COLLECTION VENGEANCE. Vengeance sans limite, la suite. Résurrection (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION VENGEANCE. Vengeance sans limite, la suite. Résurrection (3/3)
Les choses avancent dans ma convalescence.
J’ai quitté l’hôpital dès que j’ai été capable de me mouvoir de mon lit à mon fauteuil.
J’apprends aussi à me mettre seul sur les toilettes.
Il faut que je puisse être relativement autonome.
J’ai quitté l’hôpital pour l’appartement de Françoise.
Ce prénom m’aura marqué toute ma vie, car ma femme, celle que j’avais épousées et qui m’a fait cocu repose près d’Orléans, de ses parents et de notre fils.
Dans des années, lorsque l’on ouvrira sa tombe pour la relever, ceux qui feront ce travail, verront que la tête a été recousue sur le tronc.
Elle a été décapitée par un camion m’ayant coupé la route alors que de mon côté j’y ai perdu mais jambe, passant à deux doigts de la mort.
Aurais-je le courage d’aller sur sa tombe, elle qui m’a trompé avec sa copine et mon meilleur ami ?
J’ai déjà provisoirement perdu mon fils, car ma belle-mère s’est tournée vers la justice persuadée que j’ai voulu me suicider en même temps que je tuais sa fille.
Il est vrai que les photos que la police m’a montré, pris soit en automatique soit par l’un des trois amants à eux de quoi la traumatiser.
Voir un sexe de bonne grosseur l’enculer, c’est dur pour celle qui toute sa vie à du baiser a le pépère.
Il suffit de voir mon beau-père qui est le toutou à sa mémère et que je vois mal baisé avec des jeux érotiques.
La dernière fois que j’ai eu de ses nouvelles, c’est par avocats interposés.
Un baveux, j’ai été obligé d’en prendre un, même si la police me laisse tranquille dans les recherches de Fred et Adrienne.
Juste quelle ligne dans la Nouvelle République.
Je lis ce journal tous les matins au petit déjeuner.
C’est quelques lignes, de plus en plus rare me fait penser que les deux salopards sont toujours dans la cave, ancienne maison de la Gestapo pendant la guerre.
Pas de nouvelle de mes prisonniers, mais pas plus de nouvelle de Jean-Pierre, mon ancien collège de l’agence immobilière de Blois à cause ou grâce à qui j’ai découvert les tromperies de ma femme.
A-t-il eu peur, de redescendre dans la cave pour y trouver des cadavres, je l’ignore.
Je pourrais appeler Vivian, mon ancien patron.
Mon ancien patron, car avant de disparaitre, Jean-Pierre m’a averti qu’il allait me licencier, considérant qu’un cul-de-jatte était dans l’incompatibilité de faire visiter des maisons à étages à des clients dans un fauteuil roulant.
J’ai parlé de mon baveux, je lui ai confié mes intérêts au prud’homme dans cette affaire et nous attendons les fortes indemnités qu’il va devoir payer pour licenciement abusif.
Le tribunal a considéré qu’une agence comme la sienne aurait dû me faire une proposition de poste de bureau qui lui aurait servi à couvrir son taux d’invalides obligatoire dans toute entreprise par la loi.
Vivian, il vaut mieux oublier, le journal, c’est possible si quelqu’un fait comme pour Fred et Adrienne une demande de recherche.
Pour le moment calme plat.
Pour savoir dans quel état se trouvent Fred et Adrienne, il me reste Françoise.
Françoise, celle qui en ce moment me suce avant de venir s’empaler sur ma bite.
Mes jambes disparues dans l’accident font que c’est elle qui fait la plus grande partie de notre acte sexuel.
Je me renforce du haut du corps, car mes bras me sont devenus indispensables grâce à un appareil de musculation qu’elle m’a acheté.
Il y a deux jours, je lui ai demandé de se mettre en levrette, je me suis glissé derrière elle, j’ai commencé par lui sucer le clito avant de me hisser sur mes moignons la tenant par les hanches.
Là sucée, je le fais chaque fois que nous faisons l’amour.
Mais c’est elle qui s’agenouille les jambes repliées et qui écarte ses grandes lèvres à l’odeur très musquée comme le sont les rousses naturelles.
Après l’avoir presque fait jouir par ma bouche, je voulais la prendre en levrette, mais il m’a été impossible de tenir sur le bout de mes plaies ayant encore trop mal.
Depuis chaque jour en plus de mes exercices musculaires, je me mets sur mes moignons quelques minutes me tenant simplement à mon banc de mon appareil de musculation.
