COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (2/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (2/5)
• Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusqu’à ce que la mort nous sépare.
C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Le jeune homme qui a su me séduire, lui le noble de la vallée de la Loire et moi qui suis la fille d’un coco de la banlieue parisienne.
• Oui, pour le pire as-tu dit, après nous aurons le meilleur.
C’est ce qu’il me dit le soir lorsque je crois rejoindre ma chambre nuptiale.
Hélas, c’est à un autre endroit qu’il me conduit afin que j’offre ma vertu à un monstre qui veut mon cul contre leur dette.
Comme si tout était naturel, il me met le marché en main.
• Quand il t’a rencontrée lors de ta présentation, le Duc a flaché sur toi.
Dans sa condition, il m’a mis le couteau sous la gorge et a exigé ta nuit de noces contre l’effacement de notre dette.
C’est pourquoi maman a préparé notre mariage en catastrophe, car il nous a fait comprendre que sa patience avait des limites.
• Dis-moi que ta salope de mère est au courant de la transaction.
• Oui, mais pourquoi la traites-tu de salope, elle est née dans notre castel et en mourrait si nous étions jetés à la rue.
• Salope, car tout à l’heure, je l’ai entendu se faire baiser dans les chiotes par mon père, alors salope !
• Je sais maman à la cuisse légère depuis la mort de père certaines fois.
Elle s’est même proposée pour venir payer notre dette, mais François a refusé, c’est toi qu’il veut.
Il faut dire que question baise, il l’a prise déjà prise sous toutes les coutures.
• Combien mon cul vaut-il ?
• 300 000 €, c’est ce que nous a payé la réfection de notre maison.
• Alors, je ferai mon devoir, pour le pire.
Je frappe et j’entre.
Je vaux 300 000 aux yeux de mon mari.
• Marie entrez, que vous êtes belle dans votre robe de mariée, venez-vous assoir à côté de moi sur ma couche, je vous attendais.
Le Duc est assis sur son lit revêtu d’une robe de chambre à brandebourg.
Ça fait très vieux France, mais il est toujours aussi laid.
Comme pour l’escalier éclairé par des torches, ce sont des bougies multiples qui éclairent la chambre.
• Oui, je sais, mes brûlures sont insupportables, même pour moi.
J’ai fait supprimer tous les miroirs du château.
Marie, soyez sans crainte, assaillez-vous là, près de moi petite fille.
Si vous êtes là, c’est que celui que vous avez épousé ce matin, a dû vous dire dans quelle situation lui et sa mère se sont retrouvés !
Je m’approche, mon Dieu, je suis pleine de bonne volonté pour aider mon mari contre ce monstre qui lui a prêté de l’argent.
Le sacrifice que Jean me demande de payer, capital et intérêt contre ma fleur semble hors de proportion.
• Je voudrais bien savoir ce qu’il a pu vous dire pour que vous acceptiez de venir me donner votre vertu dans ma chambre !
Je vais vous avouer que lui et sa mère sont de fieffer menteurs.
• C’est facile, il vous a emprunté de l’agent pour refaire le toit de leur demeure ancestral.
Lorsque vous m’avez vue l’autre jour, en venant à leur réception, vous aviez flaché sur moi et vous me vouliez vierge pour effacer cette dette.
• C’est ce que je disais, ils savent magner le vrai et le faux aux guises de leurs intérêts.
Leur demeure ancestrale, il l’on acquit par ruse grasse à un viager.
Votre belle-mère ayant vendu son cul pour l’acquérir près d’un vieillard sénile.
Je repense à papa dans les toilettes de la salle de noces, il est vrai qu’il faut être une grosse salope pour se faire ainsi baiser sur une cuvette de water.
• Quant à leurs titres, ils se disent Vicomte et Vicomtesse, même si les titres ont disparu à la révolution, ils sont aussi nobles que moi j’étais pompier lorsque je me suis jeté dans les flammes pour sauver ma vieille nourrice.
Cet argent 500 000 €, ils l’ont perdu tous les deux, mère et fils en jouant au casino de notre ville.
• Ils m’ont dit 300 000 pour leur toit.
• Je leur ai prêté cet argent avec intérêt, voyant qu’ils trainaient pour me rembourser, je leur ai proposé une autre solution.
• Que je vous donne ma vertu !
• Inexact ma mie, je voulais qu’ils me remboursent contre certains meubles de valeur qu’ils avaient soustrait avant le viager à mon vieux voisin.
Les enfants ont tout perdu dans cette manœuvre frauduleuse.
Ils savent que je peux témoigner de leur turpitude.
