COLLECTION VENGEANCE. Un réveillon de Noël finissant mal (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Un réveillon de Noël finissant mal (1/2)
Nous sommes à 30 minutes de minuit lorsque le portable de ma femme vibre de nouveau.
• Antoinette, ça fait trois fois que ton portable vibre et que tu t’empresses d’effacer le message.
Qui peut t’écrire un soir de Noël ?
• Simplement notre journal, le « Progrès, » il y a eu un accident sur la nationale et ils nous envoient des informations.
Une nouvelle vibration, avant qu’elle ait le temps de réagir et effacer, je me saisis du portable et j’ouvre le SMS qui s’affiche.
• Bébé, tu me fais languir, pourquoi refuses-tu de me répondre ?
Ton cocu est trop près de toi !
Dis-moi lundi tu mettras ta robe rouge, tu sais celle que j’adore, car elle me permet de fourrer ma tête dessous et de te sucer ta chatte épilée.
• Jules, c’est juste un jeu avec le juge d’instruction avec lequel je travaille.
• Un petit jeu, tu te fous de ma gueule, il sait que tu es épilée, tu appelles ça un petit jeu.
Tu baises avec ce vieux croûton et tu veux que ce soit seulement un petit jeu !
• Il a 58 ans, Jules, dit que c’est vieux !
• Toi la vieille salope, t'es comme ta fille, une pute, attendez, on va jouer !
58 ans pour lui, 23 ans pour elle, chercher l’erreur !
Je tape le texte suivant.
« Alfred, oui, ta tête sous ma robe rouge, tu me suceras la chatte comme la dernière fois, et après ! »
À ce moment, c’est mon beau-père Lucien qui prend la parole pour défendre sa femme de mon insulte la traitant de pute.
• Jules de quel droit traites-tu Babette de pute ?
• Depuis que mardi je suis allée chez toi poser le papier peint, pendant que tu étais à ton lycée.
Ta carrière au sein de cette administration était tellement ton seul sujet que tu as fermé les yeux sur la salope qui te sert de femme.
• Jules, tais-toi, mardi c’était un accident.
Le portable dans ma main vibre, je lis.
« Après tu me suceras le chibre bien plus gros que celui de ton mari, du moins c’est ce que tu m’as affirmé.
Avant, j’espère que tu m’enverras ces petits jets de cyprine qui sortent de toi et que j’adore boire ! »
Une fois dans les premiers jours avec moi Antoinette a été femme fontaine.
Depuis j’essaye que cela recommence et c’est ce vieux barbot qui arrive à recevoir sa cyprine dans sa bouche.
Je me suis renseignée la première fois, l’excitation d’Antoinette étant à son paroxysme, son corps a réagi en expulsant tout le liquide m’ayant surpris.
Est-ce le fait que ce soit un vieux qui lui suce la chatte, lui semble avoir réussi à ce qu’elle jouisse plus qu’avec moi.
Je réponds à la femme fontaine qu’elle semble être avec son juge d’instruction.
« Alfred, cela dépend de ta langue sur mon clito, moi, dans tous les cas, je te sucerai. »
• Jules, tu en as trop dit, que s’est-il passé mardi.
• Je descendais de l’escabeau après avoir posé un lai de papier peint, quand Babette est entrée venant de la salle de bains en peignoir, il s’est lamentablement ouvert sur son corps nu.
• C’était un accident !
• Un accident, Lucien, tu vas dire si je me trompe, mais la salope de son quartier, a les seins tombant avec l’âge et une chatte avec sa toison, toute blanche.
Un accident, ta femme avait cent fois le temps de le refermer avant de se coller à moi et me prendre le paquet dans sa main.
• C’était un accident mon chéri !
• Salope.
Tout semblait avoir été dit, mais Antoinette a eu le toupet de m’annoncer la suite me mettant hors de moi.
• Jules, si tu vas sous le sapin que tu prends le paquet beige et que tu l’ouvres, tu trouveras une petite paire de chaussons beige !
Quand nous découvrirons à sa naissance le sexe de notre enfant, ils seront bleus ou roses.
Crois-moi, même si j’ai fauté avec Alfred, ton enfant est de toi.
J’adore, jouer à la roulette russe, ma femme baise à son palais de justice et elle voudrait me faire endosser la paternité, elle agirait de la même manière.
Ça vibre.
« Dis-moi bébé, après m’avoir sucé, je pourrai t’enculer, depuis le temps que tu me le promets.