Dans le futur, j’espère que la douleur finira par disparaître et que je la pilonnerais debout comme l’homme que j’étais avant.
Quand elle s’empale d’elle-même sur mon pieu dont j’ai l’impression qu’il compense la perte de mes jambes par un développement plus important.
L’afflux de sang supplémentaire est peut-être pour quelques choses, elle jouit alors que je lui malaxe les seins.
Chaque fois, je sens qu’elle s’attache de plus en plus à moi.
Aujourd’hui bonne nouvelle, la police d’assurance du routier vient de m’être versé.
Hier s’étaient les prud’hommes qui me versaient, eux aussi une somme conséquente.
Je vais pouvoir rendre à Françoise ce qu’elle m’a donné avec tout son cœur depuis que, j’ai osé lui caresser la chatte sous sa blouse.
Son travail, car elle a démissionné pour se consacrer à un seul malade si malade, je suis.
Oui, du cerveau après ce que j’ai fait et qui commence sérieusement à me poser problème.
Il faut que je sache,ce que sont devenus Fred et Adrienne.
Une seule personne peut me faire descendre dans cette cave.
Cerveau malade quand il me vient l’idée que si elle devient ma femme, il lui serait difficile de faire croire à la police que j’ai agi seul alors que je l’ai épousé.
• Chérie, conduis-nous au restaurant de ton choix, je veux fêter quelque chose avec toi.
Elle se pomponne, je vais être fière d’être à la table d’une telle plante rousse faisant baver les autres hommes.
C’est au dessert que je sors de ma poche une bague de fiançailles.
• Françoise excuse que je reste assis dans mon fauteuil de handicapé, mais veux-tu m’épouser.
• Ou vois-tu un handicapé, la façon dont tu m’as pris hier alors que j’étais en levrette est loin d’être une position de handicaper.
Quand j’ai décidé de devenir ta petite amie, j’étais loin de m’imaginer que tu arriverais à faire tout ça.
Bien sûr que je veux t’épouser.
Nous l’avons fait, pour la deuxième fois, je passe une bague à une autre femme, mais toujours en disant.
« Oui, Françoise je veux t’épouser ».
Quelques jours et nous sommes lovées dans les bras l’un de l’autre.
• Chérie, j’ai un aveu à te faire, j’ai fait une bêtise avant mon accident, ayant entraîné la disparition des amants de ma femme.
Voilà, j’ai réussi, j’ai récupéré la deuxième clef du cadenas fermant la cave ou l’horreur doit ce trouvé.
Nous venons d’arrêter la voiture que nous avons achetée permettant à mon fauteuil roulant électrique à l’arrière grâce à une rampe.
Je me transfère dans un fauteuil classique avec lequel je m’entraîne dans la perspective de la descente dans la cave.
Elle me retient derrière moi et me retient le temps de descendre les quelques marches et risquer de me briser le cou.
La porte maléfique est là devant moi.
J’ouvre le cadenas.
Le ciel me tombe sur la tête, rideaux, je plonge dans un monde plus noir qu’après mon accident ou là au moins, je voyais une lumière blanche.
• Ou suis-je ?
• Ça y est Adrienne, il revient à lui, j’avais peur d’avoir tapé trop fort avec le tuyau de plomb que nous avions mis au pied des escaliers.
Ma vue se rétablit, j’ai une affreuse douleur derrière la tête.
Je suis sur le lit où j’avais attaché Fred avant de partir.
Jean-Pierre est sur celui d’Adrienne, en pleurs.
Je touche mon cou, voyant que Jean-Pierre est entravé, lui aussi.
• Inutile de chercher à défaire ce collier de fer autour de ton cou, notre grand-père était ferrailleur, je faisais de l’art avec des bouts de tôles.
Les rivets, ça me connaît.
Tu dois te poser des questions, ton pote connaît, certaines parties du puzzle qui constitue notre histoire.
Tu es devenue folle, je t’aime et tu m’aimes puisque tu m’as épousé.
Elle éclate de rire, jouant avec un pistolet.
• Je te présente ma sœur Adrienne.
J’ignorais sa disparition quand tu es arrivée à l’hôpital où je travaillais.
La chance pour elle a voulu que je sois affectée à ta surveillance.
Quand j’ai su qu’elle avait disparu, j’ai fait une corrélation avec les noms que tu bredouillais dans ton délire.
J’ai décidé de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour que je retrouve ma sœur.
Les choses se sont accélérées quand la police est venue t’interroger.
Ils ont fait sortir ce pourri à tes côtés, j’en ai profité pour lui demander qui il était.
Quand la police est partie, j’ai réussi à entendre votre conversation et j’ai su que je devais suivre cet homme.
