COLLECTION ZONE ROUGE. Curé de campagne (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-11-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. Curé de campagne (2/2)
• Susy, je vois que tu as trouvé notre pièce du châtiment pour nos pensées impures.
C’est ce que j’entends dans mon dos alors que je viens de découvrir une partie du secret de notre prête.
• C’est ici que je me repens chaque fois qu’une salope lors des rares confessions que nous faisons depuis la réforme de l’église me chauffe les sens.
On dirait que dans nos villages, ceux ou nous sommes ou celui dans le centre de la France ou j’étais avant, aie un malin plaisir à venir étaler leurs frasques devant nous.
Le secret de la confession m’oblige à me taire sur leur turpitude, surtout dans notre village où tu connais tout le monde.
• Surtout comme infirmière, j’ai vu tous les culs de ces messieurs et de ces dames.
Si tu me parles du grain de beauté de l’une ou de l’autre, à coup sûr, je pourrais te dire qui baises avec qui.
Il y a longtemps que tu te flagelles !
Depuis le séminaire, l’évêque qui m’a nommé dans notre village était le confesseur des élèves avant qu’il soit nommé à notre évêché.
Un jour, je lui ai demandé comment il faisait pour rester chaste.
C’était sa méthode, je l’ai essayée et j’ai réussi à trouver la paix de l’âme dans la douleur.
• C’est toi qui as installé cette pièce, pour te repentir si besoin ?
• Non, c’est l’abbé Bonnot.
Quand je suis arrivée, j’ai très vite remarqué cette porte dans la salle dont on avait oublié de me parler.
Intrigué, j’ai essayé de l’ouvrir, mais elle était fermée à clef.
Je me suis souvenu que la veille au soir au moment de ranger mon bréviaire, j’avais vu une clef dans la table de nuit de la chambre.
J’ai ouvert et comme toi, j’ai découvert cette pièce.
L’abbé était adepte de la flagellation comme moi.
J’ai amélioré deux choses, les bougies et l’encens.
J’ai aussi changé le chat à neuf queues, avant, j’en avais un sans boules de buis, le curé avait celui dont je me sers maintenant.
C’est bien plus efficace.
• Quand t’en ais-tu servi pour la dernière fois !
• Tout à l’heure avant ta venue, je savais l’amour que j’avais pour toi et je me suis puni de ces pensées puisque tu étais mariée.
Je l’ai appris au café du village, marié à un Norvégien parti il y a deux jours pour quatre mois sur une plateforme dans son pays.
Je venais de finir de remettre mon costume de prête quand tu as frappé.
Regarde, la clef est sur la porte à l’intérieur, je m’enferme quand je me punis si par le plus grand des hasards quelqu’un entrait.
Je suis venu t’ouvrir laissant la porte ouverte.
Je m’en suis aperçu pendant notre repas et il était trop tard pour la bloquer.
• Car, je suis une petite curieuse.
Montre-moi comment tu fais, je vois à ton regard dans mon décolleté pendant tout le temps où nous mangions que tu avais envie de mes seins.
Il enlève sa veste, ouvert sa chemise, ôte son plastron blanc qui forme un col lui aussi blanc et c’est dévêtu gardant son slip qu’il attrape son engin de torture.
Il éteint la lumière, allume les bougies et les bâtons d’encens et s’agenouille avant de se frapper le dos, une fois à droite, une fois à gauche.
La lumière des bougies me montre les marques de sa dernière flagellation.
Je le vois serrer les dents, certainement sous la douleur.
Aucun son sortant de sa bouche, le temps de sa punition.
La seule chose que je remarque, c’est son regard fixé sur la croix me rendant jalouse.
Lorsqu’il arrête, l’envie de le faire souffrir, moi aussi me taraude.
Je me saisis de la bougie la plus proche et je verse la cire liquide sur ses épaules coulant jusqu’à ses marques brunes.
Alors qu’il tourne son regard vers moi, un son de souffrance sort de sa bouche.
J’ai gagné en rapport de celui qu’il semblait prier quelques secondes avant.
• Je voudrais essayer.
