COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (4/4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE : Elle me trompe, je me venge. (4/4)
Ma femme Aurélie a cru blouser Maître Sade en retirant de l’argent d’un distributeur avec Rosana, sa copine pour me donner les 500 € que je lui demandais d’aller gagner avec son cul s’en étant servi pour me tromper.
Maître Sade pour la punir lui demande le double et je demande à sa copine de venir se soumettre.
• Adrien, nous sortons entre filles ce soir, bonne soirée.
Aurélie a été absente hier toute l’après-midi, elle semble avoir des problèmes pour réunir la somme demandée.
Quand elle est partie, je vais comme à mon habitude lire leur prose.
« Quelle galère, mais quel plaisir, j’ai été sauté par trois hommes qui m’ont payé 200 € chacun pour me baiser, plus deux pipes à d’autres qui m’ont rapporté 200 de plus, je suis à 800, il me manque 200.
Je viens de mettre mes dessous affriolants sans culotte bien sûr, avec mon simple imper et je m’apprête à sortir pour retourner au bois de Vincennes au même endroit que cette après-midi.
Chaque fois que je me suis fait baiser, je me suis appuyé les mains sur un arbre, le gars est venu derrière moi, je rêvais au corps de Maître Sade que tu vas recevoir en toi demain quand j’aurai remis l’argent.
Rosana, je suis devenue une pute grâce à toi et j’aime ça, profite à fond de la chance que j’aurais un jour prochain quand sa bite va s’enfoncer en toi, mais je sais aussi que tu es une plus grande salope que moi qui débute et que tu vas l’apprécier.
Ce que j’aime dans ce que j’ai fait, qui m’éclate, c’est le moment où les mecs vous donnent les billets, chaque fois, je mouille, il faudra que nous le fassions ensemble. »
Je m’aperçois que même si j’ai envie de faire de cette femme, celle qui jusqu’à ce jour était mon épouse une roulure, une raclure, une vide couille les risques qu’elle a pris de se rendre au bois pour se trouver des clients, risque de m’attirer des ennuis avec la police.
Le pire serait que la police me considère comme son souteneur et que le maquereau que je suis devenu, puisque je vais recevoir l’argent de ses passes ne se retrouve les bracelets aux poignets.
Il va falloir que je revoie ma stratégie sur plusieurs points.
En attendant, j’écris la nouvelle lettre, puis je sors, allant à l’hôtel où tout a commencé, je loue la même chambre 12 où elle m’a trompé, elle est libre et je suis heureux de l’avoir.
Comme la veille, c’est une femme seule qui passe à qui je demande si elle peut aller chercher une enveloppe près de ma putain de femme, dès que j’ai en main les 1 000 € et un papier retenu par un trombone à l’en-tête de la boutique de fleurs, je l’ouvre.
« Rosana est d’accord et moi aussi, elle attend vos instructions, Maître Sade. »
Je suis satisfait, Maître Sade a frappé et va pouvoir s’amuser avec celle qui a été le déclencheur de tous mes soucis familiaux.
C’est un homme d’un service de livraison rapide qui livre le colis que je dépose en payant le coup de la course avec supplément pour l’urgence.
Dans le colis la lettre de Maître Sade écrite dès que j’ai su par le mail que les filles ont échangé de l’acceptation de Rosana d’être soumise comme Aurélie.
« Je constate, que tu as rempli tes obligations de soumises après m’avoir contrarié petite Aurélie.
J’ai dans les mains les billets que tu as gagnés avec ton cul comme je te l’avais ordonné, mais tu vois jusqu'où je suis capable d’aller si tu me contraries.
Même si, je pense comme toutes celles dont je me suis occupé et qui toutes ont continué, leur vie dans la plénitude de leur corps après que je fus arrivé au bout de leur processus de dressage que ta copine Rosana est tellement vicieuse ou malheureuse dans son couple qu’elle est prête à tout faire pour briser le tient Aurélie.
C’est pourquoi je sens qu’elle est déjà prête à ce que je la rencontre comme, je te rencontrerais dans les jours ou les semaines prochaines, si tu continues à être très docile.
C’est pourquoi dit à Rosana d’aller à l’hôtel près du centre de Créteil chambre 12, tu connais, c’est celle que tu as connue lors de ta première initiation.
La réception sera prévenue de sa venue et derrière la porte elle mettra cette cagoule après s’être déshabillée et quand elle entendra « entrer », je m’occuperai particulièrement d’elle.
