COLLECTION VENGEANCE. Vengeance sans limite, la suite. Résurrection (2/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Vengeance sans limite, la suite. Résurrection (2/3)
Ce qui m’arrive est grave, grave à un point tel que moi-même, je suis dans l’impossibilité de dire jusqu’où découvrira l’erreur que j’ai faite en enfermant Françoise, mon épouse avec Adrienne, sa copine.
Ça c’était dans un premier temps, après avoir piégé Fred celui qui se disait mon copain dans une chambre d’hôtel de Blois, j’ai pris plaisir à débuter un combat à mort entre les deux copines.
Le but, c’était de laisser la vie sauve à celle qui gagnerait sur l’autre.
Dans cette cave de l’horreur, construite par la Gestapo pour faire parler les résistants, c’est grâce à la chaîne dont elle s’est servie, que Françoise gagne.
Je lui ai enlevé son collier autour de son cou pour le mettre autour de celui de Fred.
La porte fermée, je voulais les laisser mijoter dans leur peur qu’immanquablement cette situation allait susciter entre eux.
J’use espéré qu’ils auraient continué à baiser ensemble tant que leurs vivres étaient là avant de voir que leur situation était plus grave que ça.
Mais la justice de Dieu est toujours immanente, car en repartant pour Orléans, sous la neige, un camion nous coupe la route.
C’est plus tard avec simplement des images défilant au fil du temps que je comprends que ma femme a été décapitée en passant sous le châssis de ce monstre des routes.
Pour ma part, j’en réchappe avec la bagatelle de mes deux jambes coupées.
Malchance et chance quand je comprends que les tôles me retenant avaient arrêté l’hémorragie qui m’aurait achevé si mon sang s’était échappé par ces plaies.
Quand je suis dans ma chambre, comment me sortir de cette situation sans trop de casse, ce qui est un doux euphémisme.
Je me demande, comment à la place de Françoise, ma femme, pas l’infirmière rousse, c’était Adrienne qui avait gagné le combat.
La police aurait pensé que j’étais avec ma maîtresse.
Mes beaux-parents se seraient posé la question d’où se trouvait leur fille.
D’ailleurs, ils sont ou ceux-là, la police a bien dû les prévenir pour leur fille.
Et mon fils, voudront-ils le garder contre ma volonté, ma belle-mère ayant de tout temps comme une ennemie pour moi ?
Si Adrienne avait été à mes côtés, la police serait déjà là.
La disparition de deux adultes Fred et Adrienne, étant certainement signalée, le lien avec notre accident serait difficile à faire.
La disparition de deux adultes, Fred et Françoise avec Adrienne décapité dans ma voiture, j’aurais déjà les menottes, du moins une surveillance policière devant ma porte.
Bref, je serais à l’aube d’être riche, grâce à cet agent de mon assurance qui se bat pour récupérer mon argent.
Riche, mais derrière les barreaux de la prison pour un nombre d’années qu’il m’est impossible de compter.
Ça frappe à la porte de ma chambre.
• Bonjours monsieur Sylvain, le patron voulait venir avec moi plus tôt.
Mais l’hôpital nous avait fait savoir que dans votre état, les visites vous étaient interdites.
J’ai été heureux d’entendre Votre voix quand vous m’avez appelé.
J’ai appelé notre patron, j’ai une mauvaise nouvelle, il envisage un licenciement pour impossibilité de faire votre travail en fauteuil roulant.
Vous allez devoir, vous battre au prud’homme.
Je pense que vous savez que votre femme a été enterrée, nous étions à la cérémonie.
• Dis-moi, mon fils était là, je suis sans nouvelles d’eux.
• Non, votre belle-mère était avec votre beau-père, mais sans enfant.
D’ailleurs, vous me le dites, j’ignorais que vous en aviez un.
Ce que j’ai entendu, c’est que votre belle-mère avait une dent contre vous.
Il semblerait que l’assurance du camion mette en avance la vitesse importante à laquelle vous rouliez quand vous êtes arrivée au croisement avec cette neige.
• Merci de ces renseignements, j’ai un gros problème qui me tracasse, tu es le seul à me sortir du caca où je me suis mis.