• Laisse-moi reprendre pied sur terre, la cire sur mes épaules et mon dos, c’était une idée magnifique.
Tu m’as puni plus sévèrement que moi je pouvais le faire simplement en me flagellant.
Je reviens.
Je l’entends aller vers sa chambre et en revenir avec un autre chat à neuf ou dix queues peu importe, je veux gouter à cette souffrance qui a semblé irradier son regard.
• C’est celui dont je me servais avant de découvrir cette pièce et le fouet de mon prédécesseur avec ses boules de buis.
Enlève ta robe et tient toi à l’accoudoir d’une main et frappe-toi de l’autre.
• Non, je vais tenir l’accoudoir et c’est toi qui vas me flageller.
Moi aussi j’ai eu des pensées impures en te voyant te punir par amour pour moi ou de vielles cochonnes venues te provoquer avec leurs histoires de cul et de cocufiage.
Je m’agenouille, une pensée me vient, me montrant que moi aussi je peux avoir ce genre de pensée.
Si le curé Bonnot était son amant, que ma grand-mère venait régulièrement ici, combien de fois lui avait-elle fait subir ce supplice ?
Avec quel martinet, celui sans buis ou avec un autre comme celui de Julien.
• Tu es sûr, je commence.
Premier coup ressemblant à une caresse.
• Plus fort !
• Tu vas y prendre goût, tu verras la douleur et le plaisir vont finir par se mêler.
Il frappe plus fort, là j’ai mal et mes ongles entrent dans le velours de l’accoudoir.
La douleur est si forte que pour éviter de crier, je lâche l’accoudoir pour le repousser.
Ma main rencontre sa queue, il bande.
Je tire son slip dénudant cette verge, bien plus massive que celle et de Jules et d’Hal.
Les coups s’arrêtent et comme je le tiens par sa queue, il est obligé de venir jusqu’à ma bouche.
Une nouvelle fois je me sens à la place de ma grand-mère.
Je suçais Jules, je suce Hal, ma bouche est si grande que sans aucune difficulté, ses couilles viennent jusqu’à mon nez.
Je le pompe jusqu’à la limite de son éjaculation où il m’échappe.
• Viens.
À ce simple mot, je m’envole vers cette chambre faisant de moi comme ma grand-mère la maîtresse du curé du village.
Il me jète sur son lit, mon dos au contact de la couverture là encore la douleur se réveille.
Je me retourne, il écarte, mes jambes, sa bouche vient aspirer ma petite culotte que j’ai gardée.
Frêle rempart au cocufiage de mon Norvégien de mari qui se morfond depuis qu’il a rejoint sa plateforme de forage.
J’arrête là ces pensées impures, car je serais obligée de retourner me flageller.
C’est moi qui sans qu’il me le demande relève mes fesses pour me mettre en levrette.
Ses mains me brûlant autant que la cire coulant sur son dos me prenne par les hanches.
Son gland écartant mon voile devenu inutile, me pénètre.
Ce qui est aussi inutile, c’est de me taire sous les coups de boutoir de cette verge me pilonnant dans une grande envolée.
Les deux hommes de ma vie à ce jour m’ont fait jouir, mais d’une jouissance cérébrale alors que là c’est mon corps qui se donne.
Je sens la panique dans la verge au fond de ma chatte quand en même temps qu’un orgasme, il lâche de long jets de sperme venant frapper mon utérus.
Avec Hal, dès qu’il a éjaculé, il se lève et va fumer une cigarette.
J’ai horreur de cette odeur dans sa bouche aussi au fil des mois, je préfère lui sucer la verge que de l’embrasser.
Là, il se glisse sur son dos et m’attirant à lui, il m’empale.
• As-tu encore envie de moi ?
• Jusqu’à la nuit des temps.
J’ai mal pour lui, le dos frottant sur la couverture en mauvaise laine.
Le plaisir stoppé quelques secondes redémarre et je suis exténuée après des heures, d’amour débridé et ses couilles vidées.
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, mais la vie m’appelle, il faut que j’aille lever ma première patiente du jour.