Pendant ce temps Aurélie tu te trouveras un homme et sans le faire payer, tu le suivras où il veut et tu te donneras seulement en le suçant et en te faisant enculer. »
En attendant l’heure de me retrouver dans la chambre où je vais prendre une maîtresse pour la première fois depuis mon mariage étant resté fidèle à la roulure que j’ai dans mon lit depuis quelques jours, je me rends dans un magasin vendant du matériel vidéo.
J’achète trois caméras automatiques, totalement invisibles avec le logiciel pour les gérer à distance grâce à mon ordinateur portable que je paye en partie avec l’argent qu’Aurélie a gagné avec sa bouche et sa chatte.
Je rentre chez nous, non, chez moi et après avoir installé l’une des caméras dans la cuisine à l’américaine balayant une partie de la pièce voisine, la deuxième dans le salon salle à manger, la troisième dans ma chambre, je teste l’ensemble qui fonctionne correctement.
Je vais dans mon bureau où je programme la webcam de la chambre sur mon ordi pour que les images s’enregistrent dès qu’elle sera démarrée.
Je les aurais en double, mais sous un autre angle avec celle que j’ai placée sur le mur face au lit ressemblant à un détecteur de fumée comme le demande la législation avant de m’habiller en Maître Sade bien que je serais invisible à ma soumise, mais quand on joue un rôle il faut savoir être très professionnel.
Avant de retrouver ma voiture, un dernier détail, un papier posé bien en évidence sur le guéridon près de l’entrée.
« Aurélie, je sors, je vais chez mon éditeur, il veut me confier la traduction d’une saga américaine en 24 exemplaires qui risquent d’être aussi vendu qu’Harry Potter et qui vont nous permettre de vivre heureux pendant des années.
À ce soir après 18 heures.
J’ai bien signé ce contrat, mais la veille où j’ai découvert son rendez-vous pour me tromper sous la bienveillance de Rosana.
Ce jour-là, j’avais prévu d’aller dans une agence de voyage pour nous acheter des billets pour la Thaïlande qu’elle rêve de visiter et de lui offrir pendant un repas aux chandelles dans l’un des meilleurs restaurants Parisien où nous aurions fêté nos dix ans de mariage.
Au lieu de cela, je dois m’occuper de deux putes, termes trop faibles en rapport de ce qu’elles font et de ce qu’elles vont faire avec ma doublure m’obligeant à devenir Maître Sade.
• Entré.
Rosana, la salope qui a aidé Aurélie à changer de vie entre sans être nue, j’ai toujours voulu de cette belle femme, mais le respect de mon engagement avec Aurélie a fait que si par hasard, je l’ai légèrement dragué, je n’ai jamais franchi les portes de la bienséance.
• À poil salope, je veux voir ton cul.
• Tu te fous de ma gueule, celui qui prendra le pas sur moi, n’est pas encore venu au monde.
Elle fait sauter ma cagoule va jusqu’à la fenêtre déclenchant l’ouverture des volets et prestement saute sur le lit.
• Je m’en doutais, dans le noir, tu faisais illusion, mais en plein jour, Adrien, je te reconnais.
Inutile de nier, je suis démarqué, je n’avais pas prévu que cette magnifique femme pouvait être aussi forte que le moindre Maître, même Sade.
• Comment aurais-tu procédé, tu m’aurais violé ?
• Non, je voulais que tu te donnes à moi, sans contrainte autre que cérébrale comme j’arrive à le faire avec ma femme depuis que, j’ai compris que je ne lui suffisais plus.
• Et moi, crois-tu que si je l’ai entraîné sur cette pente, ça n’était pas suite à du ressentiment ?
Elle m’a sali, je prends du plaisir à la voir s’avilir, j’ignore, comment tu as pris la place de mon complice d’un jour, mais chapeau, tu es arrivé à aller très loin avec Aurélie, j’espérais qu’elle se prostitue, mais aussi vite, je dois reconnaître que tu es un Maître, sauf pour moi, qui suis insensible à ce genre de proposition.
• Pourquoi fais-tu cela à ton amie ?
« Ou là là, tromper mon mari comme tu le fais, cela ne me viendra jamais à l’esprit. »
• C’est ainsi qu’elle a minaudé, quand je lui ai dit mon plaisir à tromper Gaétan, j’avais rencontré le gros porc qui la prise en main dans cette chambre quand après beaucoup d’efforts elle a enfin accepté de te tromper.
• Bien, je comprends, c’est là que je suis entré dans le jeu.
