COLLECTION ZONE ROUGE. Comment résister à de tels yeux ? Histoire 1 (2/3)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. Comment résister à de tels yeux ? Histoire 1 (2/3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Comment résister à de tels yeux ? Histoire 1 (2/3)
Alex, mon mari même si nous sommes jeunes, 19 pour moi, 22 pour lui, nous sommes entièrement responsables de l’esprit de vengeance qui m’anime depuis mes 12 ans.
Dans ces années-là, je commençais à comprendre, la vie, plutôt le bien ou le mal.
C’était pendant un hiver où je suis rentrée de l’école, que j’ai trouvé mes parents en pleurs.
Ça faisait quatre ans que mon frère Yves était parti.
La petite fille que j’étais était amoureuse en tout bien tout honneur de ce grand garçon de 24 ans qui commençait à être bardé de diplômes.
Il préparait l’École nationale d’administration et bon nombre de personnes disaient qu’il avait l’étoffe, de devenir Président de la République.
À l’école je répétais cela à me faire moquer par la majorité de celle qui se disait mes copines.
Un jour, j’ai su qu’il avait rencontré une fille et qu’à partir de ce jour tout avait dérapé.
Il avait quitté le cocon familial, jusqu’à un mercredi ou de retour de la piscine, j’ai cru le voir faire la manche.
Il était crasseux et quand je me suis approché, il est rentré dans une bouche de métro et a disparu à jamais.
C’est par la télé que j’ai appris sa mort d’une overdose et que cette fille était une dealeuse droguée elle-même.
Ils parlaient d’un réseau qui avait été démantelé, mais j’ai su qu’ils avaient réussi à s’en sortir les cuisses propres.
Je me suis juré de le venger.
J’ai cherché des renseignements dans les journaux, mais il semblait avoir une certaine omerta sur cette affaire.
C’est dans ces moments-là que j’ai rencontré Armand le père d’Alex avec mes parents, il était l’avocat qui nous défendait.
C’est en sortant de son étude que j’ai croisé celui qui devait m’épouser.
Armand était divorcé et était un chaud lapin, mais à ce stade de mon histoire, il m’a toujours respectée.
Chez eux, j’ai rapidement intégré le lit d’Alex.
J’ai eu une expérience avec un gars qui me baisait de manière plus hard qu’Alex.
Ça me manquait, je m’étais habituée.
Lors d’une première nuit où nous étions tous les deux seuls, j’ai eu soif.
Je me suis levée, me trompant, je me suis retrouvée dans une pièce semblant être un bureau.
J’ai vite compris que j’étais dans celui d’Armand aux piles de dossiers posés dessus.
Quelle curiosité m’a conduite à les soulever un à un jusqu’à ce que je tombe sur celui de l’affaire de mon frère ?
J’ai commencé à le feuilleter.
J’ai pu voir les noms de ceux qui avaient fourni de la drogue à Yves, le propulsant dans la déchéance.
Arlette, la jeune dealeuse qui avait dû lui offrir son cul pour mieux lui soutirer du fric.
Roméo, le fournisseur de cette saloperie qui a fini par tuer mon frère, un jour de grand froid.
Les détails étaient atroces, mais surtout il était incompréhensif que toute cette bande s’en soit sorti vu les preuves accablantes.
Yves, cette nuit-là, s’était shooté et c’est une maraude qui l’avait trouvé avec son aiguille encore plantée dans le bras.
J’ai failli dégueuler.
Je suis retourné dans la chambre, Alex, comme mon nounours dans les étages supérieurs dormait profondément.
J’ai pris mon portable et chaque pièce me donnant des éléments, je les ai photographiés.
J’ai caché des éléments, dont la dernière, me donnant la réponse à l’énigme du non-lieu de tous les membres du réseau.
C’est à ce moment qu’Alex est entré dans la pièce à poil comme moi.
Il a vu ce que je faisais, je m’attendais à ce qu’il se fâche, mais quand je lui ai dit que j’avais une grande envie de vengeance, je m’attendais à ce qu’il me fiche dehors.
Nous avons tout remis en place et c’est dans son lit qu’il m’a demandé de l’épouser.
Comme je l’ai déjà dit, c’est lors de notre nuit de noces qu’il m’a promis de m’aider à venger mon frère.
Je lui ai montré tous les noms que j’avais photographiés, sauf le nom du saligaud qui avait permis à ces fumiers de s’en sortir.
Une affaire judiciaire, c’est long et quand nous avons décidé de retrouver Arlette, cette salope ayant senti le vent du boulet lui caresser les miches, elle s’était envolée pour le Maroc.
Nous avons donc porté notre dévolu sur Roméo, son fournisseur à qui Alex va faire passer un mauvais quart d’heure.
Chacun sait maintenant la haine qui me traverse.
Dans notre préparation, nous avions pensé qu’Alex pourrait monter après moi par les escaliers.
Le risque de rencontrer quelqu’un nous a ramené sur la première idée, depuis l’âge de huit ans, il pratiquait la varappe et depuis quelques années l’escalade à mains nues.
À ce titre, il a déjà escaladé des immeubles comme Spider-Man.
Son dernier exploit, la tour Montparnasse, je l’ai récupéré au commissariat, mais ici qui pourrait penser qu’une araignée a pu monter liquider ce trafiquant de drogue.

• J’y vais.

