quatre pattes, tournée vers ton mari, tu sais que tu es une chienne et une chienne se prend en levrette.
Sans compter la fifer menteuse que tu as toujours été pour ta famille, mais nous en reparlerons plus tard.
Je me positionne cachant à Marie le moment ou mon sexe entre dans celui qui elle le pense, l’a vu naître.
Je regarde Joseph qui ronge son frein, mais relativement insensible à ce que je fais subir à sa femme.
Pas très longtemps, car je suis assez bien monté et sa chatte m’épouse impeccablement malgré ses heures de vol.
Je suis bon amant, je sens que je la fais jouir, mais sans un mot, ces femmes-là sa baise, mais dans le silence.
Pour ce soir, le Casino Royal se finit par mon éjaculation dans la chatte de celle qui aurait pu être ma belle-maman...
Joseph est un joueur qui a entraîné sa famille dans ses turpitudes alors qu’il avait pignon sur rue comme haut fonctionnaire.
Marie-Madeleine, son épouse, cul béni et femme hautaine, se trouve à poil maintenant, attachée par les poignets sur son fauteuil avec des menottes.
Pourtant, elle le pourrait, à environ quarante ans, elle est bandante, autant que sa fille, ses seins, à ce que je vois sont les mêmes que ceux de Marie.
Je rappelle, moitié de pamplemousse, demi-mappemonde et fraise à leur pointe, Clara Morgan en plus âgée.
En un mot, ceux de Marie-Madeleine, commence à légèrement fléchir.
Peut-on avoir vingt ans comme Marie, la jeune fille que j’ai piégée pour pouvoir réaliser ma vengeance envers sa famille, les siens comme je le pensais sont magnifiques ?
• Joseph, es-tu content de mon cadeau ?
• Tu peux te faire foutre, détache-moi, dans ma jeunesse j’ai fait du sport de combat à l’armée, je suis encore capable de te foutre une branlée.
• De la savate, je parie que tu devais avoir des moustaches genre « Brigade du Tigre ».
• Si j’étais Clemenceau, je te briserais.
• C’est bien, je pensais que ta culture se trouvait alimentée par les films de Cannes ou de Venise.
Tu sembles aimer les vieux feuilletons de la télé, tiens ou est-elle.
À oui vendu pour aller perdre les billets que tu en as tirés en les parians contre la banque comme, tu vas perdre contre la mienne.
Tiens, tu vois ces tas de feuilles, je les mets là, je t’en parlerais dans cinq minutes.
Je revenais d’avoir accroché le tableau, je lui parle à la hauteur de son oreille, je vois qu’il tire sur ses menottes, son sexe pend lamentablement entre ses jambes.
Je vais me rassoir derrière mon sabot.
• Joseph, le jeu commence, carte noire ou carte rouge la première que je vais tirer.
• Je préfère me taire, tu peux toujours aller te faire enculer.
• Joseph, comment parles-tu à ce jeune homme, regarde, nous sommes à sa merci.
Noir.
• Ta femme est plus perspicace que toi, voyons si elle est plus chanceuse.
Rouge, perdu, voyons ce qu’il y a de marquer sur ce premier papier que je viens de mettre sur le côté.
« Je soussigné, bla-bla, reconnais devoir la somme de 30 000 € à : xxx, je tairais le nom de la personne à qui tu as emprunté cet argent ! »
• Regarde, lis plutôt ce qu’il y a sur ce document signé devant ton notaire.
Tu sais ton notaire qui t’a aidé à trouver des pigeons pour que tu entretiennes ton vice au détriment de ta famille.
Il cautionnait tes magouilles, car tu avais des photos de lui dans de fâcheuses postures avec des hommes lui qui est marié avec trois enfants.
Joseph, tu dois savoir que tous les papiers que je vais te montrer ce soir et les soirs prochains sont des copies, les originaux sont rangés dans mon coffre, inutile de penser les détruire.
Alors lit ce document.
• Il te cède mes reconnaissances de dette devant mon notaire.
• Eh ! elle, là ?
• Aussi d’un deuxième de mes préteurs.
• Et celui-là ?
• Pareil.
• Évitons d’y passer la nuit, il y en a 42 pour un total de 1 420 000 € sans compter les intérêts à des taux de 3 à 12 %.
Certains ignorants que tu étais insolvable se sont bien fait pigeonner.
Pour eux, sauf de t’envoyer en prison, ils espéraient que tu les rembourserais sur ton simple traitement .
Mon agent qui a enquêté et qui a découvert votre banqueroute, à ma demande les a rachetés avec l’aide de ton notaire à 50 % de leur valeur.
Mais ça, nous sommes seuls à le savoir, je suis propriétaire de la totalité de ta dette.
• Avec une deudeuche pourrie, comment as-tu pu sortir plus de 700 000 € pour racheter la dette de notre famille ?
Marie est en pleurs, sa mère me regarde me lançant des flèches.
Si elles avaient été réelles, elles m’auraient transpercé.
• Cette deudeuche dont tu parles, qui est dans ta cour intérieure de ton hôtel particulier grâce à ta fille, est dans ma famille depuis que l’un de mes parents l’a achetée neuve, c’est devenu une pièce de musée.
Elle est de 1948, elle est sortie dans les 10 premières des chaînes de Citroën.
Parlons de ce que j’ai appelé « ton hôtel particulier ».
Tes ancêtres l’ont acheté il y a des lustres, il était hypothéqué à hauteur de presque un million d'euros, là encore j’ai levé l’hypothèque me rendant propriétaire de ton bien.
Je suis ici chez moi, soyez sans crainte, vous resterez chez vous, du moins jusqu’à la fin du jeu « Casino Royal » que je viens de commencer.