En même temps que, je lui dis ça, je sais ce que je veux lui demander, on frappe à ma porte.
• Bonjour, nous sommes de la gendarmerie de Blois, lieutenant inspecteur Dupont avec un T.
Mon adjoint brigadier Dupond avec un D.
Monsieur, excusez de vous demander de sortir de la chambre de votre ami, nous avons quelques questions à lui posée !
C’est sûr, je vais finir en cabane, pour enlèvement, séquestration, j’en passe et des meilleurs !
• Monsieur, je m’excuse, je vais être direct surtout suite à votre état et le deuil qui vous frappe.
• Allez y, depuis que je suis sortie du coma, les catastrophe s’entasse.
• Saviez-vous que votre femme participait à ce que je qualifierais de partouze dans un hôtel près de la gare de Blois ?
• Que me dite, vous là, ma femme m’était fidèle qu’est-ce qui vous fait penser à ça ?
• Ces photos trouvées chez un dénommé Fred, vous devez connaître la troisième protagoniste à ces ébats.
Nous avons montré ces photos à vos beaux-parents, votre belle-mère nous a dit que vous étiez tous amis et que la jeune femme s’appelle Adrienne.
• J’aurais du mal à nier que ce sont des amis, Fred est mon copain et Adrienne une amie de Françoise.
C’est beau de pleurer devant la gendarmerie sans avoir besoin d’oignon.
Je prends un mouchoir et je m’essuie les yeux et je me mouche.
• Je vois que vous semblez être sincère.
• Vous pensez que c’est moi qui ai pris ces photos ignobles ?
Adrienne suçant la chatte de Françoise, Fred se faisant sucer par l’une ou par l’autre.
Fred dans la chatte de Françoise en levrette.
Les trois sont sur la photo, donc, l’inspecteur doit ce dire que nous étions quatre et que c’est moi qui flash.
• Soyez sans crainte, ces photos ou les trois amants sont ensemble, ont été pris l’appareil posé sur la table au bout du lit avec un retardateur.
De plus, le patron de l’hôtel ainsi que la femme de chambre ont confirmé qu’ils étaient trois.
Ils sont venus plusieurs fois, toujours à trois et les cris de jouissances qu’ils poussaient vous comprenez pourquoi étaient toujours les mêmes.
• Alors que me voulez-vous ?
• Une autre chose, nous avons compris qu’au vu de ses photos, votre belle-mère est persuadée que vous avez jeté délibérément votre voiture contre ce camion.
• Elle intente une action sur Orléans pour tentative de meurtre, même si votre femme vous trompait.
Avec un bon avocat, ça se plaide, il lui suffira de se porter partie civile pour la suite du dossier qui nous intéresse.
La disparition de Fred et d’Adrienne.
Un point positif, Jean-Pierre mon collège dans le couloir, leur enquête serait remontée jusqu’à l’achat de cette maison qu’il a vendu à mon notaire, je serais fait comme un rat.
Je prends conscience qu’il va m’être difficile de relâcher les amants de Françoise qui risque de se ruer à la police, du moins s’ils sont vivants.
Je trouve un palliatif.
Me donnez du temps.
• Ce qui nous amène, c’est la disparition de ces deux personnes sur les photos.
Pouvez-vous nous apporter des éclairements où ils nous seraient possible de chercher pour les retrouver ?
• Un jour mon copain Fred m’a dit qu’il avait rencontré une femme qui avait des attaches dans la région et qu’ils envisageaient de fuir ensemble.
• Ce pouvait être votre femme !
• Hélas, depuis tout à l’heure et la venue de mon collège de travail que vous avez fait sortir dans le couloir, je sais où elle est et grâce à vous.
Je sais pourquoi depuis que je suis sortie du coma, mon fils et mes beaux-parents sont aux abonnés absents.
Le psy a certainement voulu me protéger.
Pour eux je suis un monstre qui leur a pris leur fille de savoir qu’elle me trompait m’aurait été insupportable.
Et, je me remets à pleurer.
• On va vous laisser.
Toutes vos explications tombent sous le sens, permettez que nous revenions si le besoin s’en faisait sentir.
Tenez, un mouchoir en papier.
J’ai loupé ma vocation, j’aurais dû faire comédiens et non vendeur immobilier.
