COLLECTION ZONE ROUGE. Ignominie ! (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-04-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION ZONE ROUGE. Ignominie ! (1/2)
• Juliette, peux-tu venir m’aider ?
• Maman, ou es-tu, tu es partie sans me prévenir depuis deux jours.
• Connais-tu le bar de la place près de la mairie ?
• Oui, maman, j’y vais régulièrement avec mes copains et copines pour y boire un verre !
Comment puis, je t’aider et pourquoi ?
• Viens et tu sauras tout, au fond du bar près de celle des toilettes, il y a une porte ou est marqué « Privé », tu frappes, quelqu’un viendra t’ouvrir, je suis là, je t’attends.
Dans quelle galère maman a-t-elle pu encore aller se mettre, depuis que j’ai l’âge de comprendre, le nombre de fois où elle s’est fourrée dans des traquenards, je suis dans l’incapacité de les compter.
À dix-neuf ans, j’ai hâte de finir mes études et prendre mon indépendance budgétairement.
Je suis en string lorsqu’elle a appelé, je le change.
Je suis très strict sur l’hygiène de mon corps avant d’enfiler une de mes tenues sexy, même si je suis vierge, j’aime aguicher les hommes sur mon passage.
J’arrive au café, des gens sont en terrasse à prendre leur café, c’est normal à cette heure de la journée, ils partent au travail.
Pour moi, c’était repos jusqu’à 11 heures, j’ai un cours à cette heure-là.
Je traverse le bar, la porte, comme maman me l’a dit, je frappe et j’attends.
Elle s’ouvre, un homme la mine patibulaire me fait entrer.
Je comprends tout de suite que maman a replongé dans son travers, même son addiction, le jeu, plus particulièrement le poker.
C’est mon père une dizaine d’années plus tôt qui l’a initié avant de disparaitre un jour sans que nous sachions ou il est.
Certains esprits mal faisant disent qu’il alimente les poissons au large du port avec les pieds coulés dans du béton.
La pièce est noyée dans la fumée des cigarettes que les hommes et maman ont dû fumer pendant la nuit voir ces deux jours.
La porte se referme dernière moi célant ma vie.
• Alors, qu’est-ce que vous en dites ?
• Ça peut le faire une blonde aux yeux bleus, ça plait toujours !
Fiche-toi à poil, pour voir ta carrosserie.
• Maman, qu’est-ce que ça veut dire, pourquoi ces hommes veulent-ils que je me dénude ?
• Ta mère a fait tapis avec deux dames, les deux autres sur la table.
Carré de dames, ça vaut de prendre quelques risques.
J’ai relancé, mais il lui manquait du cash.
Je me suis empressé de lui prêter, j’ai de nouveau misé, sûr d’elle cette conne, elle a encore emprunté.
Lorsque je lui ai donné 50 000 €, elle a fini par comprendre que j’avais mieux qu’elle et c’est couché.
Couché simplement contre une paire de 2.
Elle m’a proposé de me rembourser avec son cul, regarde la gueule de son cul, on est déjà passé tous dessus.
Il lui restait une seule solution.
Maman est assise sur sa chaise la tête basse et en pleurs.
• Regarde cette machette, elle est coupante comme un rasoir, un coup et sa main sautait effaçant sa dette.
Regarde Bruno, tout le monde se demande comment il en a perdu une, maintenant tu sais !
Bruno fait partie des quatre hommes qui fument dans la pièce où se tient cette partie de poker certainement illégal et certainement depuis deux jours, ceux ou maman a disparu.
• Ma chérie, je nous fais vivre en faisant des travaux de couture, comment vivrons-nous si on m’enlève une main.
• Alors, elle t’a vendu, tu m’appartiens désormais, c’est pour cela que je veux voir la marchandise.
Les mecs aidez là !
• Vous êtes vraiment des tarés, je suis vierge et celui qui me prendra mon pucelage, il est sûr que ces dans un autre endroit que je le perdais, de plus je suis majeur.
• Elle a de la repartie cette petite salope, ça me plait, j’aime les pouliches rétives, je sais comment les mater !