Il est vingt heures lorsque je reviens.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
Parce que j’ai pêché, quatre fois, je viens le confesser, l’obligeant à se flageller.
Quatre fois, mais en semaine venant tous les soirs après mon travail.
Vingt-huit fois, je suis fouettée pour mes pensées impures.
Ce dimanche soir, pour la première fois, c’est ma chatte qui reçoit des coups de martinet avec ses neuf queues et ses billes de buis.
Ce dimanche soir, mon amant fini par me faire couler de la cire sur les grandes lèvres de mon vagin.
Je suis son amante, sa soumise et plus encore, mais ça je l’ignore encore.
• Ton mari doit revenir dans un mois Susy, c’était la dernière fois que je t’ai fouetté si tu veux lui cacher nos jeux et que les traces sur ton corps disparaissent.
Il a raison, mais dès le lendemain, je viens réclamer ma dose de plaisir souffrance.
• Mon amour regarde ce test de grossesse.
• Deux barres, comment vas-tu faire, pardon, comment allons nous faire.
Je croyais que tu avais une chance sur x millions d’avoir un enfant.
• Tu as été cette chance, c’est pour cela que je t’aime.
Regarde ce Mail que je viens de recevoir.
« J’ai eu un accident et j’ai été transporté jusqu’à l’hôpital.
J’ai rencontré une infirmière de mon pays et je vais l’épouser après notre divorce.
Un avocat va venir faire le nécessaire.
Adieu.
Haldor. »
• Le saligaud te quitté par Mail, je vais quitter la prêtrise pour t’épouser.
C’était bien qu’il me le propose, mais j’aime trop la salle de nos châtiments et un autre curé aurait découvert son existence.
De nouveau seule, dans le village, l’infirmière a de nombreux prétendants après la naissance de sa fille.
Mais je suis amoureuse de mon abbé amant.
Le portillon entre nos jardins, comme pour sa grand-mère joue parfaitement son rôle, cachant notre amour et nos plaisirs.
Ma fille, c’est ce salaud de Norvégien qui m’en a fait cadeau avant de me larguer.
Dire qu’enfant, tout le village disait que je ressemblais à ma grand-mère.
C’est ce que j’entends dans mon dos alors que je viens de découvrir une partie du secret de notre prête.
• C’est ici que je me repens chaque fois qu’une salope lors des rares confessions que nous faisons depuis la réforme de l’église me chauffe les sens.
On dirait que dans nos villages, ceux ou nous sommes ou celui dans le centre de la France ou j’étais avant, aie un malin plaisir à venir étaler leurs frasques devant nous.
Le secret de la confession m’oblige à me taire sur leur turpitude, surtout dans notre village où tu connais tout le monde.
• Surtout comme infirmière, j’ai vu tous les culs de ces messieurs et de ces dames.
Si tu me parles du grain de beauté de l’une ou de l’autre, à coup sûr, je pourrais te dire qui baises avec qui.
Il y a longtemps que tu te flagelles !
Depuis le séminaire, l’évêque qui m’a nommé dans notre village était le confesseur des élèves avant qu’il soit nommé à notre évêché.
Un jour, je lui ai demandé comment il faisait pour rester chaste.
C’était sa méthode, je l’ai essayée et j’ai réussi à trouver la paix de l’âme dans la douleur.
• C’est toi qui as installé cette pièce, pour te repentir si besoin ?
• Non, c’est l’abbé Bonnot.
Quand je suis arrivée, j’ai très vite remarqué cette porte dans la salle dont on avait oublié de me parler.
Intrigué, j’ai essayé de l’ouvrir, mais elle était fermée à clef.
Je me suis souvenu que la veille au soir au moment de ranger mon bréviaire, j’avais vu une clef dans la table de nuit de la chambre.
J’ai ouvert et comme toi, j’ai découvert cette pièce.
L’abbé était adepte de la flagellation comme moi.
J’ai amélioré deux choses, les bougies et l’encens.
J’ai aussi changé le chat à neuf queues, avant, j’en avais un sans boules de buis, le curé avait celui dont je me sers maintenant.
C’est bien plus efficace.
