COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (8/11)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (8/11) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ZONE ROUGE. J’aurais pu finir bonne soeur (8/11)
• Votre beau-père croit que je vais finir de m’amuser avec lui, en m’envoyant une si belle fille, il est puéril.
Quant à vous, madame, nous serions sur un champ de bataille, je vous dirais de protéger vos arrières.

Entre les quelques films, les quelques histoires de cul et ce qui m’est arrivé depuis que maman m’a fait chercher dans mon pensionnat de jeunes filles tenues par des nones, ma nouvelle vie est partie à cent à l’heure.
Je suis dans la pièce qui semble être la pièce ou cet homme qui s’amuse de mon beau-père, mais maintenant de moi puisque j’ai promis à Charles-Henri de lui ramener son dossier signé, se trouve.
En lisant, j’ai constaté que les hommes sont sensibles au sexe, dit faible, surtout si leur plastique est à la hauteur des intérêts à défendre.
Le major trouve que je suis magnifique, je décide d’essayer la séduction.
Depuis que j’ai ouvert les yeux sur ce que je suis après ce que j’ai accepté de faire, je passe en mode grande eau de Versailles.
Nous faisions du théâtre avec les sœurs, je faisais partie de la troupe par ma grande facilité à me mettre à pleurer.

• Marie-Antoinette, pourquoi ces pleurs, vous croyez qu’une vieille carne comme moi va s’attendrir parce que vous pleurez.

Je sens que pleurer est peine perdue, je décide la compassion.

• Major, est-ce sur le champ de bataille que vous avez perdu vos jambes.

Il éclate de rire, c’est bon signe, j’ai toujours entendu dire que le rire est la première étape servant à décontracter l’atmosphère.

• J’ai peu de temps, vous avez compris que j’attends quelqu’un, mon infirmière plus précisément.
Vous vous trompez bien que le saut d’obstacles dans un championnat du monde puisse s’apparenter à un champ de bataille.
Je faisais partie de l’équipe d’Angleterre dans cette discipline.
Tornade II était donné comme le meilleur comme son père Tornade I.
À deux obstacles de la fin du parcours, nous allions gagner les doigts dans le nez comme on dit dans votre pays quand nous avons atteint la rivière.
Tout allait bien quand Tornade a refusé de la franchir.
C’est lorsque je me suis réveillé à l’hôpital que j’ai compris, pourquoi je me retrouvais dans ce fauteuil à me déplacer sans mes jambes.
Nous avons éclaté les barrières, je suis tombé dans l’eau, un des rondins à sauter en l’air.
Il est malencontreusement venu se poser juste sur mes jambes.
Tornades a été déséquilibré avant que je reçoive sa croupe me broyant les jambes à cause du morceau de bois.
J’avais tant de fracture, qu’il a fallu m’amputer et me voilà dans cette chaise roulante.
• Dans sa chute, a-t-il épargné cette partie que j’ai découverte le soir de mes noces ?

C’est d’une façon naturelle, que je pose ma main sur le short de couleur sable du major.

• Madame, je vous prie de faire attention, ce que vous touchez marche très bien même s’y essayer de séduire les filles avec ce fauteuil m’est interdit.
J’allais me marier lorsque mon accident est survenu, Camilia a fui, à la vue de mes moignons.
Je suis venue me cacher ici en achetant ce domaine.
Sylvestre était mon aide de camp, car j’étais toujours d’actif, il m’a suivi jusqu’ici.
• Je peux être directe !
Je te suce, si tu signes le document de ce vieux con de Charles-Henri !
• Ça c’est plus que direct, mais j’aime bien.
Donne-moi ton papier avec ce stylo et je signe, tu me promets une bonne sucette ?

Je pourrais être désarçonné comme William avec son cheval, mais je sais ou je vais, je viens de trouver son point faible, le sexe comme tous les hommes malgré son infirmité.
Il y a peu, le mot « sucette » m’aurait été insurmontable, j’avais cinq à six ans lorsqu’un monsieur dans la rue m’a offert une de ces sucreries.
Je la suçais avidement quand maman s’en est aperçu, j’ignore pourquoi à moins que son imperméable qu’il a fermé avec précipitation en soit la cause.
Sucette et fellation, ce doit être identique, de retour dans ma chambre, je vais demander à Wikipédia de me renseigner.
J’ai découvert cette encyclopédie virtuelle m’apportant bien des renseignements afin de combler mes ignorances.

• Stop, vieux roublard.
• Pourquoi, je suis sincère où y a-t-il roublardise ?
• J’ai préparé mon dossier avant de venir, j’ai vu tes bouteilles, tu as été assez malin pour signer les grands crus sur les étiquettes.
Je sais exactement comment est ta signature, lorsque je dis que tu es roublard, tu serais capable de faire une fausse signature et ce papier serait non valable.
• J’ai fait la guerre aux Malouines, heureusement que nos ennemies était moins coriace que toi, tu as gagné.

Il signe, il ouvre son short et sors son sexe.
Je décide de m’amuser, prestement je récupère mon dossier et je fais mine de partir.

• Little Slut...

Je suis contente de mon effet, j’ai fait de l’anglais avec les sœurs, « Little slut, » petite salope en anglais, je connais, je dirais même mieux « Big slut, » grande salope.
Mais je suis bonne fille et surtout je veux apparaitre pour notre voisin pour une fille stable et digne d’intérêt
Je le prends en main, longue et noueuse, je m’agenouille et je prends son gland dans ma bouche.
Soyez sans crainte, je pense à tout, avant de m’occuper de faire une « sucette » à William, j’ai remis le document dans mon sac à dos bien au chaud sur la chaise assez loin de son fauteuil roulant.