• J’aurais presque envie de te dire pauvre con, comment crois-tu, que tu as trouvé l’ordinateur de ta femme et surtout ses codes d’accès dans ses tiroirs.
Un jour que nous devions commander à une société, elle avait oublié l’un des mots de passe, je lui ai fait tout changer et les écrire sur une feuille.
J’avais réussi à la convaincre qu’ayant ton propre ordi dans le grenier, le sien te laissait indifférent.
• Oui, mais la feuille était presque sortie du tiroir, c’était une négligence de sa part.
• Une copine sait comment récupérer les clefs de sa propre amie, une main dans son sac, près d’un magasin refaisant des clefs, retour près d’elle, tu es intelligent, clefs replacées, je peux entrer chez vous par votre jardin et la petite porte arrière.
La feuille, tu comprends qui t’a aidé à la voir, en venant, je savais qui était Maître Sade, il m’a suffi de planquer près du magasin de fleurs.
On frappe à la porte.
• Pile à l’heure, nous avons réussi à faire un bon toutou de ta femme, je vais profiter de la situation, une seule fois avec vous avant de retrouver Gaétan.
Entrez.
La porte s’ouvre et Aurélie entre, rapidement son regard semble étonné, il faut avouer qu’avant cette entrée, elle m’a demandé à m’allonger et est venue s’asseoir sur ma poitrine, elle est toujours aussi magnifique dans son ensemble moulant en cuir noir.
• Aurélie, je te présente Maître Sade, oui, c’est ton mari, j’ignore, comment il a pu s’insérer entre nous et mes dominateurs, à poil, j’ai envie de baiser avec vous.
Toi aussi Aurélien à poil, fait voir à Aurélie que tu es capable de satisfaire nos deux chattes.
Nous baisons l’après-midi, je prends ces deux femmes comme une bête, j’en fais mes chiennes, même si je sens qu’Adriana garde son libre-arbitre, les jours suivants, c’est chez nous qu’elles baisent ou que nous baisons suivant mon travail.
À un détail près, je suis le premier amant de cette femme, qui se fait sauter autant que je le veux, sans savoir qu’elle doit sourire aux caméras qui la filment.
Maître Sade à toujours la main sur ces deux petites salopes, à lui d’être patient, bientôt, il en fera des soumises.
Maître Sade pour la punir lui demande le double et je demande à sa copine de venir se soumettre.
• Adrien, nous sortons entre filles ce soir, bonne soirée.
Aurélie a été absente hier toute l’après-midi, elle semble avoir des problèmes pour réunir la somme demandée.
Quand elle est partie, je vais comme à mon habitude lire leur prose.
« Quelle galère, mais quel plaisir, j’ai été sauté par trois hommes qui m’ont payé 200 € chacun pour me baiser, plus deux pipes à d’autres qui m’ont rapporté 200 de plus, je suis à 800, il me manque 200.
Je viens de mettre mes dessous affriolants sans culotte bien sûr, avec mon simple imper et je m’apprête à sortir pour retourner au bois de Vincennes au même endroit que cette après-midi.
Chaque fois que je me suis fait baiser, je me suis appuyé les mains sur un arbre, le gars est venu derrière moi, je rêvais au corps de Maître Sade que tu vas recevoir en toi demain quand j’aurai remis l’argent.
Rosana, je suis devenue une pute grâce à toi et j’aime ça, profite à fond de la chance que j’aurais un jour prochain quand sa bite va s’enfoncer en toi, mais je sais aussi que tu es une plus grande salope que moi qui débute et que tu vas l’apprécier.
Ce que j’aime dans ce que j’ai fait, qui m’éclate, c’est le moment où les mecs vous donnent les billets, chaque fois, je mouille, il faudra que nous le fassions ensemble. »
Je m’aperçois que même si j’ai envie de faire de cette femme, celle qui jusqu’à ce jour était mon épouse une roulure, une raclure, une vide couille les risques qu’elle a pris de se rendre au bois pour se trouver des clients, risque de m’attirer des ennuis avec la police.
Le pire serait que la police me considère comme son souteneur et que le maquereau que je suis devenu, puisque je vais recevoir l’argent de ses passes ne se retrouve les bracelets aux poignets.
Il va falloir que je revoie ma stratégie sur plusieurs points.
En attendant, j’écris la nouvelle lettre, puis je sors, allant à l’hôtel où tout a commencé, je loue la même chambre 12 où elle m’a trompé, elle est libre et je suis heureux de l’avoir.
