COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 036 109 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 4 323 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION VENGEANCE. Ma fille dans une vitrine. Début de la saison I (1/3)
Cette histoire, se déroulera en deux saisons de trois épisodes, voici le premier.
Mon portable sonne, c’est un S.M.S. alors que je suis à mon travail.
« Gand, vitrine... »
Et c’est tout, très énigmatique.
Gand, j’en connais un en Belgique, plutôt une ville, j’y suis allé avec ma jeune épouse Laura avant la naissance de notre fille Jade lors d’un voyage pour aller voir les tulipes près d’Amsterdam.
Ces deux femmes de ma vie ont disparu.
Laura je sais où, elle m’a quitté victime d’un chauffard sur l’autoroute A1 alors que Jade avait 9 ans et repose au cimetière de Sarcelles dans le Val-d’Oise.
Jade, c’est plus compliqué, je l’ai élevé seul avant qu’un jour elle aussi disparaisse.
Comme dit Dalida, elle venait d’avoir 19 ans, 10 ans jour pour jour après la mort de Laura.
Elle devait venir avec moi déposer des fleurs sur la tombe de sa maman et aller au restaurant alors qu’elle a brillé par son absence.
Deux jours après, j’étais inquiet, aucune réponse sur son portable, j’ai commencé à être un peu inquiet étant assez proche de ma fille.
Elle venait de finir ses études au lycée de Sarcelles, reçue avec mention au bac et je lui avais loué un studio à Asnières sous couvert de prendre son indépendance poursuivant ses études à la fac de Nanterre.
J’avais bien essayé de la garder à la maison en lui achetant une voiture pour qu’elle fasse Sarcelles Nanterre tous les jours.
Elle a prétexté qu’il était plus facile de se déplacer en transport en commun entre Asnières et Nanterre que de faire le trajet en voiture.
Elle a ajouté que je serais gagnant au bout du compte.
J’ai très vite compris, voyant les jeunes puceaux qui tournaient autour de notre nid, que la jeune oisillonne voulait prendre son envole.
Enfin quand je dis puceau, il devait bien y avoir quelques hommes un peu mûres et comme nous avions eu une conversation sur la sexualité des jeunes, elle savait les risques et je savais qu’elle se protégeait.
Ce fut le plus difficile de notre conversation ce jour-là au restaurant le jour de ses 16 ans.
J’aurais eu des facilités si ma petite et grande Jade était un garçon.
Parlé de sexe sans prononcé ce mot fut un exercice périlleux qui aurait dû incomber à Laura en tant que mère à fille.
Bref à 19 ans, j’ai jugé qu’il fallait être un père moderne et c’est grâce à Roccovic, Rocco dans ma société que nous avons trouvé ce studio, fraîchement restauré qui convenait parfaitement à Jade.
Comme je parle de ma société, disons en plus.
J’ai une société de nettoyage sur le nord de Paris dans les nombreux bâtiments professionnels de notre région.
Je l’ai monté de toutes pièces, habitant à Bondy dans une cité HLM de cette ville.
Je suis parti de rien et je possède une société employant plus de 100 personnes.
Je suis secondé par Ariel, un jeune issu lui aussi de la banlieue qui gère principalement les plannings de nos femmes de ménage et quelques hommes.
Je dirais plutôt des femmes, la plupart venant du Maghreb et travaillant en élevant leurs enfants seules avec bien des difficultés.
Elles me connaissent et savent souvent d’où je viens.
Il m’arrive d’aller rencontrer quelques-unes d’entre elles pour essayer de leur faire quitter leur hall d’immeuble.
Attention que les choses soient bien claires, depuis que j’emploi des femmes, étant veuf, il m’arrive d’avoir des rapports sexuels avec le sexe opposé.
Mais tout le temps hors des heures de travail et hors de ma société, hélas, des coups d’un jour ou max d’un ou deux mois.
Je suis tellement pris par mon travail que je suis très peu attentionné avec mes maîtresses qui elles cherchent plus que des baises par intermittence, elles me quittent pour d’autres bites plus disponibles.