Hortense, ta main bien à plat sur la table, souvient toi de Fred, ton mari, tu sais comment cela finit lorsque l’on me tient tête.
Comment cet homme, le visage ingrat certainement dû à une acné juvénile mal soignée peut-il parler comme cela de Fred, mon père ?
• Bon, assez jouée, Hortense, ta fille veut garder son pucelage et toi ta main, mais dans notre milieu, une parole est une parole.
Juliette, c’est vraie que tu es majeure, alors dégage, je veux t’éviter de voir ta mère se faire couper sa main.
• Attendez, c’est bon, je me dénude, mais j’irais chez les gendarmes pour tous leur expliquer.
• Hortense, ta fille est conne, elle croit que ce sont ses menaces qui vont m’empêcher de te couper la main.
Mais en plus, tu vas pouvoir rejoindre ton mari, j’ai déjà la bassine et le ciment.
• Vous avez gagné, regardez, je défais les boutons de mon jean.
Voilà comment je me retrouve nue devant ces hommes, essayant de dissimuler mon sexe et en même temps mes seins.
Ces seins dont je suis fière de véritables obus, comparés à ceux de maman, c’est la nuit et le jour, elle est plate comme une limande.
• Je vois que tu deviens raisonnable, tu vas voir, ton dépucelage, c’est un mauvais moment à passer, mais il faut bien que ça ce fasse, si tu veux commencer à rembourser la dette de ta mère.
• Je peux vous laisser, je vous avais promis ma fille, vous l’avez, inutile que j’assiste à ce qui va suivre.
• Hortense, tu te fiches de ma gueule, tu vas rester et voir ce que ta fille fait pour toi pour que tu gardes ta main et évite la bassine et le ciment.
Allez les mecs, elle est à vous préparer là à son futur travail, là-haut au château !
Le château, j’en ai entendu parler par mes parents, avant que mon père disparaisse.
C’est un club privé bien connu dans notre région, des jeunes filles comme moi y tapine.
• Allez, plus vite, suce-leur la bite, bientôt tu en auras plus que de raison à sucer.
J’avais prévu bien des choses, mais finir par faire la pute, c’était bien loin de mes pensées.
Trois mecs, trois queues, j’en ai déjà vu depuis mon adolescence, mais là quand j’en prends une en main les deux autres attendant leur tour, rapidement il me la fourre dans la bouche.
Première d’une longue série après la fin de mon initiation à devenir pute.
Les trois y passent, je vois, maman, se cacher derrière ses mains alors que les miennes masturbent tour à tour, c’est trois verges.
• Aldo, à toi la chatte de cette petite salope, tu es le mieux monté, je suis sûr que ça va lui plaire.
Parles-en à d’autres, il me couche sur la table parmi les cartes.
J’ai devant les yeux la dame de pique, j’aurais préféré celle de cœur avec l’élu du mien, mais il sait u faire le salop et même si la douleur est forte, j’apprécie qu’il me laboure.
Là aussi, ce sera la première d’une longue série, dans les jours, les semaines et les mois qui suivent.
Il me libère, je pense que ma contribution à l’effacement de la dette de maman est terminée pour ce moment, mais monsieur Alphonse, c’est le nom de celui à qui j’appartiens en décide autrement.
• Bruno, malgré ta main qui est allée alimenter les poissons, encule là, elle en aura besoin aussi au château.
En moins de temps qu’il faut en dire, je perds ma virginité, buccal, vaginal et de mon trou du cul, tout cela sous les yeux de maman qui pleure tout le long de ce mauvais moment à passer.
Ce qu’ignorait, maman et monsieur Alphonse, en voulant faire de moi une pute, c’est l’ambition qui m’anime depuis que j’ai l’âge de raison.
J’avais élaboré plusieurs scénarios pour vivre dans le luxe et l’abondance.
Jouer au loto et gagner le pactole, mais il fallait jouer et l’exemple de mes parents et surtout de mère m’en a dissuadé.
Un beau mariage avec un riche héritier, vous en connaissez un, moi pas.
À ce jour, je m’appliquais dans mes études afin d’avoir un bon boulot était mon objectif.