Comme la veille, c’est une femme seule qui passe à qui je demande si elle peut aller chercher une enveloppe près de ma putain de femme, dès que j’ai en main les 1 000 € et un papier retenu par un trombone à l’en-tête de la boutique de fleurs, je l’ouvre.
« Rosana est d’accord et moi aussi, elle attend vos instructions, Maître Sade. »
Je suis satisfait, Maître Sade a frappé et va pouvoir s’amuser avec celle qui a été le déclencheur de tous mes soucis familiaux.
C’est un homme d’un service de livraison rapide qui livre le colis que je dépose en payant le coup de la course avec supplément pour l’urgence.
Dans le colis la lettre de Maître Sade écrite dès que j’ai su par le mail que les filles ont échangé de l’acceptation de Rosana d’être soumise comme Aurélie.
« Je constate, que tu as rempli tes obligations de soumises après m’avoir contrarié petite Aurélie.
J’ai dans les mains les billets que tu as gagnés avec ton cul comme je te l’avais ordonné, mais tu vois jusqu'où je suis capable d’aller si tu me contraries.
Même si, je pense comme toutes celles dont je me suis occupé et qui toutes ont continué, leur vie dans la plénitude de leur corps après que je fus arrivé au bout de leur processus de dressage que ta copine Rosana est tellement vicieuse ou malheureuse dans son couple qu’elle est prête à tout faire pour briser le tient Aurélie.
C’est pourquoi je sens qu’elle est déjà prête à ce que je la rencontre comme, je te rencontrerais dans les jours ou les semaines prochaines, si tu continues à être très docile.
C’est pourquoi dit à Rosana d’aller à l’hôtel près du centre de Créteil chambre 12, tu connais, c’est celle que tu as connue lors de ta première initiation.
La réception sera prévenue de sa venue et derrière la porte elle mettra cette cagoule après s’être déshabillée et quand elle entendra « entrer », je m’occuperai particulièrement d’elle.
Pendant ce temps Aurélie tu te trouveras un homme et sans le faire payer, tu le suivras où il veut et tu te donneras seulement en le suçant et en te faisant enculer. »
En attendant l’heure de me retrouver dans la chambre où je vais prendre une maîtresse pour la première fois depuis mon mariage étant resté fidèle à la roulure que j’ai dans mon lit depuis quelques jours, je me rends dans un magasin vendant du matériel vidéo.
J’achète trois caméras automatiques, totalement invisibles avec le logiciel pour les gérer à distance grâce à mon ordinateur portable que je paye en partie avec l’argent qu’Aurélie a gagné avec sa bouche et sa chatte.
Je rentre chez nous, non, chez moi et après avoir installé l’une des caméras dans la cuisine à l’américaine balayant une partie de la pièce voisine, la deuxième dans le salon salle à manger, la troisième dans ma chambre, je teste l’ensemble qui fonctionne correctement.
Je vais dans mon bureau où je programme la webcam de la chambre sur mon ordi pour que les images s’enregistrent dès qu’elle sera démarrée.
Je les aurais en double, mais sous un autre angle avec celle que j’ai placée sur le mur face au lit ressemblant à un détecteur de fumée comme le demande la législation avant de m’habiller en Maître Sade bien que je serais invisible à ma soumise, mais quand on joue un rôle il faut savoir être très professionnel.
Avant de retrouver ma voiture, un dernier détail, un papier posé bien en évidence sur le guéridon près de l’entrée.
« Aurélie, je sors, je vais chez mon éditeur, il veut me confier la traduction d’une saga américaine en 24 exemplaires qui risquent d’être aussi vendu qu’Harry Potter et qui vont nous permettre de vivre heureux pendant des années.
À ce soir après 18 heures.
J’ai bien signé ce contrat, mais la veille où j’ai découvert son rendez-vous pour me tromper sous la bienveillance de Rosana.
Ce jour-là, j’avais prévu d’aller dans une agence de voyage pour nous acheter des billets pour la Thaïlande qu’elle rêve de visiter et de lui offrir pendant un repas aux chandelles dans l’un des meilleurs restaurants Parisien où nous aurions fêté nos dix ans de mariage.
Au lieu de cela, je dois m’occuper de deux putes, termes trop faibles en rapport de ce qu’elles font et de ce qu’elles vont faire avec ma doublure m’obligeant à devenir Maître Sade.
• Entré.
Rosana, la salope qui a aidé Aurélie à changer de vie entre sans être nue, j’ai toujours voulu de cette belle femme, mais le respect de mon engagement avec Aurélie a fait que si par hasard, je l’ai légèrement dragué, je n’ai jamais franchi les portes de la bienséance.