Pourtant, sans me vanter, je sais satisfaire les femmes, Laura serait toujours de ce monde, le dirait si, hélas...
Pardon, on voit là ma sensibilité, je suis quelquefois distant avec d’autres femmes après l’amour fou qui nous a unis avec en point d’orgue la naissance de Jade.
Dans mon personnel, il y a donc Ariel et Rocco qui lui est ce que l’on appelle un multicarte et qui m’aide à trouver des contrats pour remplacer la défaillance de certaines sociétés ayant besoin qu’on les nettoie.
Il travaille un ou deux jours par semaine pour nous et va même en Belgique où il a des activités.
Nous pouvons dire que nous sommes les trois hommes de mon entreprise et je suis secondée par Laurine, ma secrétaire et chef de la partie administrative de la société.
Ariel dans son travail en plus des plannings s’occupe de valider les commandes de matières premières pour frotter, briquer et protéger notre personnel en blouse, gants et sabots de sécurité.
Je sais que Laurine est amoureuse de moi et me le montre par ses tenues un peu osées.
Il est fréquent qu’elle me mette ses seins fort beaux d’ailleurs en forme de poires sous les yeux.
Mais je résiste évitant de confondre travail et plaisir.
Pourtant, elle me fait bander.
Revenons à Jade, il y avait six mois qu’elle était à Asnières et chaque fois que je l’appelais ou que j’y allais elle me répondait.
Après son faux bon pour l’anniversaire de sa maman sur sa tombe, rien.
Au bout de quatre jours, la fac m’a répondu que depuis plus d’un mois, elle séchait les cours régulièrement.
Je me suis rendu au commissariat d’Asnières où j’ai été reçu par un policier qui m’a presque rigolé au nez.
• Votre fille à 19 ans, elle est partie en week-end avec un beau mec, vous la verrez revenir toute pimpante de cette petite escapade.
Vous me parlez de la fac qu’elle aurait séchée, si le mec sait y faire, il aime rester au pieu avec elle, ça va lui passer.
Si vous saviez le nombre de plaintes de votre genre que nous inscrivons sur ce registre et qui s’arrête par retour de la soi-disant disparue.
Hélas, ça fait trois ans que je porte des fleurs sur la tombe de Laura tout seul, Jade ayant définitivement disparu.
Rien, ma fille a fini par faire partie de ceux perdus à vie pour leur famille.
Ce SMS de deux mots « Gand » et « vitrine » m’interpelle, si c’est une porte qui s’ouvre, mais que faire ?
Quelqu’un semble vouloir me faire passer un message, mais lequel !
Je vais sur Internet, Gand avec une majuscule, à part la ville de Belgique près d’Anvers, j’ai du mal à trouver une autre signification.
Surtout quand je vois que dans cette ville, comme dans de nombreuses dans ce pays, il y a des vitrines où des filles se prostituent.
Jade serait-elle tombée sous la coupe d’un proxo , car je vois mal ma fille prendre la décision d’aller se prostituer lui ayant toujours tout donné.
Certes, dans la limite de mes moyens pour qu’elle ait une vie sans la moindre embûche.
• Ariel, je suis fatigué, cela fait deux ans que je trime pour faire tourner la boîte, je vais prendre quelques jours de vacances, nous restons en contact.
Prévenez le personnel administratif et surtout Laurine qu’elle annule les quelques rendez-vous que je pouvais avoir.
Je monte chez moi habitant dans un logement de l’immeuble que je suis loin d’avoir fini de payer et je me prépare un sac de sport.
Lorsque je démarre ma voiture sportive, seule petite entorse à ma vie et à mes moyens, je prends la route de la Belgique.
C’est, hélas, après la disparition de Jade que mes revenus sont devenus plus importants ayant résilié le bail du studio et ce que pouvait me coûter son éducation. GPS, autoroute A1, un instant de nostalgie lorsque je passe à la hauteur où Laura nous a quittés.