Je commençais à comprendre que j’étais mal barré.
• Deux jours, au soir de son travail, il m’a conduit ici.
Je suis rentrée derrière lui.
Celui qui s’appelait Fred était en très mauvais état et est mort quelques minutes après.
Adrienne était encore en état et ce fumier la sodomisait sans aucun sentiment pour elle.
Ce que tu as fait était abject Sylvain, mais profiter d’une femme mourante, c’est pire.
• Mais je lui avais donné à manger la veille pour la garder en vie.
• Ferme ta gueule Jean-Pierre tu aggraves notre cas, tu es con mon pauvre taré.
• Arrêtez, quand je vous aurais tout expliqué, vous aurez tout le temps de vous expliquer.
Il fallait s’occuper du cadavre, j’ai trouvé les outils qui t’ont servi à les immobiliser.
Il les a désenchaînés et nous sommes montés au jardin où il a creusé trois tombes.
La première pour Fred, paix à son âme les deux autres j’en reparlerais dans un instant.
Tu dis que tu m’aimes, moi non, des femmes se prostituent par amour de leur mac.
Je t’ai épousé par amour pour ma sœur, pendant que vous aurez tout le temps de crever ici, nous allons largement profiter de la fortune que tu as reçue en dédommagement de tes ignominies.
Pas de chance, tu vas être obligé de rester confiné, personne pour venir te voir, je suis ton infirmière particulière.
Fini tes mains sur mon corps, j’avais envie de vomir chaque fois que tu me touchais.
Je tente un dernier infléchissement de sa part, sachant qu’elle restera déterminée.
• Cause toujours, tu m’intéresses.
Je t’ai parlé des deux tombes vides, dans quelques semaines nous reviendrons enterrer vos restes comme nous l’avons fait avec celui qui par ta faute est mort.
Nous avons parié un bon repas sur celui qui bouffera l’autre.
J’ai parié sur toi mon amour, j’espère que tu seras à la hauteur.
Bon on vous laisse, dans quelques jours quand tout sera tassé, nous envisageons un grand voyage à Tahiti pour réchauffer nos veilles jambes.
Pardon, mon cœur, c’est vrai que tu as perdu les tiennes.
Je les vois sortir, la porte claquer.
Jean-Pierre se met à hurler.
Je prends ma chaîne dans mes mains et...
Dire que je croyais avoir trouvé une vengeance sans limite.
J’ai quitté l’hôpital dès que j’ai été capable de me mouvoir de mon lit à mon fauteuil.
J’apprends aussi à me mettre seul sur les toilettes.
Il faut que je puisse être relativement autonome.
J’ai quitté l’hôpital pour l’appartement de Françoise.
Ce prénom m’aura marqué toute ma vie, car ma femme, celle que j’avais épousées et qui m’a fait cocu repose près d’Orléans, de ses parents et de notre fils.
Dans des années, lorsque l’on ouvrira sa tombe pour la relever, ceux qui feront ce travail, verront que la tête a été recousue sur le tronc.
Elle a été décapitée par un camion m’ayant coupé la route alors que de mon côté j’y ai perdu mais jambe, passant à deux doigts de la mort.
Aurais-je le courage d’aller sur sa tombe, elle qui m’a trompé avec sa copine et mon meilleur ami ?
J’ai déjà provisoirement perdu mon fils, car ma belle-mère s’est tournée vers la justice persuadée que j’ai voulu me suicider en même temps que je tuais sa fille.
Il est vrai que les photos que la police m’a montré, pris soit en automatique soit par l’un des trois amants à eux de quoi la traumatiser.
Voir un sexe de bonne grosseur l’enculer, c’est dur pour celle qui toute sa vie à du baiser a le pépère.
Il suffit de voir mon beau-père qui est le toutou à sa mémère et que je vois mal baisé avec des jeux érotiques.
La dernière fois que j’ai eu de ses nouvelles, c’est par avocats interposés.
Un baveux, j’ai été obligé d’en prendre un, même si la police me laisse tranquille dans les recherches de Fred et Adrienne.
Juste quelle ligne dans la Nouvelle République.
Je lis ce journal tous les matins au petit déjeuner.
C’est quelques lignes, de plus en plus rare me fait penser que les deux salopards sont toujours dans la cave, ancienne maison de la Gestapo pendant la guerre.
Pas de nouvelle de mes prisonniers, mais pas plus de nouvelle de Jean-Pierre, mon ancien collège de l’agence immobilière de Blois à cause ou grâce à qui j’ai découvert les tromperies de ma femme.