• À poil salope, je veux voir ton cul.
• Tu te fous de ma gueule, celui qui prendra le pas sur moi, n’est pas encore venu au monde.
Elle fait sauter ma cagoule va jusqu’à la fenêtre déclenchant l’ouverture des volets et prestement saute sur le lit.
• Je m’en doutais, dans le noir, tu faisais illusion, mais en plein jour, Adrien, je te reconnais.
Inutile de nier, je suis démarqué, je n’avais pas prévu que cette magnifique femme pouvait être aussi forte que le moindre Maître, même Sade.
• Comment aurais-tu procédé, tu m’aurais violé ?
• Non, je voulais que tu te donnes à moi, sans contrainte autre que cérébrale comme j’arrive à le faire avec ma femme depuis que, j’ai compris que je ne lui suffisais plus.
• Et moi, crois-tu que si je l’ai entraîné sur cette pente, ça n’était pas suite à du ressentiment ?
Elle m’a sali, je prends du plaisir à la voir s’avilir, j’ignore, comment tu as pris la place de mon complice d’un jour, mais chapeau, tu es arrivé à aller très loin avec Aurélie, j’espérais qu’elle se prostitue, mais aussi vite, je dois reconnaître que tu es un Maître, sauf pour moi, qui suis insensible à ce genre de proposition.
• Pourquoi fais-tu cela à ton amie ?
« Ou là là, tromper mon mari comme tu le fais, cela ne me viendra jamais à l’esprit. »
• C’est ainsi qu’elle a minaudé, quand je lui ai dit mon plaisir à tromper Gaétan, j’avais rencontré le gros porc qui la prise en main dans cette chambre quand après beaucoup d’efforts elle a enfin accepté de te tromper.
• Bien, je comprends, c’est là que je suis entré dans le jeu.
• J’aurais presque envie de te dire pauvre con, comment crois-tu, que tu as trouvé l’ordinateur de ta femme et surtout ses codes d’accès dans ses tiroirs.
Un jour que nous devions commander à une société, elle avait oublié l’un des mots de passe, je lui ai fait tout changer et les écrire sur une feuille.
J’avais réussi à la convaincre qu’ayant ton propre ordi dans le grenier, le sien te laissait indifférent.
• Oui, mais la feuille était presque sortie du tiroir, c’était une négligence de sa part.
• Une copine sait comment récupérer les clefs de sa propre amie, une main dans son sac, près d’un magasin refaisant des clefs, retour près d’elle, tu es intelligent, clefs replacées, je peux entrer chez vous par votre jardin et la petite porte arrière.
La feuille, tu comprends qui t’a aidé à la voir, en venant, je savais qui était Maître Sade, il m’a suffi de planquer près du magasin de fleurs.
On frappe à la porte.
• Pile à l’heure, nous avons réussi à faire un bon toutou de ta femme, je vais profiter de la situation, une seule fois avec vous avant de retrouver Gaétan.
Entrez.
La porte s’ouvre et Aurélie entre, rapidement son regard semble étonné, il faut avouer qu’avant cette entrée, elle m’a demandé à m’allonger et est venue s’asseoir sur ma poitrine, elle est toujours aussi magnifique dans son ensemble moulant en cuir noir.
• Aurélie, je te présente Maître Sade, oui, c’est ton mari, j’ignore, comment il a pu s’insérer entre nous et mes dominateurs, à poil, j’ai envie de baiser avec vous.
Toi aussi Aurélien à poil, fait voir à Aurélie que tu es capable de satisfaire nos deux chattes.
Nous baisons l’après-midi, je prends ces deux femmes comme une bête, j’en fais mes chiennes, même si je sens qu’Adriana garde son libre-arbitre, les jours suivants, c’est chez nous qu’elles baisent ou que nous baisons suivant mon travail.
À un détail près, je suis le premier amant de cette femme, qui se fait sauter autant que je le veux, sans savoir qu’elle doit sourire aux caméras qui la filment.
Maître Sade à toujours la main sur ces deux petites salopes, à lui d’être patient, bientôt, il en fera des soumises.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Inversion du genre des prénoms à la fin... est-ce une convention pour nous révéler les vrais prénoms des protagonistes d'une histoire inspirée de faits réels?
Aussi, le dialogue entre Rosana et Maître me paraît décousue et incompréhensible. Mais bon...
Aussi, le dialogue entre Rosana et Maître me paraît décousue et incompréhensible. Mais bon...