Les trois années qui ont suivi, je suis venu déposer un bouquet, comme l’on en voit de plus en plus souvent au bord des routes, me garant sur la bande d’arrêt d’urgence.
La dernière fois où je l’ai fait, je me suis pris une amande surtout que Jade était dans la voiture faisant une petite prière à sa maman.
J’ai compris la leçon, nous nous sommes contentés d’aller fleurir sa tombe.
Ce moment émotionnel, passé, Lille, où je déjeune et réservant une chambre à Gand.
Plusieurs intérêts, le nom, sa situation près du centre-ville et de la cathédrale, mais surtout le quartier dit rouge où se concentrent la plupart des vitrines lieu de la prostitution gantoise.
Enfin la frontière franco-belge et enfin Gand et l’hôtel « 1988 the post ».
Une fois installé, ayant réservé sans limite de jours dans une chambre plus que confortable, je fais un premier tour de repérage.
Si je voulais faire un vilain jeu de mots, je compte faire du lèche-vitrine dans le quartier indiqué sur Internet.
Les filles qui travaillent là sont de tous types et de tout genre, si j’étais mauvaise langue, je pourrais dire qu’il y en a pour tous les goûts, mais je parle de femme et ça serait incorrect.
Rien, nulle jeune femme ressemblant à Jade, je suis fatigué et je rejoins mon lit m’écroulant comme une masse.
Il est huit heures quand je prends mon petit déjeuner dans ma chambre.
J’aime déjeuner tranquillement tous les matins en écoutant les informations.
Grâce au wi-fi de l’hôtel je peux regarder mon portable et même joindre Axel en vidéo, mais à heure fixe et je tiens à rester isolé dans ma quête de ce que voulait dire ce message.
Il est 14 heures lorsque je reprends mes recherches, les vitrines commençant à s’animer et les filles à se dénuder.
Si j’étais là pour la bagatelle et étant célibataire, deux ou trois d’entre elles pourraient m’intéresser.
Parmi elle, une belle black, je sais comme beaucoup d’hommes, je fantasme sur ces filles venues d’Afrique ou des îles du soleil.
Dans mes employés, il y en a deux, l’une est réunionnaise et l’autre du Sénégal.
L’une est une grosse Mama africaine entourée de six enfants élevés par les aînés et la deuxième plus baisable, mais j’ai dit que le personnel hors de question que j’y touche.
La seule chose que je peux dire, c’est que ce sont deux très bons éléments pour faire un bureau dans une tour qui en comporte 200.
Nous devons les nettoyer chaque jour de 5 heures du matin à 8 heures ou le personnel arrive et où tout doit être nickel.
C’est mon plus gros contrat qui monopolise le plus grand nombre de nos filles, une mécanique bien huilée qui mettrait mon entreprise en péril si le contrat était dénoncé.
J’entre dans le passage que les gantois appels le Red Light District « Glass Alley » arcade au plafond de verre ou des filles travaillent dans ce lieu classé.
Dans la troisième vitrine, il y a une fille brune ayant une vague ressemblance avec Jade, mais ma fille est blonde.
Un homme est devant sa vitrine et la fille ouvre et semble monnayer ses faveurs.
Je suis trop loin pour entendre, j’avance, je longe la vitrine.
Là encore j’ai l’impression de connaître cette blonde, mais si j’y regarde de plus près la plupart de ces filles ressemble à une fille croisée un jour dans ma vie.
Je traîne un peu et comme aimanté, je reviens vers cette brune.
Ça fait à peu près une demi-heure et je vois l’homme d’une cinquantaine d’années ressortir.
Je le suis le laissant s’éloigner de la vitrine où lorsque je suis de nouveau passé, la jeune femme m’interpelle.
• Monsieur, permettez-moi de vous poser une question !
• Les sondages, on en a marre, laissez-moi !
Je comprends que je suis en Belgique, l’homme me répond en Français, mais avec un fort accent néerlandais.
Wallons et Flamands vivent ici et une majorité est flamande.
