COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (3/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (3/4)
Ma femme Aurélie s’est permis de me tromper avec un vieux bouc lubrique.
Ce qui est le plus grave à mes yeux, c’est qu’elle y a pris du plaisir au point d’accepter de devenir sa soumise.
Grâce à son ordinateur que j’ai piraté, j’intercepte ce vieux salop et je me glisse à sa place me faisant appeler Maître Sade.
Voulant l’humilier en l’obligeant à se massacrer la chatte avec ses doigts, j’obtiens tous l’inverse, même mieux, je découvre qu’elle est une femme fontaine.
Elle la fait, elle a réussi à trouver un motif pour que j’arrête de la baiser pendant trois mois, de ce fait acceptant d’être l’esclave sexuelle de Maître Sade.
Dès qu’elle a réussi à m’évincer de son sexe, je traîne volontairement dans le salon la sentant chaude bouillante.
Elle regarde la pendule comtoise qui marque l’heure approchante de 15 heures sans bien sûr que j’esquisse le moindre geste.
15 heures cinq, elle est verte, voyant son rendez-vous lui échapper.
Bien sûr, je suis maître du jeu qu’elle a déclenché en me cocufiant surtout sachant ce que fait Maître Sade.
Au quart, je crois qu’elle va exploser, une vraie pile électrique, elle commence à retourner les chaises sur la table de la salle à manger et va chercher un balai qu’elle passe plusieurs fois au même endroit.
• Allez, bouge-toi, tu vois bien que je fais le ménage va dans ton bureau.
• Attends, je finis mon livre, je dois avoir fini cette traduction d'ici à la fin du mois, il me reste quatre pages.
Bien sûr, je fais semblant de mettre des annotations dans la marge comme je le fais chaque fois que j’entame un travail de ce genre.
À l’a demi, je me lève vais aux toilettes, décidant enfin de m’engager dans l’escalier qui fait un angle pour rejoindre le palier caché à son regard, bien sûr, je redescends et vais dans la cuisine boire un verre d’eau avant de remonter.
J’ouvre et je referme sans entrer en claquant la porte pour qu’elle l’entende, je m’assieds sur la dernière marche pour observer ce qu’elle fait.
Elle semble attendre quelques minutes voir si je redressant et vais même jusqu’à écouter manquant de me voir, mais j’ai reculé dans l’ombre prestement, voyant le haut de sa tête quand elle va dans notre chambre.
Je redescends sans faire le moindre bruit, approchant de la porte qu’elle a fermée.
• Maître Sade êtes-vous là ?
Maître s’il vous plaît, c’est la faute d’Adrien, il restait dans notre salon.
J’entends qu’elle se mouche, elle doit pleurer, mon petit jeu est marrant pour moi, mais en même temps, je prends conscience qu’aucune porte de sortie ne nous permet d’avoir un nouveau rendez-vous, quand une idée me vient.
Je remonte, j’entre sans faire le moindre bruit, là, je prépare une lettre dont j’aurais besoin demain.
Je redescends pour souper un repas lugubre, car chaque fois que j’essaye de parler, elle me rabroue.
• Quel caractère, qu’est-ce que je t’ai fait ?
• Rien, c’est ma maladie qui me tracasse, je finis de ranger avant d’aller me coucher, demain, j’ai une grande journée au magasin, ma patronne est absente et je dois préparer plusieurs commandes pour un mariage.
• Bonne nuit à demain.
Eh bien, sur retour dans mon bureau ou je relie la lettre tapée sur l’ordinateur afin de la peaufiner.
« Aurélie, je suis très déçu, j’ai poireauté pendant quinze minutes, tu as oublié notre rendez-vous, il m’est impossible de m’occuper d’une femme aussi frivole que toi.
Je comprends ton mari te négligeant, mais je vais être bon enfant, je te donne une punition qui si tu fais ce que je te dis me permettra de voir que tu es prête à tout pour aller très loin avec moi.
Cette lettre que quelqu’un vient de t’apporter renoue le lien entre nous.
Je t’ordonne de faire ce qu’il faut pour gagner 500 € en trouvant un homme qui t’emmènera où il veut même dans sa voiture pour te baiser.
Si tu me prouves que tu es capable de te vendre pour le plaisir de nous deux, aucun problème sinon tu connais la suite.
