COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (4/5)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Je sacrifie ma vertu pour la dette de mon mari (4/5)
• Marie, je te prends pour épouse dans le bon et le mauvais jusqu’à ce que la mort nous sépare.
C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
• Mais je bande, fait quelque chose !
Ce cri de désespoir, je le pousse lorsque Jean le vicomte de la Bal veut me prendre, au premier jour de mes noces.
J’ignore les usages dans la bourgeoisie ancienne, moi fille d’un ouvrier spécialisé de la banlieue parisienne qui plus est, vendeur de l’huma tous les dimanches matin.
Suis-je déjà vicomtesse ou dois-je attendre la disparition de ma salope de belle-mère pour avoir droit à ce titre.
Je dis « salope » sans aucune retenue depuis tout à l’heure ou le Duc notre voisin, monstre suite à de graves brulures, mais homme d’exception depuis qu’il m’a déflorée de partout.
La pute de vicomtesse et son putain de fils venant taper à la porte de mon intimité m’a vendu au duc, comme le faisaient les nobles sur leur terre lorsque l’une de leurs jeunes servantes convolait avec un autre serviteur.
• Je veux bien te soulager en te masturbant, c’est le maxi que je peux faire pendant plusieurs jours.
• Je saurai être patient, j’ignorais que le duc était si bien monté, mais tu as eu raison de te faire casser le cul pour 100 000 €.
Vite fait bien fait, il éjacule sur les draps, j’ai l’impression d’épargner mon amant cocufiant le cocu en me refusant à lui.
Hélas, pendant combien de temps.
L’idée de me venger est profondément ancrée en moi, je me demande si je vais appeler papa pour lui expliquer la situation et ce que l’on a fait subir à sa petite fille chérie.
Certes, un obstacle à cet appel au secours, mon père a enfilé ma belle-mère la vicomtesse dans les chiottes de la salle des fêtes de la commune ou la fête a eu lieu.
Sinon, le connaissant il est capable de débarquer au manoir et de tout casser avec une équipe de gros bras du service d’ordre de sa section agissant lors de manifestations.
C’est le lendemain que je reçois un appel sur mon portable, qui peut bien m'‘appeler en ce début d’après-midi alors que je suis nue sur mon lit, mon mari semblant s’être absenté.
Mon regard se pose sur la table de nuit ou en toute confiance j’avais posé le chèque.
Il brille par son absence.
Le fumier, il m’aura tout fait, mais qui puis-je, je suis une faible femme.
• Madame Marie venez me retrouver au fond de votre parc, prenez le chemin à gauche en sortant du manoir, vous arriverez à une fontaine, je vous y attendrais.
J’ai vu votre mari et votre belle-mère partir en voiture, les connaissant, ils vont au casino.
Je me lève, je suis seule, mes 100 000 € vont vite être englouties dans le puits sans fond que sont ces accros aux jeux.
La voix me dit quelque chose sans pouvoir y mettre un nom.
Je prends dans mon armoire de quoi me vêtir, j’ai amené mes effets, il y a une semaine avant mes noces.
Je trouve la fontaine facilement, je comprends quand je vois l’homme devant moi les fesses appuyées sur la fontaine.
Le mur entre la propriété du Duc et notre manoir est écroulé laissant voir une brèche facilement franchissable.
Arsène est celui qui m’a convoqué, mais pourquoi !
• Bonjour madame marie, vous devez être étonné de vous avoir demandé de venir me rencontrer.
C’est l’air enjoué du duc ce matin quand je lui ai apporté son petit déjeuner qui m’a convaincu de venir vous rencontrer.
Depuis son accident, c’est la première fois que je le vois ayant repris goût à la vie.
Je vais être direct, je vais vous débarrasser de ces cafares.
• Comment ça, que voulez-vous dire ?
• J’étais un ami avec Léon, le vieux monsieur qui a tout perdu lorsque ces serpents se sont attaqués à lui.
Je m’occupais du duc, mais de Léon aussi.
Du duc, depuis plusieurs générations, mon aïeul au moment de la révolution a caché son aïeul dans son propre château avant de tout lui restituer lorsque les émeutes contre les nobles se sont calmées.
J’ai un fils qui est en formation dans une école hôtelière en Bourgogne et qui viendra me rejoindre, pour prendre ma suite.
Un matin, j’ai vu des papiers dans la salle à manger, j’ai su qu’ils avaient réussi à lui faire signer un viager.