• Non, c’est pour autre chose, je viens de vous voir sortir de la vitrine d’une jeune brune, je voudrais savoir, avez-vous vu son vagin ?...
Mon portable sonne, c’est un S.M.S. alors que je suis à mon travail.
« Gand, vitrine... »
Et c’est tout, très énigmatique.
Gand, j’en connais un en Belgique, plutôt une ville, j’y suis allé avec ma jeune épouse Laura avant la naissance de notre fille Jade lors d’un voyage pour aller voir les tulipes près d’Amsterdam.
Ces deux femmes de ma vie ont disparu.
Laura je sais où, elle m’a quitté victime d’un chauffard sur l’autoroute A1 alors que Jade avait 9 ans et repose au cimetière de Sarcelles dans le Val-d’Oise.
Jade, c’est plus compliqué, je l’ai élevé seul avant qu’un jour elle aussi disparaisse.
Comme dit Dalida, elle venait d’avoir 19 ans, 10 ans jour pour jour après la mort de Laura.
Elle devait venir avec moi déposer des fleurs sur la tombe de sa maman et aller au restaurant alors qu’elle a brillé par son absence.
Deux jours après, j’étais inquiet, aucune réponse sur son portable, j’ai commencé à être un peu inquiet étant assez proche de ma fille.
Elle venait de finir ses études au lycée de Sarcelles, reçue avec mention au bac et je lui avais loué un studio à Asnières sous couvert de prendre son indépendance poursuivant ses études à la fac de Nanterre.
J’avais bien essayé de la garder à la maison en lui achetant une voiture pour qu’elle fasse Sarcelles Nanterre tous les jours.
Elle a prétexté qu’il était plus facile de se déplacer en transport en commun entre Asnières et Nanterre que de faire le trajet en voiture.
Elle a ajouté que je serais gagnant au bout du compte.
J’ai très vite compris, voyant les jeunes puceaux qui tournaient autour de notre nid, que la jeune oisillonne voulait prendre son envole.
Enfin quand je dis puceau, il devait bien y avoir quelques hommes un peu mûres et comme nous avions eu une conversation sur la sexualité des jeunes, elle savait les risques et je savais qu’elle se protégeait.
Ce fut le plus difficile de notre conversation ce jour-là au restaurant le jour de ses 16 ans.
J’aurais eu des facilités si ma petite et grande Jade était un garçon.
Parlé de sexe sans prononcé ce mot fut un exercice périlleux qui aurait dû incomber à Laura en tant que mère à fille.
Bref à 19 ans, j’ai jugé qu’il fallait être un père moderne et c’est grâce à Roccovic, Rocco dans ma société que nous avons trouvé ce studio, fraîchement restauré qui convenait parfaitement à Jade.
Comme je parle de ma société, disons en plus.
J’ai une société de nettoyage sur le nord de Paris dans les nombreux bâtiments professionnels de notre région.
Je l’ai monté de toutes pièces, habitant à Bondy dans une cité HLM de cette ville.
Je suis parti de rien et je possède une société employant plus de 100 personnes.
Je suis secondé par Ariel, un jeune issu lui aussi de la banlieue qui gère principalement les plannings de nos femmes de ménage et quelques hommes.
Je dirais plutôt des femmes, la plupart venant du Maghreb et travaillant en élevant leurs enfants seules avec bien des difficultés.
Elles me connaissent et savent souvent d’où je viens.
Il m’arrive d’aller rencontrer quelques-unes d’entre elles pour essayer de leur faire quitter leur hall d’immeuble.
Attention que les choses soient bien claires, depuis que j’emploi des femmes, étant veuf, il m’arrive d’avoir des rapports sexuels avec le sexe opposé.
Mais tout le temps hors des heures de travail et hors de ma société, hélas, des coups d’un jour ou max d’un ou deux mois.
Je suis tellement pris par mon travail que je suis très peu attentionné avec mes maîtresses qui elles cherchent plus que des baises par intermittence, elles me quittent pour d’autres bites plus disponibles.