Votre belle-mère me cajole et m’invite chaque fois qu’elle le peut et c’est elle qui m’a proposé ce marché entre vous et moi.
Une seule fois, elle est venue au château se jetant à mes pieds afin que je la baise, j’ai horreur des fruits pourris et je l’ai rejetée.
• Si je comprends bien, c’est là encore l’un de leurs mensonges, mon mari vient de me dire que vous baisiez déjà sa mère et c’est pourquoi, c’est moi que vous vouliez lors de ma nuit de noces !
• Vous comprenez très vite, petite Marie, lors de cette fameuse réception, j’avais remarqué la pétillance de votre esprit, vous êtes un diamant pour eux.
Voilà, nous arrivons au terme de notre histoire, je vais vous laisser dormir pour donner le change et demain, vous pourrez choisir votre avenir, hélas, loin de moi.
Je sais la laideur que les flammes ont faite de moi et je m’en retournerai à ma solitude.
Je rêverai à la jolie fille avec qui j’ai eu le plaisir de discuter dans sa robe de mariée lors de sa nuit qui aurait dû être magique.
Il veut se lever, je le devance et je m’agenouille devant lui.
J’ouvre son peignoir et trouve un sexe intact comparé au reste de son corps.
Juste quelques rougeurs quand je le prends en main.
• Que faites-vous petite fille, même s’il me plait de vous voir vous occuper d’un infirme ?
Son corps se crispe quand j’approche ma bouche et que je laisse aller ma langue sur son méat.
Pour la première fois, une verge énorme entre dans ma bouche.
Je savais que des hommes étaient bien pourvus à leur naissance.
La verge que je fais pénétrer d’environ la moitié semble en faire partie.
• Mon Dieu petite fille, avez-vous bien vu dans quel état se trouve mon corps ?
• Peu importe ton corps, ce que je veux c’est que ça soit toi qui me fasses découvrir ma vie de femme.
Mon mari voulait faire de moi une pute en me vendant à toi, c’est moi de mon plein gré qui me donne.
• Vous serez ma duchesse !
• Je serais ce que tu feras de moi.
• Alors, venez.
Il me tire à lui mon corps toujours recouvert de ma robe de mariée et pour la première fois nos bouches puis nos langues se trouvent.
• Je suis prête, soulève ma robe arrache ma petite culotte.
• Attendez, je reviens.
Handicapé par ses brûlures, mais agile, il saute du lit va dans une pièce qui doit être d’eau et en revient avec une grande paire de ciseaux.
J’éclate de rire lorsque sans ménagement il découpe du bas en haut l’objet qui aurait dû représenter un pur moment de ma vie quand Jean me l’aurait dégrafé avant de faire de moi sa femme.
Je l’espère, rapidement comblée.
Comblée je le suis quand les ciseaux franchisent la partie vierge de mon corps.
Comblé je le suis lorsque voyant ma petite culotte, il commence par embrasser ma virginité avant de la lécher au travers de mon léger voile.
Comme s’il voulait retarder le moment de découvrir ma blondeur, ses ciseaux reprennent leur travail jusqu’à mon bustier fait d’une matière plus épaisse.
Mais les muscles, eux aussi atteint en leur surface, sont d’une vigueur incroyable quand je les compare à ceux de Jean, genre ablette.
Poisson que j’ai pêché sur les bords de Marne dans ma jeunesse lors d’un concourt du parti communiste.
Ce fut la seule fois que papa a fait le concours de pêche de sa section, mais il y a bien longtemps.
Rapidement il arrive au départ de ma vie avec maman et s’attarde plus que de raison ma chatte en feu.
Il reprend son travail, millimètre par millimètre.
Je vois le ciseau avancer jusqu’à me menacer de devenir borgne si par un hasard malencontreux le tissu cède d’un coup.
Mais jusqu’à maintenant François a fait un sans faute sortant le papillon de sa chrysalide que constituait cette robe que, pourtant j’avais offerte, en la passant ce matin, à celui que je vais cocufier.
Ma chatte, même recouverte, mon nombril puis mes seins, calmement reçoivent ses hommages.
J’ai envie de lui hurler.
« Oui, arrache ma culotte, prends-moi sauvagement, fait de moi une chienne, fait de moi ta chienne. »
Mais ce sont les ciseaux qui finissent le travail par deux coups précis.
Ma main saisit le gros bâton qui est à son maximum de tension et s’est moi qui le guide dans mon attente.
• Doucement petite fille, profitez de ce moment unique pour vous les femmes dans votre vie et pour moi qui serai en vous une seule fois pour une seule nuit...