Tu mettras l’argent dans une enveloppe, après-demain un autre coursier viendra la chercher et l’après-midi à quinze heures, je me connecterai. »
Ce matin elle est partie autant en colère que la veille pendant le repas, je me connecte à sa messagerie et dans les messages « envoyer » elle a seulement correspondu avec Rosana.
« Ma chérie, que con, comment veux-tu que je sois fidèle à un mec si con, il m’a fait louper mon rencard vidéo avec Maître Sade.
On aurait dit qu’il prenait un malin plaisir à traîner au salon alors que dès que je suis arrivé et que j’ai trouvé le moyen de lui dire notre plan pour éviter qu’il ne me baise pendant trois mois ma petite culotte était trempé.
Quand il a fini par monter, j’ai désespérément essayé de me connecter, mais cela a été peine perdue.
Je suis désespéré moi qui suis prête à tout accepter, tellement il m’a fait jouir hier après midi. »
Rosana une fois de plus cette petite pute est à l’origine de l’idée qu’Aurélie m’a présentée pour lui permettre de réaliser ce que Maître Sade lui a imposé de faire concernant nos rapports.
Je me prépare et vers 10 heures, je sors pour me rendre à la boutique ou ma femme travaille.
Je la vois entrée et sortir avec des clientes me montrant ses formes généreuses surtout quand elle se penche pour récupérer une plante posée dans son pot sur le trottoir ou un bouquet dans des vases posés sur des présentoirs.
Quel cul, dire que je le baisais consciencieusement en bon époux pensant l’être, mais ces garces elles en veulent toujours plus et ma vengeance qui commence à se dessiner grâce à Maître Sade, vont la laminer, en faire une raclure que j’aurais plaisir à quitter quand un jour, je lui dirai que c’est moi « le con » dont elle parle dans ses messages.
Je la vois servir un client, j’ai mal quand elle rit à Gorge déployée, depuis combien de temps nous avons ri de la sorte, c’est peut-être là le début de nos problèmes, je la faisais toujours rire pendant des heures et maintenant, nous le faisons de moins en moins.
• Pardon petit, veux-tu gagner 10 € ?
Je viens d’arrêter un jeune garçon se rendant à son collège.
• Bien sûr, monsieur.
• Tu vois la jolie dame qui vend un pot de fleurs à la vieille dame, porte lui cette enveloppe.
• Bien monsieur.
Il me tend la main prend l’enveloppe et en même temps le billet.
Il s’acquitte de sa mission, voyant Aurélie lui demandé certainement qui lui fait passer cette enveloppe, car il lui montre où j’étais, mais sans me voir, car je me suis déplacé.
Elle la met dans la poche avant style kangourou de son tablier vert faisant penser à celui d’un jardinier, le temps de servir une cliente qui vient d’arriver avant de l’ouvrir, je la vois mettre la lettre sur son cœur me faisant penser que ce que je lui propose là réjouis.
La boutique travaille bien, car après un nouveau client, je la vois pendre son portable placé dans la même poche.
La conversation est courte, le rangeant avant de reprendre son travail.
J’en ai assez vu et après un tour autour du lac près de la mairie de Créteil, je vais manger dans un resto près de la piscine, un vrai repas avec de bons produits me requinque après les plats congelés qu’elle me fait ingurgiter alors que dans le passé elle me mitonnait de bons petits plats.
À l’heure de sa fin de service, je suis dans ma voiture caché à sa vue quand je vois arriver une petite brune qui est sa collègue assurant le service dans la boutique l’après-midi.
C’est à ce moment que je vois passer à cinquante centimètres de moi Rosana belle pouliche à la chevelure rousse et perché sur de hauts talons qui lui affinent les jambes et qui cambrent ses reins.
J’ai toujours eu envie de lui mettre ma pite quelque part et bien des fois par des regards ou des frôlements chez les uns ou chez les autres, je fantasme qu'elle m’ait dit oui, si je lui avais proposé la botte, mais hélas pour nous dans ces temps-là, pas si lointains, j’étais fidèle.
La caisse passée, un baiser entre les trois filles plus tard, Aurélie part dans l’arrière-boutique et en revient prête à partir.
Que vient faire Rosana auprès d’Aurélie quand elles partent, vers la rue piétonne du centre-ville ?
