COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (2/4) - histoire érotique

Ma femme m’a trompé et m’a fait voir les penchants qui se sont fait jour en elle, souhaitant devenir une femme soumise.
À ce titre, je réussis à lui faire accepter un nouveau Maître, je l’ai appelé Maître Sade qui vient de lui donner son premier ordre un peu scabreux.

• Fait voir ta chatte, mieux, met toi à poil.

Je vois qu’elle hésite.

• Immédiatement autrement, je coupe ma webcam et tu perdras définitivement l’occasion d’assouvir tes fantasmes, dans ce milieu, tu peux tomber sur des salopards qui t’enverront te faire baiser en Afrique, à moins que tu sois adepte de gros bâtons noirs.
• Non, Maître Sade, je le fais immédiatement.

Je vois qu’elle descend le jean qu’elle avait au moment où je suis monté, en deux minutes elle est nue, simplement couverte de ses jolis cheveux blonds.

• Je vous plais Maître Sade.
• Tout cela commence mal, on est là pour te faire vivre tes fantasmes pas pour s’aimer, je vais couper.
• Non, Maître Sade, c’est la première fois que j’accepte cette situation, je vais essayer de vous plaire.
• Il faut me plaire, ne pas seulement essayer.
• Oui, Maître Sade.
• Pour commencer, qu’attends-tu en venant vers moi.
• Un homme, un vrai, un homme qui sachent apporter à mon corps les plaisirs que mon mari a du mal ou est incapable de me procurer.
• Pourquoi ?
• Il est trop gentil, il fait tout ce que je lui demande.
• Punis-toi, car c’est toi qui es une salope, tu aimes que je te traite de salope ?
• Je suis une salope, Maître Sade, je l’ai trompée avec celui qui m’avait donné rendez-vous dans un hôtel.
• Tu as aimé.
• Au début, il était hideux, mais dès que sa bite a été dans ma bouche, j’ai compris que j’étais en train de trouver ce que je cherchais.
• Tu es dans ta chambre, je vois le pied d’un lit.
C’est votre lit conjugal.
• Oui, Maître Sade.
• À partir d’aujourd’hui, tu refuses qu’il te baise pendant trois mois.
• Je vais essayer, non, je vous le promets Maître Sade.
• Allonge-toi, et martyrise-toi la chatte puisque tu veux souffrir.

Elle s’allonge et avec la commande cadre la caméra au centre de son intimité qui est épilée depuis que je la connais.

• Maître Sade, vous voyez bien ma chatte.
• Oui, parfait dit que tu es une chienne.
• Oui, je suis une chienne pour vous, Maître Sade.
• Non, pas, pour moi, pour le monde entier, hurle que tu es une chienne Aurélie.
• Mon mari est en haut dans son bureau au grenier.
• Hurle que tu es une chienne doublée d’une pute soumise.
• Je suis une pute et une chienne Maître Sade.

Il faut que je réagisse, les cris de ma femme sont très bien arrivés jusqu’à moi.
Je vais à la porte que j’ouvre.

• Que se passe-t-il ma chérie, tu as crié ?
• Oui, mon cœur, je me suis coincé la main dans la porte, je vais me la mettre dans l’eau froide, reste dans ton bureau, travaille bien.
• Bien mon amour, je continue.

Panique à bord pour aller ouvrir la porte, j’ai quitté le champ de la caméra et le drap blanc que j’ai tirés pour cacher la pièce.

• Où êtes-vous Maître Sade ?
• Je suis allée régler la caméra, reprenons.

Il faut savoir apprendre, à vouloir la faire hurler, j’ai croisé les deux situations, je vais éviter de recommencer cette erreur surtout que quand je lui ai parlé près de la porte elle entendait par le micro de l’ordinateur.
Je me dépêche de brouiller les pistes.

• Aurélie écarte tes grandes lèvres avec tes deux mains.
• Cela vous plaît Maître Sade, attendez, je vais mettre ma chatte en gros plans.

Elle règle la caméra et sa fente rose appairait entièrement ouverte à la merci de ce mec qu’elle ne connaît même pas.
Je l’ai souvent sucé, mais là de voir le trou où j’enfilais ma bite me démarre une érection, je fais diversion.

• Met trois doigts de chaque côté de ta vulve et tires.

Incroyable, ce qu’Aurélie est capable de faire à mon injonction.

• Tire encore plus fort même si tu te déchires la chatte.
• Non, Maître Sade, je sens que je vais jouir au contraire, encore plus fort que dans la chambre d'hôtel.
Maître Sade, ma jouissance est pour vous.

