COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (8/10)

Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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COLLECTION ZONE ROUGE. Inspecteur Martine Durand. Les filles d’Olaf (8/10)
Promenade dans Berlin dans la limousine d’Helmut dont j’en ai fait mon amant en me baisant dans l’habitat de son paquebot sur roues d’une longueur indéfinissable.
Je me suis donné à lui, comme je l’avais fait avec Fred, le premier, trompant pour la première fois Jules mon mari avec qui j’ai eu deux enfants Alexandre et Charlotte.
Les enfants je sais où ils sont, chez mes parents en Saône et Loire.
Mais Jules, je l’ignore, depuis que je l’ai vu sur une photo que m’a présentée Olaf alors que j’étais sur son yack.
Sur cette photo, il avait une jeune japonaise habillée en kimono traditionnel que portent les geishas dans ce pays, dit du soleil levant.
Si j’ai accepté de devenir la pute d’Olaf cette photo m’a marqué sachant qu’à notre époque, ces geishas sous couvert de tradition sont elle aussi des putes étant là pour satisfaire leur client.
La main de Jules sous le kimono d’une gamine tout juste sortant de l’adolescence, même si c’est légal au Japon, m’a choqué.
Avant de quitter Beaune pour prendre l’avion à Saint-Exupéry, aéroport de Lyon.
J’ai tenté de lui téléphoner pour qu’il me donne des explications, une nouvelle fois, je suis tombée sur sa messagerie.
Je devrais être inquiète, mais j’ai comme un sentiment de tromperie moi qui vient de le faire avec Solène et Helmut.
Sentiment lorsque tu nous tiens, instinctivement je prends mon portable pour voir s’il a répondu à mon message, décalage horaire étant de mise.
J’ai bien eu un appel, mais de Christine, la femme de Lupin.
Je reviens à notre balade lorsque Helmut nous signale que nous longeons une place qu’il nomme Alexanderplatz. (I.A.)
Elle est animée par des magasins, des restaurants et la célèbre tour de télévision, la Fernsehturm.
• Voilà, mesdames, une promenade au centre-ville de Berlin offre une immersion fascinante dans l'histoire et la culture de cette ville dynamique.
Que ce soit en admirant la majesté de la Porte de Brandebourg, en explorant les souvenirs de la guerre froide à Checkpoint Charlie, ou en découvrant d'autres sites emblématiques.
Berlin nous promet une expérience mémorable et enrichissante.
Je vous ai montré les merveilles par la diversité et la richesse de cette capitale européenne.
Lorsqu’il nous arrête devant notre hôtel, vers un peu plus de 18 heures, certes Helmut nous a fait découvrir à pied ou en voiture de luxe Berlin.
Mais ce que je retiendrais le plus c’est sa bite qu’il m’a fourrée là où ça fait du bien dans son paquebot sur roues.
C’est bandant de se faire tringler après un choix personnel sans que la question de l’argent vienne interférer entre nous.
Je dois reconnaître que depuis mon immersion dans le monde de la prostitution, l’argent a été mon principal moteur, espérant quitter la police les poches pleines de beaux billets.
J’ai un petit frisson lorsque Solène prend ma main pour m’aider à descendre sans me cogner la tête.
Le mot « immersion » me rappelle que si je n’avais pas été marqué au fer rouge comme Solène l’est aussi, mon souteneur m’aurait fait bouffer par les poissons de l’Atlantique.
Mais cette pensée négative s’estompe dès que nous entrons dans notre chambre et que Solène m’apostrophe.
• Ma chérie, je sais que je t’ai mise en garde contre l’addiction à la poudre blanche.
Mais avoir dans mon sac un si bon produit, car souvent certains vendeurs vous fourguent de la merde, je me sens obligé de me faire une petite ligne.
Après nous nous préparerons comme nous en avons reçu l’ordre.
Snif, quatre fois, deux pour Solène, deux pour moi, je sens que j’y prends de plus en plus goût.
J’ai un moral de fer pour attaquer notre soirée, certainement la dernière avant mon retour en France et ma condition de flic de la police nationale.
• Solène, cette blanche me donne des idées.
• Ma belle salope, tu vois que nous avons le temps, douche, maquillage et tenue à passer, nous pouvons nous donner du plaisir, viens dans mes bras.
Qui dit que la vie d’une prostituée s’est prend ton fric, écarte tes cuisses avant de te faire baiser le plus vite possible ?
