COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (6/10) - histoire érotique

« Snif. »

C’est le premier bruit lorsque me servant du petit tube afin d’aspirer pour la première fois une ligne de coke.
Par mon métier, je sais le risque que je prends à me bourrer le pif de came.
J’ai si souvent vu des junkies accros à cette drogue, que l’on dit festive.

« Snif. »

Ma deuxième narine se remplir afin que Solène ignore ce que je fais réellement à Beaune entre deux passes comme filles d’Olaf.

• Merci pour ce bon repas.

La serveuse qui vient de laisser une table roulante, quitte la chambre sans plus un mot.
De toute façon, ni elle, ni nous, ne parlons l’allemand.
Il en est de même pour elle en français.

• C’est bien Martine, un peu de temps et ça va te faire du bien, mais attention, la beuh, si tu en trouve, tu peux, la coke de temps en temps, tu peux aussi.
Mais il y a une saloperie que tu dois fuir comme la peste, le crac.
J’ai une jumelle Marie, nous avons commencé ensemble à fumer et à snifer lorsque nous avons débuté comme escortes.
C’est ma jumelle qui m’a fait connaitre la fumette et après la coke.
Elle est passée au crac, par dépit amoureux lorsqu’un garçon l’a quitté et dont elle était très amoureuse, lorsqu’il a su qu’elle voyait des hommes ou quelquefois des femmes pour gagner sa vie.
En ce moment, si tu veux la trouver, elle est à Stalingrad à Paris, elle se vend pour cinq euros afin de s’acheter sa merde.
J’ai essayé de lui payer une cure de désintoxication, mais elle préfère sa situation à la nôtre.
J’ai fait une croix sur elle, donc tu peux prendre une petite ligne de coke, mais attention sans en abuser.
• Sois sans crainte, passons à table, notre petit plaisir pris sous la douche m’a ouvert l’appétit.

Kartoffels, patate pour ceux qui comme moi ignorent cette langue, qui ne va pas m’être nécessaire pour rester une fille d’Olaf auprès de mes clients potentiels.
Ragout de bœuf avec en dessert une part de kouglof.
Ce gâteau, je le connais, je suis allé avec Jules au marché de Noël de Strasbourg et nous en avions mangé près d’un chalet avec un vin chaud.
Enfin, le vin chaud pour les adultes, Alexandre et Charlotte qui nous accompagnaient était bien content de boire exceptionnellement un coca pour deux.
Nous voulions éviter qu’ils ne s’intoxiquent avec cette merde bourrée de sucre, mais ce sont des enfants et ça nous permet de les cadrer.
J’allais parler de saloperie ou de merde, moi qui ai le pif rempli d’une autre saloperie.
Nous étions revenus avec des boules de Noël les vrais, celles en verre et non en plastique comme au super-marcher de Beaune ou je vais faire mes courses.

(Note de Chris71, n’ayant jamais pris de ces substances interdites, il est dans l’incapacité de rapporter les effets qu’elles peuvent apporter.
Inutile de lui faire remarquer dans les commentaires, il va faire pour le mieux de l’histoire…)

Le ventre plein et le pif bourré de coke, ayant été satisfaite que le repas soit constitué de pommes de terre avec de la viande en sauce.
Ici à Berlin, j’aurais eu du mal à manger le plat traditionnel allemand, la choucroute bière par exemple.
Là encore, mais seulement avec Jules, nous avions été dans les premiers mois de notre mariage à la fête de la bière à Munich.
Nous avions mangé de la choucroute et rapidement le chou fermenté dans la saumure a eu un effet dévastateur sur mes intestins.
J’ai eu des flatulences du plus mauvais effet.
Je me vois mal lorsque l’on viendra nous chercher pour remplir notre part de travail comme filles d’Olaf, jouer de la trompette avec mes fesses qui je le pense, vont m’être utile pour remplir mon bas de laine.
Ça me chauffe dans l’entre jambes, certainement l’effet de la poudre blanche.
Solène une fois, nos bouches essuyées et nos serviettes repliées, m’entraine vers le lit.
Avant nous allons dans la salle d’eau nous laver nos dents prêtes pour la nuit.
Vingt-deux heures, nous pensons que pour ce soir, nos clients vont nous laisser tranquilles.
Le lit est spacieux, mais il faut que j’éteigne le feu qui est en moi, certainement l’effet de la coke.
La bouche aux dents bien blanches de Solène vient m’aider à l’éteindre décuplant le plaisir que je prends.
Une nouvelle fois, ma chatte est labourée par une langue qui vient caresser mon clitoris.
Solène est la reine des cunnilingus féminins, mais je suis loin d’être en reste avec ma propre langue.
Nous jouons une partition d’amour entre femmes très réussi avant de tomber dans les bras l’une de l’autre pour le restant de la nuit.

• Frühstück !

C’est l’odeur du café qui vient me réveiller, Solène est déjà debout et est près de son sac à main la carte magnétique de la chambre en main.
Un serveur se frottant les mirettes, deux salopes et deux salopes françaises à poils dans leur chambre, c’est du pain béni pour ses yeux.

Snif, snif, chaque narine a le droit à sa ligne.

• Et moi, tu m’en offre, après la nuit que nous avons passée, je crois bien que je l’ai mérité !
• Je t’ai dit que c’était dangereux, mais si tu en veux apprend à te faire une ligne.

