COLLECTION ZONE ROUGE. Belle-maman (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-09-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Belle-maman (1/2)
J’habite Paris, je suis fiancé à une Roubaisienne, nous nous voyons épisodiquement, en juillet, nous nous marions, elle est professeur des écoles, elle a demandé sa mutation, à la rentrée prochaine, elle débute dans l’école à cent mètres de chez moi qui va devenir notre chez nous !
Mon propre travail, je suis itinérant pour une société, je vends des machines-outils et j’établis des diagnostics en cas de panne ou de malfaçon, je fais même des réparations en cas d’urgence, je suis tout à fait qualifié pour cela.
J’ai de bons revenus, boursicotant un peu, j’aurais pu travailler dans ce secteur, mais les voyages forment la jeunesse, c’est le soir quand je suis dans les hôtels que je vais améliorer mon ordinaire.
J’ai trente ans, pour certains, c’est vieux, pour moi qui m’entretiens, j’ai de longues années devant moi, si Dieu me prête vie.
Ces derniers mots, ce sont ceux que prononce le commun des mortels, aucune panique, je vais vous raconter mon aventure et non celle d’une bonne sœur, priant dans son couvent, quoi que dans certains, les nones et les curés s’en donnent à cœur joie.
J’ai lu une histoire ou des nones pour aider les petits Africains, travaillait en Suisse dans un bar à pute.
En France, ce genre de lieu existe, mais c’est grâce au bouche-à-oreille que vous aurez ces bonnes adresses, j’en connais à Paris et d’autres en Belgique, sans oublier l’Espagne et bien sûr, la Suisse.
Suis-je bête, tous les pays nous touchants ont leur prostitution, à de nombreux endroits, seul le racolage est interdit ?
Revenons à ma fiancée, Magalie, je suis loin de l’avoir rencontré dans un bordel, elle sortait peut-être du couvent des oiseaux, ses parents l’avaient envoyée étudier en Suisse, elle me roule de magnifique pelle, mais pour ce qui est de la baise, je la noterais, peut mieux faire.
Elle m’a avoué que si elle savait bien embrasser, c’est qu’elle avait appris avec une copine de pensionnat sans pour autant aller jusqu’à se gouiner.
C’est dans un cinéma que je l’ai rencontré, elle était avec une amie, j’ai horreur de me prendre la tête, c’était le dernier Dany Boon que j’étais allé voir.
Nous avons tellement ri qu’à un moment malgré le noir, nous nous sommes regardés, nous avons eu le coup de foudre, ce soir-là, nous avons pris un verre place du Général ou encore grande place de Lille.
Je l’ai raccompagné, malgré ses 20 ans, moi qui en temps normal suis prompt à les ramener dans mon hôtel, j’ai mis plusieurs semaines à lui compter fleurette.
C’est chez ses parents que je l’ai dépucelé, elle m’avait donné rendez-vous lors d’un de mes passages pour que je rencontre ses parents avec mon accord bien sûr, quand nous sommes arrivés, son père était encore à son travail à la mairie de Lille.
Elle a appelé sa mère qui s’est excusée, elle avait pris du retard, elle faisait ses courses, elle m’a fait visiter sa chambre, une chambre il y a un lit, un lit, fait pour s’allonger, mais pas spécialement pour dormir.
Nous nous sommes embrassés une nouvelle fois, je l’ai couché tout en lui dégageant les seins, fort beaux d’ailleurs, je les ai sucés, léché allant même jusqu’à les mordiller.
• Arrête, tu me fais mal, tu sais, je suis vierge, je veux bien, ce sera la première fois.
C’est ainsi que simplement le pantalon à mes pieds, sa petite culotte écartée sur le côté pour que je puisse passer, que j’ai dépucelé celle qui deviendra ma femme dans quelques semaines.
J’allais lui apprendre à se faire baiser en levrette, quand on a frappé, la porte s’ouvrant dans le même temps.
• Pardon, les enfants, je vous cherchais, j’ai appelé, personne pour me répondre, j’ai frappé, mais j’ai été trop vite pour ouvrir.
C’est le premier contact que j’ai eu avec belle-maman, mon cul, placé comme je l’étais, je devais lui montrer mon beau postérieur, mes fesses sont incontestablement, avec mon visage harmonieux, les parties les mieux équilibrées.
Le sport que je pratique tous les jours en semaine là où je suis, en faisant trente minutes de jogging ont permis à mes fesses de présenter deux fossettes.
J’ai rempli ma capote, nous devions faire notre contrôle sida, dans les jours prochains et belle-maman devaient lui faire voir un gynéco pour lui prescrire la pilule.
Nous nous sommes rajustés après être passés dans la salle de bains attenante à la chambre de Magalie.