Le plus vite possible, ça dépend du client, lorsque vous flairez le bon coup, il faut faire d’une pierre deux coups, le fric et le plaisir.
Solène doit être passée maitresse lors de son remplissage de sa bourse grâce à Olaf. Mais c’est une très belle salope lorsqu’elle écarte ses cuisses sur notre lit et que sa langue trouve mon clito.
Je parle de belle salope, en parlant de Solène, n’en suis-je pas une au même titre ?
Et cela depuis que j’ai choisi en plus de mon travail à Beaune d’inspecteur de police de vendre mes miches à ce qui au début ressemblait à une organisation bien française.
Maintenant que je suis en Allemagne, plus précisément dans sa capitale réunifiée, j’ai nettement l’impression que je suis entré dans un réseau international de prostitution.
Solène m’ayant dit qu’avant le « Brexit, » elle travaillait à la City de Londres, conforte ce sentiment.
• Dis-moi, ma belle, ça te dirait qu’à notre retour en France, nous nous re-voyons et que je t’offre un bien plus beau bracelet que cette horreur que tu as à ton poignet ?
• Je te remercie du plaisir que nous venons de nous offrir, mais ce bracelet, c’est la seule preuve d’amour que ma fille m’a offerte à la dernière fête des mères.
Il est plus cher à mon cœur que tous ceux qui pourraient valoir des millions.
De plus comme je te l’ai dit, je lui ai juré depuis que j’ai rejoint les filles d’Olaf de le garder sans jamais l’enlever.
Ma chérie, vient dans mes bras, embrassons-nous et faisons-nous une petite ligne, je sens que la soirée va être chaude.
Qu’ont-ils tous à me parler de mon bracelet Pandora, sont-ils jaloux que j’ai un bijou ayant si peu de valeur, après tout ce que je gagne depuis que je monnaye mes fesses ?
Je dis mes fesses, pour éviter de dire, mes jolies fesses, si je les tâte, je les sens fermes et sportives.
Si j’essaye de les voir dans une glace même dans la psyché de notre salle de bains, les contorsions que je dois faire, me déforment toute perspective de la réalité de leur beauté.
Nous finissons par nous maquiller chacune devant une glace de la salle de bains devant les doubles lavabos.
• Mon dieu, tu as besoin d’un coup de main, pour te maquiller !
On voit sérieusement que tu manques de pratique, si tu sais y faire, tu doubleras ta clientèle et le fric qu’elle te rapporte.
• Merci, mais depuis que j’ai accepté de servir Olaf, sur le plan du fric, je suis loin d’avoir à me plaindre.
Voilà, elle retouche mon maquillage, je passe la robe rouge, elle aussi une aussi longue que la mienne, mais bleue.
Il est l’heure prévue lorsqu’un serveur de la réception, vient nous chercher. Heureusement les chaussures à hauts talons sont acceptables pour que je marche sans que je me casse ce qui me casse la gueule.
Oui, bon, la figure, la binette.
J’ignore de quel milieu exact viennent Solène et Claire sa jumelle.
Ce qui est sûr, c’est que dans tout ce fatras, maquillage, chaussures plus hautes que les miennes et port de tête, elles seraient des filles de bonne famille, il n’y aurait rien d’étonnant.
Des filles qui sont tombées dans la prostitution repérée par des femmes comme Alexandra dans les instituts de mannequinat.
Couloir, ascenseur vers le haut, nous devons être au dernier étage de l’hôtel, lorsque notre accompagnateur nous ouvre la porte d’une suite.
La chambre doit couvrir la totalité de la dalle formant les étages inférieurs.
Debout devant deux canapés se faisant face avec une table de salon en marbre au milieu.
Je dis marbre et non Stuck vu les canapés blanc en cuir, la table est obligatoirement en marbre blanc de Carrare.
Comment je reconnais que c’est du marbre de la région de Carrare ?
Mes parents ont un guéridon dans leur entrée qui vaudrait le coup d’être assuré.
(IA) Le marbre blanc de Carrare est réputé pour sa pureté et sa qualité exceptionnelle. Souvent réservé aux œuvres d’art et au palais du monde entier.
La table semble si parfaite qu’elle pourrait avoir été sculptée sur mesure pour cette suite.
Chaque détail de cette pièce respire une opulence soigneusement calculée.