Les policiers partent, je sens que j’ai été convaincant.
Jean-Pierre est resté à attendre.
• Tu te souviens que je t’ai aidé, pour la vente de cette maison !
• Oui, un notaire m’a dit qu’il venait de votre part et que vous aviez trouvé un client.
• Le client, c’était moi.
• À quoi a pu vous servir cette maison horrible !
• À me venger de mon épouse qui fricotait avec un couple.
Lorsque je suis reparti de ton agence, j’ai vu ma femme entrée dans un hôtel près de la gare.
Elle allait se faire baiser par mon pote et se gouiner avec sa meilleure copine.
Un plan à trois.
• J’ai entendu les policiers et je me suis souvenu d’un article dans la nouvelle république, les photos de deux personnes portées disparues y étaient.
C’est vous qui les avez fait disparaître dans la cave où la Gestapo torturait les résistants ?
• Tu as tout compris, je voulais seulement leur donner une leçon, mais mon accident à tout chamboulé.
• Ils sont enfermés là-bas depuis tout ce temps !
• Oui.
• Et vous voulez que j’aille les délivrer !
• Surtout pas, ils iraient à la police et ils raconteront que j’ai voulu leur mort.
Donne leur simplement à manger jusqu’à ce que je sorte.
Tient voilà la clef du cadenas qui ferme la porte.
• J’ai un peu peur.
• Pense à ton travail, si je vais dire à Vivian que tu es un incapable dans les ventes.
J’ai adoré le voir partir, savoir donner du temps au temps.
Si ça tourne mal, il pourra toujours confirmer que je lui ai dit que je voulais simplement leur faire peur.
• Alors Sylvain, vous avez eu beaucoup de visite aujourd’hui.
• Oui, la police m’a disculpé dans les recherches qu’ils ont en cours.
• Demain, vous aurez le spécialiste qui vous donnera votre première leçon dans votre fauteuil roulant électrique.
• Tu vas bientôt pouvoir sortir, sais-tu ou aller !
Je prends ce tutoiement pour une acceptation.
• Là.
Et je plonge ma main sous sa blouse.
Mes doigts caressent sa chatte au travers de sa culotte qui est trempée.
On peut encore plaire sans ses jambes.
Elle se penche me montrant sa poitrine opulente et elle m’embrasse goulument...
Ça c’était dans un premier temps, après avoir piégé Fred celui qui se disait mon copain dans une chambre d’hôtel de Blois, j’ai pris plaisir à débuter un combat à mort entre les deux copines.
Le but, c’était de laisser la vie sauve à celle qui gagnerait sur l’autre.
Dans cette cave de l’horreur, construite par la Gestapo pour faire parler les résistants, c’est grâce à la chaîne dont elle s’est servie, que Françoise gagne.
Je lui ai enlevé son collier autour de son cou pour le mettre autour de celui de Fred.
La porte fermée, je voulais les laisser mijoter dans leur peur qu’immanquablement cette situation allait susciter entre eux.
J’use espéré qu’ils auraient continué à baiser ensemble tant que leurs vivres étaient là avant de voir que leur situation était plus grave que ça.
Mais la justice de Dieu est toujours immanente, car en repartant pour Orléans, sous la neige, un camion nous coupe la route.
C’est plus tard avec simplement des images défilant au fil du temps que je comprends que ma femme a été décapitée en passant sous le châssis de ce monstre des routes.
Pour ma part, j’en réchappe avec la bagatelle de mes deux jambes coupées.
Malchance et chance quand je comprends que les tôles me retenant avaient arrêté l’hémorragie qui m’aurait achevé si mon sang s’était échappé par ces plaies.
Quand je suis dans ma chambre, comment me sortir de cette situation sans trop de casse, ce qui est un doux euphémisme.
Je me demande, comment à la place de Françoise, ma femme, pas l’infirmière rousse, c’était Adrienne qui avait gagné le combat.
La police aurait pensé que j’étais avec ma maîtresse.
Mes beaux-parents se seraient posé la question d’où se trouvait leur fille.
D’ailleurs, ils sont ou ceux-là, la police a bien dû les prévenir pour leur fille.