C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
Le jeune homme qui a su me séduire, lui le noble de la vallée de la Loire et moi qui suis la fille d’un coco de la banlieue parisienne.
• Oui, pour le pire as-tu dit, après nous aurons le meilleur.
C’est ce qu’il me dit le soir lorsque je crois rejoindre ma chambre nuptiale.
Hélas, c’est à un autre endroit qu’il me conduit afin que j’offre ma vertu à un monstre qui veut mon cul contre leur dette.
Comme si tout était naturel, il me met le marché en main.
• Quand il t’a rencontrée lors de ta présentation, le Duc a flaché sur toi.
Dans sa condition, il m’a mis le couteau sous la gorge et a exigé ta nuit de noces contre l’effacement de notre dette.
C’est pourquoi maman a préparé notre mariage en catastrophe, car il nous a fait comprendre que sa patience avait des limites.
• Dis-moi que ta salope de mère est au courant de la transaction.
• Oui, mais pourquoi la traites-tu de salope, elle est née dans notre castel et en mourrait si nous étions jetés à la rue.
• Salope, car tout à l’heure, je l’ai entendu se faire baiser dans les chiotes par mon père, alors salope !
• Je sais maman à la cuisse légère depuis la mort de père certaines fois.
Elle s’est même proposée pour venir payer notre dette, mais François a refusé, c’est toi qu’il veut.
Il faut dire que question baise, il l’a prise déjà prise sous toutes les coutures.
• Combien mon cul vaut-il ?
• 300 000 €, c’est ce que nous a payé la réfection de notre maison.
• Alors, je ferai mon devoir, pour le pire.
Je frappe et j’entre.
Je vaux 300 000 aux yeux de mon mari.
• Marie entrez, que vous êtes belle dans votre robe de mariée, venez-vous assoir à côté de moi sur ma couche, je vous attendais.
Le Duc est assis sur son lit revêtu d’une robe de chambre à brandebourg.
Ça fait très vieux France, mais il est toujours aussi laid.
Comme pour l’escalier éclairé par des torches, ce sont des bougies multiples qui éclairent la chambre.
• Oui, je sais, mes brûlures sont insupportables, même pour moi.
J’ai fait supprimer tous les miroirs du château.
Marie, soyez sans crainte, assaillez-vous là, près de moi petite fille.
Si vous êtes là, c’est que celui que vous avez épousé ce matin, a dû vous dire dans quelle situation lui et sa mère se sont retrouvés !
Je m’approche, mon Dieu, je suis pleine de bonne volonté pour aider mon mari contre ce monstre qui lui a prêté de l’argent.
Le sacrifice que Jean me demande de payer, capital et intérêt contre ma fleur semble hors de proportion.
• Je voudrais bien savoir ce qu’il a pu vous dire pour que vous acceptiez de venir me donner votre vertu dans ma chambre !
Je vais vous avouer que lui et sa mère sont de fieffer menteurs.
• C’est facile, il vous a emprunté de l’agent pour refaire le toit de leur demeure ancestral.
Lorsque vous m’avez vue l’autre jour, en venant à leur réception, vous aviez flaché sur moi et vous me vouliez vierge pour effacer cette dette.
• C’est ce que je disais, ils savent magner le vrai et le faux aux guises de leurs intérêts.
Leur demeure ancestrale, il l’on acquit par ruse grasse à un viager.
Votre belle-mère ayant vendu son cul pour l’acquérir près d’un vieillard sénile.
Je repense à papa dans les toilettes de la salle de noces, il est vrai qu’il faut être une grosse salope pour se faire ainsi baiser sur une cuvette de water.
• Quant à leurs titres, ils se disent Vicomte et Vicomtesse, même si les titres ont disparu à la révolution, ils sont aussi nobles que moi j’étais pompier lorsque je me suis jeté dans les flammes pour sauver ma vieille nourrice.
Cet argent 500 000 €, ils l’ont perdu tous les deux, mère et fils en jouant au casino de notre ville.
• Ils m’ont dit 300 000 pour leur toit.
• Je leur ai prêté cet argent avec intérêt, voyant qu’ils trainaient pour me rembourser, je leur ai proposé une autre solution.
• Que je vous donne ma vertu !
• Inexact ma mie, je voulais qu’ils me remboursent contre certains meubles de valeur qu’ils avaient soustrait avant le viager à mon vieux voisin.
Les enfants ont tout perdu dans cette manœuvre frauduleuse.
Ils savent que je peux témoigner de leur turpitude.