Un luxe discret, mais imposant, où même les ombres semblent avoir été placées avec précision.
(Fin de l’IA)
Rudolf a une particularité, depuis que nous l’avons quittée dans la voiture à notre arrivée.
Toujours son embonpoint, mais un costume bien souvent vu à la télé, surtout dans des films de la guerre de 39 à 45.
Des S.S. sur chaque revert de sa veste, un Colt à sa ceinture, sans oublier sa casquette et ses bottes, montre un homme en tenue du Reich allemand dirigé par Adolphe, alors que nous sommes en 2024.
Que veut dire cette mascarade !
• Mesdames, vous semblez étonnée et je le comprends bien volontiers. Approchez que je vous attache vos colliers aux couleurs de vos robes.
Comment peut-il savoir quelle couleur je porte et Solène aussi ?
À aucun moment, depuis qu’il est venu nous chercher, les mains du représentant de la réception nous ont été cachées, à aucun moment, il ne s’est pas servi d’un portable.
Nul doute qu’à la télé d’une grandeur que je vois pour la première fois, Rudolf nous a regardé dans notre chambre.
Merde, ils ont dû nous voir nous brouter les chattes Solène et moi.
Avons-nous joué dans un porno sans nous en rendre compte ?
J’espère qu’ils se sont bien pignolés en regardant nos ébats, je dois concevoir qu’à certains moments ça dû être chaud.
Du moins de ce que je m’en souviens, de vraies putes, n’est-ce pas pour cela qu’ils nous payent ?
• Petite chienne, le rouge pour vous et vous Solène et pour mon autre petite chienne, le bleu, à quatre pattes, nous allons rejoindre nos invités.
Quelle honte, l’une comme l’autre nous nous mettons dans la position ordonnée.
J’ai oublié de dire que Rudolf porte monocle à son œil comme Erich von Strohein dans bivers de ses films et une cravache qu’il tient sous son bras.
Un véritable homme de l’ombre d’Hitler.
Il se dirige vers ce qu’il semble être un ascenseur, l’ouvre.
Il nous fait monter, nous caressant l’échine ayant repris sa cravache en main.
Heureusement la moquette est assez épaisse pour éviter de nous blesser les genoux.
Il appuie sur le seul bouton présent.
Nous descendons, descendons, descendons.
Vers quel abysse va-t-il nous entrainer…
Je me suis donné à lui, comme je l’avais fait avec Fred, le premier, trompant pour la première fois Jules mon mari avec qui j’ai eu deux enfants Alexandre et Charlotte.
Les enfants je sais où ils sont, chez mes parents en Saône et Loire.
Mais Jules, je l’ignore, depuis que je l’ai vu sur une photo que m’a présentée Olaf alors que j’étais sur son yack.
Sur cette photo, il avait une jeune japonaise habillée en kimono traditionnel que portent les geishas dans ce pays, dit du soleil levant.
Si j’ai accepté de devenir la pute d’Olaf cette photo m’a marqué sachant qu’à notre époque, ces geishas sous couvert de tradition sont elle aussi des putes étant là pour satisfaire leur client.
La main de Jules sous le kimono d’une gamine tout juste sortant de l’adolescence, même si c’est légal au Japon, m’a choqué.
Avant de quitter Beaune pour prendre l’avion à Saint-Exupéry, aéroport de Lyon.
J’ai tenté de lui téléphoner pour qu’il me donne des explications, une nouvelle fois, je suis tombée sur sa messagerie.
Je devrais être inquiète, mais j’ai comme un sentiment de tromperie moi qui vient de le faire avec Solène et Helmut.
Sentiment lorsque tu nous tiens, instinctivement je prends mon portable pour voir s’il a répondu à mon message, décalage horaire étant de mise.
J’ai bien eu un appel, mais de Christine, la femme de Lupin.
Je reviens à notre balade lorsque Helmut nous signale que nous longeons une place qu’il nomme Alexanderplatz. (I.A.)
Elle est animée par des magasins, des restaurants et la célèbre tour de télévision, la Fernsehturm.
• Voilà, mesdames, une promenade au centre-ville de Berlin offre une immersion fascinante dans l'histoire et la culture de cette ville dynamique.
Que ce soit en admirant la majesté de la Porte de Brandebourg, en explorant les souvenirs de la guerre froide à Checkpoint Charlie, ou en découvrant d'autres sites emblématiques.