Tu sais que pour moi, c’est un désir suprême, ma femme me le refusant depuis le début de mon mariage ! »
Dans la foulée, je lui réponds.
« Ce soir, Jules va vouloir me baiser, il aura appris que je suis enceinte de toi et je me ferai sodomiser.
Je prendrai comme prétexte que notre enfant est mal en me prenant par la chatte.
Lundi, m’étant faite sodomiser une première fois, la douleur se sera atténuée et tu rentreras comme dans du beurre. »
Ma belle-mère toujours la bouche ouverte, souvent elle aussi pour astiquer des manches, en remet une couche.
• Là, ça t’en bouche un coin, tu vas être papa et tu vas croire ce connard d’Alfred, je le connais, j’ai baisé une fois avec lui lorsque je suis venue au palais pour chercher Antoinette.
• Quoi, tu dis qu’avec Jules, ton peignoir ouvert c’était un accident, mais tu viens d’affirmer que tu t’es faites sauter par ce magistrat de pacotille ?
• Charles, si c’était le seul, tu connais Charles, tu vas à la pêche tous les mercredis après-midi et tous les samedis !
• Oui, je sais qu’il travaille avec toi comme manutentionnaire.
• Tu sais qu’il aime picoler et dans les poses, contre un verre de rouge, il finit par s’épancher.
Mercredi, était-il avec toi à la pêche ?
• Non, il m’a appelé, je venais de m’installer devant notre cabanon pour me dire qu’il était souffreteux.
Il l’est de plus en plus souvent ces temps si !
• Babette, dit lui ou il se trouvait et avec qui, sinon c’est moi qui lui dit.
• Avec moi !
• Et où t’a-t-il baisée ?
• Sur la table de la cuisine, j’adore quand on fait ça sur cette table.
• Charles nous a tout raconté, même cette salope aime s’épancher, dit lui avec qui la table où il mange te sert de baisodrome.
• La première fois c'était avec le facteur, puis il y a eu...
• Babette ferme là, Charles va nous faire un infarctus, il a compris qu’il vivait avec une pute, comme moi, je vis avec une autre, telle mère, telle fille.
De nouveau, ça vibre.
« Merci de me confirmer que je suis le père de ton enfant, j’ai une grande fille, mais savoir que je vais être de nouveau père me remplit de joie.
Il te reste une seule chose à faire, celle de le quitter pendant que j’en fais de même avec ma femme.
Tu te rends compte de la vie que je mène, elle est dans sa chambre avec sa tablette pour regarder la messe de minuit à Rome avec le pape.
Te faire sodomiser par cet impuissant l’ignorant, c’est sûr que je vais apprécier lundi.
En ce lendemain de fête, je serai seul avec toi et je me vois déjà avec ma bite dans ton rectum.
Ce sera le plus beau jour après l’annonce que tu viens de me faire que je t’ai engrossée. »
En lisant cela, je pète un plomb, je prends le couteau pour découper la dinde, à deux doigts de les percer tous les trois.
• Allez, c’est fini de jouer, Antoinette dans notre chambre et vous Charles et Babette dans la vôtre, je vais voir quelle décision je prends.
Comme une volée de moineau devant mon couteau fin et acéré, ils se ruent dans les différentes chambres.
Je les enferme à double tour.
Dans la chambre de mes beaux-parents, dès qu’ils sont entrés ça gueule et j’entends même des coups.
Dans notre chambre, ça pleure simplement.
Ça va gueuler une partie du dimanche dans celle de Charles et Babette jusqu’à ce que tous s’apaisent.
J’ai ouvert tous les cadeaux, la bague que je destinais à celle qui m’avait promis fidélité est là.
Pour moi, les chaussons de son infidélité.
Pour Charles, une canne à pêche ultra performante achetée en commun et pour Babette, un Chromino, jeux de dominos avec des couleurs de son niveau intellectuel les enfants jouant à partir de 6 ans.
Je suis un homme responsable, mais aligner des jaunes avec des verts, des bleus ou des rouges, ça me permet de laisser filer le temps.
Dans ma tête, ma femme couchée sur le bureau de son amant se faisant sodomiser m’apparaît de plus en plus clairement.
De plus en plus précisément, un plan se fait jour dans mon esprit, je crois que je vais l’appliquer, les cases rouges du Chromino m’y incitent de plus en plus...
• Antoinette, ça fait trois fois que ton portable vibre et que tu t’empresses d’effacer le message.