Deuxième contact avec belle-maman, j’avais enlevé mon pantalon par faciliter mon déplacement, c’est en sortant qu’elle est sortie de sa chambre, belle blonde de 44 ans, son âge, je le savais, nous en avions parlé ensemble avec Magali un soir devant un verre quand nous nous sommes expliqué nos existences.
Rhabillé, nous les avons rejoints, Gustave, le père venait de rentrer, soirée sympa, le père bon vivant côté chaire et boisson, mais obnubilée par son travail, heureusement, il aimait le foot.
• Et vous belle-maman, que faite vous, vous avez un travail !
J’ai vu un certain embarras sur son visage avant sa réponse.
• Je suis infirmière dans une clinique privée à Tournai en Belgique, je travaille avec ma copine Agnès, nous sommes voisines.
• Ma femme est pleine d’abnégation, ça fait 18 ans qu’elle exerce son sacerdoce la nuit dans cette clinique.
• Pourquoi en Belgique, si vous aviez vos diplômes français ?
• Quand j’ai commencé après la naissance de Magalie, cela avait deux intérêts, je travaillais la nuit, Gustave le jour, nous pouvions l’élever à tour de rôle sans payer une nounou.
Là encore, j’ai senti qu’elle avait du mal à trouver ses mots, elle faisait un effort intellectuel pour raconter son histoire.
• Agnès ayant suivi les mêmes cours que moi, est venue me faire voir l’annonce dans notre journal local qu’une clinique privée de Tournai cherchait du personnel, même débutant, nous y sommes allées, rapidement, ils nous ont proposé ce travail de nuit mieux rémunéré, nous avons accepté.
Le repas se termine en parlant du futur mariage, Magalie me raccompagne à ma voiture, m’embrasse, je veux passer ma main là où je lui ai pris sa fleur.
• Arrête, pas dans la rue, on pourrait nous voir.
Une nouvelle fois, j’ai vu toute l’étendue du travail à faire avec elle, mais, coup de foudre oblige, je l’aime et je continue à vouloir l’épouser.
Passons rapidement à quelques jours de mon mariage, je suis près de Tournai dans un hôtel avec un copain avec qui je dîne de temps en temps, il a un travail semblable au mien, pour une autre société, il nous arrive d’aller faire une virée pute de temps en temps.
• Sacha, j’ai récupéré des cartes d’un bar à pute non loin d’ici, j’aimerais y faire une petite virée.
• Sans moi, Hugo, je vais me marier, je veux être fidèle.
• Tu es con, ce bar à pute, contrairement à ceux qui ont pignon sur rue et qui ont des néons attirant le client et par là même le regard de personne que nous préférerions éviter de rencontrer est entièrement anonyme.
Même leur carte est lénifiante, tu es sûr de la tranquillité.
• Sans moi, je reste sur ma décision.
• Bonne branlette, tu peux garder la carte, j’en ai une autre.
Je l’ai posé sur la table et je l’ai oublié, dans la nuit, j’ai regretté de l’avoir laissé sur la table, je suis descendu, les cuisines étaient éteintes, mais ouvertes, j’ai fouillé la poubelle la carte était là, un peu salie, mais lisible.
J’étais dans le coin pour deux jours à 22 heures le lendemain, j’ai mis mon GPS, comme Hugo me l’avait dit, la maison cossue était très discrète.
Seul un bruit de musique et de la lumière sous les volets fermés m’a fait voir que j’étais bien devant un bordel.
Une porte, une sonnette, un Judas d’où un œil vous scrute, la porte qui s’ouvre, une femme d’un certain âge vous laisse entrer.
• Tout droit, jeune homme, c’est votre première visite, j’ai la mémoire des visages, une belle gueule comme la vôtre, je l’aurais remarqué, hélas pour moi, je tiens cette maison, mais je reste derrière ma caisse.
Je vous présente les deux filles qui travaillent ce soir, Armelle la blonde et Angéla, la jolie métisse.
La blonde se retourne, j’ai failli dire.
« Belle-maman. »
Un moment de stupeur entre nous, je me reprends vite.
• Mesdames !
• Monsieur.
• Tu m’offres un verre.
C’est la jeune black qui veut m’accaparer, je me vois mal passer devant belle-maman au bras de l’autre pute, aller tirer un coup sans aucune explication et repartir comme je suis venu.
• Vous êtes fort charmante jeune dame, mais j’aimerais être en tête-à-tête avec madame.
• Vous m’offrez le champagne, Edwige sert nous dans le petit salon intime.
• Tu es la meilleure Armelle, je vais te regretter.