Je les suis et rapidement, je comprends ce qu’elle mijote, elles s’arrêtent devant le premier distributeur de billets qu’elles rencontrent et font chacune une transaction.
Elles repartent et s’assoient à la terrasse d’un café, elles prennent une boisson fraîche et chacune sort les billets collecter.
Elle les compte et Aurélie sort l’enveloppe que le jeune garçon lui a donnée, sors ma lettre et place les billets à sa place.
Je comprends que Rosana est venue au secours de sa copine et qu’elles se sont partagé la somme que j’avais réclamée pour me payer sans se prostituer.
Je retourne chez nous, rentre la voiture dans notre garage et je remonte dans mon antre.
Je prépare la lettre qui va me servir demain matin et je me remets à mes traductions, car il faut bien gagner sa vie.
Tout est calme entre nous le soir, Aurélie semble plus détendue.
Le bon coup qu’elle pense m’avoir fait pour éviter cette déchéance qu’elle semble redoutée puisqu’elle a trahi sa promesse d’être soumise à son Maître à tout moment de sa vie la rassure.
Le lendemain pas de message des deux femmes entre elles.
Je prends la lettre ainsi rédigée.
« Comment peux-tu penser qu’un Maître de mon niveau pourrait se faire prendre à votre stratagème à toi et ta copine, je sais d’où viennent les billets que tu vas donner à la personne qui va te remettre cette lettre et que tu vas lui donner la tienne avec l’argent des comptes en banque de vos maris.
Alors voilà, j’ai décidé que toi, Aurélie devra trouver assez de clients pour me rapporter 1 000 € d'ici à demain pendant que ta copine Rosana acceptera de devenir, elle aussi ma soumise, j’ai un cœur assez grand pour deux garces de votre espèce et je suis sûr que vous allez vous éclater ».
Le lendemain matin, c’est une vieille dame qui lui porte l’enveloppe récupérant celle qu’elle avait préparée.
Je regarde si elle aussi veut chercher à savoir qui je suis, mais quand elle ouvre l’enveloppe, je vois au geste qu’elle fait qu’une catastrophe vient de s’abattre sur ses épaules.
J’ouvre l’enveloppe et j’y trouve quatre billets de 100 et deux de 50.
Elle avait tiré 250 € chacune.
L’argent me brûle les doigts, mais Maître Sade va avoir des frais…
Ce qui est le plus grave à mes yeux, c’est qu’elle y a pris du plaisir au point d’accepter de devenir sa soumise.
Grâce à son ordinateur que j’ai piraté, j’intercepte ce vieux salop et je me glisse à sa place me faisant appeler Maître Sade.
Voulant l’humilier en l’obligeant à se massacrer la chatte avec ses doigts, j’obtiens tous l’inverse, même mieux, je découvre qu’elle est une femme fontaine.
Elle la fait, elle a réussi à trouver un motif pour que j’arrête de la baiser pendant trois mois, de ce fait acceptant d’être l’esclave sexuelle de Maître Sade.
Dès qu’elle a réussi à m’évincer de son sexe, je traîne volontairement dans le salon la sentant chaude bouillante.
Elle regarde la pendule comtoise qui marque l’heure approchante de 15 heures sans bien sûr que j’esquisse le moindre geste.
15 heures cinq, elle est verte, voyant son rendez-vous lui échapper.
Bien sûr, je suis maître du jeu qu’elle a déclenché en me cocufiant surtout sachant ce que fait Maître Sade.
Au quart, je crois qu’elle va exploser, une vraie pile électrique, elle commence à retourner les chaises sur la table de la salle à manger et va chercher un balai qu’elle passe plusieurs fois au même endroit.
• Allez, bouge-toi, tu vois bien que je fais le ménage va dans ton bureau.
• Attends, je finis mon livre, je dois avoir fini cette traduction d'ici à la fin du mois, il me reste quatre pages.
Bien sûr, je fais semblant de mettre des annotations dans la marge comme je le fais chaque fois que j’entame un travail de ce genre.
À l’a demi, je me lève vais aux toilettes, décidant enfin de m’engager dans l’escalier qui fait un angle pour rejoindre le palier caché à son regard, bien sûr, je redescends et vais dans la cuisine boire un verre d’eau avant de remonter.
J’ouvre et je referme sans entrer en claquant la porte pour qu’elle l’entende, je m’assieds sur la dernière marche pour observer ce qu’elle fait.
