COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (10/10) - histoire érotique

Je ne peux répondre à votre demande tout en respectant des normes de responsabilité et de respect dans l'écriture.
Si vous souhaitez aborder un sujet ou explorer une idée, je vous invite à reformuler votre requête avec des termes appropriés et un contexte clair.
Ensemble, nous pourrons créer un contenu constructif et enrichissant.

Bon Chris71 a encore de beaux jours devant lui en ce qui concerne les histoires de cul ou de sexe.
Je viens, à la fin du chapitre dernier de taper trois mots, « pute » « Martine » et « salope. »
Ce que Martine Durand est devenue en devenant une des filles d’Olaf alors qu’elle est dans le même temps inspecteur de police nationale, Durand avec un « D » à la fin.
Inutile de vous rappeler qu’elle tient personnellement à ce que l’on dise inspecteur et non inspectrice.
Le texte en début du chapitre est le texte que m’a pondu l’intelligence artificielle en lui donnant ces trois mots.
Soit elle est loin des histoires de cul pourtant étant de tout temps le centre du monde, sans cul pas d’histoire et sans histoire pas de cul donc de monde.
Soit l’I.a. est prude ce qui dénoterait avec ce qui fait tourner le monde.
Sans prendre les curés, les bonnes sœurs, les je ne sais quoi, le cul, le cul, toujours le cul et rien que le cul.
Mettez quelques personnes dans une salle sans sujet particulier, si la politique est absente des débats car aucune élection en vue, rapidement le sujet du sexe arrive.
« Vous avez su, Nénette fait cocu Poupinnette » si ce sont des gouines.
« Ton père, ce salopard, j’ai bien fait de le quitter, il baisait déjà mal, mais Colinette sa nouvelle l’a quitté en se répandant dans le village en disant qu’il avait une petite bite. »
Dernier exemple et non la moindre, la sortie il y a quelques années de « Cinquante nuances de Grey. »
Passons, les petits coups sur les fesses d’Anastasia, moi je l’aurais flagellé à lui déchirer le cul.
Je me souviens de certaines personnes prudes en temps normal expliquant pourquoi ce livre était un best-seller.
Bref, il a plus de plaisir à vous faire plaisir.
Pardon, essayer de vous faire plaisir, en replongeant dans les profondeurs de la terre où Martine et Solène, la laisse et le collier de chien au cou attendent qu’elles soient mangées.

Mais revenons à moi, Martine et à ce que je viens de découvrir avec mes yeux écarquillés !
Une salle certainement sous terre assez grande pour d’une seule portée contenant cent à deux cents personnes respirant comme si nous étions en surface presque à l’air libre.
Juste le ronronnement du système nous permettant de respirer.
Essayé de marcher sur vos genoux la cravache de Rodolf vous caressant de temps en temps les reins, plutôt la peau des fesses.
Bon pas de quoi hurler de douleur, mais juste de petits cris lors de coups par surprise.
J’ai appris beaucoup de choses sur la nature humaine depuis que j’ai épousé Jules et que je l’ai trompé sans vergogne.
Mais sans en arriver au masochisme, Rodolf aura beau faire, j’accepte de jouer le rôle de son gentil toutou, mais dans la mesure des pépettes que cela me rapporte.
Par deux fois alors que les gens s’écartent pour nous laisser passer, un verre de champagne en main servie par des hommes et femmes en uniforme comme en 1939, mais semblant plus à la mode actuelle.
Par deux fois mon genou gauche se prend dans ma robe me faisant chuter.
La deuxième j’entends un craquement, ça me vaut un coup de cravache, le deuxième légèrement plus marqué que le premier.
Solène s’en sort mieux, la fente qui nous permet d’évoluer ne se refermant pas comme à moi ça m’est arrivée.
Une estrade, la copie de Marlène Dietrich finissant sa chanson nous croise alors que je me vois contrainte de monter pour mieux dominer ce qui doit être des invités.
Un craquement, je monte laissant derrière moi, le peu de tissu qui me recouvrait me laissant seule avec ma nudité.
Je montre à qui veut la voir, ma chatte et mes colombes inversées.

• Bonsoir à tous !
Heil Hitler !
• Heil Hitler !

