COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (4/5) - histoire érotique

Ouf, je suis rassuré lorsque je prends un bain à l’hôtel dans la chambre de Léon, mon homme.
Presque ma deuxième demeure depuis que, je lui appartiens corps et âme.
J’ai pu le prévenir que mon père semble préparer un grand coup, il joue au poker à la discothèque.
Depuis que je suis jeune fille, j’ai découvert les plaisirs que mes doigts peuvent me procurer lorsque je me caresse le clito.
Depuis que je baise avec Léon, j’avais arrêté cette pratique, sa queue me suffisant largement et mes jouissances sans commune mesure.
Pourtant, mon doigt le retrouve et je commence à me caresser.
Je me fais du bien, c’est vrai une bonne queue est préférable surtout depuis que j’ai franchi le pas des tabous de papa.
Pauvre papa, il joue au gendarme et au voleur depuis tant d’années qu’il en est pathétique.
Avec maman, ils ont vingt ans d’écart, c’est pour cela qu’il va partir à la retraite.
Elle a quarante ans, juste le double de moi.
Maman ignore que je connais une partie de sa vie, un jour j’avais 12 ans, j’étais dans ma chambre.
Ma grand-mère Denise sa maman était là.
La conversation est montée rapidement, ma grand-mère reprochait à sa fille ce qu’elle semblait avoir fait.
La teneur en était simple, maman avait baisé avec l’un de ses anciens qui voulaient la mettre sur le trottoir.
Par chance, Papa seulement policier l’avait sortie de là et comme ils avaient baisé ensemble et que je m’annonçais, il l’avait épousée.
Maman avait failli faire la pute, est-ce pour cela que papa était très strict avec moi ?

Pendant ces années-là, papa travaillait tard le soir à la maison, j’avais 14 ans lorsqu’il a passé son concours de commissaire, car il savait que l’ancien prenait sa retraite.
Il a eu le poste, c’est dans ces années-là qu’il a eu à courir après Léon l’attrapant plusieurs fois.

Je me couche, je laisse la lumière, je veux voir mon homme revenir.
Quelle heure est-il, lorsque j’entends Léon entrer, ils sont deux.
Léon est avec Steve monte-en-l’air comme lui, mais plus jeune.
Je le rencontre parfois à la discothèque, c’est l’un des compagnons de poker de Léon.
Je remonte le drap sur moi, il a certainement eu le temps d’admirer mes formes même si je me suis couverte très vite.

• Déshabillons-nous Steve et vient dans le lit.
• Que vous arrive-t-il, tu es fou, je suis nue ?
• Steve fait comme moi fissa, s’ils arrivent et qu’ils nous interrogent, nous aurons passé la nuit depuis une heure du matin avec toi.

Je vois les deux garçons enlever leurs vêtements.

• Avec deux mecs dans notre lit, tu veux me faire passer pour une salope.
• Couche-toi Steve, il faut que les draps soient chauds.

Steve est nu, il est bien monté le salop, même si du côté de Léon, c’est très bien aussi.
Chacun m’encadre.

• Chéri, il était minuit, nous jouions tranquillement au poker lorsque ce pourri de Robert est arrivé.
Il avait un coup fumant et rapide, avec Steve nous avons craqué et nous sommes allés faire le coup.
Je savais que tu m’avais prévenu pour ton père, mais c’était si facile que nous sommes partis tout de même.
Ce fumier devait être un indict des flics, car nous venions de finir de crocheter le coffre et de le vider quand de la rue est venu l’ordre de nous rendre.
J’ai reconnu la voix de ton père, il a dit qu’il était le commissaire Jean Bon.
Par chance, j’avais déjà cambriolé une maison voisine et je connaissais une possibilité de leur échapper et nous voilà.
• Mais, je vais vous servir d’alibi alors que je t’avais prévenue.
Vous vous rendez compte dans la situation ou vous me mettez si mon père arrive, si c’est toi qui es la cible.
• Je le conçois, mais tu choisis, tu passes pour une salope qui se tape deux mecs devant ton père où tu viens nous apporter des oranges en prison.
• Restez couché, j’espère que tout va bien se passer.

Perdre la queue qui me fait jouir, très peu pour moi, c’est moi qui éteins la lumière.

• Police, ouvrez la porte sinon nous l’enfonçons.

Ils sont là, papa est là, je l’ai reconnu à sa voix.
Léon allume la lumière.

• Je vais ouvrir, Francine met le drap sur ta tête.
Il faut essayer d’éviter qu’avec Steve, ton père apprenne avec qui tu es dans notre lit.

Il se lève et est-ce une provocation, qu’il fait, au moment où je me couvre.
J’ai le temps de voir qu’il se dirige vers la porte, entièrement nu, sa verge légèrement tendue.
On dirait qu’il bande de la situation.