Elle semble attendre quelques minutes voir si je redressant et vais même jusqu’à écouter manquant de me voir, mais j’ai reculé dans l’ombre prestement, voyant le haut de sa tête quand elle va dans notre chambre.
Je redescends sans faire le moindre bruit, approchant de la porte qu’elle a fermée.
• Maître Sade êtes-vous là ?
Maître s’il vous plaît, c’est la faute d’Adrien, il restait dans notre salon.
J’entends qu’elle se mouche, elle doit pleurer, mon petit jeu est marrant pour moi, mais en même temps, je prends conscience qu’aucune porte de sortie ne nous permet d’avoir un nouveau rendez-vous, quand une idée me vient.
Je remonte, j’entre sans faire le moindre bruit, là, je prépare une lettre dont j’aurais besoin demain.
Je redescends pour souper un repas lugubre, car chaque fois que j’essaye de parler, elle me rabroue.
• Quel caractère, qu’est-ce que je t’ai fait ?
• Rien, c’est ma maladie qui me tracasse, je finis de ranger avant d’aller me coucher, demain, j’ai une grande journée au magasin, ma patronne est absente et je dois préparer plusieurs commandes pour un mariage.
• Bonne nuit à demain.
Eh bien, sur retour dans mon bureau ou je relie la lettre tapée sur l’ordinateur afin de la peaufiner.
« Aurélie, je suis très déçu, j’ai poireauté pendant quinze minutes, tu as oublié notre rendez-vous, il m’est impossible de m’occuper d’une femme aussi frivole que toi.
Je comprends ton mari te négligeant, mais je vais être bon enfant, je te donne une punition qui si tu fais ce que je te dis me permettra de voir que tu es prête à tout pour aller très loin avec moi.
Cette lettre que quelqu’un vient de t’apporter renoue le lien entre nous.
Je t’ordonne de faire ce qu’il faut pour gagner 500 € en trouvant un homme qui t’emmènera où il veut même dans sa voiture pour te baiser.
Si tu me prouves que tu es capable de te vendre pour le plaisir de nous deux, aucun problème sinon tu connais la suite.
Tu mettras l’argent dans une enveloppe, après-demain un autre coursier viendra la chercher et l’après-midi à quinze heures, je me connecterai. »
Ce matin elle est partie autant en colère que la veille pendant le repas, je me connecte à sa messagerie et dans les messages « envoyer » elle a seulement correspondu avec Rosana.
« Ma chérie, que con, comment veux-tu que je sois fidèle à un mec si con, il m’a fait louper mon rencard vidéo avec Maître Sade.
On aurait dit qu’il prenait un malin plaisir à traîner au salon alors que dès que je suis arrivé et que j’ai trouvé le moyen de lui dire notre plan pour éviter qu’il ne me baise pendant trois mois ma petite culotte était trempé.
Quand il a fini par monter, j’ai désespérément essayé de me connecter, mais cela a été peine perdue.
Je suis désespéré moi qui suis prête à tout accepter, tellement il m’a fait jouir hier après midi. »
Rosana une fois de plus cette petite pute est à l’origine de l’idée qu’Aurélie m’a présentée pour lui permettre de réaliser ce que Maître Sade lui a imposé de faire concernant nos rapports.
Je me prépare et vers 10 heures, je sors pour me rendre à la boutique ou ma femme travaille.
Je la vois entrée et sortir avec des clientes me montrant ses formes généreuses surtout quand elle se penche pour récupérer une plante posée dans son pot sur le trottoir ou un bouquet dans des vases posés sur des présentoirs.
Quel cul, dire que je le baisais consciencieusement en bon époux pensant l’être, mais ces garces elles en veulent toujours plus et ma vengeance qui commence à se dessiner grâce à Maître Sade, vont la laminer, en faire une raclure que j’aurais plaisir à quitter quand un jour, je lui dirai que c’est moi « le con » dont elle parle dans ses messages.
Je la vois servir un client, j’ai mal quand elle rit à Gorge déployée, depuis combien de temps nous avons ri de la sorte, c’est peut-être là le début de nos problèmes, je la faisais toujours rire pendant des heures et maintenant, nous le faisons de moins en moins.
• Pardon petit, veux-tu gagner 10 € ?
Je viens d’arrêter un jeune garçon se rendant à son collège.
