COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (5/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (5/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-10-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aide mon homme pour faire la nique à mon père (5/5)
Ça faite trois jours que je suis dans cette chambre, lorsque je me suis réveillée sachant que je suis une autre femme maintenant.
Libre et femelle débauchée par la volonté de Léon, cette nuit-là grâce à la montée d’adrénaline que j’ai moi-même testée lorsque mon père m’a surprise à faire le guet.
Peur et plaisir lorsque, grâce à Léon, ils sont partis pour une intervention importante au supermarché.

Je suis sur mon lit, nue depuis ce jour.
Trois jours ou Léon me fait servir mes repas par le roomservice de l’hôtel.
Chaque matin, deux femmes de chambre viennent faire le lit et la salle de bains ignorent ma nudité.
Trois jours qu’il me quitte vaquant à ses occupations.
Entre mes cuisses, j’ai devant moi la boîte ouverte.
Le couvercle, seulement le couvercle, je sais ce que m’a dit mon poussin, seulement en appuyant de chaque côté ce que je me garde bien de faire.
Le jeu de cartes est sous Cellophane donc vierge, je le range et je vais reposer la boîte.
J’allume la télé, il faut que je demande à Léon de me sortir, je manque d’air.
Seule, je le pourrais Léon m’a fait établir une carte magnétique de notre chambre et de la porte d’entrée de l’hôtel.
Seule, j’ai peur de tomber sur papa où l’un de ses policiers surtout ceux qui savent que je couche avec deux hommes qui plus est, des truands.
Il est vrai qu’au moment où je m’exposais nue devant eux, c’est après leur départ que les deux hommes m’ont fait jouir comme jamais.
J’espère que nous recommencerons.
La télé est connectée sur une chaîne d’info.

« Flash urgent.
Ce matin vers 9 heures, Léon, un truand déjà plusieurs fois mis en prison par le commissaire Jean Bon est mort ainsi que le commissaire.
C’est le repris de justice qui a ouvert le feu.
Le commissaire a répliqué touchant l’homme en pleine tête, le tuant sur le coup.
Lui-même est décédé dans les bras de sa femme avec laquelle il faisait des courses.
Nous vous tiendrons au courant après que notre correspondant sur place se renseigne sur ce conflit ayant opposé les deux hommes. »
Je suis hébété, j’ai beau en vouloir à mon père, mais pourquoi les deux hommes de ma vie en sont arrivés à s’affronter à coups de révolver.
Je change de chaîne, du foot les résultats d’hier, je réussis à capter de nouvelles informations.
Sur cette chaîne elle aussi d’information, il semblerait qu’il y ait un doute sur le premier qui aurait dégainé.
Sachant ce qui s’est passé hier au soir et connaissant papa, il est probable que s’étant rencontré fortuitement, il ait voulu se venger d’avoir dévergondé sa fille.
Je m’habille et je pars à l’endroit où l’altercation s’est produite.
À la télé, j’ai reconnu la rue piétonne à 500 mètres d’ici.
Lorsque j’arrive papa vient d’être mis sur un brancard des pompiers et Léon sur le brancard d’une ambulance.
Heureusement, que maman s’apprête à être évacuée avec papa, car d’instinct je serais allée vers celui de Léon.
Je la prends dans mes bras, j’ai peur, il me semble que dans son regard maman est partie.
Je les regarde partir lorsque Bernard le jeune flic m’ayant vu au lit avec Léon et Steve s’approche de moi.

• Francine, lorsque nous avons quitté la chambre où tu étais avec deux hommes dont Léon, ton père nous a dit.
« Je le crèverai ! »Peux-tu me donner une explication ?
• C’est clair, Bernard, j’étais la maîtresse de ces deux hommes et mon père l’ayant découvert a dû vouloir se venger.
• C’est ce que nous pensions avec les collègues présents dans l’hôtel.
Ton père avait des travers bourrus et était arrivé à devenir commissaire à la force de son poignet.
Nous savions qu’il faisait une fixation sur Léon avec qui il a joué au chat et à la souris toute sa vie, c’était son talon d’Achille.
Hors de question de salir sa mémoire, je te demande dans l’intérêt de ta mère de taire cette relation avec Léon.
Encore moins, tes partouses à trois, notre rapport va stipuler que c’est ton mec qui a sorti son arme confirmant la légitime défense sans que nous ayons découvert pourquoi.
Il sera aux honneurs de la police et vous toucherez une pension.

Il faut savoir être magnanime, surtout pour maman, la presse va titrer « Un policier héros de la police » qu’était mon père, même si pour moi mon héros, c’est Léon.
Je retourne à l’hôtel.
La boîte, j’appuie, rien !
Rien, aucun mouvement d’ouverture, j’ai seulement en main ce jeu de cartes vierges.
C’est à la maison que j’ai retrouvé comme convenu avec Bernard évitant toute question de ma présence dans cet hôtel que je reçois une convocation de Maitre Brun notaire.
Je regarde cette convocation à mon nom étonné, car pour papa, c’est maman qui hérite.
J’ouvre pensant que le facteur a oublié quelque chose, c’est un homme en costume trois-pièces qui est derrière la porte.

• Bonjour, mademoiselle Francine, je suis inconnu pour vous, je m’appelle Xavier, je suis le jeune commissaire qui remplace votre père.
Je voulais voir votre mère pour lui remettre les effets personnels de notre héros.
• Maman est hospitalisée, laissez votre carton sur ce guéridon.
Merci monsieur, bonne journée.

Je sais, je suis pet sec, mais cette convocation m’intrigue.
Je vais le rencontrer.