Ils sont venus s’installer dès sa mort dans les mois qui ont suivi.
• Vous savez de quoi il est mort.
• Dois-je le dire, le médecin a conclu à un décès par épuisement.
J’ignore quel est votre niveau sur les pratiques sexuelles, celle qui se dit vicomtesse le pompait le plus souvent possible.
• Ce sont des supputations, vous l’avez vu !
• Dans son dernier soupir, je voyais qu’il voulait parler, j’ai mis mon oreille près de sa bouche, il disait en boucle « oui, pompes moi vieille salope, oui pompes moi vieille salope »
Si c’est exact, ça confirme ce que j’ai vu lorsqu’elle se faisait sauter lors de ma soirée de noces dans les toilettes de la salle des fêtes.
• J’ai un plan, vous allez recevoir une visite surprenante.
Ce dernier propos tenu, il passe le mur écroulé et disparaît de ma vue.
C’est dans la matinée du lendemain, que ma belle-mère vient me prévenir que des gendarmes demandent à me voir.
J’avais entendu sonné, sans plus m’inquiéter, j’étais en train de regarder mon compte sur Internet.
100 000 €, plus le solde précédent, mon chèque a bien été encaissé, je me sens riche, même si j’ai promis à mon mari de lui rendre cette argent.
• Je vais voir ce qu’ils me veulent.
• Bonjours madame, voulez-vous me suivre à la gendarmerie.
• Pouvez-vous me dire ce que j'ai fait pour être interpellé ainsi, je veux un avocat ?
• Vous l’aurez, c’est la loi, mais nous avons simplement une question à vous poser.
• Je vais avec ma femme.
• Ce que nous pouvons vous dire, c’est que nous avons reçu une lettre anonyme, vous auriez soutiré 100 000 € à un vieillard en vous prostituant !
• Suis les Marie, je m’occupe de l’avocat, soit sans crainte.
Je sens nettement le rétropédalage de ma belle-mère quand le gendarme parle des 100 000 €.
Je vois qu’elle est au courant de l’argent soutiré à François pour crédibiliser l’offrande de mon anus à mon amant.
Nous arrivons dans les locaux, une gendarmette est là semblant être la cheffe.
• Est-il vrai qu’un homme vous a remis un chèque de 100 000 € pour votre participation à une opération de prostitution ?
Je vais faire une demande de contrôle de votre compte en banque.
Je me sens piégée, rapidement ils vont savoir que j’ai soutiré cet argent à leur maire, mettant dans l’embarras mon amant, mais qui est le seul à pouvoir me disculper.
• J’attends l’avocat envoyé par ma belle-mère pour vous répondre.
On me fait attendre sur un banc dans un couloir face au bureau de celle qui a commencé à me poser des questions.
J’entends le téléphone sonner et une effervescence autour de moi.
Ils partent tous, même leur chef, sans que j’aie vu la queue du moindre avocat.
Que fait ma belle-mère ?
Longue attente avant son retour, seule.
• Madame, suivez-moi, il est arrivé un gros problème pour votre mari et sa mère !
Je suis anxieuse, pas pour ma belle-mère et mon mari, mais tout va trop vite pour moi.
• Madame, soyez forte, votre mari et sa maman se sont suicidés, ils se sont pendus au lustre de la salle à manger.
Ils ont laissé une lettre pour expliquer leur geste, les services spécialisés sont sur place.
Nous montons les marches, François est là et depuis la porte d’entrée grâce à une glace, je vois deux corps allongés sous des toiles.
Passons toute la procédure où je suis hors de cause, j’étais à la gendarmerie lorsqu’ils se sont pendus.
Les 100 000 €, François les justifie par l’achat de meubles que je lui aurais proposé au soir de mes noces dans la salle des fêtes pour aider mon mari dans une sinécure où il se trouvait.
Je vis dans l’appartement au-dessus de celui de François.
Il a fait la proposition lorsque j’ai dit que j’étais dans l’incapacité de vivre dans la même maison que celui que je venais d’épouser et qui était mort auprès de sa mère.
Dans ce village, qui pour le contredire, je sais maintenant que le Duc est adulé de tous.
Bien sûr, je sais que la disparition de ceux qui m’ont contraint à coucher avec lui doit être loin d’être naturelle, mais tout semble parfait à la justice qui classe la pendaison en suicide.
Je redeviens une femme libre certainement bien aidé par Arsène qui a réalisé le crime parfait, aucune trace d’ADN suspect autres que ceux de la vieille pute et son enfoiré de fils...