Qui peut t’écrire un soir de Noël ?
• Simplement notre journal, le « Progrès, » il y a eu un accident sur la nationale et ils nous envoient des informations.
Une nouvelle vibration, avant qu’elle ait le temps de réagir et effacer, je me saisis du portable et j’ouvre le SMS qui s’affiche.
• Bébé, tu me fais languir, pourquoi refuses-tu de me répondre ?
Ton cocu est trop près de toi !
Dis-moi lundi tu mettras ta robe rouge, tu sais celle que j’adore, car elle me permet de fourrer ma tête dessous et de te sucer ta chatte épilée.
• Jules, c’est juste un jeu avec le juge d’instruction avec lequel je travaille.
• Un petit jeu, tu te fous de ma gueule, il sait que tu es épilée, tu appelles ça un petit jeu.
Tu baises avec ce vieux croûton et tu veux que ce soit seulement un petit jeu !
• Il a 58 ans, Jules, dit que c’est vieux !
• Toi la vieille salope, t'es comme ta fille, une pute, attendez, on va jouer !
58 ans pour lui, 23 ans pour elle, chercher l’erreur !
Je tape le texte suivant.
« Alfred, oui, ta tête sous ma robe rouge, tu me suceras la chatte comme la dernière fois, et après ! »
À ce moment, c’est mon beau-père Lucien qui prend la parole pour défendre sa femme de mon insulte la traitant de pute.
• Jules de quel droit traites-tu Babette de pute ?
• Depuis que mardi je suis allée chez toi poser le papier peint, pendant que tu étais à ton lycée.
Ta carrière au sein de cette administration était tellement ton seul sujet que tu as fermé les yeux sur la salope qui te sert de femme.
• Jules, tais-toi, mardi c’était un accident.
Le portable dans ma main vibre, je lis.
« Après tu me suceras le chibre bien plus gros que celui de ton mari, du moins c’est ce que tu m’as affirmé.
Avant, j’espère que tu m’enverras ces petits jets de cyprine qui sortent de toi et que j’adore boire ! »
Une fois dans les premiers jours avec moi Antoinette a été femme fontaine.
Depuis j’essaye que cela recommence et c’est ce vieux barbot qui arrive à recevoir sa cyprine dans sa bouche.
Je me suis renseignée la première fois, l’excitation d’Antoinette étant à son paroxysme, son corps a réagi en expulsant tout le liquide m’ayant surpris.
Est-ce le fait que ce soit un vieux qui lui suce la chatte, lui semble avoir réussi à ce qu’elle jouisse plus qu’avec moi.
Je réponds à la femme fontaine qu’elle semble être avec son juge d’instruction.
« Alfred, cela dépend de ta langue sur mon clito, moi, dans tous les cas, je te sucerai. »
• Jules, tu en as trop dit, que s’est-il passé mardi.
• Je descendais de l’escabeau après avoir posé un lai de papier peint, quand Babette est entrée venant de la salle de bains en peignoir, il s’est lamentablement ouvert sur son corps nu.
• C’était un accident !
• Un accident, Lucien, tu vas dire si je me trompe, mais la salope de son quartier, a les seins tombant avec l’âge et une chatte avec sa toison, toute blanche.
Un accident, ta femme avait cent fois le temps de le refermer avant de se coller à moi et me prendre le paquet dans sa main.
• C’était un accident mon chéri !
• Salope.
Tout semblait avoir été dit, mais Antoinette a eu le toupet de m’annoncer la suite me mettant hors de moi.
• Jules, si tu vas sous le sapin que tu prends le paquet beige et que tu l’ouvres, tu trouveras une petite paire de chaussons beige !
Quand nous découvrirons à sa naissance le sexe de notre enfant, ils seront bleus ou roses.
Crois-moi, même si j’ai fauté avec Alfred, ton enfant est de toi.
J’adore, jouer à la roulette russe, ma femme baise à son palais de justice et elle voudrait me faire endosser la paternité, elle agirait de la même manière.
Ça vibre.
« Dis-moi bébé, après m’avoir sucé, je pourrai t’enculer, depuis le temps que tu me le promets.
Tu sais que pour moi, c’est un désir suprême, ma femme me le refusant depuis le début de mon mariage ! »
Dans la foulée, je lui réponds.
« Ce soir, Jules va vouloir me baiser, il aura appris que je suis enceinte de toi et je me ferai sodomiser.
