COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison I (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 039 610 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 2 645 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Début de la saison I (1/3)
Cette histoire comportera 3 saisons de 3 chapitres chacune, voici la première.
• Je peux vous emprunter votre sel !
• Faite, c’est celui de la maison.
• Vous êtes bien aimable, j’ai horreur des plats fades.
Je suis du sud de la France et nous aimons les mets fortement épicés.
• Du sud, ça s’entend par votre accent.
• Pourtant depuis deux ans que j’ai repris mon affaire ici à Beaune, je fais tout ce qu’il faut pour le perdre.
• Vous avez une affaire ici.
• Oui, j’ai repris un bar de nuit disons d’un genre spécial !
• On serait en Belgique ou en Suisse, la façon dont vous en parlez ou pourrait croire que c’est un bar à pute.
• Aucune prostitution, mais ma boîte est fréquentée exclusivement par des femmes.
• C’est un bar à gouines !
• Pas si fort, inutile que les clients de cette brasserie entendent que je tiens un club lesbien, c’est mieux que de dire gouine.
• Excusez, il est vrai, qu’étant hétéro, ce monde m’est inconnue.
• J’ai vu votre alliance et en plus votre manière de regarder les hommes.
Je vois bien que les femmes vous intéressent peu ou pas.
Pourtant, vous êtes charmante et j’aimerais mieux vous connaître.
Puis-je vous avouer quelque chose ?
• Je vous écoute !
• Ça fait des jours que je viens manger dans ce bistrot et que je vous vois toujours triste, par chance, aujourd’hui la table voisine était libre.
Je vais tout vous avouer, j’aime la franchise.
Je mange sans sel et je vais laisser ce magnifique plat de bœuf bourguignon que je viens de saler afin d’engager la conversation avec vous.
Même là, à côté de moi, je semblais être transparente pour vous.
Travaillez-vous dans le coin.
• Oui, je suis employée dans une boutique de chaussures dans la rue piétonne et j’habite dans une vieille maison dans ce même quartier.
• Avec votre mari, mais excusez, je suis indiscrète.
• Un peu, je préfère éviter de parler de lui, nous sommes séparés pour un temps.
• Vous m’intriguez, hélas, je dois y aller.
Si vous le voulez, je vous retrouverai devant ce bistrot demain midi et nous déjeunerons de nouveau ensemble.
Vous semblez une âme solitaire comme moi je le suis depuis que mon amie m’a lâchement quittée.
Vous savez dans notre monde, les filles sont souvent infidèles et volages, après deux ans, je viens d’en faire lâchement les frais.
Je suis rentrée un matin, sa valise avait quitté mon appartement pourtant, je lui donnais tout, amour et bien être matériel.
• Ok, à demain à une seule condition, on se tutoie et tu évites de saler ton plat et repartir sans manger.
• Sans problème, un dernier point tout de même, mon nom est Sophie et toi Marie, je le vois sur ton collier.
• C’est un cadeau du seul ami garçon que j’ai eu dans ma vie.
• Tu as donc connu au moins un garçon !
• Oui, c’était mon frère et il est décédé après un concours de circonstances que je préfère oublier.
• Tu as raison, seuls les bons moments de la vie sont à garder en souvenir surtout un être cher.
Nous passons à la caisse et Sophie tourne à droite et moi à gauche pour rejoindre la boutique où j’ai pu trouver du travail.
La patronne sait ma condition que je lui ai exposée dès avant qu’elle accepte de m’engager.
J’ai préféré jouer cartes sur table avant qu’elle découvre ma situation.
• Bonjour Marie, on s’embrasse, en tout bien tout honneur, inutile de te faire un cinéma même si tu es jolie comme un cœur.
• Toi aussi tu es belle, même si moi, c’est de façon plus intéressée que j’ai trouvé le moyen de t’aborder.
Mais même si j’ai une attirance pour toi, ta seule présence, les midis sauront satisfaire le plaisir que j’ai d’être avec toi.
Allons manger, je suis passée ce matin, j’ai réservé une table en terrasse.