• Quand t’en ais-tu servi pour la dernière fois !
• Tout à l’heure avant ta venue, je savais l’amour que j’avais pour toi et je me suis puni de ces pensées puisque tu étais mariée.
Je l’ai appris au café du village, marié à un Norvégien parti il y a deux jours pour quatre mois sur une plateforme dans son pays.
Je venais de finir de remettre mon costume de prête quand tu as frappé.
Regarde, la clef est sur la porte à l’intérieur, je m’enferme quand je me punis si par le plus grand des hasards quelqu’un entrait.
Je suis venu t’ouvrir laissant la porte ouverte.
Je m’en suis aperçu pendant notre repas et il était trop tard pour la bloquer.
• Car, je suis une petite curieuse.
Montre-moi comment tu fais, je vois à ton regard dans mon décolleté pendant tout le temps où nous mangions que tu avais envie de mes seins.
Il enlève sa veste, ouvert sa chemise, ôte son plastron blanc qui forme un col lui aussi blanc et c’est dévêtu gardant son slip qu’il attrape son engin de torture.
Il éteint la lumière, allume les bougies et les bâtons d’encens et s’agenouille avant de se frapper le dos, une fois à droite, une fois à gauche.
La lumière des bougies me montre les marques de sa dernière flagellation.
Je le vois serrer les dents, certainement sous la douleur.
Aucun son sortant de sa bouche, le temps de sa punition.
La seule chose que je remarque, c’est son regard fixé sur la croix me rendant jalouse.
Lorsqu’il arrête, l’envie de le faire souffrir, moi aussi me taraude.
Je me saisis de la bougie la plus proche et je verse la cire liquide sur ses épaules coulant jusqu’à ses marques brunes.
Alors qu’il tourne son regard vers moi, un son de souffrance sort de sa bouche.
J’ai gagné en rapport de celui qu’il semblait prier quelques secondes avant.
• Je voudrais essayer.
• Laisse-moi reprendre pied sur terre, la cire sur mes épaules et mon dos, c’était une idée magnifique.
Tu m’as puni plus sévèrement que moi je pouvais le faire simplement en me flagellant.
Je reviens.
Je l’entends aller vers sa chambre et en revenir avec un autre chat à neuf ou dix queues peu importe, je veux gouter à cette souffrance qui a semblé irradier son regard.
• C’est celui dont je me servais avant de découvrir cette pièce et le fouet de mon prédécesseur avec ses boules de buis.
Enlève ta robe et tient toi à l’accoudoir d’une main et frappe-toi de l’autre.
• Non, je vais tenir l’accoudoir et c’est toi qui vas me flageller.
Moi aussi j’ai eu des pensées impures en te voyant te punir par amour pour moi ou de vielles cochonnes venues te provoquer avec leurs histoires de cul et de cocufiage.
Je m’agenouille, une pensée me vient, me montrant que moi aussi je peux avoir ce genre de pensée.
Si le curé Bonnot était son amant, que ma grand-mère venait régulièrement ici, combien de fois lui avait-elle fait subir ce supplice ?
Avec quel martinet, celui sans buis ou avec un autre comme celui de Julien.
• Tu es sûr, je commence.
Premier coup ressemblant à une caresse.
• Plus fort !
• Tu vas y prendre goût, tu verras la douleur et le plaisir vont finir par se mêler.
Il frappe plus fort, là j’ai mal et mes ongles entrent dans le velours de l’accoudoir.
La douleur est si forte que pour éviter de crier, je lâche l’accoudoir pour le repousser.
Ma main rencontre sa queue, il bande.
Je tire son slip dénudant cette verge, bien plus massive que celle et de Jules et d’Hal.
Les coups s’arrêtent et comme je le tiens par sa queue, il est obligé de venir jusqu’à ma bouche.
Une nouvelle fois je me sens à la place de ma grand-mère.
Je suçais Jules, je suce Hal, ma bouche est si grande que sans aucune difficulté, ses couilles viennent jusqu’à mon nez.
Je le pompe jusqu’à la limite de son éjaculation où il m’échappe.
• Viens.