• C’est peu banal, une petite fille qui sort du couvent et qui suce comme une reine, oh ! retire-toi...

Trop tard, les jets qui rentrent dans ma bouche sont aussi insipides que leur pudding, les sœurs nous en faisaient manger le dimanche confectionné avec les restes de pain de la semaine.
J’avale, je me redresse, je lui passe la main sur la joue impeccablement rasée.

• Ça a été très plaisant de faire des affaires avec toi, revient quand tu veux si tu as d’autres contrats à me faire signer, ma porte te sera toujours ouverte.

Je vais pour sortir satisfaite d’avoir réussi mon coup, quand il me lance une nouvelle fois.

• Marie-Antoinette surveille tes arrières.

Je suis de nouveau étonnée, ce doit être un terme militaire inconnu de moi.
J’ouvre la porte, prête à me mettre à courir quand une voiture arrive.
Austin Morris, c’est ce que je lis sur l’arrière quand elle s’immobilise.
Une jeune femme en descend.
Sa robe est aussi courte que celle que je portais hier.
Elle me montre sa petite culotte blanche, en fait, elle est en tailleur de grands couturiers, elle est très élégante.

• Quelle galère, malgré mon GPS, je me suis perdu deux fois, j’espère que mon client acceptera de me recevoir, sinon je me ferais enguirlander.
Vous connaissez le monsieur avec qui j’ai rendez-vous, est-il sympa.

Elle récupère une petite valise à roulette et se dirige vers les escaliers.
Sylvestre est au sommet, attendant, certainement, cette infirmière que William m’a dit attendre.
Ils ont de la chance dans ce pays d’avoir des infirmières d’une telle classe.
Je reprends ma course et je rentre au château, l’esprit léger de savoir impressionner mon beau-père ayant réussi à faire signer le major.
Il va sans dire que je vais taire l’épisode de la petite « sucette ».
Même s’il m’a dit hier que je pouvais disposer de mon corps sauve de ma chatte réservée à Charles-Antoine, mais à ce que j’ai compris surtout à lui.

De retours dans ma chambre, je suis en nage, car j’ai accéléré mon retour.
Je sonne Manon, et je vais dans ma salle de bain.
Je me suis dénudée et en train de me brosser les dents, on sait pourquoi.

• Tu en as mis du temps, tu dois être crevée, j’aimerais savoir courir autant que toi !

C’est la bouche pleine de dentifrice que je lui réponds.

• Connais-tu le dilemme qui oppose mon beau-père avec le major William notre voisin ?
• Qui ignore cette affaire, c’est cloche merle depuis des années dans notre petite ville.
Avec Romuald, nous baignons dans les vignes depuis notre plus tendre enfance, nous connaissons donc ce jeu de con entre les deux hommes.
Qu’as-tu à voir dans cette histoire ?

Je me rince la bouche avant de lui répondre.

• Va sur mon lit, il y a mon sac à dos que je porte pour courir.

Elle s’y rend.

• Je vois ton portable et, oh ! comment as-tu fait pour le faire signer ?

Je lui explique, elle éclate de rire.

• J’ai été très surprise, j’ignorais que le major était cul-de-jatte, d’ailleurs son infirmière arrivait lorsque je partais.
Elle était en retard, j’ai réussi qu’il me reçoive en l’attendant, il faut dire que j’ai un peu forcé le passage.
Cette jeune femme est arrivée dans une voiture dont j’ai vu la marque, Austin Cooper.
Elle m’a dit que c’était la première fois qu’elle venait et qu’elle s’était trompée deux ou trois fois malgré son GPS.
• Comment était-elle habillée, avec une blouse d’infirmière ?
• Non, un magnifique tailleur avec de hauts talons.
• Tu es gentille ma petite Marie-Antoinette qui t’a dit que c’était une infirmière ?
• Le major, je sais que je lui ai parlé d’infirmière, il m’a dit « oui ».
• Je vois, il t’a berné comme il le faisait avec ce document, cette fille s’était une des putes qu’il fait régulièrement venir de Paris grâce à Internet.
Ça lui coute un fric fou, mais depuis son accident, plus une femme veut coucher avec lui, de toute façon il reste toujours dans sa maison.

Je vois que je me suis fait berner, je manque vraiment d’expérience, la chose qui me rassure, c’est que la pute aura très peu de travail après ce que j’ai reçu au fond de ma gorge.

• Prends ta douche, pendant ton absence, j’ai lavé ta jupette.
Nous avons la même morphologie, je t’ai amené un pantalon trois quarts et une blouse à épaules dénudées qui vont plaire à ton beau-père en plus du document signé.
Une dernière chose que j’ai apprise dernièrement, il semblerait que le major ait un cancer qui se généraliserait, il a fumé pendant des années.
Ce qui est con s’il meurt c’est qu’ayant aucune descendance, tous ses biens iront à l’état.
J’ai bien pensé divorcé pour l’épouser, mais je tiens trop à mon gentil Romuald pour envisager cette solution afin d’acquérir son domaine viticole.

Je fais comme elle me dit, je vais jusqu’au bureau, mon beau-père est absent.
Dans le chai, je rencontre un employé qui porte une caisse servant aux vendanges.

• Le patron, j’ignore où il est, mais votre mari, je l’ai vu monter au-dessus des cuves, on y accède par cet escalier sur le côté.

Peut-être que Charles-Antoine sait où est son père, agile sur mes escarpins, j’arrive sur un plancher en ferraille ajourée, j’entends du bruit sur l’arrière des cuves.
Incroyable ce que je vois, est-ce possible que ce soit mon mari qui soit là dans une posture sans aucune équivoque...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Que de rebondissements mon cher Chris...
Vivement la suite
Cyrille



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