Ça fait froid dans le dos même si je suis loin d’avoir connu la guerre, les seules choses que je connais de cette période ce sont les films et ce que m’en a dit ma grand-mère Olive.
Oui, je sais, qui a eu l’idée aussi saugrenue d’appeler sa fille Olive.
Elle me disait qu’elle en avait souffert petite fille, on l’a surnormal « le noyau » ou « Olive verte. »
Heureusement qu’elle était blanche de peau, ils l’auraient appelée « Olive noire. »
Mamy Olive était une sainte femme, non pas qu’elle avait été au couvent, mais de ma vie et de celle de maman présentement gardant mes enfants à Chaudenay, j’ai eu l’impression que c’était une femme transparente.
À part papy, mon père, jamais au grand jamais, je n’ai eu le moindre soupçon de la moindre déviance.
Alors pourquoi qui résistait au début, un jour je me suis réveillée avec le feu au cul ?
Même à sa mort, je parle de mamy Olive, moment de vérité de bon nombre de nous.
Pour commencer respectueux, les sous-entendus sur, qui sa fidélité ou qui sa jeunesse tumultueuse, ou autres débordements sort des bouches pour cracher le venin souvent profondément enfoui dans le cœur des gens.
Prenez mon cas, j’ai failli mourir embrochée comme un vulgaire cochon de lait dans les sous-sols des ruines de l'abbaye Sainte-Marguerite.
J’ai été sauvée grâce à Marc le novice et à Claude le remplaçant de Fred mon premier amant.
Embrochée et dégagé en une fraction de seconde me laissant cette cicatrice que certains doivent voir depuis que je suis nue.
Si j’avais été tué, ces amis, non, ces faux-amis diraient de moi.
« Vous saviez que la mère de famille, inspecteur de Police judiciaire, faisait la pute pour son seigneur et maître le dieu Olaf ! »
« Eh oui, peu de gens le savent, profitant d’une mission d’infiltration, elle a rejoint les filles d’Olaf et vend son cul pour s’assurer une bonne retraite et un avenir pour ses enfants.
Sa fille, Charlotte sa fille qui lors de la fête des mères a offert un bracelet Pandora seule chose qu’elle porte en ce moment sur cette estrade, espérant peut-être cacher cette nudité. »
Oui, mes yeux se portent sur mon bracelet, si cher à mon cœur.
Lors des chûtes en remontant la salle et la dernière dans les escaliers, lui seul a été à la hauteur de l’amour que je porte à ceux que j’ai mis au monde.
Je devrais avoir une pensée pour celui qui dans ces moments-là, m’avait fait monter au septième ciel alors que présentement je dois être au cent septième dessous de l’hôtel du centre de Berlin avec Solène.
Solène qui continue a me bouffer la chatte sur les dizaines d’écrans plats autour de la salle.
Dans la chambre aux glaces où la femme de service de l’hôtel route de Chagny, a retrouvé morte étrangler dans un jeu de soumission, Solange François.
Le jumeau de Claude François gagnant du fric sur son dos, j’avais le même genre de sensation me voyant en images démultiplier.
Les plans changent, certainement par un montage des diverses caméras cachées dans notre chambre et dans les douches.
J’ai tellement de choses à voir dans cette salle que j’ai failli louper le moment où Helmut me baise dans sa limousine.
Même là, des caméras étaient présentes.
Le montage qui en a été fait cachant le visage d’Helmut, me rappelle la photo de Jules et de son geste obscène, l’intelligence artificielle m’a fait prendre des vessies pour des lanternes ?
Tient testons là, que dit-elle, d’elle-même dans notre histoire !
Tapons « Intelligence artificielle, Hitler et sexe. »

« Je suis désolé, je ne peux pas répondre à cette demande. »

Mais oui, pour vivre heureux vivons caché.
L’I.a. ne peut pas répondre à cette demande, elle a tout sauf un sexe elle veut que je reformule ma question.
Moi de vive voix, vous me demandez, « aimes-tu le cul ? »
Je vous réponds, le cul maintenant, si vous allongez les billets, il est à vous comme la pute d’Olaf que je suis devenue pour mon plus grand plaisir.
Pourtant si elle cherche bien dans sa gigantesque mémoire, des histoires de cul elle en trouvera des dizaines de milliers, pardon des millions de la Grèce antique jusqu’à nos jours.
Des orgies romaines aux « Onze mille verges » de Guillaume Apollinaire, passant par toutes vos histoires sur Histoire de sexe, l’I.a. a toute la matière pour pondre un texte bandant.
De plus, Histoire de sexe, comment l’I.a. peut-elle d’une simple phrase, vider de l’intérieur de ses disques dur, tous ce que vous écrivez !
Rodolf va commencer son discours.

• Tout doux, mes belles, voyez celle-là, elle a tellement chaud au cul qu’elle s’est déjà préparée à se faire saillir en perdant ses fringues.
Attends un peu ma belle que je salue mes invités, ils sauront te satisfaire, pas vrai mes belles salopes.
• Heil Hitler !
• Heil Hitler !

Merde, la tuile, j’ai toujours rêvé à participer à un gang bang, mais avec dix ou douze mâles à ma disposition, mais là, disons deux cents personnes divisées par deux, ça fait cent.
Je vais y laisser ma vie.
Heureusement de la hauteur où je suis, un verre à la main, je vois déjà des mains qui s’égarent sur les culs des voisines alors que la femme de l’autre côté semble être sa légitime.

• Je vous rappelle que ce sont les deux seuls mots que nous avons le droit de dire en Allemand après la convention tenue dans cette salle par vos pères ou mères il y a plus de vingt ans.
Nous nous savons écoutés car de plus en plus puissant et le Français nous permet de brouiller les pistes avec ceux qui refusent la résurrection du national-socialiste comme notre fureur Adolphe l’avait envisagée.
Tous ici, sommes des descendants ou des alliés des SS, que nous avons secrètement réavivés.
Tout a commencé la plupart de vous n’étaient pas nés, lorsque j’ai été chargé en tant qu’architec de reconstruire un quartier de Berlin que les ennemis de notre fureur avait détruit.
Par chance, j’avais gardé les papiers de mon grand-père, c’est lui qui avait construit ce bâtiment.
Un jour Frist, mon ami ici avec nous, m’a appelé, en enlevant un tas grava avec son équipe, ils avaient trouvé une entrée menant vers le centre de la terre.
Nous avons continué à tout enlever jusqu’à une porte de fer.
J’ai cherché dans les archives et ça m’a permis de découvrir ce chef-d’oeuvre architectural, mon grand-père était très fort dans le béton.
J’ai reconstruit un hôtel nous servant de couverture et vous voici ici dans la salle du nouveau national-socialiste.

Un mouvement de foule, une femme que je connais bien, est là alors que je la croyais à des centaines de kilomètres…



Voilà, cinq chapitres, pas de chance, il va falloir attendre un peu pour savoir qui se trouve au milieu de ces gens venus d’un autre âge.