Et mon fils, voudront-ils le garder contre ma volonté, ma belle-mère ayant de tout temps comme une ennemie pour moi ?
Si Adrienne avait été à mes côtés, la police serait déjà là.
La disparition de deux adultes Fred et Adrienne, étant certainement signalée, le lien avec notre accident serait difficile à faire.
La disparition de deux adultes, Fred et Françoise avec Adrienne décapité dans ma voiture, j’aurais déjà les menottes, du moins une surveillance policière devant ma porte.
Bref, je serais à l’aube d’être riche, grâce à cet agent de mon assurance qui se bat pour récupérer mon argent.
Riche, mais derrière les barreaux de la prison pour un nombre d’années qu’il m’est impossible de compter.
Ça frappe à la porte de ma chambre.
• Bonjours monsieur Sylvain, le patron voulait venir avec moi plus tôt.
Mais l’hôpital nous avait fait savoir que dans votre état, les visites vous étaient interdites.
J’ai été heureux d’entendre Votre voix quand vous m’avez appelé.
J’ai appelé notre patron, j’ai une mauvaise nouvelle, il envisage un licenciement pour impossibilité de faire votre travail en fauteuil roulant.
Vous allez devoir, vous battre au prud’homme.
Je pense que vous savez que votre femme a été enterrée, nous étions à la cérémonie.
• Dis-moi, mon fils était là, je suis sans nouvelles d’eux.
• Non, votre belle-mère était avec votre beau-père, mais sans enfant.
D’ailleurs, vous me le dites, j’ignorais que vous en aviez un.
Ce que j’ai entendu, c’est que votre belle-mère avait une dent contre vous.
Il semblerait que l’assurance du camion mette en avance la vitesse importante à laquelle vous rouliez quand vous êtes arrivée au croisement avec cette neige.
• Merci de ces renseignements, j’ai un gros problème qui me tracasse, tu es le seul à me sortir du caca où je me suis mis.
En même temps que, je lui dis ça, je sais ce que je veux lui demander, on frappe à ma porte.
• Bonjour, nous sommes de la gendarmerie de Blois, lieutenant inspecteur Dupont avec un T.
Mon adjoint brigadier Dupond avec un D.
Monsieur, excusez de vous demander de sortir de la chambre de votre ami, nous avons quelques questions à lui posée !
C’est sûr, je vais finir en cabane, pour enlèvement, séquestration, j’en passe et des meilleurs !
• Monsieur, je m’excuse, je vais être direct surtout suite à votre état et le deuil qui vous frappe.
• Allez y, depuis que je suis sortie du coma, les catastrophe s’entasse.
• Saviez-vous que votre femme participait à ce que je qualifierais de partouze dans un hôtel près de la gare de Blois ?
• Que me dite, vous là, ma femme m’était fidèle qu’est-ce qui vous fait penser à ça ?
• Ces photos trouvées chez un dénommé Fred, vous devez connaître la troisième protagoniste à ces ébats.
Nous avons montré ces photos à vos beaux-parents, votre belle-mère nous a dit que vous étiez tous amis et que la jeune femme s’appelle Adrienne.
• J’aurais du mal à nier que ce sont des amis, Fred est mon copain et Adrienne une amie de Françoise.
C’est beau de pleurer devant la gendarmerie sans avoir besoin d’oignon.
Je prends un mouchoir et je m’essuie les yeux et je me mouche.
• Je vois que vous semblez être sincère.
• Vous pensez que c’est moi qui ai pris ces photos ignobles ?
Adrienne suçant la chatte de Françoise, Fred se faisant sucer par l’une ou par l’autre.
Fred dans la chatte de Françoise en levrette.
Les trois sont sur la photo, donc, l’inspecteur doit ce dire que nous étions quatre et que c’est moi qui flash.
• Soyez sans crainte, ces photos ou les trois amants sont ensemble, ont été pris l’appareil posé sur la table au bout du lit avec un retardateur.
De plus, le patron de l’hôtel ainsi que la femme de chambre ont confirmé qu’ils étaient trois.
Ils sont venus plusieurs fois, toujours à trois et les cris de jouissances qu’ils poussaient vous comprenez pourquoi étaient toujours les mêmes.