Berlin nous promet une expérience mémorable et enrichissante.
Je vous ai montré les merveilles par la diversité et la richesse de cette capitale européenne.
Lorsqu’il nous arrête devant notre hôtel, vers un peu plus de 18 heures, certes Helmut nous a fait découvrir à pied ou en voiture de luxe Berlin.
Mais ce que je retiendrais le plus c’est sa bite qu’il m’a fourrée là où ça fait du bien dans son paquebot sur roues.
C’est bandant de se faire tringler après un choix personnel sans que la question de l’argent vienne interférer entre nous.
Je dois reconnaître que depuis mon immersion dans le monde de la prostitution, l’argent a été mon principal moteur, espérant quitter la police les poches pleines de beaux billets.
J’ai un petit frisson lorsque Solène prend ma main pour m’aider à descendre sans me cogner la tête.
Le mot « immersion » me rappelle que si je n’avais pas été marqué au fer rouge comme Solène l’est aussi, mon souteneur m’aurait fait bouffer par les poissons de l’Atlantique.
Mais cette pensée négative s’estompe dès que nous entrons dans notre chambre et que Solène m’apostrophe.
• Ma chérie, je sais que je t’ai mise en garde contre l’addiction à la poudre blanche.
Mais avoir dans mon sac un si bon produit, car souvent certains vendeurs vous fourguent de la merde, je me sens obligé de me faire une petite ligne.
Après nous nous préparerons comme nous en avons reçu l’ordre.
Snif, quatre fois, deux pour Solène, deux pour moi, je sens que j’y prends de plus en plus goût.
J’ai un moral de fer pour attaquer notre soirée, certainement la dernière avant mon retour en France et ma condition de flic de la police nationale.
• Solène, cette blanche me donne des idées.
• Ma belle salope, tu vois que nous avons le temps, douche, maquillage et tenue à passer, nous pouvons nous donner du plaisir, viens dans mes bras.
Qui dit que la vie d’une prostituée s’est prend ton fric, écarte tes cuisses avant de te faire baiser le plus vite possible ?
Le plus vite possible, ça dépend du client, lorsque vous flairez le bon coup, il faut faire d’une pierre deux coups, le fric et le plaisir.
Solène doit être passée maitresse lors de son remplissage de sa bourse grâce à Olaf. Mais c’est une très belle salope lorsqu’elle écarte ses cuisses sur notre lit et que sa langue trouve mon clito.
Je parle de belle salope, en parlant de Solène, n’en suis-je pas une au même titre ?
Et cela depuis que j’ai choisi en plus de mon travail à Beaune d’inspecteur de police de vendre mes miches à ce qui au début ressemblait à une organisation bien française.
Maintenant que je suis en Allemagne, plus précisément dans sa capitale réunifiée, j’ai nettement l’impression que je suis entré dans un réseau international de prostitution.
Solène m’ayant dit qu’avant le « Brexit, » elle travaillait à la City de Londres, conforte ce sentiment.
• Dis-moi, ma belle, ça te dirait qu’à notre retour en France, nous nous re-voyons et que je t’offre un bien plus beau bracelet que cette horreur que tu as à ton poignet ?
• Je te remercie du plaisir que nous venons de nous offrir, mais ce bracelet, c’est la seule preuve d’amour que ma fille m’a offerte à la dernière fête des mères.
Il est plus cher à mon cœur que tous ceux qui pourraient valoir des millions.
De plus comme je te l’ai dit, je lui ai juré depuis que j’ai rejoint les filles d’Olaf de le garder sans jamais l’enlever.
Ma chérie, vient dans mes bras, embrassons-nous et faisons-nous une petite ligne, je sens que la soirée va être chaude.
Qu’ont-ils tous à me parler de mon bracelet Pandora, sont-ils jaloux que j’ai un bijou ayant si peu de valeur, après tout ce que je gagne depuis que je monnaye mes fesses ?
Je dis mes fesses, pour éviter de dire, mes jolies fesses, si je les tâte, je les sens fermes et sportives.
Si j’essaye de les voir dans une glace même dans la psyché de notre salle de bains, les contorsions que je dois faire, me déforment toute perspective de la réalité de leur beauté.
Nous finissons par nous maquiller chacune devant une glace de la salle de bains devant les doubles lavabos.