Je prendrai comme prétexte que notre enfant est mal en me prenant par la chatte.
Lundi, m’étant faite sodomiser une première fois, la douleur se sera atténuée et tu rentreras comme dans du beurre. »
Ma belle-mère toujours la bouche ouverte, souvent elle aussi pour astiquer des manches, en remet une couche.
• Là, ça t’en bouche un coin, tu vas être papa et tu vas croire ce connard d’Alfred, je le connais, j’ai baisé une fois avec lui lorsque je suis venue au palais pour chercher Antoinette.
• Quoi, tu dis qu’avec Jules, ton peignoir ouvert c’était un accident, mais tu viens d’affirmer que tu t’es faites sauter par ce magistrat de pacotille ?
• Charles, si c’était le seul, tu connais Charles, tu vas à la pêche tous les mercredis après-midi et tous les samedis !
• Oui, je sais qu’il travaille avec toi comme manutentionnaire.
• Tu sais qu’il aime picoler et dans les poses, contre un verre de rouge, il finit par s’épancher.
Mercredi, était-il avec toi à la pêche ?
• Non, il m’a appelé, je venais de m’installer devant notre cabanon pour me dire qu’il était souffreteux.
Il l’est de plus en plus souvent ces temps si !
• Babette, dit lui ou il se trouvait et avec qui, sinon c’est moi qui lui dit.
• Avec moi !
• Et où t’a-t-il baisée ?
• Sur la table de la cuisine, j’adore quand on fait ça sur cette table.
• Charles nous a tout raconté, même cette salope aime s’épancher, dit lui avec qui la table où il mange te sert de baisodrome.
• La première fois c'était avec le facteur, puis il y a eu...
• Babette ferme là, Charles va nous faire un infarctus, il a compris qu’il vivait avec une pute, comme moi, je vis avec une autre, telle mère, telle fille.
De nouveau, ça vibre.
« Merci de me confirmer que je suis le père de ton enfant, j’ai une grande fille, mais savoir que je vais être de nouveau père me remplit de joie.
Il te reste une seule chose à faire, celle de le quitter pendant que j’en fais de même avec ma femme.
Tu te rends compte de la vie que je mène, elle est dans sa chambre avec sa tablette pour regarder la messe de minuit à Rome avec le pape.
Te faire sodomiser par cet impuissant l’ignorant, c’est sûr que je vais apprécier lundi.
En ce lendemain de fête, je serai seul avec toi et je me vois déjà avec ma bite dans ton rectum.
Ce sera le plus beau jour après l’annonce que tu viens de me faire que je t’ai engrossée. »
En lisant cela, je pète un plomb, je prends le couteau pour découper la dinde, à deux doigts de les percer tous les trois.
• Allez, c’est fini de jouer, Antoinette dans notre chambre et vous Charles et Babette dans la vôtre, je vais voir quelle décision je prends.
Comme une volée de moineau devant mon couteau fin et acéré, ils se ruent dans les différentes chambres.
Je les enferme à double tour.
Dans la chambre de mes beaux-parents, dès qu’ils sont entrés ça gueule et j’entends même des coups.
Dans notre chambre, ça pleure simplement.
Ça va gueuler une partie du dimanche dans celle de Charles et Babette jusqu’à ce que tous s’apaisent.
J’ai ouvert tous les cadeaux, la bague que je destinais à celle qui m’avait promis fidélité est là.
Pour moi, les chaussons de son infidélité.
Pour Charles, une canne à pêche ultra performante achetée en commun et pour Babette, un Chromino, jeux de dominos avec des couleurs de son niveau intellectuel les enfants jouant à partir de 6 ans.
Je suis un homme responsable, mais aligner des jaunes avec des verts, des bleus ou des rouges, ça me permet de laisser filer le temps.
Dans ma tête, ma femme couchée sur le bureau de son amant se faisant sodomiser m’apparaît de plus en plus clairement.
De plus en plus précisément, un plan se fait jour dans mon esprit, je crois que je vais l’appliquer, les cases rouges du Chromino m’y incitent de plus en plus...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Qu'avez vous écrit sur ce site que je puisse apprendre comment il faut écrire des histoires, je suis preneur de leçon...
Ne me lisez pas, d'autres le feront à votre place...
Histoire complètement farfelue et aussi mal écrite le français n est pas votre fort.Vous en faite des tonnes dans votre récit soyez plus clair et moins vulgaire.