A-t-il eu peur, de redescendre dans la cave pour y trouver des cadavres, je l’ignore.
Je pourrais appeler Vivian, mon ancien patron.
Mon ancien patron, car avant de disparaitre, Jean-Pierre m’a averti qu’il allait me licencier, considérant qu’un cul-de-jatte était dans l’incompatibilité de faire visiter des maisons à étages à des clients dans un fauteuil roulant.
J’ai parlé de mon baveux, je lui ai confié mes intérêts au prud’homme dans cette affaire et nous attendons les fortes indemnités qu’il va devoir payer pour licenciement abusif.
Le tribunal a considéré qu’une agence comme la sienne aurait dû me faire une proposition de poste de bureau qui lui aurait servi à couvrir son taux d’invalides obligatoire dans toute entreprise par la loi.
Vivian, il vaut mieux oublier, le journal, c’est possible si quelqu’un fait comme pour Fred et Adrienne une demande de recherche.
Pour le moment calme plat.
Pour savoir dans quel état se trouvent Fred et Adrienne, il me reste Françoise.
Françoise, celle qui en ce moment me suce avant de venir s’empaler sur ma bite.
Mes jambes disparues dans l’accident font que c’est elle qui fait la plus grande partie de notre acte sexuel.
Je me renforce du haut du corps, car mes bras me sont devenus indispensables grâce à un appareil de musculation qu’elle m’a acheté.
Il y a deux jours, je lui ai demandé de se mettre en levrette, je me suis glissé derrière elle, j’ai commencé par lui sucer le clito avant de me hisser sur mes moignons la tenant par les hanches.
Là sucée, je le fais chaque fois que nous faisons l’amour.
Mais c’est elle qui s’agenouille les jambes repliées et qui écarte ses grandes lèvres à l’odeur très musquée comme le sont les rousses naturelles.
Après l’avoir presque fait jouir par ma bouche, je voulais la prendre en levrette, mais il m’a été impossible de tenir sur le bout de mes plaies ayant encore trop mal.
Depuis chaque jour en plus de mes exercices musculaires, je me mets sur mes moignons quelques minutes me tenant simplement à mon banc de mon appareil de musculation.
Dans le futur, j’espère que la douleur finira par disparaître et que je la pilonnerais debout comme l’homme que j’étais avant.
Quand elle s’empale d’elle-même sur mon pieu dont j’ai l’impression qu’il compense la perte de mes jambes par un développement plus important.
L’afflux de sang supplémentaire est peut-être pour quelques choses, elle jouit alors que je lui malaxe les seins.
Chaque fois, je sens qu’elle s’attache de plus en plus à moi.
Aujourd’hui bonne nouvelle, la police d’assurance du routier vient de m’être versé.
Hier s’étaient les prud’hommes qui me versaient, eux aussi une somme conséquente.
Je vais pouvoir rendre à Françoise ce qu’elle m’a donné avec tout son cœur depuis que, j’ai osé lui caresser la chatte sous sa blouse.
Son travail, car elle a démissionné pour se consacrer à un seul malade si malade, je suis.
Oui, du cerveau après ce que j’ai fait et qui commence sérieusement à me poser problème.
Il faut que je sache,ce que sont devenus Fred et Adrienne.
Une seule personne peut me faire descendre dans cette cave.
Cerveau malade quand il me vient l’idée que si elle devient ma femme, il lui serait difficile de faire croire à la police que j’ai agi seul alors que je l’ai épousé.
• Chérie, conduis-nous au restaurant de ton choix, je veux fêter quelque chose avec toi.
Elle se pomponne, je vais être fière d’être à la table d’une telle plante rousse faisant baver les autres hommes.
C’est au dessert que je sors de ma poche une bague de fiançailles.
• Françoise excuse que je reste assis dans mon fauteuil de handicapé, mais veux-tu m’épouser.
• Ou vois-tu un handicapé, la façon dont tu m’as pris hier alors que j’étais en levrette est loin d’être une position de handicaper.
Quand j’ai décidé de devenir ta petite amie, j’étais loin de m’imaginer que tu arriverais à faire tout ça.
Bien sûr que je veux t’épouser.
Nous l’avons fait, pour la deuxième fois, je passe une bague à une autre femme, mais toujours en disant.
« Oui, Françoise je veux t’épouser ».
Quelques jours et nous sommes lovées dans les bras l’un de l’autre.
• Chérie, j’ai un aveu à te faire, j’ai fait une bêtise avant mon accident, ayant entraîné la disparition des amants de ma femme.
Voilà, j’ai réussi, j’ai récupéré la deuxième clef du cadenas fermant la cave ou l’horreur doit ce trouvé.