D’ailleurs, je t’ai vue, je suis passée devant ta boutique tu étais aux pieds d’une cliente, j’ai presque été jalouse.
• Bonjour mesdames, le plat du jour, c’est de la sole meunière avec deux patates au beurre.
• Elles sont fraîches !
• Mon frère les a pêchés dans la Saône et nous les a livrés ce matin.
• Je vous fais confiance, surtout si elles ont été pêchées dans la Saône, les soles de cette rivière sont mondialement connues.
Un plat du jour !
• Deux, une question, les patates, sont-elles fraîches ?
Excusez, je vous taquinais, ma sole sans patate.
• Nous avons des haricots verts frais.
• Alors haricots, c’est bien.
À oui, une demi-bouteille de Côte de nuit.
• Pas pour moi, le vin de l’eau plate en carafe.
• Tu vas me faire le plaisir de boire une petite gorgée de ce nectar pour fêter notre amitié naissante.
• Tu as bien travaillé hier au soir dans ton bar !
• Non, il est fermé, j’ouvre seulement les vendredis, samedis et dimanches.
Je suis restée chez moi où j’ai passé des commandes et fait la comptabilité du week-end dernier.
• Et toi ?
• Après le boulot, je suis rentrée, j’ai fait quelques courses et j’ai regardé la télé.
• Mais dit moi, hier tu m’as dit que ton mari était éloigné, il est à l’étranger et revient rarement !
• J’aimerais te faire confiance et te dire pourquoi je suis dans la région.
• Tu peux, Marie, dans mon métier, si tu savais le nombre de filles qui viennent s’épancher après avoir avalé quelques verres, tu serais surprise de ce que j’entends.
• Moi aussi, j’ai dû boire trop de vin, alors voilà.
Mon mari est à la prison de Varennes-le-Grand pour dix ans.
• Mon dieu, il a tué quelqu’un.
• Je t’en ai trop dit, c’est certainement l’alcool, en temps normal je suis plus réservée.
• Je te comprends, dis-moi tout.
• Il y a cinq ans, nous habitions à Manosque dans ta région nous aussi, je venais d’épouser Gratien.
Nous étions pauvres, mais nous nous aimions.
Nous étions au chômage et il lui a pris l’idée de braquer le crédit agricole.
Il avait une moto volée et avait récupéré une arme à Marseille, ça je l’ai su lors du procès.
Il avait réussi son coup, là encore je l’ai su après, il se sauvait avec un sac rempli de cinq millions d’euros.
• Ben merde, vous auriez été riche.
• Oui, mais un jeune con, un jeune flic a sorti son arme et a tiré dans sa direction.
La balle s’est perdue, mais celle que Gratien a tirée s’est logée entre ses deux yeux, il est mort sur le coup.
Voilà pourquoi il a pris dix ans.
Et l’argent ?
• Quand il est parti, il a dû aller le planquer, la police a tout fouillé chez nous et il est resté introuvable.
• S’il a réussi à se sauver, pourquoi la police l’a arrêtée ?
• Son casque, la moto il l’avait volé, mais le casque, il l’avait payé avec sa carte bleue avec les derniers sous qui nous restaient.
• Et il est incarcéré à Varennes-le-Grand !
• Oui, je me suis rapprochée et je vais le voir tous les mercredis, demain tu mangeras toute seule, je me présente à 13 heures au parloir.
• Alors c’est pour ça que je t’ai toujours vu seule.
• Oui, c’est pour nous qu’il a fait cette connerie, je lui suis fidèle, avec ses remises de peine, il pense sortir dans un peu plus de six mois.
Il a en vue un poste dans une scierie près de Chagny, tenue par un ancien taulard comme lui et qui emploie des hommes ayant fait des conneries.
Nous resterons à Beaune, je garderai mon emploi et nous referons notre vie.
Le repas terminé, nous nous embrassons en nous disant à jeudi, car les vendredis et lundis, Marie est au bar.
Je lui en ai dit beaucoup, mais de partager mon secret, ça me soulage.
