COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Fin de la saison III et de l’histoire

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Fin  de la saison III et de l’histoire Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-01-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Fin de la saison III et de l’histoire
Ayant accepté une invitation de Gilles, l’inspecteur de police qui s’est présenté à ma boutique de chaussures racheté à la femme qui m’avait fait confiance en m’embauchant quand je me suis retrouvée dans la galère.
Elle l’avait fait alors que mon mari purgeait une peine de prison de 10 ans pour avoir tué un jeune policier en faisant une attaque à main armée dans le Sud à Manosque.
J’ai réussi à récupérer les 5 millions d’euros volés par Gratien qu’il avait cachés dans un puits dans la vieille maison de sa grand-mère.
J’ai moi-même caché cet argent dans des boîtes à chaussures placées sur des étagères dans la réserve de la boutique.
Qui s’est trouvé dans ma situation en porte-à-faux avec la police, sait dans quel stress je me trouve.
Avec la peur sachant que j’ai sauvé Marie qui a tué Gratien étant la jumelle du jeune policier, j’ai accepté.
Nous sommes en bas de chez moi lorsque Gilles me fait une proposition
• Sophie, m’offres-tu un dernier verre ?

C’est ce qu’il me propose après avoir été charmant toute la soirée.
J’aime Anne étant même sa maîtresse, mais lorsque je vois le beau gosse qui me fait cette proposition, j’ouvre ma porte pour le laisser passer.
Je vais être franche, mes peurs que ce policier soit là pour autre chose que ma petite personne, s’estompe, même disparaissent.
Dans ma tête, je suis dans la même situation lorsque Gratien m'a pris mon pucelage aux pieds du puits de la maison de sa grand-mère.
Lorsque je monte les marches à ses côtés, sa main dans ma main, c’est seulement la femme qui souhaite une fin de soirée en me donnant à lui.
Ouf, j’ouvre la porte de l’appartement et sitôt franchi, il me prend dans ses bras nos bouches se trouvant.
J’ai tendance à être une midinette, j’aime que l’on m’aime.

• Conduis-moi dans ta chambre, j’ai follement envie de te faire l’amour.
Plusieurs fois, j’ai failli venir te voir et je dois reconnaître que chaque fois, j’ai eu peur que tu penses que je me servais de ma position lors de mon enquête pour te tirer les vers du nez.
J’ai un peu d’expérience avec les femmes, mais tu es la première sur laquelle j’ai flashé lors d’une de mes enquêtes.
• Si tu as eu un coup de foudre pour moi, il en est de même pour moi.
Mais les circonstances où nous sommes rencontrés et le peu d’expérience avec les hommes font que j’aurais été bien incapable de prendre la moindre initiative.

Pendant que nous parlons de nos coups de foudre qui semblent avoir été réciproques, il me dénude.
Il va sans dire que je me laisse faire, j’ai si peu d’expérience des hommes depuis ces longues années que je serais bien incapable de prendre la moindre initiative.
Je lui redonne ma bouche, il vient me mordiller les seins.
Je sens plus sans la voir sa verge durcir et remonter entre mes jambes.
Je suis contente de faire un tel effet à ce beau garçon, fini les tergiversations, concernant Marie.
Je l’aime, mais j’aime aussi une vraie bite d’homme.
Même si les fabricants ont imité la texture des hommes, ils sont encore loin de la douceur de cette bite qui remonte jusqu’à mon vagin.
Avec celui dont j’ai étalé les cendres, me faisait l’amour, il était toujours sur moi.
Quand Gilles me soulève une jambe et réussit avec facilité à me pénétrer, je suis étonné, mais tellement dégoulinante que je me sens jouir.
À partir de ce moment, je pars dans tous les sens.
J’ai l’impression d’être dans le tambour d’une machine à lavé.
Nous nous retrouvons sur mon lit, mais je suis empalée sur cette verge qui semble inépuisable.

• As-tu entendu ?

Que me dît-il, moi, entendre, c’est impossible, il vient de me faire quitter sa verge pour que je vienne entre ses jambes la lécher, la sucer et la mettre au fond de ma gorge.
Ses jambes m’enserrent et je suis incapable d’entendre mes oreilles étant bouché.
Il se détend jusqu’au moment où voulant se retirer, je l’en empêche et que j’avale son sperme.
Je finis par sombrer, il fait jour quand j’émerge, j’ai une sensation de froid sur ma tête.

• Alors ma belle, tu émerges !
• Marie, toi, que fais-tu là, tu sais cette nuit, je t’ai trompé !
• Que me dis-tu là, trompé, non, tu es simplement une hétéro qui est revenue au bercail de ta sexualité.
• Tu sais, si j’ai suivi Gilles au restaurant lorsqu’il est venu m’inviter, c’était pour nous protéger contre l’inspecteur qui s’est occupé de notre affaire.
J’ai eu peur qu’il ait de nouveaux éléments contre toi et je l’ai suivi pour voir de quoi il en était.
• Et au retour tu l’as invité un dernier verre.
• C’est ce qu’il m’a demandé, mais là, il avait été tellement charmant au restaurant que je lui ai dit oui.
Mais il est quelles heures, mon réveil a dû oublier de sonner.
• Pas tout à fait, lit ce mot laissé par ton amant !

Elle me donne une feuille détachée certainement dans le carnet dont il s’est servi au moment où il me demandait des explications.