Votre belle-mère me cajole et m’invite chaque fois qu’elle le peut et c’est elle qui m’a proposé ce marché entre vous et moi.
Une seule fois, elle est venue au château se jetant à mes pieds afin que je la baise, j’ai horreur des fruits pourris et je l’ai rejetée.
• Si je comprends bien, c’est là encore l’un de leurs mensonges, mon mari vient de me dire que vous baisiez déjà sa mère et c’est pourquoi, c’est moi que vous vouliez lors de ma nuit de noces !
• Vous comprenez très vite, petite Marie, lors de cette fameuse réception, j’avais remarqué la pétillance de votre esprit, vous êtes un diamant pour eux.
Voilà, nous arrivons au terme de notre histoire, je vais vous laisser dormir pour donner le change et demain, vous pourrez choisir votre avenir, hélas, loin de moi.
Je sais la laideur que les flammes ont faite de moi et je m’en retournerai à ma solitude.
Je rêverai à la jolie fille avec qui j’ai eu le plaisir de discuter dans sa robe de mariée lors de sa nuit qui aurait dû être magique.
Il veut se lever, je le devance et je m’agenouille devant lui.
J’ouvre son peignoir et trouve un sexe intact comparé au reste de son corps.
Juste quelques rougeurs quand je le prends en main.
• Que faites-vous petite fille, même s’il me plait de vous voir vous occuper d’un infirme ?
Son corps se crispe quand j’approche ma bouche et que je laisse aller ma langue sur son méat.
Pour la première fois, une verge énorme entre dans ma bouche.
Je savais que des hommes étaient bien pourvus à leur naissance.
La verge que je fais pénétrer d’environ la moitié semble en faire partie.
• Mon Dieu petite fille, avez-vous bien vu dans quel état se trouve mon corps ?
• Peu importe ton corps, ce que je veux c’est que ça soit toi qui me fasses découvrir ma vie de femme.
Mon mari voulait faire de moi une pute en me vendant à toi, c’est moi de mon plein gré qui me donne.
• Vous serez ma duchesse !
• Je serais ce que tu feras de moi.
• Alors, venez.
Il me tire à lui mon corps toujours recouvert de ma robe de mariée et pour la première fois nos bouches puis nos langues se trouvent.
• Je suis prête, soulève ma robe arrache ma petite culotte.
• Attendez, je reviens.
Handicapé par ses brûlures, mais agile, il saute du lit va dans une pièce qui doit être d’eau et en revient avec une grande paire de ciseaux.
J’éclate de rire lorsque sans ménagement il découpe du bas en haut l’objet qui aurait dû représenter un pur moment de ma vie quand Jean me l’aurait dégrafé avant de faire de moi sa femme.
Je l’espère, rapidement comblée.
Comblée je le suis quand les ciseaux franchisent la partie vierge de mon corps.
Comblé je le suis lorsque voyant ma petite culotte, il commence par embrasser ma virginité avant de la lécher au travers de mon léger voile.
Comme s’il voulait retarder le moment de découvrir ma blondeur, ses ciseaux reprennent leur travail jusqu’à mon bustier fait d’une matière plus épaisse.
Mais les muscles, eux aussi atteint en leur surface, sont d’une vigueur incroyable quand je les compare à ceux de Jean, genre ablette.
Poisson que j’ai pêché sur les bords de Marne dans ma jeunesse lors d’un concourt du parti communiste.
Ce fut la seule fois que papa a fait le concours de pêche de sa section, mais il y a bien longtemps.
Rapidement il arrive au départ de ma vie avec maman et s’attarde plus que de raison ma chatte en feu.
Il reprend son travail, millimètre par millimètre.
Je vois le ciseau avancer jusqu’à me menacer de devenir borgne si par un hasard malencontreux le tissu cède d’un coup.
Mais jusqu’à maintenant François a fait un sans faute sortant le papillon de sa chrysalide que constituait cette robe que, pourtant j’avais offerte, en la passant ce matin, à celui que je vais cocufier.
Ma chatte, même recouverte, mon nombril puis mes seins, calmement reçoivent ses hommages.
J’ai envie de lui hurler.
« Oui, arrache ma culotte, prends-moi sauvagement, fait de moi une chienne, fait de moi ta chienne. »
Mais ce sont les ciseaux qui finissent le travail par deux coups précis.
Ma main saisit le gros bâton qui est à son maximum de tension et s’est moi qui le guide dans mon attente.
• Doucement petite fille, profitez de ce moment unique pour vous les femmes dans votre vie et pour moi qui serai en vous une seule fois pour une seule nuit...
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