• Mon dieu, tu as besoin d’un coup de main, pour te maquiller !
On voit sérieusement que tu manques de pratique, si tu sais y faire, tu doubleras ta clientèle et le fric qu’elle te rapporte.
• Merci, mais depuis que j’ai accepté de servir Olaf, sur le plan du fric, je suis loin d’avoir à me plaindre.
Voilà, elle retouche mon maquillage, je passe la robe rouge, elle aussi une aussi longue que la mienne, mais bleue.
Il est l’heure prévue lorsqu’un serveur de la réception, vient nous chercher. Heureusement les chaussures à hauts talons sont acceptables pour que je marche sans que je me casse ce qui me casse la gueule.
Oui, bon, la figure, la binette.
J’ignore de quel milieu exact viennent Solène et Claire sa jumelle.
Ce qui est sûr, c’est que dans tout ce fatras, maquillage, chaussures plus hautes que les miennes et port de tête, elles seraient des filles de bonne famille, il n’y aurait rien d’étonnant.
Des filles qui sont tombées dans la prostitution repérée par des femmes comme Alexandra dans les instituts de mannequinat.
Couloir, ascenseur vers le haut, nous devons être au dernier étage de l’hôtel, lorsque notre accompagnateur nous ouvre la porte d’une suite.
La chambre doit couvrir la totalité de la dalle formant les étages inférieurs.
Debout devant deux canapés se faisant face avec une table de salon en marbre au milieu.
Je dis marbre et non Stuck vu les canapés blanc en cuir, la table est obligatoirement en marbre blanc de Carrare.
Comment je reconnais que c’est du marbre de la région de Carrare ?
Mes parents ont un guéridon dans leur entrée qui vaudrait le coup d’être assuré.
(IA) Le marbre blanc de Carrare est réputé pour sa pureté et sa qualité exceptionnelle. Souvent réservé aux œuvres d’art et au palais du monde entier.
La table semble si parfaite qu’elle pourrait avoir été sculptée sur mesure pour cette suite.
Chaque détail de cette pièce respire une opulence soigneusement calculée.
Un luxe discret, mais imposant, où même les ombres semblent avoir été placées avec précision.
(Fin de l’IA)
Rudolf a une particularité, depuis que nous l’avons quittée dans la voiture à notre arrivée.
Toujours son embonpoint, mais un costume bien souvent vu à la télé, surtout dans des films de la guerre de 39 à 45.
Des S.S. sur chaque revert de sa veste, un Colt à sa ceinture, sans oublier sa casquette et ses bottes, montre un homme en tenue du Reich allemand dirigé par Adolphe, alors que nous sommes en 2024.
Que veut dire cette mascarade !
• Mesdames, vous semblez étonnée et je le comprends bien volontiers. Approchez que je vous attache vos colliers aux couleurs de vos robes.
Comment peut-il savoir quelle couleur je porte et Solène aussi ?
À aucun moment, depuis qu’il est venu nous chercher, les mains du représentant de la réception nous ont été cachées, à aucun moment, il ne s’est pas servi d’un portable.
Nul doute qu’à la télé d’une grandeur que je vois pour la première fois, Rudolf nous a regardé dans notre chambre.
Merde, ils ont dû nous voir nous brouter les chattes Solène et moi.
Avons-nous joué dans un porno sans nous en rendre compte ?
J’espère qu’ils se sont bien pignolés en regardant nos ébats, je dois concevoir qu’à certains moments ça dû être chaud.
Du moins de ce que je m’en souviens, de vraies putes, n’est-ce pas pour cela qu’ils nous payent ?
• Petite chienne, le rouge pour vous et vous Solène et pour mon autre petite chienne, le bleu, à quatre pattes, nous allons rejoindre nos invités.
Quelle honte, l’une comme l’autre nous nous mettons dans la position ordonnée.
J’ai oublié de dire que Rudolf porte monocle à son œil comme Erich von Strohein dans bivers de ses films et une cravache qu’il tient sous son bras.
Un véritable homme de l’ombre d’Hitler.
Il se dirige vers ce qu’il semble être un ascenseur, l’ouvre.
Il nous fait monter, nous caressant l’échine ayant repris sa cravache en main.
Heureusement la moquette est assez épaisse pour éviter de nous blesser les genoux.
Il appuie sur le seul bouton présent.
Nous descendons, descendons, descendons.
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