C’est les mots que Jean prononce le jour de nos noces.
• Mais je bande, fait quelque chose !
Ce cri de désespoir, je le pousse lorsque Jean le vicomte de la Bal veut me prendre, au premier jour de mes noces.
J’ignore les usages dans la bourgeoisie ancienne, moi fille d’un ouvrier spécialisé de la banlieue parisienne qui plus est, vendeur de l’huma tous les dimanches matin.
Suis-je déjà vicomtesse ou dois-je attendre la disparition de ma salope de belle-mère pour avoir droit à ce titre.
Je dis « salope » sans aucune retenue depuis tout à l’heure ou le Duc notre voisin, monstre suite à de graves brulures, mais homme d’exception depuis qu’il m’a déflorée de partout.
La pute de vicomtesse et son putain de fils venant taper à la porte de mon intimité m’a vendu au duc, comme le faisaient les nobles sur leur terre lorsque l’une de leurs jeunes servantes convolait avec un autre serviteur.
• Je veux bien te soulager en te masturbant, c’est le maxi que je peux faire pendant plusieurs jours.
• Je saurai être patient, j’ignorais que le duc était si bien monté, mais tu as eu raison de te faire casser le cul pour 100 000 €.
Vite fait bien fait, il éjacule sur les draps, j’ai l’impression d’épargner mon amant cocufiant le cocu en me refusant à lui.
Hélas, pendant combien de temps.
L’idée de me venger est profondément ancrée en moi, je me demande si je vais appeler papa pour lui expliquer la situation et ce que l’on a fait subir à sa petite fille chérie.
Certes, un obstacle à cet appel au secours, mon père a enfilé ma belle-mère la vicomtesse dans les chiottes de la salle des fêtes de la commune ou la fête a eu lieu.
Sinon, le connaissant il est capable de débarquer au manoir et de tout casser avec une équipe de gros bras du service d’ordre de sa section agissant lors de manifestations.
C’est le lendemain que je reçois un appel sur mon portable, qui peut bien m'‘appeler en ce début d’après-midi alors que je suis nue sur mon lit, mon mari semblant s’être absenté.
Mon regard se pose sur la table de nuit ou en toute confiance j’avais posé le chèque.
Il brille par son absence.
Le fumier, il m’aura tout fait, mais qui puis-je, je suis une faible femme.
• Madame Marie venez me retrouver au fond de votre parc, prenez le chemin à gauche en sortant du manoir, vous arriverez à une fontaine, je vous y attendrais.
J’ai vu votre mari et votre belle-mère partir en voiture, les connaissant, ils vont au casino.
Je me lève, je suis seule, mes 100 000 € vont vite être englouties dans le puits sans fond que sont ces accros aux jeux.
La voix me dit quelque chose sans pouvoir y mettre un nom.
Je prends dans mon armoire de quoi me vêtir, j’ai amené mes effets, il y a une semaine avant mes noces.
Je trouve la fontaine facilement, je comprends quand je vois l’homme devant moi les fesses appuyées sur la fontaine.
Le mur entre la propriété du Duc et notre manoir est écroulé laissant voir une brèche facilement franchissable.
Arsène est celui qui m’a convoqué, mais pourquoi !
• Bonjour madame marie, vous devez être étonné de vous avoir demandé de venir me rencontrer.
C’est l’air enjoué du duc ce matin quand je lui ai apporté son petit déjeuner qui m’a convaincu de venir vous rencontrer.
Depuis son accident, c’est la première fois que je le vois ayant repris goût à la vie.
Je vais être direct, je vais vous débarrasser de ces cafares.
• Comment ça, que voulez-vous dire ?
• J’étais un ami avec Léon, le vieux monsieur qui a tout perdu lorsque ces serpents se sont attaqués à lui.
Je m’occupais du duc, mais de Léon aussi.
Du duc, depuis plusieurs générations, mon aïeul au moment de la révolution a caché son aïeul dans son propre château avant de tout lui restituer lorsque les émeutes contre les nobles se sont calmées.
J’ai un fils qui est en formation dans une école hôtelière en Bourgogne et qui viendra me rejoindre, pour prendre ma suite.
Un matin, j’ai vu des papiers dans la salle à manger, j’ai su qu’ils avaient réussi à lui faire signer un viager.
Ils sont venus s’installer dès sa mort dans les mois qui ont suivi.
