COLLECTION VENGEANCE. Internet (3/3) - histoire érotique

Je tiens ma vengeance, même si je suis loin d’être blanc bleu dans ce qui a flanché dans notre couple pour que Christiane ma femme arrive à se faire menotter sur ce lit d’hôtel du centre de Dijon à recevoir des coups de martinet ayant servi à nos enfants.
Bien sûr, avec une simple menace pour eux, il est neuf, quand je l’abats sur le fessier de Christiane se faisant appeler Christine.

Je lui donne la correction que je pense mériter, en bon phallocrate que je suis, ce sont les femmes qui ont tort en grande partie.
J’y vais de bon cœur, je finis par prendre plaisir à la voir se tortiller et tirer sur sa menotte pensant pouvoir m’échapper.
Attention, je veux la punir, mais non la mutiler, aussi, j’ai pris le modèle luxe pour les menottes avec velours de protection, il faut savoir investir.
Elle pousse des grognements, mais le calme est revenu, les pervers des chambres voisines pensant qu’ils allaient écouter un porno sans les images en sont pour leurs frais.

• Bien, ma belle, passons à la deuxième étape de nos plaisirs, donne-moi un accord de la tête à ce que je te propose pour la suite, allons directement à ton fantasme principal, te faire sodomiser, es-tu d’accord.
Tu fais non de la tête alors, c’est bien par la pénétration de ta rosette que je vais commencer, à voir ton cul tendu vers moi, je bande comme un taureau.

Elle grogne et se tortille, je jouis cérébralement d’être le maître du cul de ma femme.

• Je t’ai dit qu’avec moi, tu peux être confiante, si tu pouvais voir, je suis en train de me mettre une capuche pour que nous baisions en toute sécurité, je me méfis d’Internet et surtout des salopes dans ton genre qui baisent tous les jours avec le premier homme qui leur tombe sous la main.

Elle fait non de la tête, mais je veux qu’elle se souvienne de qui est le patron dans notre couple, certes malgré mes quelques torts, mais en ce moment, c’est moi qui ai les mains libres et la queue bandante.

• Qui me dit qu’hier dans un autre cinq-à-sept, ton cul est resté vierge et que celui qui t’a baisé à appliquer les mêmes précautions que moi.
Tu es peut-être contaminé et que pour te venger, tu en veux à ma queue et ainsi à toute une famille.
Salope.

Je vois qu’elle veut parler aussi, je détache la boule.

• Merci, pour la précaution, mais je te promets que tu es le premier et que la position de soumission ou je suis me permets de réaliser mon fantasme le plus profond, défonce-moi, après, je redeviendrais la femme fidèle à son mari.
Je ferais les efforts nécessaires pour que nous retrouvions l’élan de notre jeunesse, mais en attendant enfile-moi par le cul si tu veux, tu as raison, je suis venu pour ressentir ce plaisir.

Je veux l’humilier au maximum, plus que la baiser, car si j’allumais maintenant, je suis sûr que la honte et surtout la peur qu’elle ressentira la calmera pour un bon moment à ce que nous nous trompions mutuellement.
Lors des lectures que j’ai faites, un auteur féminin, parlait d’une expérience qu’elle disait réelle.
Elle a subi un l’homme qui a placé un doigt de sa main droite dans son anus suivi par le même de sa main gauche, qu’il a tiré des deux côtés distendant son anus et lui apportant au moment où il lui a enfilé sa queue tendue à l’extrême un plaisir jamais ressenti.

• Un doigt dans le cul, mon salaud, j’aime, j’ai bien fait de venir.
Putain, un autre avec ton autre main, tu es fou déjà que le cul me brûle, il va en plus être distendu.
Tu tires de chaque côté, c’est trop bon.
Oh !
Tu rentres enfin, avec tes doigts, tu m’as bien préparé, même pas eu mal.
• Moi aussi, je te sens, en enlevant mes doigts, ta rosette est venue enserrer ma verge, je vais te massacrer.