• Alors que me voulez-vous ?
• Une autre chose, nous avons compris qu’au vu de ses photos, votre belle-mère est persuadée que vous avez jeté délibérément votre voiture contre ce camion.
• Elle intente une action sur Orléans pour tentative de meurtre, même si votre femme vous trompait.
Avec un bon avocat, ça se plaide, il lui suffira de se porter partie civile pour la suite du dossier qui nous intéresse.
La disparition de Fred et d’Adrienne.
Un point positif, Jean-Pierre mon collège dans le couloir, leur enquête serait remontée jusqu’à l’achat de cette maison qu’il a vendu à mon notaire, je serais fait comme un rat.
Je prends conscience qu’il va m’être difficile de relâcher les amants de Françoise qui risque de se ruer à la police, du moins s’ils sont vivants.
Je trouve un palliatif.
Me donnez du temps.
• Ce qui nous amène, c’est la disparition de ces deux personnes sur les photos.
Pouvez-vous nous apporter des éclairements où ils nous seraient possible de chercher pour les retrouver ?
• Un jour mon copain Fred m’a dit qu’il avait rencontré une femme qui avait des attaches dans la région et qu’ils envisageaient de fuir ensemble.
• Ce pouvait être votre femme !
• Hélas, depuis tout à l’heure et la venue de mon collège de travail que vous avez fait sortir dans le couloir, je sais où elle est et grâce à vous.
Je sais pourquoi depuis que je suis sortie du coma, mon fils et mes beaux-parents sont aux abonnés absents.
Le psy a certainement voulu me protéger.
Pour eux je suis un monstre qui leur a pris leur fille de savoir qu’elle me trompait m’aurait été insupportable.
Et, je me remets à pleurer.
• On va vous laisser.
Toutes vos explications tombent sous le sens, permettez que nous revenions si le besoin s’en faisait sentir.
Tenez, un mouchoir en papier.
J’ai loupé ma vocation, j’aurais dû faire comédiens et non vendeur immobilier.
Les policiers partent, je sens que j’ai été convaincant.
Jean-Pierre est resté à attendre.
• Tu te souviens que je t’ai aidé, pour la vente de cette maison !
• Oui, un notaire m’a dit qu’il venait de votre part et que vous aviez trouvé un client.
• Le client, c’était moi.
• À quoi a pu vous servir cette maison horrible !
• À me venger de mon épouse qui fricotait avec un couple.
Lorsque je suis reparti de ton agence, j’ai vu ma femme entrée dans un hôtel près de la gare.
Elle allait se faire baiser par mon pote et se gouiner avec sa meilleure copine.
Un plan à trois.
• J’ai entendu les policiers et je me suis souvenu d’un article dans la nouvelle république, les photos de deux personnes portées disparues y étaient.
C’est vous qui les avez fait disparaître dans la cave où la Gestapo torturait les résistants ?
• Tu as tout compris, je voulais seulement leur donner une leçon, mais mon accident à tout chamboulé.
• Ils sont enfermés là-bas depuis tout ce temps !
• Oui.
• Et vous voulez que j’aille les délivrer !
• Surtout pas, ils iraient à la police et ils raconteront que j’ai voulu leur mort.
Donne leur simplement à manger jusqu’à ce que je sorte.
Tient voilà la clef du cadenas qui ferme la porte.
• J’ai un peu peur.
• Pense à ton travail, si je vais dire à Vivian que tu es un incapable dans les ventes.
J’ai adoré le voir partir, savoir donner du temps au temps.
Si ça tourne mal, il pourra toujours confirmer que je lui ai dit que je voulais simplement leur faire peur.
• Alors Sylvain, vous avez eu beaucoup de visite aujourd’hui.
• Oui, la police m’a disculpé dans les recherches qu’ils ont en cours.
• Demain, vous aurez le spécialiste qui vous donnera votre première leçon dans votre fauteuil roulant électrique.
• Tu vas bientôt pouvoir sortir, sais-tu ou aller !
Je prends ce tutoiement pour une acceptation.
• Là.
Et je plonge ma main sous sa blouse.
Mes doigts caressent sa chatte au travers de sa culotte qui est trempée.
On peut encore plaire sans ses jambes.
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