COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison I (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison I (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION VENGEANCE. Marie aime manger sa vengeance froide. Saison I (2/3)
Pour la première fois, depuis que je travaille et que j’habite à Beaune en Côte d’or, je me confie à une jeune femme rencontrée dans le bistrot où je mange tous les midis.
Gratien, mon mari est incarcéré pour 10 ans à la prison de Varennes-le-grand en Saône et Loire après un braquage d’une banque à Manosque.
Il a fait ce méfait alors que nous venions de nous marier.
Il a pris 10 ans à cause d’un jeune con se prenant pour un justicier solitaire et qui a visé mon amour le loupant.
Lui a pris une balle en pleine tête tirée par Gratien sans le louper.
L’argent a disparu, Gratien a dit à la police l’avoir perdu en s’enfuyant sur sa moto volée.
Perdu, certainement retrouvé par un passant qui en fera bon usage.
Marie, elle s’appelle Marie, semble en pincer pour moi étant lesbienne délaissée par son ancienne amie.
Pour ma part, je suis hétéro et lorsque je visite , les mercredis après-midi je me contente de le faire fantasmer tout en le masturbant sous la table où nous sommes installées.
Je lui raconte les exploits de mon gode, surnommé Gratien comme lui que j’ai acheté à sa demande sur Internet.
C’est la seule entorse à notre couple que je me permets avec son accord bien que sa verge me manque.
Je pense que pour toute femme, lorsqu’elles ont goûté au plaisir de la pénétration, elles ont du mal à s’en passer.
Marie a raison dans ce qu’elle me disait après m’avoir abordée au restaurant, je regardais plus les hommes que les femmes dans cette salle.
Regarder seulement et fantasmer, car avec les remises de peine, Gratien doit sortir dans moins d’un an s’il continue à bien se tenir.
Alors que je masturbe mon homme lui racontant ce que Gratien le gode m’a fait, la pensée que Marie a faite de même chez elle au même moment me vient à l’esprit.

• Ça s’est bien passé avec ton homme hier.
Dit moi comment ça se passe au parloir, j’ai vu dans les films que c’était très strict.
• Les gardiens sont cools, j’ai pu le masturber dans un mouchoir.
• Je vois ta main sous la table, ça me fait froid dans le dos, toucher une verge, c’est dégueulasse.
• Tu en as déjà vu et touché !
• Quand j’étais petite, un homme a ouvert son imper devant moi dans la rue, j’ai vu sa verge, ça m’a passé l’envie d’en voir une de plus prêt à jamais !
• Je comprends, ça t’a traumatisée !
• Bien avant je regardais les filles plus que les garçons, après l’épisode de l’imper, c’était fini, seule les filles me faisaient fantasmer.
Dans ton travail, tu vends des chaussures aux femmes toutes la journée, elles doivent te faire du rentre dedans !
• Tu me fais rougir, ça m’est arrivée, une fois, une femme d’une cinquantaine d’années était assise, moi à ses pieds un genou sur la moquette.
Sa jupe très serrée était ouverte et je voyais son machin avec sa grosse touffe noire.
• Son machin, sa chatte, sa vulve, son vagin.
• Tu parles de ces choses-là comme une vieille routinière alors que tu es très jeune.
• J’ai 25 ans, mais tu sais si tu parles des sexes des hommes, je suis sûr que tu aurais des mots aussi imagés que moi avec les attributs féminins.
Dis-moi, demain soir, si tu le veux, j’aurais bien du plaisir à te voir dans ma boîte, je te ferais visiter et rencontrer des copines.
• Impossible, je travaille le samedi matin, je dois être en forme.
• Je comprends, samedi soir alors.
Note l’adresse, c’est dans une petite rue discrète non loin d’ici.
• Sans te promettre, je verrai.

Le samedi, c’est loin, les deux soirs, je me suis enfoncée mon gode avec le regard de Marie sortant de mon cerveau.
Elle m’envoute et mon manque de sexe que je croyais avoir dominé, m’obsède de plus en plus.
Il est 22 heures quand je craque alors que je pensais rester bien au chaud chez moi.
Je veux surtout voir l’ambiance du bar de ma nouvelle amie.
Au fond de moi, les amours lesbiennes me passant par-dessus la tête, aucun autre intérêt pour moi.
Une petite rue bien calme, une porte avec marquer « Club privé ».
Un petit Juda qui s’ouvre lorsque je sonne et une belle noire brune m’ouvre la porte.

• Bonsoir, je viens voir Marie.
• Tu es Sophie, je suis Gladys.
Depuis deux jours, Marie nous a parlé de toi espérant ta venue, elle est intarissable.
Entre, elle est au bar, tu vas la rendre heureuse.
• Sophie, quelle joie de te recevoir, je pensais que tu aurais peur de venir dans ce lieu de perdition.