Pour la première fois, je vois ma femme se comporter comme une chienne, une salope, une pute.
Je suis à la limite de lui remplir les intestins, mais j’en veux plus, je sors, je récupère un nouveau joujou acheté et je lui plante un plug de 3 centimètres de diamètre, le vendeur à qui j’ai exposé mon problème voulait que je lui place un de 5, j’ai eu pitié d’elle.
5, le plus gros que le magasin possédait, la vendeuse m’a dit qu’elle en avait connu une qui en acceptait des diamètres pareils, mais elle était dans l’impossibilité de dire la taille de la culotte de la dame.
Je lui ai rétorqué que la taille de la culotte de la dame n’avait rien à voir avec le trou de son anus.
Le plug en place, je la fais tomber sur le côté où sa main est retenue.

• Ton anus est satisfait, il l’est encore, je le vois s'ouvrir et se fermer, le seras-tu avec ta chatte.

Elle a du mal à revenir sur terre du moins, j’en ai l’impression, car je la vois la chatte entièrement ouverte dans une position complètement obscène et que j’aurais bien aimé qu’elle me présente à la maison, surtout lorsque nous sommes seules.

• Attends, évite de me toucher, j’ai du mal à digérer ce que tu viens de me faire, même si j’ai trouvé la plénitude que je cherchais, tu devrais aller voir mon mari pour lui donner des conseils.

J’en ai assez entendu pour que ma main récupère le martinet et qu’un bon coup zèbre sa foune.
Le cri qu’elle pousse doit de nouveau émoustiller les voisins s’il y en a et je suis à deux doigts de lui remettre sa boule.
Je suis loin d’être un sadique même si je veux la punir, c’est dans des limites seines, mais c’est elle qui finit par m’aider.

• Christian, bouffe-moi la chatte, j’ai promis à Christophe qui voulait me baiser ce matin que nous le ferions demain, je suis sûr qu’il me fera masturber sa queue, m’enfilera, je simulerais, comme je le fais le peu de fois où il me baise.

Dans mon plan, apprendre que ma femme simule alors que je pensais la satisfaire, même s’il est vrai que nos rapports se sont distendus, me montre le fossé qui s’est creusé entre nous.

Je lui prends les jambes, je soulève légèrement son bassin et je plonge ma hampe en elle, le mouvement de son corps et son sexe qui se met en mouvement, me rappellant les premières années de notre mariage.
Les jeux entre nous ont duré jusqu’à la naissance de notre première enfant, après m’avoir fait bander avec sa bouche, elle se couchait sur moi, s’empalait et pendant qu’elle m’embrassait goulûment, son sexe se mettait en mouvement autour de ma verge.
C’étaient ses muscles vaginaux qui se mettaient en marche, ou du moins qu’elle mettait en marche comme elle le fait en ce moment, comment avons-nous pu perdre ces jeux entre nous.

• Tu sens mes sphincters, je sais m’en servir, dans le temps mon mari adorait que je les fasse fonctionner.
• Adorait ?
Tu as arrêté de le faire !
• La naissance de mon fils a fait de moi une mère et ces jeux me sont devenus superflus, il fallait que nous fassions l’amour sans bruit à cause des enfants, sans oublier le moment où ils pleuraient alors que j’allais partir sexuellement, l’un de nous se levait.
Tu vois le bordel, c’est ainsi que de fil en aiguille nous nous sommes retrouvés dans la situation ou nous sommes aujourd’hui.

J’ai du mal à me concentrer, malgré le travail de ses anneaux intimes et de mes coups de sexes, parler de mes enfants me déconcentre, mais qu’elle a raison, je suis en train de me venger de ma propre incompétence.
C’est moi qui devrais, comme les prêtes dans l’Antiquité me flageller jusqu’au sang avec les lanières du martinet.
J’arrête tout, je vais à la fenêtre, j’arrache tous les adhésifs, la lumière pénètre un peu mieux, je vois ma femme la chatte béante, c'est la première fois depuis longtemps que je bande, j'ai envie de la prendre.
Je m’allonge à ses côtés et je récupère la clef des menottes avant de lui enlever la cagoule en ayant fait de même.