Nous venons d’arrêter la voiture que nous avons achetée permettant à mon fauteuil roulant électrique à l’arrière grâce à une rampe.
Je me transfère dans un fauteuil classique avec lequel je m’entraîne dans la perspective de la descente dans la cave.
Elle me retient derrière moi et me retient le temps de descendre les quelques marches et risquer de me briser le cou.
La porte maléfique est là devant moi.
J’ouvre le cadenas.
Le ciel me tombe sur la tête, rideaux, je plonge dans un monde plus noir qu’après mon accident ou là au moins, je voyais une lumière blanche.
• Ou suis-je ?
• Ça y est Adrienne, il revient à lui, j’avais peur d’avoir tapé trop fort avec le tuyau de plomb que nous avions mis au pied des escaliers.
Ma vue se rétablit, j’ai une affreuse douleur derrière la tête.
Je suis sur le lit où j’avais attaché Fred avant de partir.
Jean-Pierre est sur celui d’Adrienne, en pleurs.
Je touche mon cou, voyant que Jean-Pierre est entravé, lui aussi.
• Inutile de chercher à défaire ce collier de fer autour de ton cou, notre grand-père était ferrailleur, je faisais de l’art avec des bouts de tôles.
Les rivets, ça me connaît.
Tu dois te poser des questions, ton pote connaît, certaines parties du puzzle qui constitue notre histoire.
Tu es devenue folle, je t’aime et tu m’aimes puisque tu m’as épousé.
Elle éclate de rire, jouant avec un pistolet.
• Je te présente ma sœur Adrienne.
J’ignorais sa disparition quand tu es arrivée à l’hôpital où je travaillais.
La chance pour elle a voulu que je sois affectée à ta surveillance.
Quand j’ai su qu’elle avait disparu, j’ai fait une corrélation avec les noms que tu bredouillais dans ton délire.
J’ai décidé de faire tout ce qui était en mon pouvoir pour que je retrouve ma sœur.
Les choses se sont accélérées quand la police est venue t’interroger.
Ils ont fait sortir ce pourri à tes côtés, j’en ai profité pour lui demander qui il était.
Quand la police est partie, j’ai réussi à entendre votre conversation et j’ai su que je devais suivre cet homme.
Je commençais à comprendre que j’étais mal barré.
• Deux jours, au soir de son travail, il m’a conduit ici.
Je suis rentrée derrière lui.
Celui qui s’appelait Fred était en très mauvais état et est mort quelques minutes après.
Adrienne était encore en état et ce fumier la sodomisait sans aucun sentiment pour elle.
Ce que tu as fait était abject Sylvain, mais profiter d’une femme mourante, c’est pire.
• Mais je lui avais donné à manger la veille pour la garder en vie.
• Ferme ta gueule Jean-Pierre tu aggraves notre cas, tu es con mon pauvre taré.
• Arrêtez, quand je vous aurais tout expliqué, vous aurez tout le temps de vous expliquer.
Il fallait s’occuper du cadavre, j’ai trouvé les outils qui t’ont servi à les immobiliser.
Il les a désenchaînés et nous sommes montés au jardin où il a creusé trois tombes.
La première pour Fred, paix à son âme les deux autres j’en reparlerais dans un instant.
Tu dis que tu m’aimes, moi non, des femmes se prostituent par amour de leur mac.
Je t’ai épousé par amour pour ma sœur, pendant que vous aurez tout le temps de crever ici, nous allons largement profiter de la fortune que tu as reçue en dédommagement de tes ignominies.
Pas de chance, tu vas être obligé de rester confiné, personne pour venir te voir, je suis ton infirmière particulière.
Fini tes mains sur mon corps, j’avais envie de vomir chaque fois que tu me touchais.
Je tente un dernier infléchissement de sa part, sachant qu’elle restera déterminée.
• Cause toujours, tu m’intéresses.
Je t’ai parlé des deux tombes vides, dans quelques semaines nous reviendrons enterrer vos restes comme nous l’avons fait avec celui qui par ta faute est mort.
Nous avons parié un bon repas sur celui qui bouffera l’autre.
J’ai parié sur toi mon amour, j’espère que tu seras à la hauteur.
Bon on vous laisse, dans quelques jours quand tout sera tassé, nous envisageons un grand voyage à Tahiti pour réchauffer nos veilles jambes.
Pardon, mon cœur, c’est vrai que tu as perdu les tiennes.
Je les vois sortir, la porte claquer.
Jean-Pierre se met à hurler.
Je prends ma chaîne dans mes mains et...
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