La situation créée par ma mère m’ouvre des portes dont j’ignorais l’existence en lui répondant que j’arrivais...
• Maman, ou es-tu, tu es partie sans me prévenir depuis deux jours.
• Connais-tu le bar de la place près de la mairie ?
• Oui, maman, j’y vais régulièrement avec mes copains et copines pour y boire un verre !
Comment puis, je t’aider et pourquoi ?
• Viens et tu sauras tout, au fond du bar près de celle des toilettes, il y a une porte ou est marqué « Privé », tu frappes, quelqu’un viendra t’ouvrir, je suis là, je t’attends.
Dans quelle galère maman a-t-elle pu encore aller se mettre, depuis que j’ai l’âge de comprendre, le nombre de fois où elle s’est fourrée dans des traquenards, je suis dans l’incapacité de les compter.
À dix-neuf ans, j’ai hâte de finir mes études et prendre mon indépendance budgétairement.
Je suis en string lorsqu’elle a appelé, je le change.
Je suis très strict sur l’hygiène de mon corps avant d’enfiler une de mes tenues sexy, même si je suis vierge, j’aime aguicher les hommes sur mon passage.
J’arrive au café, des gens sont en terrasse à prendre leur café, c’est normal à cette heure de la journée, ils partent au travail.
Pour moi, c’était repos jusqu’à 11 heures, j’ai un cours à cette heure-là.
Je traverse le bar, la porte, comme maman me l’a dit, je frappe et j’attends.
Elle s’ouvre, un homme la mine patibulaire me fait entrer.
Je comprends tout de suite que maman a replongé dans son travers, même son addiction, le jeu, plus particulièrement le poker.
C’est mon père une dizaine d’années plus tôt qui l’a initié avant de disparaitre un jour sans que nous sachions ou il est.
Certains esprits mal faisant disent qu’il alimente les poissons au large du port avec les pieds coulés dans du béton.
La pièce est noyée dans la fumée des cigarettes que les hommes et maman ont dû fumer pendant la nuit voir ces deux jours.
La porte se referme dernière moi célant ma vie.
• Alors, qu’est-ce que vous en dites ?
• Ça peut le faire une blonde aux yeux bleus, ça plait toujours !
Fiche-toi à poil, pour voir ta carrosserie.
• Maman, qu’est-ce que ça veut dire, pourquoi ces hommes veulent-ils que je me dénude ?
• Ta mère a fait tapis avec deux dames, les deux autres sur la table.
Carré de dames, ça vaut de prendre quelques risques.
J’ai relancé, mais il lui manquait du cash.
Je me suis empressé de lui prêter, j’ai de nouveau misé, sûr d’elle cette conne, elle a encore emprunté.
Lorsque je lui ai donné 50 000 €, elle a fini par comprendre que j’avais mieux qu’elle et c’est couché.
Couché simplement contre une paire de 2.
Elle m’a proposé de me rembourser avec son cul, regarde la gueule de son cul, on est déjà passé tous dessus.
Il lui restait une seule solution.
Maman est assise sur sa chaise la tête basse et en pleurs.
• Regarde cette machette, elle est coupante comme un rasoir, un coup et sa main sautait effaçant sa dette.
Regarde Bruno, tout le monde se demande comment il en a perdu une, maintenant tu sais !
Bruno fait partie des quatre hommes qui fument dans la pièce où se tient cette partie de poker certainement illégal et certainement depuis deux jours, ceux ou maman a disparu.
• Ma chérie, je nous fais vivre en faisant des travaux de couture, comment vivrons-nous si on m’enlève une main.
• Alors, elle t’a vendu, tu m’appartiens désormais, c’est pour cela que je veux voir la marchandise.
Les mecs aidez là !
• Vous êtes vraiment des tarés, je suis vierge et celui qui me prendra mon pucelage, il est sûr que ces dans un autre endroit que je le perdais, de plus je suis majeur.
• Elle a de la repartie cette petite salope, ça me plait, j’aime les pouliches rétives, je sais comment les mater !