• Pourquoi me libères-tu, Christian, tu changes notre protocole, tu sais j’aime Christophe.

Je vois qu’elle cherche à équilibrer sa vision après le temps ou elle tait dans le noir.

• Chérie, merci de me rappeler ton amour.
• Christophe, c’est toi !

Elle a presque crié mon nom, elle se retourne et vient dans mes bras.

• C’est avec moi que tu conversais sur Internet, je m’en suis aperçu quand tu as parlé des noms et de l’âge de tes enfants, il était impossible que si près de chez nous, il y en ait deux ayant les mêmes caractéristiques.
• Moi aussi, une fois, j’ai eu un doute quand tu as parlé de la crème que ta femme mettait le soir, mais tu t’es bien rattrapé, je m’excuse d’avoir voulu te tromper.
• Mais tu m’as trompé ma chérie, avec Christian21, est ce vrai Christine21 !
• Oublions nos pseudos, tu sais que tu es un bon amant de substitution et si nous recommencions les jeux que tu m’as appris.
• Pas ici mon amour, rentrons à la maison, je te promets que le soir mon visage sera sans crème.
• Et moi que je saurais oublier mon ordinateur.

Nous avons respecté notre engagement, je sodomise Christiane chaque fois qu’elle me le demande, de son côté outre la crème, elle est experte en fellation sperme avalé, il va de soi.
Je quitte mon travail pour rejoindre ma bien-aimée, j’ai dans mes mains la menotte, seule chose ramenée de l’hôtel de Dijon, ils ont dû être surpris quand ils sont venus faire la chambre, nous avons laissé les rubans adhésifs et les cagoules.

• Chérie, que fais-tu.
• Je suis sur Internet !
• Je croyais que nous avions arrêté !
• Je suis sur un site, couple pour couple, je dialogue avec deux d’entre eux.
• Tu aimerais qu’on les rencontre, ça peut mettre du piment dans notre vie, montre lequel tu préfères pour une première fois.
• Josy et Chris, ils sont de la banlieue chalonnaise, ils ont notre âge, regardent comme ils ont l’air sympas.
• Ils t’ont dit pourquoi ils étaient échangistes à leur âge ?
• Oui, Chris est un beau black de nos îles et est monté comme un taureau, Josy adore le sexe, mais se faire défoncer chaque fois la fatigue, elle aspire à des bites normales, la tienne l’est mon chéri !
Quant à moi, j’aimerais une double chose, une noire et une grosse, il réunit tous les critères.
• Et l’autre couple ?
• Des jeunes de 20 ans, jeunes mariés, mais ils ont découvert que leurs parents étaient échangistes et veulent essayer, regardent comme Pat et Paton sont charmants, ils habitent à Saint-Jean-de-Losne, la ville des bateliers.
Ils voudraient commencer chez leurs partenaires, ils habitent chez les parents de Patou, ils ont peur de leur faire voir qu’ils ont les mêmes envies.
• Choisi, je suis d’accord d’essayer si cela peut renforcer notre couple mon amour.
• Inutiles, nous allons à Chalon ce soir, Josy et Chris nous reçoivent à 20 heures, quant à Pat et Patou, ils seront chez nous samedi soir, je les ai invités à venir faire un barbecue, qu’en dis-tu ?
• Dans barbecue, il y a cul ma chérie, tu es une vraie salope, j’adore.

Je viens de refermer la menotte sur sa main, je viens de l’attacher au radiateur, son cul est entièrement à ma disposition, et dire que certains disent du mal d’Internet, il suffit de savoir en déchiffrer les codes.