Nous passons dans le petit salon, belle-maman reste imperturbable, quel sang-froid, le champagne arrive, j’ignore combien cela va me coûter, mais je suis dans l’attente de savoir par quel hasard, cette femme, se prétendant infirmière, est une péripatéticienne travaillant en Belgique…
Mon propre travail, je suis itinérant pour une société, je vends des machines-outils et j’établis des diagnostics en cas de panne ou de malfaçon, je fais même des réparations en cas d’urgence, je suis tout à fait qualifié pour cela.
J’ai de bons revenus, boursicotant un peu, j’aurais pu travailler dans ce secteur, mais les voyages forment la jeunesse, c’est le soir quand je suis dans les hôtels que je vais améliorer mon ordinaire.
J’ai trente ans, pour certains, c’est vieux, pour moi qui m’entretiens, j’ai de longues années devant moi, si Dieu me prête vie.
Ces derniers mots, ce sont ceux que prononce le commun des mortels, aucune panique, je vais vous raconter mon aventure et non celle d’une bonne sœur, priant dans son couvent, quoi que dans certains, les nones et les curés s’en donnent à cœur joie.
J’ai lu une histoire ou des nones pour aider les petits Africains, travaillait en Suisse dans un bar à pute.
En France, ce genre de lieu existe, mais c’est grâce au bouche-à-oreille que vous aurez ces bonnes adresses, j’en connais à Paris et d’autres en Belgique, sans oublier l’Espagne et bien sûr, la Suisse.
Suis-je bête, tous les pays nous touchants ont leur prostitution, à de nombreux endroits, seul le racolage est interdit ?
Revenons à ma fiancée, Magalie, je suis loin de l’avoir rencontré dans un bordel, elle sortait peut-être du couvent des oiseaux, ses parents l’avaient envoyée étudier en Suisse, elle me roule de magnifique pelle, mais pour ce qui est de la baise, je la noterais, peut mieux faire.
Elle m’a avoué que si elle savait bien embrasser, c’est qu’elle avait appris avec une copine de pensionnat sans pour autant aller jusqu’à se gouiner.
C’est dans un cinéma que je l’ai rencontré, elle était avec une amie, j’ai horreur de me prendre la tête, c’était le dernier Dany Boon que j’étais allé voir.
Nous avons tellement ri qu’à un moment malgré le noir, nous nous sommes regardés, nous avons eu le coup de foudre, ce soir-là, nous avons pris un verre place du Général ou encore grande place de Lille.
Je l’ai raccompagné, malgré ses 20 ans, moi qui en temps normal suis prompt à les ramener dans mon hôtel, j’ai mis plusieurs semaines à lui compter fleurette.
C’est chez ses parents que je l’ai dépucelé, elle m’avait donné rendez-vous lors d’un de mes passages pour que je rencontre ses parents avec mon accord bien sûr, quand nous sommes arrivés, son père était encore à son travail à la mairie de Lille.
Elle a appelé sa mère qui s’est excusée, elle avait pris du retard, elle faisait ses courses, elle m’a fait visiter sa chambre, une chambre il y a un lit, un lit, fait pour s’allonger, mais pas spécialement pour dormir.
Nous nous sommes embrassés une nouvelle fois, je l’ai couché tout en lui dégageant les seins, fort beaux d’ailleurs, je les ai sucés, léché allant même jusqu’à les mordiller.
• Arrête, tu me fais mal, tu sais, je suis vierge, je veux bien, ce sera la première fois.
C’est ainsi que simplement le pantalon à mes pieds, sa petite culotte écartée sur le côté pour que je puisse passer, que j’ai dépucelé celle qui deviendra ma femme dans quelques semaines.
J’allais lui apprendre à se faire baiser en levrette, quand on a frappé, la porte s’ouvrant dans le même temps.
• Pardon, les enfants, je vous cherchais, j’ai appelé, personne pour me répondre, j’ai frappé, mais j’ai été trop vite pour ouvrir.
C’est le premier contact que j’ai eu avec belle-maman, mon cul, placé comme je l’étais, je devais lui montrer mon beau postérieur, mes fesses sont incontestablement, avec mon visage harmonieux, les parties les mieux équilibrées.
Le sport que je pratique tous les jours en semaine là où je suis, en faisant trente minutes de jogging ont permis à mes fesses de présenter deux fossettes.
J’ai rempli ma capote, nous devions faire notre contrôle sida, dans les jours prochains et belle-maman devaient lui faire voir un gynéco pour lui prescrire la pilule.
Nous nous sommes rajustés après être passés dans la salle de bains attenante à la chambre de Magalie.
Deuxième contact avec belle-maman, j’avais enlevé mon pantalon par faciliter mon déplacement, c’est en sortant qu’elle est sortie de sa chambre, belle blonde de 44 ans, son âge, je le savais, nous en avions parlé ensemble avec Magali un soir devant un verre quand nous nous sommes expliqué nos existences.