Le soir, je suis chez moi après ma douche mon logement est trop petit.
Si ça marche avec Gratien à sa sortie, nous avons envisagé d’acheter une vieille ferme et d’y installer un gîte.
Dès maintenant, je cherche afin de pouvoir être prête quand sa situation se sera régularisée.
En plus, je lui achète des livres sur la maçonnerie, le charpentage et autres électricités, à oui, la plomberie.
Il passe pour un exubérant auprès de ses camarades de détention.
Il est capable de refaire intégralement une maison dans sa tête sans avoir vu la moindre truelle ou tourne vis, alors que dire d’un marteau.
• Bonjour Gratien.
• Bonjour ma chérie.
Voilà je suis dans le parloir de la prison.
Je vais faire ce que je fais chaque fois que je viens.
Les surveillants sont cool avec nous, je passe ma main sous la table et je caresse sa verge tendue.
• Raconte-moi ta soirée d’hier après ton travail.
• J’étais sur mon canapé après ma douche.
• Tu étais nue !
• Oui, les jambes écartées.
• Dit-moi que tu te mettais entre tes cuisses, le gode que je t’ai dit d’acheter par Internet !
Oui, vas-y, caresse-moi, tu as bien le mouchoir dans tes mains ?
• Depuis le temps que ma main sur ta bite est notre seul contact, j’ai l’habitude, soit sans crainte.
• Et le gode, tu te l’enfonçais profond.
• Au maximum après avoir lancé le petit moteur.
Le petit doigt en silicone touchait mon clitoris.
• Dis-moi que tu as joui.
• Pas si vite chéri, on a le temps, les gardiens savent ce que nous faisons, mais ils savent aussi que ce petit moment vous décontracte.
Retiens-toi mon amour, après tu sais que c’est fini jusqu’à mercredi prochain.
J’ai continué à lui raconter la masturbation que je m’étais appliqué avec Gratien, c’est le nom de mon mari et le nom que j’ai donné à mon gode.
Au moment où il a joui dans mon mouchoir, une pensée pour Marie envahit mon esprit.
Elle aussi se gode-t-elle ?...
• Je peux vous emprunter votre sel !
• Faite, c’est celui de la maison.
• Vous êtes bien aimable, j’ai horreur des plats fades.
Je suis du sud de la France et nous aimons les mets fortement épicés.
• Du sud, ça s’entend par votre accent.
• Pourtant depuis deux ans que j’ai repris mon affaire ici à Beaune, je fais tout ce qu’il faut pour le perdre.
• Vous avez une affaire ici.
• Oui, j’ai repris un bar de nuit disons d’un genre spécial !
• On serait en Belgique ou en Suisse, la façon dont vous en parlez ou pourrait croire que c’est un bar à pute.
• Aucune prostitution, mais ma boîte est fréquentée exclusivement par des femmes.
• C’est un bar à gouines !
• Pas si fort, inutile que les clients de cette brasserie entendent que je tiens un club lesbien, c’est mieux que de dire gouine.
• Excusez, il est vrai, qu’étant hétéro, ce monde m’est inconnue.
• J’ai vu votre alliance et en plus votre manière de regarder les hommes.
Je vois bien que les femmes vous intéressent peu ou pas.
Pourtant, vous êtes charmante et j’aimerais mieux vous connaître.
Puis-je vous avouer quelque chose ?
• Je vous écoute !
• Ça fait des jours que je viens manger dans ce bistrot et que je vous vois toujours triste, par chance, aujourd’hui la table voisine était libre.
Je vais tout vous avouer, j’aime la franchise.
Je mange sans sel et je vais laisser ce magnifique plat de bœuf bourguignon que je viens de saler afin d’engager la conversation avec vous.
Même là, à côté de moi, je semblais être transparente pour vous.
Travaillez-vous dans le coin.
• Oui, je suis employée dans une boutique de chaussures dans la rue piétonne et j’habite dans une vieille maison dans ce même quartier.
• Avec votre mari, mais excusez, je suis indiscrète.