• C’est pourquoi ?
• Monsieur Léon, ou étiez-vous il y a environ une heure ?
• Ici, au lit avec ma petite poupée.
• Léon , te fout pas de ma gueule, laisse-moi passer.
• Tient commissaire Jean Bon, vous êtes là !
• Léon, assez joué, à trois dans un lit, Steve, tu partages cette fille avec Léon.
Mademoiselle, sortez de dessous ce drap que je vois qui vous êtes.
• Commissaire, je serais vous, je me garderais bien de faire sortir ma petite amie de dessous le drap.
Son père serait très fâché s’il apprenait que sa fille couche avec deux hommes.
C’est la fille d’un homme public très important dans notre ville, c’est votre carrière que vous jouez.

D’un seul coup, je vois la lumière, papa a arraché le drap, me dénudant et voyant que c’est sa fille qui couche avec les deux garçons.

• Francine, toi !
Et dans un lit avec deux garçons, inutile que je te pose la question si tes copains de débauche sont restés toute la nuit avec toi.
• Vous vous trompez commissaire, nous avons joué au poker jusqu’à 1 heure et après nous avons retrouvé ma femme.

J’ai un instant peur que papa fasse un malaise, il a la bouche ouverte comme s’il cherchait de l’air.
J’ai une fraction de seconde l’impression au geste qu’il fait qu’il va sortir son arme et tirer.
Léon semble se foutre de sa gueule, il enfonce le clou.

• Commissaire, j’espère que vous connaissez votre boulot, l’hôtel est sur contrôle vidéo depuis le hall d’entrée.
Faites vérifier les bandes, vous nous verrez entrer à 1 heure et jamais sortir.
Pouvez-vous nous dire ce que vous avez à nous reprocher ?

Léon vient s’assoir à mes côtés et passe sa main sous le drap que j’ai remonté devant moi.
Je devrais la retirer, mais son pouce caresse mon clitoris qui est très sensible.
C’est moi qui pose ma main sous le drap et qui le maintient pour continuer à avoir un début de plaisir.
Pendant ce temps deux adjoints de papa fouille la chambre.
Un jeune policier entre à son tour, je l’ai déjà croisé il s’appelle Bernard.
Il parle à l’oreille de mon père.

• J’ignore, comment vous avez fait, mais mon adjoint me confirme votre entrée sans jamais ressortir.
• J’ai le regret de vous dire que depuis c’est votre fille qui prend du plaisir avec nous deux.
• Cette pute, inutile qu’elle revienne à la maison.
Avez-vous trouvé quelque chose !

Depuis quelques minutes, je surveille un policier qui vient de prendre en main et qui ouvre le couvercle de la boîte où Léon m’a dit avoir caché son secret.

• Non, rien, juste une boîte avec un jeu de cartes vierge commissaire.
• Alors, partons, rentrons au commissariat, nous t’attraperons bien un jour espèce de salopard.
Qu’en penses-tu Léon ?

Papa et ses agents quittent la chambre.
J’ignore à ce moment que c’est la dernière fois que je le vois.

• Bien joué frère, une nouvelle fois on l’a bien baisé ce connard !
Pardon Francine, c’est ton père.
• C’était mon père, tu as entendu, je suis une pute et il m’a viré de chez lui, il va falloir que tu m’héberges.

Sans penser à Steve, je me tourne vers mon homme qui a repris place à mon côté.
Sa main est dans ma fourche et d’un coup je sens une main passer sur mes seins.

• Steve, pas touche.
• Laisse chérie, Steve et moi avons eu notre dose d’adrénaline, laisse le faire.

Cela s’appelle de la soumission ou de l’attachement pour celui qui a su me sortir de ce père tyrannique qui voulait que je connaisse les plaisirs du sexe seulement lorsque j’aurais épousé un jeune puceau boutonneux.
Je fais voler le drap et alternativement je suce Léon et Steve.
Steve, c’est lui qui me place en levrette pendant que je suce mon homme.

• Tu es belle mon poussin excuses moi pour ton père, mais nous étions obligés de choisir cette solution je me doutais qu’il m’avait reconnu ce qui s’avère avoir été le cas.

C’est pendant ces mots dont je me fiche royalement que Steve me prend par la chatte.
Baiser avec deux mecs, qui auraient pensé que je serais une plus grande salope qu’Adeline lorsque je me suis entrée dans la discothèque ressortant aux bras de Léon la chatte en feu.

Au début de ma jouissance et de celle de Léon qui m’offre son foutre, un mouvement me trouble, celui du policier ouvrant la boîte et la refermant et parlant d’un jeu de cartes !
Léon avait dit, « pas touche » !
L’adrénaline a du bon surtout lorsque c’est moi qui en profite.

• Ah ! ahouiiiiiii bande de salopards...