La femme que j’ai devant moi est bien différente de celle avec qui je mange.
Short en cuir, bottes à la d’Artagnan et lanières de cuir se rattachant sur un bustier fait de lanières de cuir noires entourant ses seins sans pour autant les cacher.
Elle est maquillée outrageusement, mais contrairement à ce que l’on pourrait penser, ça lui va bien.
Ça met sa jeunesse en avant comparé à moi qui suis habillée façon classique, Jean avec basket et chemisier.

• C’est bien ce que je pensais, tu es fagoté comme dans les années 1930, voyons si l’on peut arranger ça.

Elle commence par m’embrasser tout près de mes lèvres, je suis à la limite de frissonner.
Elle ouvre carrément mon chemisier et passe ses mains pour défaire mon soutien-gorge.
Elle en profite pour me les caresser.
Une nouvelle fois, je frissonne.
Serais-je sensible aux caresses féminines ?
Autour de nous une douzaine de femmes, certaines en couple, dont certaines étant en train de danser.
En trio et même une grande rousse picolant seule au bar, assise sur un grand tabouret.
Elle aussi est assez représentative des femmes ayant un genre spécial.
Elle est entièrement rasée, elle a des piercings partout et des tatouages sataniques.
Mon soutien-gorge me quitte.

• Ce machin, poubelle, nous irons en acheter des plus sympas.
Regarde comme le mien qui les souligne et te les montre dans toute leur splendeur.
Mercredi prochain ton homme te déchargera sur les mains en trois coups de cuillère à pot.
Maintenant, ce chemisier, noue le sous tes seins, regarde, tu es une autre.
Un dernier point, ces cheveux blonds, enlève ce serre-tête disgracieux et laisse-les tomber en cascade autour de ton visage.
Qu’en pensez-vous Martha et Jane.

Deux femmes près de moi s’embrassant à pleine bouche se séparent et me regardent.

• Si tu es libre, avec Jane on est prêt à t’emmener chez nous finir la soirée.
• Laissez tomber les filles, c’est une amie, elle, ce sont les hommes qui l’intéressent, du moins jusqu’à ce jour.
Veux-tu une coupe de champagne Sophie ?

J’ai du mal à lui répondre, j’ai la bouche sèche.
Elle me sert, la grande de l’entrée va ouvrir quand nous entendons le carillon, un groupe de six filles fait son entrée.
L’ambiance monte très vite, mais je reste sur le tabouret de bar le plus près de Marie.

• Marie, tu prends une coupe, sers-en une à ton amie.

C’est une des six femmes qui sont entrées un peu plus tôt.

• Trinquons, ce soir je fête la fin de ma vie de jeune fille.
Samedi prochain je me marie.

Bar de gouine, je suis étonnée que ces filles viennent dans un tel bar pour fêter la fin de leur célibat.

• Alice, viens que je te présente la nouvelle copine de Marie, on fêtera peut-être bientôt leur mariage comme nous le nôtre.
T’as bien fait de changer, l’autre conne de Sandrine, elle te suçait la vie et ton pognon.

Je comprends, mariage lesbien, j’oubliais que la loi vient de changer et leur permet de convoler.
Je regarde Marie, elle est en joie.
Je suis fatiguée, mais surtout j’ai trop bu.
Marie doit le voir, car elle appelle la belle rousse qui est là pour surveiller que les choses se passent bien et filtrer les entrées.

• Gladys, tu peux fermer, je monte avec mon amie, je crois qu’elle a besoin de se rafraîchir.
• Bien sûr Marie, bonne soirée à demain pour l’ouverture.

Comment je me retrouve au-dessus du bar où Marie a ses appartements, je reprends pied quand je suis nue dans son bain avec elle aussi nue que moi ?
Un vrai bain, dans une baignoire bouillonnante, depuis combien de temps puis-je dire avoir passé un moment aussi divin.
Depuis que la police est venue chercher Gratien, le procès et son incarcération à quelques kilomètres d’ici, j’ai seulement à ma disposition une douche.
Marie, prends un savon et commence à me le passer sur mes seins.
Tout à l’heure, j’étais à deux doigts de frissonner.
Là, je frissonne.
Nous sommes face à face.
Est-ce bien moi qui lui prends le savon des mains et qui commence à lui rendre ce qu’elle vient de me faire.
Elle le récupère.

• Relève-toi.

Pour la première fois, une main féminine tenant un savon rose odorant s’insinue entre mes cuisses.
Je les écarte...

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