• Un peu, je préfère éviter de parler de lui, nous sommes séparés pour un temps.
• Vous m’intriguez, hélas, je dois y aller.
Si vous le voulez, je vous retrouverai devant ce bistrot demain midi et nous déjeunerons de nouveau ensemble.
Vous semblez une âme solitaire comme moi je le suis depuis que mon amie m’a lâchement quittée.
Vous savez dans notre monde, les filles sont souvent infidèles et volages, après deux ans, je viens d’en faire lâchement les frais.
Je suis rentrée un matin, sa valise avait quitté mon appartement pourtant, je lui donnais tout, amour et bien être matériel.
• Ok, à demain à une seule condition, on se tutoie et tu évites de saler ton plat et repartir sans manger.
• Sans problème, un dernier point tout de même, mon nom est Sophie et toi Marie, je le vois sur ton collier.
• C’est un cadeau du seul ami garçon que j’ai eu dans ma vie.
• Tu as donc connu au moins un garçon !
• Oui, c’était mon frère et il est décédé après un concours de circonstances que je préfère oublier.
• Tu as raison, seuls les bons moments de la vie sont à garder en souvenir surtout un être cher.
Nous passons à la caisse et Sophie tourne à droite et moi à gauche pour rejoindre la boutique où j’ai pu trouver du travail.
La patronne sait ma condition que je lui ai exposée dès avant qu’elle accepte de m’engager.
J’ai préféré jouer cartes sur table avant qu’elle découvre ma situation.
• Bonjour Marie, on s’embrasse, en tout bien tout honneur, inutile de te faire un cinéma même si tu es jolie comme un cœur.
• Toi aussi tu es belle, même si moi, c’est de façon plus intéressée que j’ai trouvé le moyen de t’aborder.
Mais même si j’ai une attirance pour toi, ta seule présence, les midis sauront satisfaire le plaisir que j’ai d’être avec toi.
Allons manger, je suis passée ce matin, j’ai réservé une table en terrasse.
D’ailleurs, je t’ai vue, je suis passée devant ta boutique tu étais aux pieds d’une cliente, j’ai presque été jalouse.
• Bonjour mesdames, le plat du jour, c’est de la sole meunière avec deux patates au beurre.
• Elles sont fraîches !
• Mon frère les a pêchés dans la Saône et nous les a livrés ce matin.
• Je vous fais confiance, surtout si elles ont été pêchées dans la Saône, les soles de cette rivière sont mondialement connues.
Un plat du jour !
• Deux, une question, les patates, sont-elles fraîches ?
Excusez, je vous taquinais, ma sole sans patate.
• Nous avons des haricots verts frais.
• Alors haricots, c’est bien.
À oui, une demi-bouteille de Côte de nuit.
• Pas pour moi, le vin de l’eau plate en carafe.
• Tu vas me faire le plaisir de boire une petite gorgée de ce nectar pour fêter notre amitié naissante.
• Tu as bien travaillé hier au soir dans ton bar !
• Non, il est fermé, j’ouvre seulement les vendredis, samedis et dimanches.
Je suis restée chez moi où j’ai passé des commandes et fait la comptabilité du week-end dernier.
• Et toi ?
• Après le boulot, je suis rentrée, j’ai fait quelques courses et j’ai regardé la télé.
• Mais dit moi, hier tu m’as dit que ton mari était éloigné, il est à l’étranger et revient rarement !
• J’aimerais te faire confiance et te dire pourquoi je suis dans la région.
• Tu peux, Marie, dans mon métier, si tu savais le nombre de filles qui viennent s’épancher après avoir avalé quelques verres, tu serais surprise de ce que j’entends.
• Moi aussi, j’ai dû boire trop de vin, alors voilà.
Mon mari est à la prison de Varennes-le-Grand pour dix ans.
• Mon dieu, il a tué quelqu’un.
• Je t’en ai trop dit, c’est certainement l’alcool, en temps normal je suis plus réservée.
• Je te comprends, dis-moi tout.
• Il y a cinq ans, nous habitions à Manosque dans ta région nous aussi, je venais d’épouser Gratien.