Balcon, en quelques secondes il arrive au cinquième, mon sang se glace.
Je suis penchée pour le voir monter, la lumière dans la salle s’allume.
Alex pendu ses doigts sur le rebord de ciment reste immobile.
J’entends sans les voir un couple se faisant des papouilles, mais surtout une main secouant une cigarette, une cendre m'arrivant dans l'œil.
Comme il est placé, Alex est dans l’impossibilité de descendre, je l’ai souvent accompagné à Fontainebleau pour qu’il s’entraine et je sais qu’au bout d’un moment ses muscles vont se tétaniser.
Il va être obligé, soit de lâcher, soit de se découvrir en rejoignant le balcon.
Ce qu’il fait, les bruits ayant cessé, le couple semble être rentré après avoir fini de fumer.
Il est au sixième, il se penche sur le côté et se laisse aller, son corps d’athlète en balancier sous la fenêtre que j’ai débloquée sans l’ouvrir complètement, toujours par peur que notre cible se soit réveillée.
Lorsque nous avons tout préparé en nous servant de notre appartement au début, je pensais qu’il me serait possible d’ouvrir la porte-fenêtre de la salle, mais nous nous sommes aperçus que le courant d’air serait trop important.
Même si c’était plus dangereux, mais pas pour Alex, nous avons préféré celle du salon, que j’ai juste débloqué.
J’entends le glissement des glissières métalliques l’une sur l’autre et l’ombre que je voyais tel un serpent allant chercher sa proie se glisser dans l’appartement.
Je devrais aller me laver, mais je reste prostré malgré la fraîcheur.
D’un coup, je me rappelle que lorsque Alex aura fini j’aurais un travail à faire.
J’entre et je vais à la fenêtre du salon que je fais glisser.
Combien de temps en me penchant me cassant le dos, avant qu’une ombre ressorte et continue à monter les deux étages jusqu’au toit.
Toujours dans l’impossibilité de redescendre par les escaliers, je vois la corde qu’Alex doit se servir, descendre devant la fenêtre.
Il a été la cacher il y a quelques heures dans une gaine de ventilation.
Il y a deux brins, je sens qu’Alex commence à descendre en rappel.
D’un coup, je sens la corde se tendre un peu sur le côté, que fait-il ?
Je tiens les deux cordes fortement, ce qui m’empêche de regarder.
Combien de temps cela dure-t-il, une éternité avant qu’elles reviennent dans l’axe et qu’il apparaisse.

• Que faisais-tu à quel jeu joues-tu ?
• Je vais t’expliquer, avant rentrons la corde, on pourrait la voir.

Une nouvelle fois, tout a été pensé, l’impossibilité de redescendre en tenue de rat d’hôtel ou par les balcons, nous a obligé à trouver une solution.
Une corde comme je l’ai dit, cachée sur le toit, une cheminée et une corde assez longue pour la contourner sans qu’elle soit fixée.
Je lâche un des bouts et nous tirons à nous rapidement.
La corde contourne simplement une cheminée et elle est là dans notre salon.
Il nous suffira de la lover et de la ranger dans le garage où Alex a son matériel d’escalade.
Quel motif aurait la police à venir fouiller chez nous.
Nous tombons dans les bras l’un l’autre, opération terminée.
J’ai accompagné Alex à Fontainebleau lors de ses entraînements.
L’adrénaline lorsqu’il retrouvait le sol était telle, que, chaque fois il me baise au risque de nous faire prendre, qui, sur le capot, où en levrette, la portière ouverte.
Mais il me faisait prendre un putain de pied, tellement il avait envie de me baiser.
Il en va de même dans le salon où nous roulons au sol.
Ma main passe dans son collant et y trouve sa verge tendue au maximum.
Je me jette dessus la prenant dans ma bouche, mais il veut me prendre et pourquoi se le refuser ?
Je suis sa femme, son épouse, sa vide couille dans ces moments-là.
Je me place en levrette.

• C’est fait !
• Oui !
• Je t’avais promis que tu pourrais m’enculer si tu m’aidais à venger mon frère.
Prend-moi !

Il faut toujours être de parole dans ces cas-là, pour cette première fois, j’ai mal, mais c’est avec délice que je le sens exploser à la sortie de mes intestins.
La charge était si puissante que nous roulons enlacés sur la moquette.

• Raconte-moi, je veux tout savoir.
J’ai eu peur quand tu as été coincé par ceux du cinquième venu sur leur balcon.
• C’était deux couples, j’allais me rétablir pour monter, quand la lumière s’est allumée, ils revenaient d’une soirée.
Les femmes sont très belles, même dans cette situation, mes yeux dépassant du bord du balcon pour les voir, j’ai pu les admirer.
L’une des femmes est rousse, ils finissaient de fumer, ce sont des échangistes.
D’un coup ils sont rentrés et j’ai pu finir mon ascension.
• Et quand tu es rentré chez Romeo ?
• Soit patiente, je sais que tu attends ce moment depuis des années, c’est fait ton frère est vengé.
Je suis rentré dans sa chambre, il dormait sur le dos, comme tu me l’avais dit, la lumière du radio-réveil suffisait pour que je prenne mon couteau et que je lui colle sous la gorge, ma main sur sa bouche.
Il s’est réveillé en sursaut, son premier réflexe a été de chercher à prendre son arme.
Mais je lui ai dit de se calmer, car sinon il allait mourir sans comprendre pourquoi.
C’est ce qu’il a fait, il a eu beaucoup de sang froid me permettant d’enlever ma main.
• Qu’a-t-il dit ?...

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