• Vous savez de quoi il est mort.
• Dois-je le dire, le médecin a conclu à un décès par épuisement.
J’ignore quel est votre niveau sur les pratiques sexuelles, celle qui se dit vicomtesse le pompait le plus souvent possible.
• Ce sont des supputations, vous l’avez vu !
• Dans son dernier soupir, je voyais qu’il voulait parler, j’ai mis mon oreille près de sa bouche, il disait en boucle « oui, pompes moi vieille salope, oui pompes moi vieille salope »
Si c’est exact, ça confirme ce que j’ai vu lorsqu’elle se faisait sauter lors de ma soirée de noces dans les toilettes de la salle des fêtes.
• J’ai un plan, vous allez recevoir une visite surprenante.
Ce dernier propos tenu, il passe le mur écroulé et disparaît de ma vue.
C’est dans la matinée du lendemain, que ma belle-mère vient me prévenir que des gendarmes demandent à me voir.
J’avais entendu sonné, sans plus m’inquiéter, j’étais en train de regarder mon compte sur Internet.
100 000 €, plus le solde précédent, mon chèque a bien été encaissé, je me sens riche, même si j’ai promis à mon mari de lui rendre cette argent.
• Je vais voir ce qu’ils me veulent.
• Bonjours madame, voulez-vous me suivre à la gendarmerie.
• Pouvez-vous me dire ce que j'ai fait pour être interpellé ainsi, je veux un avocat ?
• Vous l’aurez, c’est la loi, mais nous avons simplement une question à vous poser.
• Je vais avec ma femme.
• Ce que nous pouvons vous dire, c’est que nous avons reçu une lettre anonyme, vous auriez soutiré 100 000 € à un vieillard en vous prostituant !
• Suis les Marie, je m’occupe de l’avocat, soit sans crainte.
Je sens nettement le rétropédalage de ma belle-mère quand le gendarme parle des 100 000 €.
Je vois qu’elle est au courant de l’argent soutiré à François pour crédibiliser l’offrande de mon anus à mon amant.
Nous arrivons dans les locaux, une gendarmette est là semblant être la cheffe.
• Est-il vrai qu’un homme vous a remis un chèque de 100 000 € pour votre participation à une opération de prostitution ?
Je vais faire une demande de contrôle de votre compte en banque.
Je me sens piégée, rapidement ils vont savoir que j’ai soutiré cet argent à leur maire, mettant dans l’embarras mon amant, mais qui est le seul à pouvoir me disculper.
• J’attends l’avocat envoyé par ma belle-mère pour vous répondre.
On me fait attendre sur un banc dans un couloir face au bureau de celle qui a commencé à me poser des questions.
J’entends le téléphone sonner et une effervescence autour de moi.
Ils partent tous, même leur chef, sans que j’aie vu la queue du moindre avocat.
Que fait ma belle-mère ?
Longue attente avant son retour, seule.
• Madame, suivez-moi, il est arrivé un gros problème pour votre mari et sa mère !
Je suis anxieuse, pas pour ma belle-mère et mon mari, mais tout va trop vite pour moi.
• Madame, soyez forte, votre mari et sa maman se sont suicidés, ils se sont pendus au lustre de la salle à manger.
Ils ont laissé une lettre pour expliquer leur geste, les services spécialisés sont sur place.
Nous montons les marches, François est là et depuis la porte d’entrée grâce à une glace, je vois deux corps allongés sous des toiles.
Passons toute la procédure où je suis hors de cause, j’étais à la gendarmerie lorsqu’ils se sont pendus.
Les 100 000 €, François les justifie par l’achat de meubles que je lui aurais proposé au soir de mes noces dans la salle des fêtes pour aider mon mari dans une sinécure où il se trouvait.
Je vis dans l’appartement au-dessus de celui de François.
Il a fait la proposition lorsque j’ai dit que j’étais dans l’incapacité de vivre dans la même maison que celui que je venais d’épouser et qui était mort auprès de sa mère.
Dans ce village, qui pour le contredire, je sais maintenant que le Duc est adulé de tous.
Bien sûr, je sais que la disparition de ceux qui m’ont contraint à coucher avec lui doit être loin d’être naturelle, mais tout semble parfait à la justice qui classe la pendaison en suicide.
Je redeviens une femme libre certainement bien aidé par Arsène qui a réalisé le crime parfait, aucune trace d’ADN suspect autres que ceux de la vieille pute et son enfoiré de fils...
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