Hortense, ta main bien à plat sur la table, souvient toi de Fred, ton mari, tu sais comment cela finit lorsque l’on me tient tête.
Comment cet homme, le visage ingrat certainement dû à une acné juvénile mal soignée peut-il parler comme cela de Fred, mon père ?
• Bon, assez jouée, Hortense, ta fille veut garder son pucelage et toi ta main, mais dans notre milieu, une parole est une parole.
Juliette, c’est vraie que tu es majeure, alors dégage, je veux t’éviter de voir ta mère se faire couper sa main.
• Attendez, c’est bon, je me dénude, mais j’irais chez les gendarmes pour tous leur expliquer.
• Hortense, ta fille est conne, elle croit que ce sont ses menaces qui vont m’empêcher de te couper la main.
Mais en plus, tu vas pouvoir rejoindre ton mari, j’ai déjà la bassine et le ciment.
• Vous avez gagné, regardez, je défais les boutons de mon jean.
Voilà comment je me retrouve nue devant ces hommes, essayant de dissimuler mon sexe et en même temps mes seins.
Ces seins dont je suis fière de véritables obus, comparés à ceux de maman, c’est la nuit et le jour, elle est plate comme une limande.
• Je vois que tu deviens raisonnable, tu vas voir, ton dépucelage, c’est un mauvais moment à passer, mais il faut bien que ça ce fasse, si tu veux commencer à rembourser la dette de ta mère.
• Je peux vous laisser, je vous avais promis ma fille, vous l’avez, inutile que j’assiste à ce qui va suivre.
• Hortense, tu te fiches de ma gueule, tu vas rester et voir ce que ta fille fait pour toi pour que tu gardes ta main et évite la bassine et le ciment.
Allez les mecs, elle est à vous préparer là à son futur travail, là-haut au château !
Le château, j’en ai entendu parler par mes parents, avant que mon père disparaisse.
C’est un club privé bien connu dans notre région, des jeunes filles comme moi y tapine.
• Allez, plus vite, suce-leur la bite, bientôt tu en auras plus que de raison à sucer.
J’avais prévu bien des choses, mais finir par faire la pute, c’était bien loin de mes pensées.
Trois mecs, trois queues, j’en ai déjà vu depuis mon adolescence, mais là quand j’en prends une en main les deux autres attendant leur tour, rapidement il me la fourre dans la bouche.
Première d’une longue série après la fin de mon initiation à devenir pute.
Les trois y passent, je vois, maman, se cacher derrière ses mains alors que les miennes masturbent tour à tour, c’est trois verges.
• Aldo, à toi la chatte de cette petite salope, tu es le mieux monté, je suis sûr que ça va lui plaire.
Parles-en à d’autres, il me couche sur la table parmi les cartes.
J’ai devant les yeux la dame de pique, j’aurais préféré celle de cœur avec l’élu du mien, mais il sait u faire le salop et même si la douleur est forte, j’apprécie qu’il me laboure.
Là aussi, ce sera la première d’une longue série, dans les jours, les semaines et les mois qui suivent.
Il me libère, je pense que ma contribution à l’effacement de la dette de maman est terminée pour ce moment, mais monsieur Alphonse, c’est le nom de celui à qui j’appartiens en décide autrement.
• Bruno, malgré ta main qui est allée alimenter les poissons, encule là, elle en aura besoin aussi au château.
En moins de temps qu’il faut en dire, je perds ma virginité, buccal, vaginal et de mon trou du cul, tout cela sous les yeux de maman qui pleure tout le long de ce mauvais moment à passer.
Ce qu’ignorait, maman et monsieur Alphonse, en voulant faire de moi une pute, c’est l’ambition qui m’anime depuis que j’ai l’âge de raison.
J’avais élaboré plusieurs scénarios pour vivre dans le luxe et l’abondance.
Jouer au loto et gagner le pactole, mais il fallait jouer et l’exemple de mes parents et surtout de mère m’en a dissuadé.
Un beau mariage avec un riche héritier, vous en connaissez un, moi pas.
À ce jour, je m’appliquais dans mes études afin d’avoir un bon boulot était mon objectif.
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