Nous étions pauvres, mais nous nous aimions.
Nous étions au chômage et il lui a pris l’idée de braquer le crédit agricole.
Il avait une moto volée et avait récupéré une arme à Marseille, ça je l’ai su lors du procès.
Il avait réussi son coup, là encore je l’ai su après, il se sauvait avec un sac rempli de cinq millions d’euros.
• Ben merde, vous auriez été riche.
• Oui, mais un jeune con, un jeune flic a sorti son arme et a tiré dans sa direction.
La balle s’est perdue, mais celle que Gratien a tirée s’est logée entre ses deux yeux, il est mort sur le coup.
Voilà pourquoi il a pris dix ans.
Et l’argent ?
• Quand il est parti, il a dû aller le planquer, la police a tout fouillé chez nous et il est resté introuvable.
• S’il a réussi à se sauver, pourquoi la police l’a arrêtée ?
• Son casque, la moto il l’avait volé, mais le casque, il l’avait payé avec sa carte bleue avec les derniers sous qui nous restaient.
• Et il est incarcéré à Varennes-le-Grand !
• Oui, je me suis rapprochée et je vais le voir tous les mercredis, demain tu mangeras toute seule, je me présente à 13 heures au parloir.
• Alors c’est pour ça que je t’ai toujours vu seule.
• Oui, c’est pour nous qu’il a fait cette connerie, je lui suis fidèle, avec ses remises de peine, il pense sortir dans un peu plus de six mois.
Il a en vue un poste dans une scierie près de Chagny, tenue par un ancien taulard comme lui et qui emploie des hommes ayant fait des conneries.
Nous resterons à Beaune, je garderai mon emploi et nous referons notre vie.
Le repas terminé, nous nous embrassons en nous disant à jeudi, car les vendredis et lundis, Marie est au bar.
Je lui en ai dit beaucoup, mais de partager mon secret, ça me soulage.
Le soir, je suis chez moi après ma douche mon logement est trop petit.
Si ça marche avec Gratien à sa sortie, nous avons envisagé d’acheter une vieille ferme et d’y installer un gîte.
Dès maintenant, je cherche afin de pouvoir être prête quand sa situation se sera régularisée.
En plus, je lui achète des livres sur la maçonnerie, le charpentage et autres électricités, à oui, la plomberie.
Il passe pour un exubérant auprès de ses camarades de détention.
Il est capable de refaire intégralement une maison dans sa tête sans avoir vu la moindre truelle ou tourne vis, alors que dire d’un marteau.
• Bonjour Gratien.
• Bonjour ma chérie.
Voilà je suis dans le parloir de la prison.
Je vais faire ce que je fais chaque fois que je viens.
Les surveillants sont cool avec nous, je passe ma main sous la table et je caresse sa verge tendue.
• Raconte-moi ta soirée d’hier après ton travail.
• J’étais sur mon canapé après ma douche.
• Tu étais nue !
• Oui, les jambes écartées.
• Dit-moi que tu te mettais entre tes cuisses, le gode que je t’ai dit d’acheter par Internet !
Oui, vas-y, caresse-moi, tu as bien le mouchoir dans tes mains ?
• Depuis le temps que ma main sur ta bite est notre seul contact, j’ai l’habitude, soit sans crainte.
• Et le gode, tu te l’enfonçais profond.
• Au maximum après avoir lancé le petit moteur.
Le petit doigt en silicone touchait mon clitoris.
• Dis-moi que tu as joui.
• Pas si vite chéri, on a le temps, les gardiens savent ce que nous faisons, mais ils savent aussi que ce petit moment vous décontracte.
Retiens-toi mon amour, après tu sais que c’est fini jusqu’à mercredi prochain.
J’ai continué à lui raconter la masturbation que je m’étais appliqué avec Gratien, c’est le nom de mon mari et le nom que j’ai donné à mon gode.
Au moment où il a joui dans mon mouchoir, une pensée pour Marie envahit mon esprit.
Elle aussi se gode-t-elle ?...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...