« Sophie, je suis obligé de partir, mon service me demande.
Tu m’as offert une merveilleuse nuit et j’espère que si tu le veux lorsque je serai libre, on se reverra !
J’ai failli te réveiller, mais j’ai arrêté ton réveil, pour que tu récupères.
Tes clientes attendront.
Bises Gilles. »
Marie a un rictus sur les lèvres, elle semble être très sereine alors qu’elle pourrait être en colère.

• Sophie, depuis cette nuit, je sais que tu étais avec ton amant.
À la fermeture de ma boîte, j’avais envie de passer un moment avec toi.
Je suis venue et j’ai ouvert avec la clef que tu m’as donnée.
Je suis montée et j’ai entendu du bruit venant de ta chambre.
Tu étais empalée sur la verge d’un homme dont le visage m’était caché.
En me déplaçant, j’ai accroché le guéridon dans le couloir et j’ai fait du bruit.
• C’est au moment où Gilles m’a dit avoir entendu du bruit et que je suis venue lui avaler la bite.
• Exact, j’ai reconnu le jeune inspecteur, il s’est redressé t’a fait mettre la tête dans l’oreillé et tes fesses en l’air.
J’ai cru que comme je te l’avais fait avec le gode, il allait t’enculer, mais c’est bien dans ta chatte qu’il est entré.
Tu hurlais ton plaisir allant même jusqu’à passer ta main sous toi, pour la remettre lorsqu’il a dérapé.
C’était les gestes d’une parfaite hétéro ce que tu es réellement, bisexuel plus précisément.
Je suis contente que tu te sois trouvée, je suis une vraie lesbienne, je te l’ai dit et moi aussi, j’aime changer de partenaire, mais seulement féminin.
Alors, vivons notre vie comme nous le voulons sans nous sentir attacher l’une à l’autre par le lourd secret qui nous rattache.
• Comment es-tu là, à cette heure très matinale pour toi ?
• Après les décisions que tu as prises, d’acheter l’immeuble voisin de celui de mon club.
Je dois récupérer le permis de travaux pour ouvrir le mur entre mon club et les pièces voisines.
Je suis passée devant ta boutique et j’ai vu qu'elle était fermée.
J’étais ressortie sans faire de bruit, te laissant avec ton inspecteur, j’ai eu peur qu’il soit arrivé quelque chose de fâcheux.
Tu dormais simplement et je t’ai réveillée.

Marie m’avait quitté pour aller à nos affaires, acheter l’immeuble et faire quelques travaux, ça accélérait le blanchiment en investissant et nous devenions associées.
Ça fait une semaine que je couche seule, je suis à deux doigts d’aller au club, mais le discours de Marie, me faisant comprendre qu’elle veut connaître d’autres plaisirs alors je la respecte.
La clochette de la porte de la boutique tintille, je suis devant ma caisse à injecter quelques paires de chaussures dans mes comptes.

• Bonjour Sophie, est-ce que tu me reconnais ?
Pardon de te tutoyer !
• Sur ton badge, je me souviens bien, Catherine.
• C’est ça, ce qui m’est arrivé ce jour-là, c’était la première fois et les circonstances où tu te trouvais m’ont fait interdit de te dire que je venais d’avoir un coup de foudre pour toi.
Je vais être obligé de quitter cette région que j’adore, car mon patron vend son fonds de commerce.
Je me suis renseignée pour la racheter, mais se serait risquée.
Je t’ai vu derrière ta caisse en passant, j’ai vu un signe du destin et j’ai plaisir à te dire que tu es une fort jolie femme.
• Es-tu lesbienne ?
• Non, j’aime les hommes et j’ai eu quelques aventures féminines.
Je t’invite au restaurant ce soir.

Il faut croire que chaque fois que je plais mon cavalier ou ma cavalière m’emmène au restaurant.

- Veux-tu monter boire un dernier verre ?

Eh ! oui, je me souviens de ce qu'a dit Marie, vie ta vie.
Je l’emmène dans ma chambre et c’est moi qui suis maîtresse de nos jeux.
Marie est plus homme que femme dans ses comportements, Catherine est plus chatte et j’ai plaisir à l’embrasser, lui caresser la chatte avec mes doigts et ma langue.
Elle jouit, mais comme si elle s’excusait de la faire.

J’ai investi dans le club de Marie, j’y emmène ma nouvelle petite chérie.
Elle plaît à mon amie et à partir de ce soir-là, c’est en trio féminin que se passe ma vie.

Pardon, une partie de ma vie.
J’aide Catherine à devenir propriétaire de son agence funéraire, elle pense que ce sont les bénéfices de ma boutique de chaussures.
Bien sûr, l’argent sort des cartons dans mon stock.

Trio de femmes, mais aussi trio femmes homme lorsque Gilles se manifeste et accepte que je vive avec mon amie.
Bisexuelle, elle nous le montre lorsqu’il nous prend tour à tour en levrette dans notre chambre.

Bref, Gratien en faisant ce qu’il a fait me permet de vivre une vie intense après la vengeance de Marie.
Un dernier point, autant l’une que l’autre nous souhaitons avoir au moins un enfant.
Gilles chaque fois qu’il vient nous baise nous apportant des orgasmes phénoménaux sans capote.
Il est d’accord de nous faire ce cadeau sans pour autant souhaiter élever les enfants.
Je vais vous avouer que ça nous arrange bien Catherine et moi.

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