Snif, snif, deux narines deux lignes, avec un bon café et des viennoiseries, c’est normal en Allemagne, l’Autriche est proche.

• Tient, il y a une lettre, attend, je l’ouvre et je la lis.

C’est Rudolf qui nous donne un numéro que je peux appeler sur mon portable pour commander Helmut le chauffeur de la limousine si nous voulons faire un tour en ville.
La seule contrainte, être prête à vingt-deux heures, on viendra nous chercher.
Nous avons le choix pour choisir notre robe longue.

Berlin, la capitale vibrante de l'Allemagne, est une ville riche en histoire, en culture et en monuments emblématiques.
Une promenade au centre-ville de Berlin offre une occasion inégalée de découvrir ses trésors historiques, notamment la Porte de Brandebourg et Checkpoint Charlie.
Helmut nous conduit à la porte de Brandebourg, l'un des monuments les plus emblématiques de Berlin.
Il nous sert d’interprète lui parle nos deux langues.
C’est normal, il est alsacien, de Colmar plus exactement, son père étant Allemand et sa mère française de cette ville.
La porte de Brandebourg se dresse fièrement sur la Pariser Platz.
Construite entre 1788 et 1791, cette porte est un symbole de paix et d'unité.
Elle est surmontée d'un remarquable quadrige, une statue de la déesse de la victoire, conduite par un char tiré par quatre chevaux.
La Porte de Brandebourg a joué un rôle central lors de nombreux événements historiques, notamment la chute du mur de Berlin en 1989.
Lors de cette promenade, il nous fait découvrir et admirer l'architecture néoclassique de la porte et de capturer quelques photos de ce magnifique site.
Je connais une partie de la chute du mur, j’en ai vu des reportages à la télé.
Ayant 35 ans, c’était mon année de naissance, j’étais au sein de ma mère lorsque le mur est tombé.
Il va de soi que ce sont des documentaires qui m’ont fait me souvenir de cette époque qui a bouleversé l’ordre du monde.
Helmut nous raconte aussi une anecdote émouvante concernant le célèbre violoncelliste Mstislav Rostropovitch.
Lorsque le mur de Berlin est tombé en novembre 1989, Rostropovitch s'est rendu spontanément dans la ville avec son violoncelle.
Il a donné un concert improvisé au pied du mur, symbolisant l'espoir et la liberté retrouvée.
Rostropovitch, citoyen soviétique, a voulu incarner par cet acte le pouvoir de la musique à transcender les barrières et à réunir les peuples.
Cette performance historique est restée gravée dans les mémoires et constitue un moment marquant de la chute du mur.
J’en avais la larme à l’œil avant de quitter ce lieu mythique et de reprendre notre chemin non loin de là, jusqu’au lieu lui aussi mythique de la guerre froide Checkpoint Charlie.
Checkpoint Charlie, situé à quelques encablures au sud-est, la limousine bien garé, c’est à pied que nous le rejoignons.
Checkpoint Charlie était l'un des principaux points de passage entre Berlin-Est et
Berlin-Ouest pendant la guerre froide.
Il est devenu un symbole de la division de la ville et de la confrontation entre les deux blocs.
Aujourd'hui, Checkpoint Charlie est un lieu de mémoire où l'on peut voir une réplique de la guérite utilisée par les gardes.
Nous pouvons voir ainsi que des panneaux d'information relatant l'histoire du mur de Berlin et des tentatives d'évasion spectaculaires.
Une visite à Checkpoint Charlie est incontournable pour comprendre l'impact de la guerre froide sur Berlin et ses habitants.
Helmut est intarissable sur Berlin, un vrai puits de science.
Je remarque même l’intérêt qu’il semble me porter, il me plait aussi et les lignes de coke snifées exaspèrent ma petite chatte.
Comme la salope que j’aime à être devenue, un petit coup de bite serait la bienvenue.
C’est Solène qui m’en donne l’occasion.
À un moment, je vois Solène parler avec Helmut, il lui montre une direction de la main et prend son portable et il téléphone.
Il se rapproche de moi, car avant il m’a été dans l’impossibilité d’entendre ce qu’ils se sont dit et pourquoi ce coup de téléphone.

• Si ça ne vous dérange pas, j’ai une petite course à faire avant de reprendre la limousine et de retourner à l’hôtel nous préparer.

Solène nous plante là, elle semblait, comme moi venir à Berlin pour la première fois, mais lorsque Helmut m’ouvre la portière et me fait monter.

• Je peux venir derrière avec toi, ta copine en a pour un petit moment.

Bien sûr que je lui permets de venir près de moi, les vitres teintées et l’espace à l’arrière de cette voiture permettant bien des choses.
Ne suis-je pas une salope comme j’ai plaisir à le dire et aussi une pute, fille d’Olaf, mais aussi Martine, inspecteur de police à Beaune…

(Note de Chris71, qui tient à être toujours claire, du moins le plus possible dans ses écrits.
Toute la partie de la promenade dans Berlin a été écrite par un I.A.
Pour ceux qui découvrent l’intelligence artificielle, I.A. que je peux me servir en lui confiant quelques mots.
C’est précis, mais c’est aussi du travail car il faut remettre tout en forme.
Lorsque Martine monte en voiture, sachant ce qui va si passer le début du chapitre 7 sera écrit de la main et de l’imagination de Chris7.)