Pourtant, sans me vanter, je sais satisfaire les femmes, Laura serait toujours de ce monde, le dirait si, hélas...
Pardon, on voit là ma sensibilité, je suis quelquefois distant avec d’autres femmes après l’amour fou qui nous a unis avec en point d’orgue la naissance de Jade.
Dans mon personnel, il y a donc Ariel et Rocco qui lui est ce que l’on appelle un multicarte et qui m’aide à trouver des contrats pour remplacer la défaillance de certaines sociétés ayant besoin qu’on les nettoie.
Il travaille un ou deux jours par semaine pour nous et va même en Belgique où il a des activités.
Nous pouvons dire que nous sommes les trois hommes de mon entreprise et je suis secondée par Laurine, ma secrétaire et chef de la partie administrative de la société.
Ariel dans son travail en plus des plannings s’occupe de valider les commandes de matières premières pour frotter, briquer et protéger notre personnel en blouse, gants et sabots de sécurité.
Je sais que Laurine est amoureuse de moi et me le montre par ses tenues un peu osées.
Il est fréquent qu’elle me mette ses seins fort beaux d’ailleurs en forme de poires sous les yeux.
Mais je résiste évitant de confondre travail et plaisir.
Pourtant, elle me fait bander.
Revenons à Jade, il y avait six mois qu’elle était à Asnières et chaque fois que je l’appelais ou que j’y allais elle me répondait.
Après son faux bon pour l’anniversaire de sa maman sur sa tombe, rien.
Au bout de quatre jours, la fac m’a répondu que depuis plus d’un mois, elle séchait les cours régulièrement.
Je me suis rendu au commissariat d’Asnières où j’ai été reçu par un policier qui m’a presque rigolé au nez.
• Votre fille à 19 ans, elle est partie en week-end avec un beau mec, vous la verrez revenir toute pimpante de cette petite escapade.
Vous me parlez de la fac qu’elle aurait séchée, si le mec sait y faire, il aime rester au pieu avec elle, ça va lui passer.
Si vous saviez le nombre de plaintes de votre genre que nous inscrivons sur ce registre et qui s’arrête par retour de la soi-disant disparue.
Hélas, ça fait trois ans que je porte des fleurs sur la tombe de Laura tout seul, Jade ayant définitivement disparu.
Rien, ma fille a fini par faire partie de ceux perdus à vie pour leur famille.
Ce SMS de deux mots « Gand » et « vitrine » m’interpelle, si c’est une porte qui s’ouvre, mais que faire ?
Quelqu’un semble vouloir me faire passer un message, mais lequel !
Je vais sur Internet, Gand avec une majuscule, à part la ville de Belgique près d’Anvers, j’ai du mal à trouver une autre signification.
Surtout quand je vois que dans cette ville, comme dans de nombreuses dans ce pays, il y a des vitrines où des filles se prostituent.
Jade serait-elle tombée sous la coupe d’un proxo , car je vois mal ma fille prendre la décision d’aller se prostituer lui ayant toujours tout donné.
Certes, dans la limite de mes moyens pour qu’elle ait une vie sans la moindre embûche.
• Ariel, je suis fatigué, cela fait deux ans que je trime pour faire tourner la boîte, je vais prendre quelques jours de vacances, nous restons en contact.
Prévenez le personnel administratif et surtout Laurine qu’elle annule les quelques rendez-vous que je pouvais avoir.
Je monte chez moi habitant dans un logement de l’immeuble que je suis loin d’avoir fini de payer et je me prépare un sac de sport.
Lorsque je démarre ma voiture sportive, seule petite entorse à ma vie et à mes moyens, je prends la route de la Belgique.
C’est, hélas, après la disparition de Jade que mes revenus sont devenus plus importants ayant résilié le bail du studio et ce que pouvait me coûter son éducation. GPS, autoroute A1, un instant de nostalgie lorsque je passe à la hauteur où Laura nous a quittés.
Les trois années qui ont suivi, je suis venu déposer un bouquet, comme l’on en voit de plus en plus souvent au bord des routes, me garant sur la bande d’arrêt d’urgence.