• Lisez cette lettre mademoiselle Francine que monsieur Léon mon client m’a confié en même temps qu’un testament qu’il m’a déposé.

Je prends la lettre cachetée que je brise.

« Francine, si tu lis cette lettre, c’est que je serai mort, surement tué par ton père, un jour ou l’autre, c’est lui qui aura eu raison de nous deux.
Moi, le voyou, lui le policier intègre dans son travail.
Tu dois te demander à quoi peu te servir un jeu de cartes vierge.
Si tu l’as sur toi ouvres et regardes la reine de cœur.
Elle ressemble à une carte normale, mais c’est le passe de la chambre 14, voisine de la nôtre.
Demande à Maître Brun de te dire ce qu’il en est avant de continuer de lire. »
Je regarde le notaire.

• Mademoiselle Francine, j’ai devant moi le dernier testament de mon client.
Il vous fait l’héritière de ses biens principalement dans la pierre.
Il m’a fait acheter et gérer la discothèque près de l’hôtel où il vous a fait vivre.
Cet hôtel qui est sa propriété, car il l’a acquis et fait mettre, lui aussi à votre nom.
Vous devez lire la suite mademoiselle.

Je reprends ma lettre.

« Francine, le notaire a dû te dire que je t’offre tout.
J’ai beaucoup volé me prenant pour Robin des Bois, j’ai adoré deux choses dans la vie, grimper pour voler les riches et toi dès que je t’ai rencontrée.
C’est grâce à la chambre 14 officiellement fermée, car elle aurait une signification spéciale pour le propriétaire de l’hôtel et les gérants que Maître Bon a mis en place.
Lorsque tu ouvriras cette porte, tu seras étonné, peu de choses, quelques armes, peut-être le butin de mon dernier cambriolage que j’allais ranger dans ma cachette secrète dont je t’avais parlé que le notaire va te dévoiler.
Si tu regardes par la fenêtre, pour un chat comme moi, il m’était facile de grimper sur la corniche de la maison voisine et de me retrouver dans la ruelle derrière l’hôtel.
Entrer, sortir, à la barbe de ton père, j’étais le maître du monde avec ma combine. »
Je comprends, se sentant cerné, l’autre nuit, Léon et Steve ont emprunté pour rejoindre ma couche et faire de moi une salope aux multiples amants.
Je regarde le notaire.

• Voici, les clefs d’un appartement avec cette enveloppe où il y a une adresse que vous devez ouvrir de retour chez vos parents.
Voilà, pour l’instant ce que je peux vous dire avant de régler cette succession de façon officielle, j’ai encore des actes à établir.
Je gérais les biens de monsieur Léon, si vous le souhaitez, je gérerai les vôtres.

Je quitte le notaire pressé de lire cette dernière lettre, je suis rentrée, je la lis.

• Poussin, sors de chez tes parents et va jusqu’à l’appartement voisin du vôtre.

Nous sommes au bout d’un couloir, l’appartement voisin, depuis ma plus tendre enfance, personne pour entrer et sortir.
Trois verrous, trois clef.
J’entre, la caverne d’Ali Baba.
Des étagères avec des billets, des lingots et des bijoux.
Un lit et des conserves.
Bien sûr, une lettre
« Bébé, j’ai toujours eu peu de confiance dans les banques, je les ai cambriolées.
Quelle meilleure cachette que l’appartement voisin d’un commissaire de police.
Bonne vie ma chérie, trouve-toi un homme qui te rendra heureuse, je t’aimerai toute ma vie. »
• Oui, Bernard, je te prends pour épouse, je te promets de te chérir jusqu’à ce que la mort nous sépare.

Bernard, le jeune commissaire de police qui a remplacé papa.
Il y a deux ans que Léon est mort, mais le jeune homme je l’ai revu aux obsèques de notre héros, le commissaire Jean Bon mon père.
Pour Léon, le notaire a eu une carte blanche pour qu’il s’occupe de tout moyennant un petit lingot d’or.
J’étais là entre les tombes à regarder mon amour se retrouver sous terre.

Un jour, Bernard est venu officiellement prendre des nouvelles de maman que j’ai été obligée de placer en maison spécialisée.
J’ai bien vu que c’était un motif, quand-il m’a invité au resto.
Huit jours plus tard, j’ai accepté de venir dans son lit.
Je l’aime bien, il me fait très bien l’amour même si mon cœur est sec.
J’ai suivi l’exemple de Léon, vivre et épouser aujourd’hui un commissaire de police de notre ville, ça facilite les confidences sur l’oreiller et surtout ça continue à protéger la cachette de mon héritage parallèle.
Ça permet à Steve occupant la chambre 12 dans mon hôtel dont mon futur mari ignore que je suis la propriétaire, de passer par la chambre 14.
Je lui ai confié la dame de cœur et c’est après lui que court Bernard sans savoir que je suis sa commanditaire.
Une dernière chose, ça fait deux ans à la date anniversaire de la disparition de Léon, que je saute au-dessus de la ruelle pour retrouver la chambre 14.
C’était à deux jours de mon mariage cette année.
Bernard nous a talonné Steve et moi et a fait chou blanc quand la chatte que je suis lui a échappé.
De retour dans la chambre 12, la montée d’Adrenaline a été telle que mon amant Steve m’a fait l’amour comme un chien sautant sa chienne.
C’est en vraie salope, que j’entends Bernard me dire.

• Et toi Francine, acceptes-tu de m’épouser...

Stop, le « pire », j’ai déjà donné.

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