Rhabillé, nous les avons rejoints, Gustave, le père venait de rentrer, soirée sympa, le père bon vivant côté chaire et boisson, mais obnubilée par son travail, heureusement, il aimait le foot.
• Et vous belle-maman, que faite vous, vous avez un travail !
J’ai vu un certain embarras sur son visage avant sa réponse.
• Je suis infirmière dans une clinique privée à Tournai en Belgique, je travaille avec ma copine Agnès, nous sommes voisines.
• Ma femme est pleine d’abnégation, ça fait 18 ans qu’elle exerce son sacerdoce la nuit dans cette clinique.
• Pourquoi en Belgique, si vous aviez vos diplômes français ?
• Quand j’ai commencé après la naissance de Magalie, cela avait deux intérêts, je travaillais la nuit, Gustave le jour, nous pouvions l’élever à tour de rôle sans payer une nounou.
Là encore, j’ai senti qu’elle avait du mal à trouver ses mots, elle faisait un effort intellectuel pour raconter son histoire.
• Agnès ayant suivi les mêmes cours que moi, est venue me faire voir l’annonce dans notre journal local qu’une clinique privée de Tournai cherchait du personnel, même débutant, nous y sommes allées, rapidement, ils nous ont proposé ce travail de nuit mieux rémunéré, nous avons accepté.
Le repas se termine en parlant du futur mariage, Magalie me raccompagne à ma voiture, m’embrasse, je veux passer ma main là où je lui ai pris sa fleur.
• Arrête, pas dans la rue, on pourrait nous voir.
Une nouvelle fois, j’ai vu toute l’étendue du travail à faire avec elle, mais, coup de foudre oblige, je l’aime et je continue à vouloir l’épouser.
Passons rapidement à quelques jours de mon mariage, je suis près de Tournai dans un hôtel avec un copain avec qui je dîne de temps en temps, il a un travail semblable au mien, pour une autre société, il nous arrive d’aller faire une virée pute de temps en temps.
• Sacha, j’ai récupéré des cartes d’un bar à pute non loin d’ici, j’aimerais y faire une petite virée.
• Sans moi, Hugo, je vais me marier, je veux être fidèle.
• Tu es con, ce bar à pute, contrairement à ceux qui ont pignon sur rue et qui ont des néons attirant le client et par là même le regard de personne que nous préférerions éviter de rencontrer est entièrement anonyme.
Même leur carte est lénifiante, tu es sûr de la tranquillité.
• Sans moi, je reste sur ma décision.
• Bonne branlette, tu peux garder la carte, j’en ai une autre.
Je l’ai posé sur la table et je l’ai oublié, dans la nuit, j’ai regretté de l’avoir laissé sur la table, je suis descendu, les cuisines étaient éteintes, mais ouvertes, j’ai fouillé la poubelle la carte était là, un peu salie, mais lisible.
J’étais dans le coin pour deux jours à 22 heures le lendemain, j’ai mis mon GPS, comme Hugo me l’avait dit, la maison cossue était très discrète.
Seul un bruit de musique et de la lumière sous les volets fermés m’a fait voir que j’étais bien devant un bordel.
Une porte, une sonnette, un Judas d’où un œil vous scrute, la porte qui s’ouvre, une femme d’un certain âge vous laisse entrer.
• Tout droit, jeune homme, c’est votre première visite, j’ai la mémoire des visages, une belle gueule comme la vôtre, je l’aurais remarqué, hélas pour moi, je tiens cette maison, mais je reste derrière ma caisse.
Je vous présente les deux filles qui travaillent ce soir, Armelle la blonde et Angéla, la jolie métisse.
La blonde se retourne, j’ai failli dire.
« Belle-maman. »
Un moment de stupeur entre nous, je me reprends vite.
• Mesdames !
• Monsieur.
• Tu m’offres un verre.
C’est la jeune black qui veut m’accaparer, je me vois mal passer devant belle-maman au bras de l’autre pute, aller tirer un coup sans aucune explication et repartir comme je suis venu.
• Vous êtes fort charmante jeune dame, mais j’aimerais être en tête-à-tête avec madame.
• Vous m’offrez le champagne, Edwige sert nous dans le petit salon intime.
• Tu es la meilleure Armelle, je vais te regretter.
Nous passons dans le petit salon, belle-maman reste imperturbable, quel sang-froid, le champagne arrive, j’ignore combien cela va me coûter, mais je suis dans l’attente de savoir par quel hasard, cette femme, se prétendant infirmière, est une péripatéticienne travaillant en Belgique…
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