• Bien sûr, monsieur.
• Tu vois la jolie dame qui vend un pot de fleurs à la vieille dame, porte lui cette enveloppe.
• Bien monsieur.
Il me tend la main prend l’enveloppe et en même temps le billet.
Il s’acquitte de sa mission, voyant Aurélie lui demandé certainement qui lui fait passer cette enveloppe, car il lui montre où j’étais, mais sans me voir, car je me suis déplacé.
Elle la met dans la poche avant style kangourou de son tablier vert faisant penser à celui d’un jardinier, le temps de servir une cliente qui vient d’arriver avant de l’ouvrir, je la vois mettre la lettre sur son cœur me faisant penser que ce que je lui propose là réjouis.
La boutique travaille bien, car après un nouveau client, je la vois pendre son portable placé dans la même poche.
La conversation est courte, le rangeant avant de reprendre son travail.
J’en ai assez vu et après un tour autour du lac près de la mairie de Créteil, je vais manger dans un resto près de la piscine, un vrai repas avec de bons produits me requinque après les plats congelés qu’elle me fait ingurgiter alors que dans le passé elle me mitonnait de bons petits plats.
À l’heure de sa fin de service, je suis dans ma voiture caché à sa vue quand je vois arriver une petite brune qui est sa collègue assurant le service dans la boutique l’après-midi.
C’est à ce moment que je vois passer à cinquante centimètres de moi Rosana belle pouliche à la chevelure rousse et perché sur de hauts talons qui lui affinent les jambes et qui cambrent ses reins.
J’ai toujours eu envie de lui mettre ma pite quelque part et bien des fois par des regards ou des frôlements chez les uns ou chez les autres, je fantasme qu'elle m’ait dit oui, si je lui avais proposé la botte, mais hélas pour nous dans ces temps-là, pas si lointains, j’étais fidèle.
La caisse passée, un baiser entre les trois filles plus tard, Aurélie part dans l’arrière-boutique et en revient prête à partir.
Que vient faire Rosana auprès d’Aurélie quand elles partent, vers la rue piétonne du centre-ville ?
Je les suis et rapidement, je comprends ce qu’elle mijote, elles s’arrêtent devant le premier distributeur de billets qu’elles rencontrent et font chacune une transaction.
Elles repartent et s’assoient à la terrasse d’un café, elles prennent une boisson fraîche et chacune sort les billets collecter.
Elle les compte et Aurélie sort l’enveloppe que le jeune garçon lui a donnée, sors ma lettre et place les billets à sa place.
Je comprends que Rosana est venue au secours de sa copine et qu’elles se sont partagé la somme que j’avais réclamée pour me payer sans se prostituer.
Je retourne chez nous, rentre la voiture dans notre garage et je remonte dans mon antre.
Je prépare la lettre qui va me servir demain matin et je me remets à mes traductions, car il faut bien gagner sa vie.
Tout est calme entre nous le soir, Aurélie semble plus détendue.
Le bon coup qu’elle pense m’avoir fait pour éviter cette déchéance qu’elle semble redoutée puisqu’elle a trahi sa promesse d’être soumise à son Maître à tout moment de sa vie la rassure.
Le lendemain pas de message des deux femmes entre elles.
Je prends la lettre ainsi rédigée.
« Comment peux-tu penser qu’un Maître de mon niveau pourrait se faire prendre à votre stratagème à toi et ta copine, je sais d’où viennent les billets que tu vas donner à la personne qui va te remettre cette lettre et que tu vas lui donner la tienne avec l’argent des comptes en banque de vos maris.
Alors voilà, j’ai décidé que toi, Aurélie devra trouver assez de clients pour me rapporter 1 000 € d'ici à demain pendant que ta copine Rosana acceptera de devenir, elle aussi ma soumise, j’ai un cœur assez grand pour deux garces de votre espèce et je suis sûr que vous allez vous éclater ».
Le lendemain matin, c’est une vieille dame qui lui porte l’enveloppe récupérant celle qu’elle avait préparée.
Je regarde si elle aussi veut chercher à savoir qui je suis, mais quand elle ouvre l’enveloppe, je vois au geste qu’elle fait qu’une catastrophe vient de s’abattre sur ses épaules.
J’ouvre l’enveloppe et j’y trouve quatre billets de 100 et deux de 50.
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