C’est grâce à votre petite dinde qui m’a ouvert croyant que je l’aimais et il se terminera le jour de Noël.
Marie arrête de pleurer, tu m’as amusé, jouant la vierge effarouchée alors que tu avais toutes les cartes en mains pour arranger la situation.
• D’où vient ton argent, dit moi que tu as gagné au loto et que tu es riche à millions.
• Eh ! si Joseph, regarde ce que j’ai pendu là et que j’ai recouvert d’un drap.
Je tire sur le voile lui montrant une réplique en trois mètres sur un d’un chèque signé de la Française des jeux.
• 170 millions, je te fais grâce des centimes Joseph, gagné à l’euro million.
170 millions sans compter ce qu’ils m’ont déjà rapporté depuis la date que tu vois marquée là, Marie.
À quelle date, tu peux la lire, elle est assez grosse.
• J’ai vu, le jour où nous nous sommes rencontrés dans la boîte où j’étais allée avec Juliette mon amie.
• Comment, tu allais en boîte alors que tu disais que tu couchais chez ton amie ?
• Maman, je suis majeure.
• Mais fiancé à Eustache, Marquis de la Huchette que tu vas épouser dans un mois le jour de Noël dans la pure tradition de nos familles.
• Parlons d’Eustache, Marie-Madeleine, jeune homme à particule, mais qui a eu la malchance d’avoir eu des soucis dans son adolescence.
C’est bien malheureux, mais vouloir marier Marie avec ce garçon ayant plus que des problèmes, c’est ignoble.
Surtout simplement pour capter sa fortune et rembourser tes dettes Joseph.
Dernière chose avant notre première partie de black-jack Joseph.
Marie-Madeleine, tu as deux jours pour faire passer un communiqué de presse que le mariage de ta fille avec ce garçon est annulé pour des raisons familiales.
Tu leur diras que tu refuseras de commenter.
Jouons, mais avant je vais vous libérer, vous avez compris que vous êtes tous les trois entièrement à ma botte.
S’il m’arrive la moindre chose sans prévenir que tout va bien à celui qui a fait cette enquête, la police recevra une lettre avec toutes les preuves de ce que vous avez fait.
La honte sera pour vous.
Jouons.
Je les détache, tous sont prostrés, je reprends ma place derrière le sabot.
• Je mise cette première dette sur cette pile, 30 000 €, que mets-tu en face de ta dette ?
• Tu sais bien que je suis sans ma culotte !
• C’est vrai, je te l’ai déjà enlevé pendant ton sommeil aidé par ta fille avant qu’à son tour je l’attache.
J’ai une idée, chaque soir nous ferons une seule partie, tu pourras désigner soit ta femme soit ta fille que je baiserais devant toi pour te montrer le saligaud que tu aies.
Pour cette partie, si la banque gagne qui vais-je baiser ?
• Ignoble garçon et tu aurais voulu que je te donne ma fille, prends ma femme.
• C’est impensable, vous pouvez vous brosser pour que je sois à vous.
• Je sais, tu pourras aller voir ton curé pour te plaindre, c’est le seul qui pourra savoir ce que je t’ai fait et l'obligé à fermer sa gueule dans le secret du confessionnal, commençons.
Première carte, 10 pour toi Joseph, carte cachée pour moi.
• Une carte.
• As, 1 ou 11.
• 11.
• Bien sûr, tu as gagné quoi que, je t’ai dit que la banque gagnait toujours.
Pas de chance, 21 aussi à la banque, un coup pour rien, on recommence.
19 pour toi, pas de chance de nouveau, 20 à la banque, cette dette, je la garde, belle-maman, je vais t’honorer.
Avant, j’ai envie de te baiser avec tous tes bijoux.
• Il les a vendus pour jouer, ceux que tu as vus, ce sont des faux faisant illusion pour les non-initiés.
• Marie-Madeleine, je vais te baiser, mais avant prend cet écrin.
Je récupère dans mon sac une boîte à bijoux, elle l’ouvre.
• Merci Pierre, ça me va droit au cœur, je suis prête à subir tes assauts.
Elle passe plusieurs bagues et semble chercher l’une d’elles.
• Inutile de chercher, ton alliance et ta bague de fiançailles, je les ai jetés dans les chiotes.
Je suis galant, je vais l’aider à se lever.
• Dégrafe mon pantalon, découvre la verge que tu vas honorer.
Elle est matée, Marie est en pleurs, mais regarde intensément ce qui se passe entre sa mère et moi, qu’elle est sa pensée profonde.
« Quel salopard ce mec moi qui ai cru l’aimer. »
Pourtant, elle a ma bague à son doigt.
• Tu verras, demain ou après-demain, c’est toi qui seras à la place de ta maman.
Sache que j’ai tout mon temps, le principal, c’est de t’éviter de te retrouver marié avec le marquis de mes burnes.
Regarde bien, comment on suce la bite d’un homme quand on est une bigote par-devant et une pute par-derrière.
Oui, comme ça ouvre bien ta bouche, tu vois, ta mère fait croire à tous qu’elle est portée sur les curés alors que son plus grand plaisir, c’est de se faire défoncer.
À quatre pattes, tournée vers ton mari, tu sais que tu es une chienne et une chienne se prend en levrette.
Sans compter la fifer menteuse que tu as toujours été pour ta famille, mais nous en reparlerons plus tard.
Je me positionne cachant à Marie le moment ou mon sexe entre dans celui qui elle le pense, l’a vu naître.
Je regarde Joseph qui ronge son frein, mais relativement insensible à ce que je fais subir à sa femme.
Pas très longtemps, car je suis assez bien monté et sa chatte m’épouse impeccablement malgré ses heures de vol.
Je suis bon amant, je sens que je la fais jouir, mais sans un mot, ces femmes-là sa baise, mais dans le silence.
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