Et ce que je vois est extraordinaire, de longs traits de liquides semblent sortir de sa chatte et viennent arroser le lit, plus elle tire plus le liquide sort inondant notre couche.
J’avais entendu parler de femme fontaine, mais voir le phénomène se déclencher chez ma femme me permet de voir tout ce que j’ai perdu en étant trop gentil avec elle.

• Écarte l’angle de la caméra que je vois ton visage, j’aime voir ma soumise jouir.

La vision que j’ai de sa vulve me montre ses doigts relâchant la traction qu’ils exerçaient sur sa chatte alors qu’un dernier petit jet sort, mais vient couler vers son périnée.
Elle veut crier, mais doit se souvenir de ceux que je lui ai fait pousser a faire réagir son mari.
Elle finit par le faire et je m’aperçois que sa lèvre inférieure est coupée et qu’elle saigne, elle a dû la mordre quand elle a joui.

• Soumise Aurélie, es-tu libre demain à 15 heures ?
• Oui, Maître Sade.
• Je suis satisfait de toi à demain, j’accepte de faire de toi ma raclure, tu es contente.
• Oui, l’après-midi que nous avons passé ensemble était en tout point ce que j’attends, je vais en rêver ce soir Maître Sade.

Le "Maître Sade" est parfaitement assimilé un bon point pour moi, demain, je ferais monter la pression d’un cran.

• Aurélie, souviens-toi, tu te refuses à ton mari pendant trois mois.
• Oui, Maître Sade, demain, j’aurais trouvé la solution, je vous le promets, vous serez satisfaite de votre petite pute.

Je me dépêche de couper, je remets le bureau en l’état, j’essaye désespérément de reprendre mon travail afin d’éviter d’avoir à lui poser des questions sur le lit ravagé et couverte de son liquide.
Une heure après je descend.

• Te voilà Adrien, j’allais t’appeler pour te dire que je vais rejoindre Rosana, nous allons dîner entre filles, couche-toi, nous risquons d’aller prendre un verre.
• J’espère que tu repousseras les avances de certains beaux gosses.
• Aucune crainte, tu peux dormir tranquille, tu m’apportes tout ce qu’une femme souhaite que son homme lui apporte, je suis heureuse, tu ignores à quel point.

La salope me dit cela d’une façon naturelle, elle aurait dû faire du théâtre ou du cinéma, Sophie Marceau peut s’accrocher.

• Pour manger, tu peux prendre un croque-monsieur congelé dans le frigo et le faire réchauffer aux micro-ondes.

À elle, la bonne bouffe, à moi la restauration rapide et dégueulasse.
Elle me quitte pour la première fois depuis notre mariage, elle oublie de m’embrasser.
Non, elle suit mes directives et commence à refuser que je l’approche.
Je remonte dans mon bureau, cherche un porno sur le web et je me masturbe expulsant de longs jets aussi puissants que ceux qui ont été expulsés par la chatte d’Aurélie.
Toute cette séance m’a épuisé et à 23 heures, je me douche, je retrouve les draps propres changés par Aurélie ayant vu tourné ceux qu’elle avait maculés avec ses éjections pendant que je mangeais dans la machine à laver.

Quand elle rentre, je l’entends, mais je me garde bien de lui faire voir, car je sais que demain moi Maître Sade lui demanderait ce qu’elle a fait et surtout ce qu’elles se sont dit.

Au matin, je me lève avant elle, je déjeune et je monte dans mon bureau,

• Je pars, travail bien, à tout à l’heure.

Elle me crie cela dans l’escalier, aussi, je lui réponds sans me déplacer.
À quatorze heures, elle est de retour et me trouve dans le salon à faire semblant de lire le livre que je dois traduire.
Dans ce travail comprendre le sens de l’écrit de l’auteur est primordiale pour que je traduise son texte au plus près de ce qu’il a voulu dire.
Je la vois tournée semblant vouloir me dire ce qu’elle a trouvé pour se refuser à moi.

• Adrien, j’arrive de chez le médecin, j’avais des douleurs quand j’urinais.
• Es-tu allée voir notre docteur ?
• Non, j’ai téléphoné et il a pris une semaine de vacances, je suis allé aux urgences et le médecin qui m’a examiné à diagnostiquer une affection urinaire particulièrement virulente.
Il y a quelques jours, je suis allé aux toilettes d’un café, ma chatte a malencontreusement touché la lunette et j’ai attrapé un microbe.
Nous avons interdiction d’avoir des rapports pendant minimum trois mois.

J’adore le minimum…