À ce simple mot, je m’envole vers cette chambre faisant de moi comme ma grand-mère la maîtresse du curé du village.
Il me jète sur son lit, mon dos au contact de la couverture là encore la douleur se réveille.
Je me retourne, il écarte, mes jambes, sa bouche vient aspirer ma petite culotte que j’ai gardée.
Frêle rempart au cocufiage de mon Norvégien de mari qui se morfond depuis qu’il a rejoint sa plateforme de forage.
J’arrête là ces pensées impures, car je serais obligée de retourner me flageller.
C’est moi qui sans qu’il me le demande relève mes fesses pour me mettre en levrette.
Ses mains me brûlant autant que la cire coulant sur son dos me prenne par les hanches.
Son gland écartant mon voile devenu inutile, me pénètre.
Ce qui est aussi inutile, c’est de me taire sous les coups de boutoir de cette verge me pilonnant dans une grande envolée.
Les deux hommes de ma vie à ce jour m’ont fait jouir, mais d’une jouissance cérébrale alors que là c’est mon corps qui se donne.
Je sens la panique dans la verge au fond de ma chatte quand en même temps qu’un orgasme, il lâche de long jets de sperme venant frapper mon utérus.
Avec Hal, dès qu’il a éjaculé, il se lève et va fumer une cigarette.
J’ai horreur de cette odeur dans sa bouche aussi au fil des mois, je préfère lui sucer la verge que de l’embrasser.
Là, il se glisse sur son dos et m’attirant à lui, il m’empale.
• As-tu encore envie de moi ?
• Jusqu’à la nuit des temps.
J’ai mal pour lui, le dos frottant sur la couverture en mauvaise laine.
Le plaisir stoppé quelques secondes redémarre et je suis exténuée après des heures, d’amour débridé et ses couilles vidées.
Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre, mais la vie m’appelle, il faut que j’aille lever ma première patiente du jour.
Il est vingt heures lorsque je reviens.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
• Pardonnez-moi mon père parce que j’ai pêché.
Parce que j’ai pêché, quatre fois, je viens le confesser, l’obligeant à se flageller.
Quatre fois, mais en semaine venant tous les soirs après mon travail.
Vingt-huit fois, je suis fouettée pour mes pensées impures.
Ce dimanche soir, pour la première fois, c’est ma chatte qui reçoit des coups de martinet avec ses neuf queues et ses billes de buis.
Ce dimanche soir, mon amant fini par me faire couler de la cire sur les grandes lèvres de mon vagin.
Je suis son amante, sa soumise et plus encore, mais ça je l’ignore encore.
• Ton mari doit revenir dans un mois Susy, c’était la dernière fois que je t’ai fouetté si tu veux lui cacher nos jeux et que les traces sur ton corps disparaissent.
Il a raison, mais dès le lendemain, je viens réclamer ma dose de plaisir souffrance.
• Mon amour regarde ce test de grossesse.
• Deux barres, comment vas-tu faire, pardon, comment allons nous faire.
Je croyais que tu avais une chance sur x millions d’avoir un enfant.
• Tu as été cette chance, c’est pour cela que je t’aime.
Regarde ce Mail que je viens de recevoir.
« J’ai eu un accident et j’ai été transporté jusqu’à l’hôpital.
J’ai rencontré une infirmière de mon pays et je vais l’épouser après notre divorce.
Un avocat va venir faire le nécessaire.
Adieu.
Haldor. »
• Le saligaud te quitté par Mail, je vais quitter la prêtrise pour t’épouser.
C’était bien qu’il me le propose, mais j’aime trop la salle de nos châtiments et un autre curé aurait découvert son existence.
De nouveau seule, dans le village, l’infirmière a de nombreux prétendants après la naissance de sa fille.
Mais je suis amoureuse de mon abbé amant.
Le portillon entre nos jardins, comme pour sa grand-mère joue parfaitement son rôle, cachant notre amour et nos plaisirs.
Ma fille, c’est ce salaud de Norvégien qui m’en a fait cadeau avant de me larguer.
Dire qu’enfant, tout le village disait que je ressemblais à ma grand-mère.
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