La dernière fois où je l’ai fait, je me suis pris une amande surtout que Jade était dans la voiture faisant une petite prière à sa maman.
J’ai compris la leçon, nous nous sommes contentés d’aller fleurir sa tombe.
Ce moment émotionnel, passé, Lille, où je déjeune et réservant une chambre à Gand.
Plusieurs intérêts, le nom, sa situation près du centre-ville et de la cathédrale, mais surtout le quartier dit rouge où se concentrent la plupart des vitrines lieu de la prostitution gantoise.
Enfin la frontière franco-belge et enfin Gand et l’hôtel « 1988 the post ».
Une fois installé, ayant réservé sans limite de jours dans une chambre plus que confortable, je fais un premier tour de repérage.
Si je voulais faire un vilain jeu de mots, je compte faire du lèche-vitrine dans le quartier indiqué sur Internet.
Les filles qui travaillent là sont de tous types et de tout genre, si j’étais mauvaise langue, je pourrais dire qu’il y en a pour tous les goûts, mais je parle de femme et ça serait incorrect.
Rien, nulle jeune femme ressemblant à Jade, je suis fatigué et je rejoins mon lit m’écroulant comme une masse.
Il est huit heures quand je prends mon petit déjeuner dans ma chambre.
J’aime déjeuner tranquillement tous les matins en écoutant les informations.
Grâce au wi-fi de l’hôtel je peux regarder mon portable et même joindre Axel en vidéo, mais à heure fixe et je tiens à rester isolé dans ma quête de ce que voulait dire ce message.
Il est 14 heures lorsque je reprends mes recherches, les vitrines commençant à s’animer et les filles à se dénuder.
Si j’étais là pour la bagatelle et étant célibataire, deux ou trois d’entre elles pourraient m’intéresser.
Parmi elle, une belle black, je sais comme beaucoup d’hommes, je fantasme sur ces filles venues d’Afrique ou des îles du soleil.
Dans mes employés, il y en a deux, l’une est réunionnaise et l’autre du Sénégal.
L’une est une grosse Mama africaine entourée de six enfants élevés par les aînés et la deuxième plus baisable, mais j’ai dit que le personnel hors de question que j’y touche.
La seule chose que je peux dire, c’est que ce sont deux très bons éléments pour faire un bureau dans une tour qui en comporte 200.
Nous devons les nettoyer chaque jour de 5 heures du matin à 8 heures ou le personnel arrive et où tout doit être nickel.
C’est mon plus gros contrat qui monopolise le plus grand nombre de nos filles, une mécanique bien huilée qui mettrait mon entreprise en péril si le contrat était dénoncé.
J’entre dans le passage que les gantois appels le Red Light District « Glass Alley » arcade au plafond de verre ou des filles travaillent dans ce lieu classé.
Dans la troisième vitrine, il y a une fille brune ayant une vague ressemblance avec Jade, mais ma fille est blonde.
Un homme est devant sa vitrine et la fille ouvre et semble monnayer ses faveurs.
Je suis trop loin pour entendre, j’avance, je longe la vitrine.
Là encore j’ai l’impression de connaître cette blonde, mais si j’y regarde de plus près la plupart de ces filles ressemble à une fille croisée un jour dans ma vie.
Je traîne un peu et comme aimanté, je reviens vers cette brune.
Ça fait à peu près une demi-heure et je vois l’homme d’une cinquantaine d’années ressortir.
Je le suis le laissant s’éloigner de la vitrine où lorsque je suis de nouveau passé, la jeune femme m’interpelle.
• Monsieur, permettez-moi de vous poser une question !
• Les sondages, on en a marre, laissez-moi !
Je comprends que je suis en Belgique, l’homme me répond en Français, mais avec un fort accent néerlandais.
Wallons et Flamands vivent ici et une majorité est flamande.
• Non, c’est pour autre chose, je viens de vous voir sortir de la vitrine d’une jeune brune, je voudrais savoir, avez-vous vu son vagin ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...